Chapitre 2
Ecrit par St Daniel
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*- les chroniques de St Daniel -*
Titre : * ALTER EGO.* (Réédition)
Auteur : *St Daniel*
*Episode 2*
Mes
parents sont absent, ma mère est juste au Ghana pour une affaire et elle
revient cette nuit. Mon père lui il est parti pour un temps, je pense.
La route avec Alice m’a paru très longue car
d’habitude moi-même je presse les pas afin de vite me débarrasser de ce satané
uniforme. Dès qu'on est rentré chez moi j’ai retiré sa main qui était la mienne
tout au long du chemin. Suis rentré dans la maison, elle m’a suivi. Au seuil de
la porte alors que j’allais entrer elle me saisit le bras et commence à me
dessiner des trucs bizarres dans la paume de la main. J’ai eu des sensations
baroque en moi, auquel je ne peux y riposté mais j’ai décampé comme un gamin.
Daniel :
Tu verras la cuisine au fond à ta droite.
Alice :
Euh… Ok !
Alors que j’échange d’habit je me demande ce
qu’elle désire à la fin, m’exciter et partir ? Je suis dans une culotte et
un débardeur. Le temps d’arranger mon uniforme, Alice est dans ma chambre et me
demande là où je disais que la cuisine se trouve. Dans mon esprit « Elle
doit connaître la route », vu que ce n’est pas sa première fois d’entrer
dans cette maison. Je me suis approché d’elle, ma paume de main sur ses joues, et
je l’embrasse. J’ai délesté mon corps afin qu’elle puisse me sentir, sentir mes
lèvres contre les sienne s’entremêlé. Puis je la mords les oreilles pour
qu’elle sente dans tout son être des papillons révoltés. Je m’exécute, et plus
je la sens très excitante. Elle frémit et je trouve le goût quand elle ferme
ses jambes au contact et émotions des caresses de mes petits doigts. Le désir
de continuer... J’ai cru avoir entendu mon ventre me crier alors je me suis
arrêté. Bien avant que je ne dise un mot, Alice s’est déjà débarrassée de sa
chemisette et s’est allongée sur le lit avec ce regard craquant. Avec cette
voix d’ange qu’elle a pour m’ordonner j’ai vite fait de la rejoindre.
Alice :
Faisons l’amour, on remplira le ventre après.
Daniel :
(Dans ma tête ça disait… Et bien comme elle veut, si elle se sent prête à
commencer alors finissons s’en).
Elle
commence à me donner des bises de partout sur le torse. Ensuite je me suis
débarrassé de mes linges. J’ai continué avec les caresses, je la mords ses
parties sensibles, je me suis occupé d’elle comme un serviteur au service de sa
reine. Puis j’ai commencé à la doigté. La sensation, sous les stimulations elle
me griffe le long du dos avec ses faux ongles. Elle s’accroche à moi, je la
pénètre encore plus à deux doigts. La caressé, la faire ce qu’elle aime, la
mordre ses parties et le manié ses seins, surtout le bout de ses mamelons, cela
m’allait bien jusqu’à ce qu’elle ne jouit sous ses effet. Là, elle s’est
allongée et m’a demandé de la baisé comme jamais mais moi je ne voulais pas
encore…
Alice : Ne me dis pas que tu es épuisé !
Daniel.
Daniel : Quoi ? Qui a dit ça ?
Alice : Pourquoi tu t’arrêtes alors ?
Daniel : Tu as joui une fois et tu veux que je te
baise déjà ? Attends tu n’es pas sérieux là. Qui va me satisfaire,
moi ?
Alice : Bah viens par ici, mais juste après tu me
déchires la chatte et tu t’assures que j’aille dans les axes.
Elle
a commencé par me faire truc de femme, jouer avec ma bite, j’avais eu si vite
l’adrénaline que je la prends par la taille et mets ma bite dans sa petite chatte
étroite et serrer. Le mal ressenti l’a fait crier mais le gout de ça l’a fait
pleurer de joie. Le plaisir est partagé. Je ne suis pas flash mais j’ai mes
hanches. Je veux savourer le tout, chaque partie de sa chatte, je veux y goûter
à m’abandonner en elle. Ses gémissement change son regard, donc je me retiens.
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Daniel : Tu as mal ? Pourquoi cette mine.
Alice : Imbécile ! Comme si ça t'intéresse.
