Chapitre 2

Ecrit par Ladiva225

- Maman, maman vient avec moi je t'en prie ne me laisse pas toute seule. Dis-je en larme.

- non...non ma puce je ne peux pas, va avec Thomas il saura te protéger.

L'idée d'abandonner ma mère me brisait le coeur et pourtant la fumée s'emparait peu à peu de la pièce. Et ma mère toussait à tout bout de champ, elle saignait même du nez. Mon père ? Il était étendu la inerte , après la balle qui lui avait perforé la tête il y avait peu de chance qu'il s'en sorte. Thomas le majordome me souleva de terre.

- NONNNNNN, JE VEUX RESTER AVEC MA MAMAN, MAMAN DIS LUI D'ARRÊTER JE VEUX RESTER AVEC TOI JE T'EN PRIE.

- je t'aime mon bébé. Dit-elle avant de elle aussi sombrer dans un sommeil.

Je criais , pleurais alors que le feu engloutissait ma maison, ma petite maison que j'aimais tant avec mes parents à l'intérieur.

Je me lève en sursaut, je respire difficilement de l'eau, j'ai besoin d'eau. Je cours rapidement en chercher sur la table qui était dans le coin de la pièce. Je me servis rapidement avant de porter le verre d'eau à mes lèvres.

Peu à peu je retrouve ma tranquillité. Mes larmes ruisselaient telle une pluie, du revers de la main je les essuiyais.
Il faut que je fasse quelque chose pour me changer les idées.

Je descends dans mon salon où, je m'assois confortablement dans un fauteuil, j'avais le document que m'avait remit Bill à propos de son frère, je vais l'étudier et mettre un plan en place .

Jared Hermsworth, 32 ans PDG de HERMSWORTH WORLD. Il est écrit que c'était un homme assez influent et connu dans le monde de l'informatique, grâce à son immense talent il avait su marquer son territoire à à peine 22ans. Juste à la page suivante, il y'avait l'une de ces photos fièrement assis dans un bureau, élégamment vêtit d'une veste bleu foncé. Tout comme Bill il était blond, et possédait de magnifique yeux bleus et verts à la fois, alors la beauté ils la tenaient de leur famille....mais peu importe l'important était la préparation de mon future plan.

Je lu plusieurs pages, et chaque fois l'on ne fesait que parlé de sa qualification, dans le monde du travail, je suis consciente que toutes ces informations vont m'aider mais à chaque fois j'avais l'impression que quelque chose manquait.

Bingo !

Mais bien sûr des informations sur sa vie privée, ou avais-je donc la tête ? Je prends rapidement mon mac, et je tape son nom sur Google, et les informations que j'avais reçu grâce au dossier, sortit à nouveau, j'avance et je clique sur sa biographie, si je dois passer à l'attaque eh bien il faut que je sois au courant de tout, absolument tout.

Et la je découvre qu'il est père d'un garçon de 4ans, qui est né d'une union il y'a quelques années de cela avec un mannequin anglais, qui est morte il y'a de cela trois années ( les raisons de sa mort ? non spécifié ). Et depuis il ne s'est plus jamais montré en public avec qui que se soit. J'en déduis qu'il est célibataire donc. On le qualifie d'un papa poule car il est toujours, aux petits soins de son gamin une rumeur raconte même qu'il ne veut pas de nounou pour le petit Connor. Juste après il y avait des photos de lui et de son fils dans plusieurs parcs, même dans les rues de N.Y. en marchant.

Poussé par la curiosité je tape aussi, Linda Banks Hermsworth. J'ouvris grandement la bouche en regardant ces photos....mais cette femme était carrément mon portrait craché, elle me ressemblait comme deux gouttes d'eau c'est pas croyable. J'étais encore sous le choc, Lorsque mon téléphone crepipta il était à peine 5h du mat et déjà on se décide à me déranger...à coup sur c'était Antonio. Euh non un numéro inconnu, je décroche sur le champ.

- bonjour beauté, je veux juste te passer une information capitale.

C'était bien évidemment ce Bill, qui se croyait tout permis juste parce j'ai couché avec lui tsss.

- alors eclaire moi Mr Hermsworth. Fis-je sarcastiquement.

- mon frère....

- attend la ligne est elle sécurisé ? parce que si c'est pas le cas contraire, n'ouvre pas ta bouche. Dis-je sérieusement avec un ton , qui se le voulait.

- je ne suis pas aussi stupide .

- merci de l'info, maintenant balance moi tout et j'espère pour toi que tu n'as rien omis.

- eh bien je sais que le rencontrer, ne va pas être chose facile alors voilà :
Demain à 21h pile se tiendra un dîner gala au palace Hamilton non loin du ****auquel Jared est convié. Alors débrouille toi pour t'y infiltré ma belle.

- ouais c'est ça bye. Dis-je avant de raccrocher.

