CHAPITRE 175: VOIR AU DELÀ DE LA CHAIR

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

***CHAPITRE 175 : VOIR AU-DELA DE LA CHAIR.***


(Votre chapitre d’hier que je me suis efforcée de finir, je retourne dormir car je vois toujours les anges. Aucune correction, car trop affaiblie)


**ARSÈNE MFOULA**


Leslie et Lauria viennent de partir. Princy et moi on se regarde et ça se voit que nous avons la même inquiétude. Maman Myrna se rapproche de nous avec maman Sara. 


Maman Myrna : Ils sont déjà ensemble ?


Pasteur Lilian : Les filles viennent de les rejoindre. 


Moi : (Extériorisant ma pensée) Vous pensez que c’est une bonne idée de les laisser tous seuls ? Je veux dire après ce qui s’est passé avec ses frères ?


Pasteur Lilian : Je ne sais pas ce qui va se passer à l’intérieur mais j’espère que Leslie fera ce qu’il faut pour établir ce lien. Malheureusement ni moi ni personne ne peut l’aider . Il y a des choses dans la vie que personne d’autre que nous ne peuvent faire. Ce lien brisé entre ses parents et elle, ne peut être rétabli que par elle.


Princy : Et si jamais elle n’y arrive pas ? J’ai déjà assisté à une violente dispute entre les deux et je peux dire que ce n’est pas joli. De plus mon beau-père a toujours eu une réaction assez violente au simple fait d’avoir évoqué le nom de Leslie en sa présence. 


Moi : Loyd me l’avait également dit c’est pour ça que je suis inquiet.


Pasteur Lilian : Tout ce que nous pouvons faire c’est prier que tout se passe bien car pour briser cet autel, il faudra que Leslie parvienne à établir la connexion. C’est lui qui a un accès direct dessus et vous ne pouvez passez que par lui pour le faire sinon ce sera un coup d’épée porté dans l’eau. On peut pratiquer une délivrance sur eux mais si la source de cette histoire n’est pas détruite ça ne servira à rien car toutes les personnes qui y sont rattachées seront toujours rappeler d’une façon ou d’une autre. S'ils n’arrivent pas à vous toucher à cause de votre relation avec le Seigneur, l’autel attendra la génération après vous et continuera à agir jusqu’à ce qu’il soit brisé. C’est un éternel recommencement. 


Maman Myrna : Le seul problème c’est le temps. Car je paris qu’à l’heure actuelle, ils doivent tous être en alerte pour essayer d’empêcher cela par tous les moyens possibles.


Pasteur Lilian : C’est pourquoi nous devons prier pour eux. 


Princy/moi : D’accord. 


Pasteur Lilian : Allons y dans la salle habituelle.


Nous sommes partis et nous nous sommes mis à prier sous la direction de maman Myrna. J’espère de tout cœur que Leslie pourra surmonter ça car cette nuit elle m’a parlé de ses inquiétudes. Vraiment que le Seigneur soit son guide…


**LESLIE OYAME**


J’ai vu son regard viré au noir et les traits de son visage se déformer lentement par la colère. J’ai commencé moi aussi à être envahie par les mêmes sentiments négatifs sans que je ne puisse comprendre ce qui m’arrive. En une fraction de seconde j’ai revu ma vie aux côtés de cet homme et tout ce que j’ai pu éprouver à son égard durant toutes ces années. Mon corps s’est mis à trembler tout seul sans que je ne puisse me contrôler.


Papa : Qui a appelé cette sorcière ici ?


Loyd : (Essayant de calmer le jeu) Papa ce n’est pas 


Papa : (Le coupant en grondant) Tu la boucles Loyd. ( À moi) Je ne t’ai pas dit que je ne voulais plus te voir jusqu’à ma mort ?


Maman : C’est Axel qui avait raison. Elle cherchait depuis à nous tuer. Et apparemment tous ses frères sont dans le coup. 


