Chapitre 18
Ecrit par Sandy's Aby's
Cinq jours plus tard.
Medelva.
Je suis avec Barbie et Alban, elle vient d'avoir ses résultats du deuxième tour où elle a confirmé ce qui était déjà destiné.
Alban : J'ai appelé Steve pour qu'il nous rejoigne Au Tivoli, on va se faire des pizzas.
On saute dans un taxi direction glass.
Pendant ce temps à louis
La Daronne
Mon téléphone personnel sonne, je décroche.
A l’autre bout du fil : Bonjour Daronne !
Moi : J’espère que vous m’appelez pour m’annoncer une bonne nouvelle ?
La voix : Oui Daronne !
Moi : Accouchez !
La voix : On sait où elle se trouve on l’a repéré !
Je me redresse et fait un sourire.
Moi : Satisfaisant !!! vous êtes efficaces !
La voix : On fait quoi d’elle.
Moi : Apportez-moi cette chienne, je saurai quoi faire !
Je raccroche avec satisfaction, je me lève, prend un verre et verse le contenu du scotch que je sirote en m’évadant, le regard lointain.
J’ai enfin ce que je voulais, plein d’option se bousculent dans ma tête, devrais-je en finir avec elle pour sa trahison ?
Humm je croix que je ne vais pas me salir les mains cette fois-ci, je vide d'un trait mon verre et je le pose sur la tablette avant de m'affaler sur mon fauteuil.
Du côté de Batterie quatre.
Isabelle
Je rentre dans le salon et je trouve Mama, elle fait à manger.
Moi : Mama !
Elle : Oui ma fille !
Moi : J’ai envie de faire un tour chez la cousine à maman qui est à Alibandeng .
Elle : Oh d’accord, vas-y mais fait attention ! Tu veux que quelqu’un t’accompagne ?
Elle : Non mama, ça va aller.
Elle : Ok, mais
Ne rentre pas tard.
Moi : Ok mama, je vais d’abord saluer ton fils.
Elle (souriante) : Voilà ! Vas-y trouve quelque chose à faire avec lui de temps en temps.
Pendant ce temps
Steve.
Je viens de recevoir un appel d’Alban il veut que je les rejoigne lui, Mède et Barbie au Tivoli.
Je monte le zip de mon jeans, quand un Legé coup est frappé à ma porte, je n'ai même pas le temps de répondre que la porte s'ouvre automatiquement sur Isabelle.
Moi (calme) : Je ne me souviens pas de t'avoir permis d'entrer !
Elle (La main sur sa bouche) : Euh désolé ! Je voulais juste venir récupérer ton linge pour allé laver.
Je fonce les sourcils !
Moi : Pardon ??
Elle : Maman m'a envoyé venir…
Moi (l'interrompant) : Eh ! S'il te plait il est préférable que tu t'en ailles, personne ne lave mes vêtements ici, à part Arisa ou moi-même.
Elle : Mais…
Moi : Ne t'inquiète pas je vais régler ça avec maman, si c'est ça qui te préoccupe.
Je remarque qu'elle me scrute toujours du regard alors qu'on a terminé de parler, je prends mon tee short sur le lit et je l’enfile.
Moi : Peux-tu s'il te plaît me laisser un peu d'intimité ?
Elle : Oh, excuse-moi !
Puis elle se retourne et s'en va.
Je termine de m'apprêter et je sors.
Quelques heures plus tard du côté de Louis
La Daronne
Je suis concentré sur mon ordinateur à gérer le compte Facebook car on fait des placements en ligne, on post des images des filles à moitié nues et la personne intéressée, me contacte soit par phone soit par messagerie.
Le téléphone fixe sonne et me fait sursauter au passage, je décroche.
Moi (appuyant sur l’interphone) : Oui Crisia ?
Crisia (la secrétaire) : Madame, il y a des hommes dans le hall pour vous !
Moi : Fais les entrer !
Quelques secondes, après la porte s'ouvre sur Colzard et Colby, mes hommes de main et la salope qui a osé m’envoyer en cellule, moi !!!
Mais quel culot !
Colzard la pousse, elle tombe sur le sol, la tête baissée, je contourne, mon bureau, m’acroupi près d’elle et je tire sur son tissage pour l’obligé à me regarder.
Elle (les yeux remplies de tristesse) : Pitié Daronne, je suis désolée.
Moi : Tu es enfin là ! Je peux faire de toi ce que je veux.
Elle : S’il vous plaît Daronne, je m’excuse pour tout et je peux payer pour le mal que je vous ai fait en travaillant nuit et jour.