Continue…
Qu’elle
ait mal ou peur, que sa chatte ou sa jambe se fend en deux, aucun de ces choses
ne m’intéressent. Le plaisir est dans ce que je fais. Je me relance super méga
à la déchiré la chatte. Voir sa chatte jaillir étant chaude quand
je vais retirer ma bite, s’était ce gout mon objectif. Elle s’est retrouvée
dans le ciel comme elle l’a demandé mais le rythme était audacieux. Quand Alice
eut assez de se fermer la gorge elle laisse ses gémissements se faire entendre
tout soulevant son corps du lit. Même avec ça je ne l’ai point lâché, le
plaisir est pour moi. J’en rêvais de ce moment il y a un temps déjà et jamais
je n’ai pensé que ça serait avec elle, Alice, et de cette manière. Je regarde
sa chatte m’asperger l’abdomen et la bite de sa semence si chaude quand elle me
crie une seconde fois qu’elle n’en peut plus avant de se lâcher sur le lit. Ma
tête a rougi de peur sur l’instant vu qu’elle avait les yeux fermé et à peine
je pouvais la sentir respirer. Je me suis vite retiré pour allumer le
ventilateur et crié son nom. J’ai cru qu’elle venait de faire une crise…
Alice : Y a quoi !? Tu vas me casser les
oreilles à la fin….
Daniel : Tu m’as fait peur, j’ai cru que tu t’es
évanoui.
Alice : Quoi ? Donc je ne peux pas me jouir
de ce moment ? Vient, je n’ai pas encore fini avec toi.
(Quand je vous disais qu’elle est en manque de sexe
vous croyez quoi ? Elle ne fait que penser à ça depuis le jour où je l’ai
pris sa fleur.)
Daniel : Tu es folle, tu sais ?
Alice : Dingue de ta bite tu veux dire... Vient
par ici on va essayer une autre position. Celui qui va me faire craquer et
t’épuiser.
Daniel : Quoi ? T’as eu sexe avec un expert
dans les jours loin de moi ou quoi ? D’où tu me sors ses trucs.
Alice : Ah ma carte mémoire ainsi que la clé USB sont
plein de truc pornographique hein… Je n’attendais que ce moment avec toi. Je
savais qu’il n’y a que toi qui pourrais me faire un bien fou. Mon Daniel et sa
bite.
Elle
est descendue, se poser d’une façon à bien me laisser pénétrer ça chatte en
entier et à fond. Ceci a encore durée un petit moment, de position en position.
Fatigué après avoir libéré ma semence au plus profond d'elle, je me lève pour
m’allonger sur le lit. Elle s’est levée et s’est couvert du drap…
Daniel :
Tu me fais quoi là ?
Alice :
Tu veux voir quoi ? Pervers. Je réserve mon corps à cet homme qui va m’épouse.
Donc pose tes yeux ailleurs.
Daniel :
Donc on fait le sexe et tu me recaches ton corps comme si on…
Alice :
Ce n’est pas tout le monde qui voit mon corps de rêve. Contente-toi de ce que
tu as. (Rire)
Daniel :
Ah ! T’as oublié que là où tu es il y a ma semence tout au fond de ta
chatte et il y a une course au trésor qui se déroule à l’instant si !
Alice :
Oh t’inquiète ! Je prends la pilule comme ça meme.
Daniel :
Quoi ? Tu as ce truc dans le sac ?
Alice :
Je l’ai toujours sur moi à chaque fois que je sais que je te verrai ! ça
te gène ?
Daniel :
Oh pourquoi ?
Alice :
T’as pas l’envie de faire de moi la mère de tes enfants ?
Daniel :
…
Alice :
Oublie ! J’ai rien dit !
Puis
elle m’a rejoint sur le lit, sa tête sur mon torse je la caresse les cheveux.
Alice a commencé à faire de petites blagues tout en jouant avec ma bite encore.
Elle me parlait des positions dégueulasse et me disait qu’elle aimerait bien se
faire baiser dans la salle de cours, dans un jardin et à la plage. Elle disait
que de truc fou quand le sommeil nous a tous deux emporté. A mon réveille, je
sursaute car il est tard et ma mère sera bientôt là. Je propose à Alice de
prendre une douche et qu’en ce temps je ferai vite pour finir et la ramener
chez elle. Ce qu’elle refuse et on arrange la maison à deux. Après elle a exigé
à ce qu’on prenne la douche ensemble. Dans la douche j’avais ce nuage produit
par le savon au visage quand j’ai remarqué qu’on me prenait la bite et qu’une
main me caresse la poitrine, j’ai vite essuyé mon visage.
Daniel :
Alice !?
Alice :
Regarde comme il est bien avec ses mousses. Et il est dure aussi…
Daniel :
Tu veux faire quoi là ?
Alice :
Et si on faisait un peu de folie ?