Ludovic : Maman nous ne sommes pour rien, on ne connaissait même pas ici. Vous-même vous savez qu’on ne peut pas vous faire du mal.


Maman : Vous n’avez pas vu ou su qu’elle était là ? 


Léandre : Si.


Maman : Et alors ? Pourquoi ne pas l’avoir chassé ? Vous savez bien que la santé de votre père n’est pas bonne et vous ramenez ce démon ici. Vous n’avez pas vu tout le mal qu’elle a fait à votre père ?  Ses problèmes de santé vous ne savez pas que c’est elle ? Vous êtes tous ses complices.  Et il n’y a personne ici qui nous veut du bien. Tous que des sorciers. Mieux on retourne où on était pour être en sécurité. Si on ne peut même pas compter sur ses propres enfants, les souffrances avec vous c’est cadeau. (À moi) Toi quitte de là hein et retourne avec celle que tu as entraînée dans ta sorcellerie.


J’ai le cœur qui me chauffe dans la poitrine et une forte envie de les insulter tous les deux. 


Moi : Vous savez ce que vous êtes ?


J’ai fermé les yeux et j’ai fait demi tour. Je préfère partir d’ici plutôt que de rester là à écouter les choses qui sont en train de m’énerver outre mesure. Mes larmes coulent de mes yeux et je les essuie rageusement en tirant sur ma jambe qui me fait de plus en plus mal de même que le bas de mon dos. Malgré la douleur que je ressens, je force mon chemin jusqu’à revenir à l’entrée du grand bâtiment. Je veux continuer ma route quand j’entends derrière moi.


Voix : Maman ?


Je me suis arrêtée car il s’agissait de la voix de Lucrèce. J’ai entendu ses pas se rapprocher derrière moi puis elle m’a contournée pour se retrouver en face. Elle m’a regardée un moment dans les yeux avant de me faire un câlin qui m’a fait frissonner. Je ne sais pas pourquoi mais son contact m’a fait faire un bon dans mon esprit et je me suis retrouvée en face de ma grand-mère qui me prenait dans ses bras après une dispute que j’avais eu avec une de mes copines de l’époque. On s’était tellement fâchées que j’avais juré que plus jamais je ne lui parlerai. Mema qui avait suivi la scène m’avait appelée et serrée dans ses bras avant de me parler. C’est exactement la même sensation que je ressens présentement avec ce câlin.


Lucrèce : (Me serrant fortement) Maman stp reviens, ne laisse pas la colère te gagner. N’oublie pas que tu as un cœur pur et tu es une bonne personne.


Moi : (Éclatant en sanglots) Mema, je, je n’arrive pas. Ils m’ont fait du mal.


Mema : Tu as le cœur pur Triomphe, ne l’oublie pas. 


Moi : (Silence)


Lucrèce : (Me secouant) Maman tu m’entends ?


Moi : (La regardant) Hein ?


Lucrèce : Tu n’as pas répondu à ma question.


Moi : (Perdue) Quelle question ?


Lucrèce : Je t’ai demandé pourquoi tu pleures et puis tu as jeté ta béquille. 


Moi : (La regardant) 


Lucrèce : Tu as failli tomber mais j’ai couru pour te rattraper.


Je regarde derrière moi et je vois la béquille en question au sol.


Moi : (Dans ma tête) À quel moment j’ai fait tomber ça ? Et ce qui s’est passé tout de suite c’était quoi ? C’est moi ou j’ai eu un moment d’absence ? (À Lucrèce) Tu as dit quelque chose sur la colère ?


Lucrèce : (L’air confuse ) Non maman. Je suis seulement venue t’attraper pour que tu ne tombes pas et je t’ai demandé pourquoi tu as jeté ta béquille. 


Moi : (Silence)


Lucrèce : On part déjà à la maison ?


Moi : Non. Il faut que je, je parle d’abord avec mes parents. Où sont tes frères ?