Moi (époussetant mes mains en me relevant) : Tu n’as pas eu peur en me foutant en cellule bon sang pour qui est-ce que tu te prends ? [En colère ]Je t’ai formé moi ! Je t’ai fait sortir du todis où tu te trouvais et j’allais t’emmener plus loin ! Mais tu as osé me défier ?
Je vais te prouver que tu as commis la pire erreur de ta vie et tu vas regretter [la giflant] ordure !
Elle pleure et fait couler de la salive sur ma moquette.
Elle : Pitié Daronne, je vous en supplie pour l’amour de Dieu !
Je me dirige vers mon bureau et prend mon fixe.
Elle (ferme) : Crisia, appel la police pour moi et dit leur que j’ai ce qu’il cherche.
À l’écoute de ces paroles, je la vois ouvrir les yeux avec effroi, en même temps, elle veut se lever pour s’enfuir, mais Colby met son pied et elle se retrouve au sol en moins de deux secondes.
Moi (raccrochant et me rapprochant d'elle) : Tu fais moins la maligne maintenant !
Cette fois-ci je ne salirai pas mes mains [m’accroupissant et me rapprochant de son oreille] Je te laisse entre les mains de la police !
Elle (Criant) : Noooonnn pitié Daronne, pitiéeeee.
Quelques heures plus tard
Au Tivoli
Medelva.
Tout va bon train on se régale avec nos pizzas vosgiennes.
Mon téléphone sonne, je décroche c’est mon Père
Moi (surprise) : Papa !
Papa (heureux) : Ma fille, la police l’a finalement arrêté !
Moi : euh ! tu parles de qui s’il te plaît ?
Papa : Mais de la fameuse fausse Daronne ! La PJ m'a appelé.
Moi : Daysie OBONE !!!
Papa : Voilà c’est ça !
Je racroche quelques secondes et je constate que tous on le regard braqué sur moi.
Moi (remarquant les regards braqués sur moi) : Eh !
Vous me faites peur qu’y a-t-il ?
Steve : Dit nous ce qui se passe !
On a écouté Daysie Obone.
Moi (posant mon téléphone sur la table) : Oh, juste euh, qu’on l’a finalement arrêté !
Barbie : Tu dis cela comme si ça ne te fait pas plaisir qu’elle soit enfin derrière les barreaux !
Moi : Bon, subitement j’ai un peu pitié, en plus elle ne m’a pas vraiment fait du mal !
Alban : Dit juste que tu lui pardonnes, ne dit pas qu’elle ne t’a pas réellement fait de mal car tu ne sais peut-être pas ce que nous on a ressenti, ni tes parents et si quelque chose t’était arrivée dans cette forêt !
Steve : Ce n’est pas faux !
Barbie : Moi en tout cas je suis rassurée que ce genre de personne soit hors d’état de nuire.
Quelque part ailleurs.
Une voix de femme : Bonjour !
Une voix d’homme : Bienvenu chez moi !
Je vois que ton cœur saigne, tu es venu ici pour un but bien précis et il s’avère que ça t’échappe !
Elle (surprise) : Mais comment savez-vous cela ?
Lui : Les génies ma chérie !
Enlève tes chaussures et vient sur la natte, puis assied-toi.
Ce que je fais je m’assois, il jette les cauris sur la natte, il observe, comme s’il lisait quelque chose, puis il les regroupe, souffle dessus et lance à nouveau.
Lui : Humm cet homme n’est pas à toi !
Moi : Mais si je veux qu’il le soit, Que faire ?
Lui : Tu vas devoir travailler son cœur.
Tu as une photo de lui ?
Elle ( le visage triste) : Non papa.
Lui : Ok, il y à toujours une solution à tout avec les génies.
Il prends une miniscule calebasse et il met des choses bizarres à l'intérieur avant de me le remettre en me donnant quelques recommandations.
Je me lève dépose une somme d'argent et je m'en vais.
Au milieux de la nuit Chez les Asseko
Steve.
Je me réveille en sursaut, je regarde à ma pendule et je remarque qu'il n'est que deux heures du matin, je viens de faire un mauvais rêve.
J'ai rêver d'une masse noir semblable à de la fumé sortir de mon lit et m'envelopper, j'ai essayé de me débattre en vain et lorsque j'ai crié le nom de Jésus la masse s'est retirée et j'ai pu me libérer…
Je ne sais vraiment pas ce que ça signifie mais je dois me lever et prier.