Ce qu'il m'énerve !

***

20h 30.....

j'étais au lieu indiqué, vêtu d'une combinaison de plombiers. J'eu du mal à garer ma bagnole vu qu'il y avait une montagne de voitures, et non loin plusieurs caméras braqués sur moi, heureusement que j'avais une casquette qui me cachait suffisamment le visage, de toute façon je ne suis pas suspecte, j'ai juste l'air d'un plombier à qui on a fait appel. Grâce à Antonio mon frère , qui bosse dans la mafia j'ai réussi à trouver une bonne tenue, avec un faux nom qui figure dessus. Je me dirige à l'entrée réserver aux domestiques, afin de pas gêné les invités. Plus que quelques minutes et la soirée allait commencer,faut que je me grouille. Merde ! Plusieurs gardes étaient plantés devant cette F*chu entré, mais bien sûr fallait y penser Helena.

1,2,3.....ok je me lance.

- bonsoir en quoi est-ce que nous pouvons vous aider ? Demande un premier garde qui s'était entre temps approcher. Je lui souris bêtement, même si je sais qu'il ne peut voir ma face plus que la casquette couvrait tout.

- mon agence a reçu un appel de l'hôtel, m'indiquant qu'il y avait une fuite alors je suis venu pour m'occuper de ce problème.

- alors pourquoi passer par cette porte ? S'immisce le second.

Mais quel idiot !

- sans doute parce que de l'autre côté, il y'a une montagne de journalistes qui sont en train, de photographier des personnalités assez importante sur un tapis rouge alors cela me semble impossible.

- ok, retirez vous votre casquette et donnez nous votre carte d'identité question de sécurité. Continua t-il.

- très bien. Acquisce-je en m'exécutant . J'étais largement préparée concernant ma face, j'avais mis une perruque blonde, avec une frange, et j'avais mis des lentilles de contact vertes.

- Irina Banks. Il venait de lire mon nom...enfin celui que j'ai usurpé.

- très bien alors, je vais à présent contacter le patron de l'hôtel pour encore une question de sécurité et vous pourrez passer.

Mince ! J'avais pourtant pas prévu cela, il ne manquait qu'à passer à l'action je n'avais pas le choix.

Profitant du fait qu'il étaient près de moi, et surtout celui qui tentait maintenant d'appeler. Je sortis discrètement ma petite seringue qui contenait une sorte de somnifère mais au moment de la lui implanter dans le cou du garde qui lança l'appel, l'autre fit un pas en avant.

- eh toi qu'est-ce que tu tiens dans la main ?

Celui qui tenait le telephone se retourna dans ma direction et paf, il la reçu en pleine poitrine, il s'écroula sur le champ parce la dose était forte. L'autre tenta de me sauter dessus, un bon coup entre ses bijoux de familles et il se tordait déjà de douleurs par terre il voulut néanmoins informer les autres à l'aide de son portable mais je lui donne un coup de pied en plein visage , assez fort pour qu'il s'évanouisse aussi instantanément. Je n'étais cependant pas tiré d'affaire, puisque ces maudites caméras avaient sans doute capturé tout ce qui s'était passé. Je ne perds aucune secondes pour entrer à l'intérieur, mon sac à dos toujours en place. Je vis marqué toilette après deux minutes de marche, je décide d'y entrer, alors que plusieurs gardes se précipitaient dehors.

Je m'enferme dans une cabine, aussi rapidement que je le pus pour ne pas déranger la conversation de ces jeunes bourgeoise , leur conversation étant trop intense elles ne firent aucunement attention à moi .

Je troque rapidement ma combinaison, contre une longue robe rouge qui épouse parfaitement mes courbes donnant par l'occasion une vue sur mon dos, et possédant aussi une longue fente à l'avant. Je porte avec facilité des Louboutins noirs, je retire ma perruque. N'entendant plus aucune voix, je pointe mon nez dehors le coin était bel et bien vide alors je me maquillai, chose que je déteste normalement faire [...]

Cinq minutes plus tard me voilà dehors. D'une démarche de féline, je me dirrige vers cette masse humaine d'où la luxure de leurs vêtements renseignait sur leurs prix. Et comme je le désirais, toute l'attention était porté sur moi, plus celles des hommes bien sûr.... un serveur passe dans le coin, je m'empare d'un verre de champagne tout en balayant la salle du regard. Puis je porte ma coupe de champagne à mes lèvres, j'effleure son odeur qui m'indiqua sur le champ son nom. Plus j'avance et plus les regards sur ma personne s'accroit ils doivent tous se demander qui je suis .

Mais moi je suis à la recherche, d'une seule et unique personne l'homme que je dois bientôt assassiner et pourtant je ne le voyais nulle part Bill m'a t-il tendut un piège ????

....



LA TUEUSE À GAGE