Daniel :
Ici ?
Alice :
Oui ! Y a un souci ? Les blancs le fond non ? Ça fait quoi de
baisé sous la douche ? Avoir le savon sur sa peau, l’eau qui coule, ta
bite dans ma chatte aura quel gout ?
Daniel :
Toi tu es vraiment folle.
Elle
doit avoir passé une vacance ennuyeuse, me dis-je. Je suis partant pour une
partie de folie mais ma mère doit être en route. Donc j’ai vite fait de sortir
de là et m'habiller avant qu’elle ne sorte. Alice au corps d’ange, un corps que
je ne peux résister, même si mes raisons dépassent mes ressenti, je suis sûr
que ma bite me trahira.
Après
qu’elle s’est habillée on est sorti et je l’ai trouvé taxi-moto. Ensuite, au
lieu de rentrer directement à la maison, je rends visite à Fabrice.
Daniel : Toc ! Toc ! Bonsoir maman.
Maman : Ah c’est toi ? Bonsoir !
Comment tu vas ? Fabrice doit être dans sa chambre.
Daniel : Ok maman… Waouh quel composé stylé !!!
Tu vas où habillé comme ça ?
Fabrice : Chez François, on sort avec les filles
(et oui François est notre ami, une meute de trois garçon et trois belle femme)
Daniel : Ah bon ? Et vous m’avez mis à
l’écart !? Vous êtes mauvais dès.
Fabrice : Tu n’es pas venu à l’école ce soir. Et
à propos tu étais où même ?
Daniel : Euh… Je… J’étais à la maison.
Fabrice : Avec Alice certainement. Puisqu’elle
aussi était absente ce soir. Dis moi au moins que tu as déchiré sa chatte,
qu’elle aura du mal marcher, comme ça je n’aurais pas de remords à me faire.
Daniel : Toi on dirait que tu me surveilles hein.
Mais dis moi pourquoi du remord ? Elle a pris moto pour rentrer.
Fabrice : Moi ? Te surveillé ? Tu
parles comme si je n’ai pas de meuf ou je n’ai rien à faire ? C’est Nadège qui
vous a vu partir main dans la main.
Daniel : Quoi ? Ne blague pas avec certaines
choses, Frérot.
Fabrice : J’ai la tête d’un blagueur ?
Daniel : Oh mon Dieu, putain qu’ai-je fait
encore ?
A
voir la tete de Fabrice qui ne blague pas toute ma pensé est bouleversé. Sur ce
je n’avais qu’idée de rentré chez moi.
Dès
que je suis arrivé je croise ma mère au salon…
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Mère : Daniel où tu étais ? Tu n’es pas
censé être là quand je serai de retour ?
Daniel : Bonsoir maman ! Euh j’étais avec
Fabrice. On parlait d'un exercice.
Mère : Tu as quoi ? Pourquoi tu as cette
mine ?
Daniel : Rien maman ! Juste que j’ai
sommeil, je me sens fatigué d’un coup.
Mère : D’accord ! Monte te reposer. Si tu
veux manger je t’ai laissé un sachet sur la table à maman.
Dans
ma chambre, je me suis allongé à la tête au pied de mon lit, la tête descendu
vers le sol et le corps sur le lit, mais le regard au ciel. Je n’arrive pas à
conclure, le sommeil même m’a fuit, mon centre nerveux est plein de mille mots,
les idées s’accumulent mais ne sont pas convainquant. Finalement j’appelle
Fabrice pour savoir où ils sont, dans quelle boite de nuit ils se trouvent. Si
je ne peux trouver ni solution ni sommeil pourquoi m'empêcher de me
distraire ? Ils sont à Korofuna (une boîte de nuit), ce n’est pas très
loin de chez Rose donc je l’appelle pour qu'elle vienne me tenir compagnie. On
se retrouve juste à l’entrée de la boîte. Dès que François nous aperçoit il
nous fait signe et Rose et moi nous l’avions rattrapé.
Au
cours de la soirée je n’ai fait que prendre de l’alcool, je ne disais rien à
personne. Certes mes copines je ne les considère pas mais avec Nadège c’est
différent, je n’ai jamais eu la relation que j’ai avec elle avec une autre. Et
ce que je pense d’elle je ne l’ai pensé d’aucune femme.
Cela
vient de faire deux mois que je n’ai fait que me contenter d’entendre de loin
la voix de Nadège, même pendant les fêtes de fin d’année où on s’est tous
rassemblé chez François je n’ai pas pu l’adresser la parole, même pas un salue.
