CHAPITRE 19
Ecrit par Jojo D
Kylian
J’ai
passé une semaine tellement stressante que quand le samedi est arrivé j’ai
trouvé que le meilleur moyens de déstressé serais d’allé m’amuser un peu avec
Elodie. Nous avons passé l’après-midi à faire des choses de grand (rires) et le
soir venu elle a voulu qu’on aille en boite s’amusé, je n’étais pas trop pour
mais elle a su me convaincre. Nous sommes allé dans une boite qui selon elle a
une bonne ambiance, nous sommes arrivé vers 22h et par chance il y’avais encore
un carrée de libre (je n’aime pas devoir me mêlé à la folle quand je viens en
boite).
Quelques
temps plus tard pendant qu’Elodie est en train de se trémousser sur moi je vois
une silhouette avancer dans la salle ressemblant a Chloé mais en voulant
confirmé mes doutes je regarde dans la salle et je constante que la silhouette
en question a disparue ; je me suis surement trompé, je reporte donc mon
attention sur Elodie qui continue de bouger sur moi de façon brutale (à croire
qu’elle veut me casser l’engin), pendant qu’elle bouge sur moi, le Dj lance le
son Tchiza, venez la voir se lever et sauté comme une petite fille tout me
tirant pour que j’aille sur la piste avec elle ; chose que je fais à
contre cœur. Elle est en train de se collé à moi comme elle sait si bien le
faire quand j’aperçois encore cette même silhouette me faisant pensé a Chloé,
j’essaie de regarder de plus près et malgré le faible éclairage de la boite je
peux affirmer avec certitude qu’il s’agit belle et bien de Chloé et ce que je
vois me chauffe le cœur : elle a collé son derrière sur le gars comme une
sensu et fait un de ces déhanchements que
même avec moi elle n’a pas fait. En ce moment je vois rouge a un point, je me détache
d’Elodie sous son regard perdu et m’en vais enlever ce gars derrière ma
« femme » parce que oui elle l’est sous un angle traditionnelle.
Je
pousse donc le gars avec une force pas possible et directement elle se
retourne, dès qu’elle me voit, elle écarquille ces gros yeux comme les yeux du
margoulliard et me regarde en mettant la main sur sa bouche (Mama tu n’as pas
encore mis les mains sur la bouche).
: (Criant)
eeehh ohh, ça va pas dans ta tête ?
Je me
tourne pour voir qui a parler et je vois qu’il s’agit du gars en question et il
continu
Lui : (cirant) qu’es ce qui ne va pas chez toi ?
Moi : rien de vas idiot ! Tu es la collé à
ma « femme » comme si tu tournais un film porno et tu me demande ce
qui ne vas pas ? (dis-je en colère)
Lui : (riant) et bien tu devrais tenir ta femme
en laise et ne pas la laisser venir dans ce genre d’endroit et encore moins se comporté
comme une pute en se collant a moi comme si sa vie en dépendais !
A ces
mots je vois rouge et je lui donne un bon coup bien placé sur son nez, j’entends
Chloé crié en disant « oh mon Dieu », comme si elle pensait à Dieu en
faisant ça. Le gars se levé et je vois que son nez pisse le sang, il me donne
un coup à la joue et il s’en suit un échange de coup de poing. Quand les gars
de la boite réussissent par nous séparer, je me tourne vers Chloé pour l’a trainé
à la maison quand j’entends…
: Mais
chéri qu’es ce que signifie tout ceci ?
Je l’avais
déjà oublié celle-là, je la regarde et je ne sais même pas ce que je pourrais
lui dire parce que moi-même je ne sais pas ce qui se passe
Elodie : je te parle Kylian ! C’est
qu’elle humiliation ça ? Tu me laisse pour venir bagarrer ici pour une…….