Lucrèce : Dans la salle. Ils surveillent les filles.


Moi : D’accord. Donne moi ma béquille et tu retournes les rejoindre.


Elle s’est exécutée. Nous avons fait le chemin retour ensemble avant qu’elle ne me laisse toute seule. Je sais qu’il vient de se passer quelque chose qui ne s’explique pas mais la scène que je viens de vivre tout à l’heure était bien réelle. J’ai bien senti et revu Mema quand Lucrèce m’a touchée et ce qu’elle a dit par la suite. Je m’arrête un moment et je prends une grande bouffée d’air avant de reprendre le chemin jusqu’à la porte où je trouve que papa est en train de sévèrement sermonner les autres. Je rentre dans la maison et je me mets à marcher dans sa direction.


Papa : (Menaçant) Ne t’approche pas de moi Leslie tu comprends non ?


Je fais fi de ses propos et je continue de m’avancer jusqu’à ce que je me pointe devant lui. La gifle qu’il me met au visage, exactement au même endroit qu’il l’avait fait 8 ans plus tôt, m’envoie de suite au sol. J’ignorais que dans son état, il pouvait frapper encore avec cette intensité. 


Papa : Tu t’amuses avec moi non Leslie ? Comme je suis ton chien, c’est pour ça que tu continues à me défier n’est ce pas ? Tu n’as pas fini de traîner mon nom dans la boue avant de me tuer auprès de tous le monde ? De quel droit tu oses revenir te planter devant moi ? De quel droit ? 


Moi : (Pleurant) Papa.


Papa : (S’enervant d’avantage ) Tu appelles qui papa Leslie ? Imbécile, c’est aujourd’hui que je suis devenu ton père ? Toi Oyame tu me connais ? Tu m’as un jour considéré dans ta vie ? Si j’avais écouté ta mère, on allait t’avorter et toute ma vie j’ai regretté de n’avoir pas pris cette décision. Sors immédiatement de cette salle sinon je vais faire ta prison. 


Moi : (M’agenouillant devant lui malgré la douleur de ma jambe) Je te demande pardon.


J’ai reçu une autre gifle au visage qui m’a renvoyée à terre. Cette fois ci Loyd a intervenu.


Papa : (À lui) Tu veux me frapper Mbazogho ? 


Moi : (Me redressant la voix enrouée) Loyd quitte.


Loyd : Il va te faire du mal.


Moi : Ce n’est pas grave. Même s’il me tue aujourd’hui je ne veux pas que tu t’en mêles.


Maman : Donc c’est ça ton plan hein mourir entre les mains de mon mari pour l’envoyer en prison ? Mais tu as échoué Leslie tu comprends non ? Si on a fini de te manger en vampire c’est pas sur nous que tu viendras mettre ça. (Venant chercher son mari qui était debout devant Loyd) Landry allons, il ne faut pas rentrer dans le jeu de cette sorcière, on va retourner chez ton frère et se débrouiller là-bas avec les médicaments.


Ils ont voulu se déplacer mais comme ils étaient l’un à côté de l’autre, je me suis assise par terre et j’ai attrapé leurs deux jambes.


Maman : Vous voyez le vampire de l’enfant là ? (Essayant de me pousser) Laisse mon pied Leslie.


Moi : (Le cœur battant) Je, je vous demande pardon. Pardon de vous avoir fait souffrir toutes ces années.


Maman : On n’a pas besoin de ça Leslie lâche nos pieds.


Moi : (Poursuivant sur ma lancée) Pardon d’avoir été une enfant rebelle et de vous avoir manqué de respect.


Maman : Tu ne comprends pas quand je te parle Leslie ? Quitte devant mes yeux.