Elle se mettait tout le temps loin de moi, et chaque fois que j’essaie un truc
son regard me flash façon déception. Les temps les plus dures c’est de devoir
se priver d'échanger avec celle à qui on tient par notre faute. J’ai le sourire
aux lèvres, la joie qui m’anime, mais dans mon corps c’est la tristesse et mes
lèvres sont si sec qu’ils ne peuvent donner une sourire angélique.
Rose : On peut discuter ? (dit Rose)
Daniel : Bien sûr ! Tu as un souci ? Je
t’écoute.
Rose : Oui, je ne sais pas comment te dire ça
mais essaie de me comprendre… s’il te plait !
Daniel : Humm… Tu me… Dis-moi ce qu’il y a.
Rose : Ça fait un temps qu'il ne sort plus, il ne
rigole plus, il n’est plus en joie, je me demande ce qui est arrivé à cet homme
qui ne cesse de nous faire rire, qui nous rassure tout le temps et nous fait
vivre le présent. Cet homme au sourire de Duchenne.
Daniel : Rien ne lui est arrivé, juste que
l’époque tourne avec le vent.
Rose : Au point où le vivre n’a plus droit
d'exister ? Où est passé cet homme qui ne cesse de dire que l'amour des
parents est plus fort et confortable que tout autre ? Que ça confère une
joie, un plaisir de vivre, un bonheur, que rien ne peut détruire ?
Daniel : Tu sais ? La vie ne tient qu’à un
bout de file, il suffit d’une petite erreur pour que l’on s’aperçoive de ce
qu’est la réalité. Avec Nadège on a rompu…
Rose : AH Désolé ! Et Alice … Elle est passé
où ?
Daniel : J’ai coupé les ponts avec elle, elle a
donc refait sa vie.
Rose : Tu sais ? Chaque cœur à sa raison. Si
Dieu nous pardonne malgré nos multiples erreurs et qu’importe leurs gravité je
suppose qu’il écoute nos cœurs. Ça serait mieux si tu laissais ton cœur parlé,
et non tes raisons et culpabilité qui te rongent.
Daniel : Elle n’a pas envie d’entendre ma voix,
et puis je ne l’ai pas ce courage.
Rose : Pensez à tout ce que vous avez vécu
ensemble, vos sorties inoubliables, ces danses au cours des soirées, combien de
fois vous avez rendu jaloux des foyers ? Penses à ton histoire, Daniel
soit véridique avec toi-même et avec Nadège.
Daniel : Je ne sais pas si Dieu existe. Et même
s’il existe je ne te promets rien.
Dans
un esprit calme je m’exprime puis baisse la tête pour admirer le sol solide
quand mon téléphone portable sonne dans ma poche.
Daniel : Wep Aloh !? Maman…
Maman : Viens à l’hôpital tout de suite, ton père
a fait une crise au boulot.
Daniel : Maman ? C’est quoi papa a fait une
crise ?
Ma
mère a éteint l’appel avant même que je ne termine ma phrase. Du coup je ne
comprends rien mais je sais que je dois me rendre à l’hôpital pour voir mon
père, ce que je fais sans tarder.
Rose : Qu’est-ce qu’il y a ? Ta mère
t’a dit quoi ?
Daniel : Je ne sais pas trop. D’après ma mère,
mon père vient de faire une crise au boulot et elle doit être à l’hôpital ou
soit en route.
Rose
a à me dire, je sais, je l’ai senti au bout de ses lèvres. J’ai vu ses lèvres
remuer mais j’ai le visage de mon père qui m’obsède.
Cela
fait trois mois et quelques jours que mon père est hospitalisé. On n’est après
pâque, c’est-à-dire qu’on n’est qu’à quelque pas de l’examen. Rose a commencé à
persister sur le fait que je dois appeler Nadège dès qu’elle a appris que mon
père va beaucoup mieux, elle s’est même chargé de tout pour que rien n'interrompt
notre rencontre. Ce jour à la fin des cours je suis avec François attendant
Nadège quand soudain je suis appelé par le directeur.
Daniel : Oui Monsieur !?
Directeur : Daniel ta mère est souffrante, elle a
vraiment besoin de toi ! Va à la maison sur le champ, s’il te plait !
(m’a-t-il dit)
Je
me suis tourné voir François quand mes yeux croisent ceux de Nadège qui se
tient à côté de François. Que faire ? Me rendre à la maison ou rester dire
ce que je ressens à Nadège ? Panique totale.
À suivre..._
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*Épisode 3*
*_On n'échappe pas à sa nature. On contredit et on adopte un mode de vie. _*
* ALTER EGO *
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