(Dit-elle en pointant Chloé du doigt de haut en bas en lui lançant un regard de
dédain)
Chloé : oohhhh la poupée Barbie, je ne suis pas
une femme quel qu’on que mais sa FEMME ! (dit-elle en appuyant bien sur le
mot femme tout sourire)
Je vois
le regard d’Elodie allé de Chloé à moi et vice versa en se mettant les mains
sur le cœur. Je me retourne donc vers ma femme en question, lui prend le bras
et la tire vers la sortie sans ménagement sous ces cris, j’entends des voix
crié derrière moi, je me retourne et je vois qu’il s’agit de ces amies (au
moins elle n’était pas seule).
Arrivé
devant ma voiture, déverrouille les portes et lui demande d’entré mais elle ne
bouge pas
Moi : Chloé je te demande d’entré la (elle me
regarde et croise ces bras sur sa poitrine)
Elle : je n’entre pas dans ta voiture Kylian
Moi : je commence déjà par perdre patience
Chloé, entre dans cette putain de voiture ou je vais te faire y entré par la
force (dis-je en la tenant le bras pour la faire entré)
Elle se dégage
de moi et par s’assoir par terre sur des pavé devant la boite et me dit
Elle : j’entre dans ta voiture pour quoi ?
Nous sommes venues ensemble ici ? NON ! Alors ne m’embête pas et en
plus j’entre dans ta voiture et laisse la mienne ici à qui ?
tssuiippssss !!!
Je l’a regard e
comme si elle folle
Moi : Chloé ne m’énerve pas ! Je ne suis
pas d’humeur a supporté tes caprices…..
Elle : et bien je m’en fou ! Je ne t’ai
rien demandé. Je ne rentre pas d’ici sans ma voiture et c’est mon dernier mot.
Je la
regarde et j’ai bien envie de rire, je vois ces amies venir lui donné son sac
et lui parler et franchement moi je n’ai pas assez de patience ce soir. Je
m’avance vers elle, arrache son sac de ces mains ce qui la pousse à ce mettre
debout, je la porte et la jette sur mon épaule comme un sac de patate. Elle
commence à me donner des coups de fillette et a m’insulté, arrivé devant ma
voiture, ouvre la porte, la dépose sur le siège sans ménagement
Moi : ne t’avise pas de sortir d’ici sinon je
vais te briser les os Chloé (dis-je avec tout mon sérieux ce qui la fait reculé
un peu).
Je ferme
la porte, fais le tour et me mets devant le volant
Moi : mets ta ceinture
Elle se
tourne et me regarde en voulant jouer la rebelle
Moi : dépêche-toi (dis-je en criant)
Elle le
fait tout en me lançant un regard noir (Mama le regard ne tue pas)
Moi : en passant c’est quoi la marque de ta
voiture ?
Elle : (avec une petite voix) une Hyundai
Tucson rouge
Je prends
donc mon téléphone et appel le chauffeur de ma boite qui arrive dans moins de
10 minutes, prend sa voiture et nous suit jusqu’à chez nous.
Lynn
Faut
pas prendre les gens pour des folles ! Il ouvre sa large bouche comme la
cuvette des toilettes pour dire que je suis sa femme, il m’a doté ? Non
oohhh mais il m’appel sa femme et m’empêche de m’amuser. Je ne me reproche de
rien parce que je n’ai rien fait mais pour lui c’est comme si il m’a trouvé
entrain de coucher avec un autre. Au moment au je vous parle j’ai tellement la
rage mais je me retiens.
Il vient
de se garer dans notre cour et à peine il coupe le contact, je descends sans
attendre qu’il me parle et ferme bien fort la portière de sa voiture derrière
moi, je suis en train de marché quand j’entends aussi une portière se refermé
mais je ne me retourne pas. J’arrive au salon et commence a monté les escaliers
quand j’entends
: Si tu
montes encore une seul marche je ne pense pas que quelqu’un dormira dans cette
maison ce soir (dit-il d’une voix sèche)
Je veux jouer
à la têtu et avancé mais après je me reprends, je ne veux pas qu’on me frappe
ce soir donc je me tourne docilement et descend les marches, il s’avance et se
place devant moi
Moi : (lasse) qu’es ce que tu me veux
encore ? Tu ne trouves pas que m’a déjà assez humilié pour cette
soirée ?