Moi : Pardon de vous avoir crié dessus, pardon d’avoir menti sur vous et de vous avoir fait passer pour mort. Pardon de n’avoir pas été une bonne fille et de ne pas avoir compris la chance que j’avais d’avoir des parents en vie et qui se battaient dans leur cœur pour nous protéger. (Le pied de mon père s’est mis à chauffer de façon anormale) Pardon de ne pas avoir vu votre souffrance en sachant que l’on nous arrachait de vos mains et que vous ne pouviez rien faire pour stopper cela.


Maman : (La voix tremblante) Tais toi.


Moi : Je sais que ce n’est pas de votre faute et que vous avez toujours espérer le meilleur pour nous.


Maman : (Me frappant son sac sur le visage) Je t’ai demandé de te taire Leslie. Espèce de sorcière, criminelle, enfant des ténèbres


Moi : (Voix tremblante) Je t’aime maman.


Elle m’a poussée avec beaucoup plus de force au point de me faire tomber mais comme je tenais leurs jambes, ils sont tous les deux tombés sur moi. Malgré la douleur que j’ai ressentie, j’ai réussi à me libérer et je suis montée sur mon père en me couchant de tout mon long sur lui tout en tenant la main de ma mère qui voulait se lever. Ludovic et Léandre ont voulu intervenir pour m’enlever sur le boss qui criait mais Loyd les a empêchés.


Léandre : Tu ne vois pas qu’elle va l’étouffer ?


Loyd : Elle ne peut pas, reste là. 


Maman : (Me donnant des coups sur le dos pour que je la lâche) Laisse mon bras Leslie et quitte sur mon mari tout de suite.


Plus elle tapait, plus la pression de ma main sur la sienne était forte. La chaleur qui se dégageait de nos corps entre mon père et moi et du point de contact de ma main sur celle de maman était telle que nous avons transpiré à grosse gouttes. J’ai senti une forte pression dans mon corps qui m’a fait vibrer puis j’ai eu la sensation que ma tête était en train de s’ouvrir sur la fontanelle, mes oreilles se sont mises à siffler avant que je ne pousse un grand cri aigu. Je n’étais pas la seule à le faire, mes parents aussi étaient dans le même état que moi avant que nous nous calmions tous les trois et que je sombre dans un sommeil qui m’emporte contre ma volonté(...)


Je suis dans une pièce sombre et en dehors des pleurs que j’entends , je ne vois rien. J’essaie de me concentrer pour repérer d’où vient le bruit et d’adapter mes yeux à la pénombre. Il ne me faut pas longtemps pour voir un homme essayer de briser des gros colliers sur les cous de deux autres hommes en pleurant alors que lui-même peine à se mouvoir avec de celui qu’il a sur son propre cou. Tous les autres colliers étaient rattachés au sien qui était bien plus gros que les autres. Une femme se tenaient à ses côtés et essayait de retirer ce que lui-même avait. Plein d’autres chaînes plus petites étaient rattachées à plusieurs personnes que je ne connaissais pas, elles les avaient soit aux pieds, soit aux mains mais n’étaient pas au même endroit que les premiers. En tournant ma tête sur le côté, j’ai vu Lauria et Princy avec leurs enfants. La pièce dans laquelle ils étaient était lumineuse et ils n’étaient pas enchaînés. Seulement de l’autre côté de la porte qui donnait dans celle où étaient tous les autres, il y avait des colliers, et des bracelets reliés à l’homme que j’ai vu en premier. Ces choses s’agitaient devant la porte et cherchaient un moyen de rentrer dans cette salle. À côté de cette pièce il y avait une autre dont les murs semblaient être plus solides. C’était comme s'il y avait une pièce dans une autre. Dans la partie qui n’avait qu’un fin espace, se tenaient trois jeunes femmes que je ne connaissais pas puis dans la pièce au centre, il y avait Loyd et Lucrèce. J’ai écarquillé les yeux en voyant ma fille ici. Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Comme pour la salle où était Lauria, des colliers et des bracelets enchaînés étaient posés au sol devant la première porte qui donnait directement sur les trois jeunes femmes à la seule différence que ça ne s’agitait pas. Je me suis retournée vers le premier homme que j’ai vu et ce dernier a levé son visage vers moi, la femme a ses côtés s’est arrêtée et en a fait de même. Je n’ai pas reconnu leurs visages parce que quelque chose d’étrange les avait recouverts mais leurs regards n’avaient pas changé et c’étaient ceux de mes parents. 


