Chapitre 2: Mon travail
Ecrit par Dalyanabil
Chapitre 2: Mon travail
« Messieurs c’est à prendre ou à laisse, nous avons pourtant êtes clair là dessus dés le départ. »
Je suis partagé entre l’exaspération et la frustration encore une partie adverse qui croit pourvoir changer les termes du contrat à la dernière minute en jouant la carte de l’ingénuité mais celle les gars c’est moi qui l’ai invente alors trouvez mieux et vite. Mon client acteur noir anglais m’as engagé pour négocié l’achat d’une usine de vêtement situé à Taiwan.
J’évite de soupire ouvertement quand j’entend le propriétaire de l’usine dans un mouvement d’humeur traiter celui qui négocie la vente d’incapable. Quand je me suis assise à cette table pour négocié cet achat je savais que ça allais être délicat non rectification pire que ça. Jefferson Andrews est surement la personne la plus mal avisé que j’ai rencontre jusque là car il a ignore la premiere réglé quand il s’agit de négocié un deal et ce peut importe lequel. Qui n’est non pas de maitrise son dossier, l’entreprise, la zone géographique où celle-ci est situé ou encore son patron mais d’en apprendre le plus possible sur la personne avec qui on vas négocié.
Quand on négocié un deal pour son client, on doit determine ce qu’il veut avec exactitude donc la premiere question que je pose toujours c’est: « qu’est que vous attendez vraiment de cette négociation? » Une fois que vous avez la réponse à cette question avant de commencé à étudier le dossier vous devez savoir qui seras votre interlocuteur, savoir ce qui le motive. Car le savoir vous permet de savoir comment vous y prendre pour obtenir de lui ce que vous voulez.
J’aurais pu à la disparition de mon mari arête tout simplement de travaillé ou du moins de faire ce travail là moi-même mais mon entreprise de gestion a été la seule chose qui m’as permise en dehors des jumeaux et de ma famille de ne pas complètement perdre pied et de gardé un certain équilibre.
Je les entends essaye de ne pas ce dispute sur la clause sociale que ce bon vieux Jeff voulait camoufler. J’ai une seule règle avant d’accepte une négociation concernant une vente ou un achat de ce genre. ça doit être du ‘’win win’’ surtout pour les employers. C’est pourquoi j’inclue toujours une clause sociale mais comme je m’y attendais d’après les informations collectés sur lui par mon enquêteur, Jefferson Andrews à l’habitude des négociations farineuse où sa rémunération depend toujours du montant de la vente. Alors qu’il essaye de minimise les modifications qu’il a apporté au contrat, une à laquelle je m’y attendais d’ailleurs car cette clause sociale pourrait paraitre énorme financièrement et pour le vendeur et pour l’acheteur mais elle se justifie parfaitement. On parle ici des personnes qui n’ont jamais connu que cette usine, des personnes qui y ont travaillé toute leur vie des personnes qui pendant les périodes de crise ont dû sacrifiés leurs salaires tout en travaillant plus pour maintenir l’usine et qui parce qu’elle change de propriétaire vont se retrouve à la rue car trop vieux d’autres pourront être purement et simplement licencié sans cette clause.
Et quiconque ayant déjà travaillé avec moi que ça soit en étant assis en face de moi ou à coté sait que je ne négocié pas de contrat dans lequel l’une des parties va se retrouvé lésée. Après avoir lu le dossier de Jeff je savais que c’est quelque chose qu’il pourrait essayer de faire vu que sa seule motivation est l’argent.
Je toussote pour attirer l’attention de ses messieurs sur nous et surtout que Fadia mon assistante vient d’attirer mon attention sur le stress croissant de mon client avec un signe imperceptible de la tête. « Mettez vous d’accord messieurs car l’horloge tourne. » Jeff jette un coup d’oeil rassurant à Yashiro Mono le propriétaire de l’usine.
C’est un vieil homme de 80 ans qui à travailler toute sa vie et qui aujourd’hui voudrait profité un peu de la vie avec sa femme il n’a jamais eu d’enfants et d’après son dossier ses neveux et nieces ne veulent pas de l’entreprise.
Quand j’ai lu le dossier de cet entreprise j’ai été impressionné par la capacité de gestion de ce Mr, malgré une crise économique severe, il a réussi à ne pas réduire son personnel, à être innovant et productif en même temps donc je sais avec certitude que JAMAIS il n’aurais été d’accord avec les modifications apporte à cette clause sociale. Et sa violente conversation avec Andrews ne fait que confirmé mes constatations, il a cru pourvoir passe la clause modifiée sous cape en se disant que son client n’y verrait pas d’inconvénient si au passage il gagnait plus d’argent. Jefferson Andrews est doué mais quelque part en route il s’est perdu, je dis ça parce que pour lui ce qui est devenu primordial c’est le montant de ses cachet et surement face à quelqu’un d’autre ça aurait marché, ça n’aurait pas été si important que ça mais pas pour moi.
Quand un client me confie la vente, le rachat, l’implantation d’une entreprise et qu’on se met d’accord sur le fait que je lui obtiendrais bien ce qu’il veut je lui fait comprendre que ça devra allez de paire avec ce que j’appelle ‘’une clause sociale’’ au benefice des employers et/ou de la population cela en fonction du secteur d’activité et de la situation géographique de société.
« Mme Hassan, la modification de la clause sociale ne change rien pour votre client je dirais au contraire que ça lui apporte un certain avantage. »
Je crois qu’il est temps de donner une petite leçon à Mr Andrews.
« Savez pourquoi mes clients font appel à moi? »
« Non »
« Parce je m’arrange toujours pour qu’ils aient ce qu’ils veulent. »
« Savez-vous pourquoi Mr Williams a fait appel à moi? »
« Non. »
« Pour votre client. »
Je m’arête de parlé, lui donner quelque secondes pour qu’il comprenne mais rien alors je reprend.
« Parce que contrairement à vous il a compris ce qui était réellement important pour votre client » je marque une pause avant de continué « ses employés. »
Je le vois perdre contenance et avec ça son assurance et son sourire, je me tourne alors vers Mr Mono.
« Mr la clause sociale modifié par votre négociateur est la raison même pour laquelle je suis assise à cette table avec vous, c’est une clause que vous avez vous-même rédige et que je n’ai fait qu’adaptée en fonction des besoins de mon client sans lui enlève ni sa valeur éthique, ni sa valeur monétaire hors avec les modifications apporté par Mr Andrews votre compte en banque comme le sien va peut-être augmenté de 10% mais ça sera au détriment de vos employés. »
Je marque encore une pause pour lui laissé le temps d’assimilé les informations que je viens de lui donné.
« Et d’après ce que je sais sur vous Mr Mono, vous êtes l’homme qui avec la crise à préférer diminué son propre salaire, pioché dans ses reserves et ses benefices pour garder tout son personnel hors cette clause Mr n’honore ni votre sacrifice ni votre travail et encore moins qui vous êtes en tant que personne. Quand Mr Willans a fait appel à moi c’était parce qu’il savait lui comme tout ceux avec qui j’ai déjà travaillé que jamais je ne négocierais un contrat qui ne soit pas du ‘’win win’’ pour toutes les parties surtout celles qui sont souvent le moins représente lors de ce genre de négociations et que c’est quelque chose qui vous tiens particulièrement à coeur. »
A partir de là, Mr Muno a viré son négociateurs principal qui est parti en claquant la porte et est reste avec son comptable pour finir les négociations. Après deux heures durant lesquels nous avons repassé en revue tout le contrat, je l’ai fait réimprimé par Fadia et la signature à pu enfin avoir lieu.