Lui : (rire jaune) donc moi je t’humilie ?
Tu te comportes comme une femme une trainé et c’est moi qui ta humilier ? C’est
l’hôpital qui se fou de la charité ! Tu sais quoi, ton comportement ne m’étonne
même pas, c’était vraiment prévisible qu’un truc pareil allait arriver
Moi : tu veux dire quoi par la ? D’où tu me
connais pour me traiter de trainé et dire que ça ne t’étonne pas ? Tu es
sure que tu n’as pas fumé un peu le mbanga avant de venir ? (dis-je en
haussant la voix énervé)
Lui : pas besoin de te connaitre pour savoir
qui tu es vraiment. Tu te colles à un inconnu comme si ta vie en dépendait et
si je me souviens bien tu avais fait bien pire avec moi et tu voudrais que je
te voie comme une femme de valeur ? Tu as menti !, parce que laisse-moi
te dire, une femme de valeur qui se respecte assez ne ferais pas ce genre de
choses en boite avec un inconnu surtout qu’elle est supposé être marie (dit-il
avec un air de dégout)
Moi : (perdant patience) KYLIAN je ne te permets
pas de me parler comme ça encore moins de me traiter de pute……
Lui : oui, pute ! Je n’ai pas besoin de ta
permission pour le faire. Je me demande si mon défunt frère et ta famille
savent qu’elle genre de femme tu es, une femme qui s’habille avec légèreté en
laissant tous les parties de son corps a la vue de qui veut……….
SLAP
Avant qu’il
ne finisse sa phrase, une belle gifle bien sonore a accueilli sa joue, non mais
il se prend pour qui a me traiter de pute ?
Moi : (haussant le ton) KYLIAN tu ne connais
absolument rien de ma vie et tu n’as aucun droit de me juger encore moins de me
traiter de pute juste parce que je dansais avec quelqu’un alors que toi-même tu
étais accompagné alors ne vient pas ici jouer au gars saint et ne parle pas de
choses que tu ne connais pas, IDIOT
J’ai
dit tout sans même souffler et à la fin de mon speech j’étais tellement essoufflé
et s’est à cette instant que je me rend compte que je viens de le gifler, je le
regarde et je vois que des veines se sont formé sur sa mâchoires et sur ces
tempes et il a le regard noir, je veux reculer quand soudain je me sent
projeter sur le mur d’à côté avec sa main sur mon cou avec une force pas
possible
Lui : (d’une voix dangereusement calme) ne
t’avise plus jamais, je dis bien jamais de mettre encore la main sur moi, es ce
que c’est claire ?
Je le
regarde et a cet instant il me fait très peur, je ne réponds pas et il resserre
sa prise et me redemande
Lui : es ce que c’est claire ?
Moi : (difficilement) o- oui
Il enlevé
sa main de mon coup mais au lieu de s’en allé il se colle encore plus à moi, je
lève la tête pour lui demander de se pousser pour que je puisse passer et sans
que je ne comprenne le comment du pourquoi, ces lèvres se posent sur les
miennes et contrairement à l’autre fois, je réponds instinctivement a son
baiser, s’en suit un ballet endiablé dicté par nos lèvres et j’adore ça, je
pourrais même vous dire que je suis en ce moment entrain de planer grâce à un
baiser à la fois doux et sauvage. Sans que je m’en rende compte, il me soulève
et instinctivement j’enserre sa taille de mes pieds et avant que je réalise ce
qui vas suivre nous sommes en train de monter les escaliers toujours en
s’embrassant et direction sa chambre. C’est la première fois que j’y entre et
je n’ai même pas le temps d’apprécier la décoration de qu’il me jette sur le
lit, je me recule, je le vois qui hésite un peu mais il finit par enlever son
polo ; es ce que je vous ai déjà dit que ce gars a un corps de ouf ? Tant
pis mais je me répète, son corps est juste parfait, le genre de gars avec un
corps taillé dans du marbre quoi !, je baisse les yeux sur son pantalon et
façon je vois la bosse devant je me demande a quoi peut ressembler le produit
en lui-même.