Moi : Papa !


Lui : (Pleurant) Mon bébé. (Mes larmes se sont mises à couler) Je vous demande pardon à tes frères et toi de vous avoir mis au monde pour souffrir. Si je savais, je n'allais pas en faire pour arrêter cette chose à moi et vous épargner. J’ai essayé de vous préserver mais je n’ai pas pu, je n’y suis pas arrivé. Pardonnez-moi. 


J’ai commencé à marcher dans sa direction mais des projectiles brûlants venant de je ne sais où ont commencé à me toucher de pars et d’autres pour m’empêcher d’avancer. À chaque fois qu’une de ces choses me touchaient, j’entendais dans ma tête une parole blessante que l’un d’eux m’avait dite. J’ai fini par m’arrêter à cause de la douleur que je ressentais de part et d’autre sur mon corps et ça s’est de suite arrêté. 


Moi : (Pleurant) Ça fait mal.


Maman : (Pleurant) Retourne Leslie sinon tu auras beaucoup plus mal. Ne viens pas ici. Stp, retourne.


Moi : Je veux être avec vous.


Papa : Non Leslie, écoute ta mère et retourne.


Je les ai regardés et au lieu de faire comme ils m’ont dit, j’ai fait le contraire et le mécanisme a repris de plus belle. Plus je me rapprochais et plus ces choses grossissaient au point de me déchirer la peau et la brûler à chaque touché. Je suis tombée à plusieurs reprises et j’ai voulu abandonner mais je ne l’ai pas fait. J’étais à moins d’un mètre d’eux quand des serpents ont apparu devant moi pour me faire reculer et c’est ce que j’ai fait pendant un moment la peur au ventre. Ils sifflaient tous dans ma direction et de temps en temps se jetaient pour m’atteindre. 


Papa : Maman retourne. Ne te fais pas du mal. 


J’ai repris à les fixer un moment puis j’ai continué à avancer. La première morsure du serpent m’a fait fermer les yeux et je n’ai pas tardé à en recevoir d’autres de plus en plus douloureuses. Je les sentais monter sur moi et me piquer jusqu’au visage. Mes jambes se sont arrêtées toutes seules comme si elles étaient paralysées avant que je ne m’écroule car j’avais la sensation de ne plus avoir des pieds. C’est sur les cuisses de ma mère que ma tête a atterri et elle a retiré les deux serpents qui me mordaient le visage.


Maman : (Pleurant en me caressant le visage gonflé de toute part) Regarde ce qu’ils t’ont fait ? Pourquoi tu n’es pas retournée hum.


Moi : (Voix à peine audible) Maman.


Maman : Elle va mourir Landry, ma fille est en train de mourir. Landry fait quelque chose.


Je me suis mise à convulser et ma vision est devenu trouble.


Papa : (Criant) Leslie ? Leslie ? Leslie, reste avec nous. Leslie ?


Il s’est penché vers moi avec difficulté pendant que mon corps était en train de s’immobiliser . Une fraîcheur étrange a commencé à m’envahir tout le corps et je sentais comme si des choses étaient en train d’exploser à l’intérieur . Ma vue s’éteignait au fur et à mesure et les voix de mes parents se faisaient lointaines. J’ai levé ma main droite avec difficulté et je l’ai posée sur le cou de mon père qui était au dessus de moi. Je l’ai fait glisser jusqu’à la chaîne et quand je l’ai sentie, j’ai tiré dessus. Elle s’est brisée en même temps que les veines de ma main puis cette dernière est retombée au sol et je me suis sentie partir…


SECONDE CHANCE