Il vient
me trouver sur le lit, se couche sur moi continue son exploration sur mes lèvres,
il libère enfin mes lèvres et va mordiller le lobe de mon oreille, je gémis, il
introduit sa mangue dans mon oreille et je frissonne carrément, il continue
ainsi avec des bisous mouiller sur mon cou et il me dit
Lui : t’ai encore trop habillé (dit-il d’une
voix rauque)
Il
entreprend donc de me déshabillé et je me retrouve étendu sur le lit seulement vêtu
de mon soutien et d’un string rouge en dentelle, il me regarde avec une
certaine gourmandise dans le regard. Il me caresse et retire ce qui me reste
comme vêtement et les jettent au loin, se remet au-dessus de moi et prend l’un
de mes tétons dans sa bouche, je frémis. Il opère cette même opération sur mes
seins, les libèrent enfin de sa bouche qu’il remplace par sa main. Il
m’embrasse tout en descendant jusqu’à se retrouvé sur ma partie intime (Dieu
merci je m’étais épilé mercredi), il se positionne bien, écarte mes jambes et
passe son doigt au milieu de ma fente déjà toute mouillé et fait des mouvements
qui m’arrache des gémissements à chaque moment. Il introduit son doigt en moi,
je me cambre, il commence d’abord par des mouvements lent et accélère au fur et
à mesure que mes gémissements se font plus présent, il retire son doigt, plonge
son regard dans le mien et se lève du lit toujours avec nos regard accroché et
entreprend de retiré son pantalon, quand il est enfin nu, je détache mon regard
du sien pour aller plus bas et là je me retiens de crié, Eh Mama ! Dieu
lui a donné ça ! Je reporte mon attention sur lui et je le vois sourire,
il se baisse soulève son pantalon et y retires des préservatifs, déchire un et
le met. S’approche donc du lit et instinctivement je me couche tout en écartant
mes jambes et là il me dit
Lui : je ne suis pas trop fan du missionnaire
classique (dit-il la voix rauque)
A peine
il le dit qu’il soulève mes pieds et se positionne au milieu et sans que je m’y
attende me pénètre d’un coup sec ce qui m’arrache un cri chose normal parce que
ça vas faire près de 2 ans que je n’ai pas eu de rapport intimes
Lui : tes tellement serré et chaude
Il
s’arrache, repli mes pieds et commence ces vas et viens en moi, d’abord lent et
accélère au fur et à mesure, je gémis, crie, me tortille, appel tous mes ancêtres
tellement c’est bon. C’est coups de riens sont à la fois sec et vigoureux ce
qui m’oblige à me cambré d’avantage. Je me sens sur le point de basculer et lui
aussi puis que ces coups de reins deviennent de plus en plus accéléré et je décide
donc de contracter les parois de mon sexe ce qui le fait grogner. Je suis la première
à atteindre l’orgasme et s’en suit de son tour avec un long râlement de
satisfaction. Il s’effondre sur moi tout aussi essoufflé que moi, roule sur le côté
et retire son préservatif.
Ce fut
une partie de jambe en l’air des plus mémorables et avant que j’aie eu le temps
de pousser la réflexion trop avant, je me sens glisser tout doucement dans les
bras de Morphée……
Je
tiens vraiment à m’excuser pour cette longue attente, l’école à décider de me
bouffer sans me donner un moment de répit. Mais rassurer vous ça sera bientôt
fini et je pourrais si Dieu le veut être un peu plus présente. Merci à vous,
Bisousssss ……….