Chapitre 20

Ecrit par La Vie d'Ielle

Chapitre 20





>>>  Kimberley




Dehan : Je sais que tu as peur mais crois moi, je ne vais pas te faire de mal. Je suis juste un homme qui a envie de sa femme. Écoute, je vais te répéter ça autant que je le pourrais, je ne vais plus jamais lever la main sur toi. J'ai trop fait d'erreurs et je veux juste réparée tout ça, c'est pour cela qu'on va quitter la ville. Reprendre à zéro, continuer notre commerce et vivre en famille. On aura des enfants si tu veux, on ira retirer ce stérilet sur place et tu auras cette famille que tu as toujours voulu. Je te promets mais pour l'instant ( déboutonnant la robe ) , laisse moi profiter de ma femme. Je veux juste te faire l'amour, comme à nos débuts… Tu te souviens ? Comment c'était la première fois qu'on a franchi le pas, je veux juste te faire ressentir à nouveau cette sensation.


Il fait descendre les manches de ma robe sans que je ne bouge d'un doigt. 

Ce que je ressens actuellement je ne saurais décrire, j'ai envie de ramasser quelque chose et de lui donner un coup de dire qu'il ne pose pas ses mains sur moi.

Je tremble, j'ai peur, je ne veux pas qu'il me touche et surtout pas qu'il me fasse l'amour.

Je n'ai pas de soutien du coup, il est là à me dévorer du regard tandis que je réfléchis à quoi faire pour ne pas qu'il me touche.


Moi : Dehan…


Dehan ( posant son doigt sur ma bouche ) : Shuuut !! Kim je sais que ce que tu veux depuis longtemps c'est qu'on se retrouve, qu'on soit comme au début. Je n'avais pas compris ça mais maintenant si et je vais faire ce qu'il faut pour cela.


Je jure, cet homme est malade et doit sérieusement consulter pour se soigner.


Dehan : Tu ne me crois peut-être pas, c'est normal  mais…


[ Toc toc ] 


Dehan : Que veux-tu Kafu ?


Kafu : Monsieur, Kanan vient de vous laisser un message par rapport à ce que vous savez. 


Dehan : Remets ta robe ( ce que je fais )… Entre Kafu ( se levant ).


Moi : Je vous laisse.


Dehan : Non, qu'est-ce tu ne connais pas de moi ? Tu es ma femme. Qu'a-t-il dit ?


Kafu : …


Dehan : Je t'écoute Kafu.


Kafu : Il est à Durban et souhaite vous voir car il n'est pas venu pour mettre du temps, il s'en va demain.


Dehan : Il est à Durban ?


Kafu : Oui. Je ne sais pas comment on va s'arranger mais vous devez impérativement le voir, vous le savez.


Dehan : Je sais oui mais il tombe trop mal.


Il tourne en rond dans la chambre avant de se décider à parler.


Dehan : Tu vas rester avec elle, je vais y aller.


Kafu : Monsieur vous ne pouvez pas y aller seul ? 


Dehan : Tu reste ici, je vais y aller parce que je ne peux pas  rater ce rendez-vous. Appelle un des gars, qu'il vienne me chercher et j'irai avec lui. Rappelle Kanan et donne lui rendez-vous dans un endroit à l'abri des regards, je vais m'apprêter.


Kafu : D'accord monsieur.


Kafu sort de la chambre et Dehan va dans la salle de bain en me demandant de lui sortir une tenue pour son rendez-vous.


Il sort de la salle de bain, s'habille puis m'embrasse.


Dehan : Tu vas rester sage n'est-ce pas ? Je ne veux pas avoir à  te faire du mal à nouveau, s'il te plaît ne m'y oblige surtout pas. Tu resteras dans cette chambre, sans faire de bruit, sans provoquer Kafu, tu resteras telle une femme qui attend le retour de son mari. D'accord ? 


Moi ( hochant la tête ) : …


Dehan : Reste sage et à mon retour tu pourras parler à tes sœurs. 


Moi : D'accord.


Dehan : A tout l'heure.


Il s'en va en fermant la porte de la chambre à clé. 

C'est comme ça depuis que je suis là, je n'ai mis les pieds au salon que le jour où je suis arrivée et depuis plus rien.

Une semaine déjà et je suis toujours enfermée dans cette maison et voici que demain je vais prendre l'avion pour un pays que je ne connais pas. Si jamais  je prends cet avion demain, tout sera fini pour moi parce que ce sera me laisser à lui une nouvelle foi sans porte de secours. Ici au moins je garde espoir que l'inspecteur me retrouve mais là-bas, qui va m'aider ? 

Si seulement j'avais la possibilité de prendre un téléphone et d'appeler Daphné…

Il faut que je réfléchisse à quelque chose, je ne peux pas le laisser m'emmener et surtout ne pas savoir où sont mes soeurs.

Qu'est-ce que je bien faire ? 

Qu'est-ce que… 


Je viens de penser à quelque chose. 

Je me lève et vais frapper à la porte. 


Moi : Kafu ? Kafu s'il  te plaît ?


Kafu : Oui ?


Moi : J'ai un service à te demander.


Kafu : Madame ne me demandez pas de vous aider à sortir de cette maison s'il vous plaît.


Moi : Non, je ne le ferai pas. J'ai besoin d'autre chose.


Kafu : Je vous écoute.


Moi : Je ne peux pas t'en parler comme ça, ouvre la porte s'il te plaît.


Kafu : Je ne peux pas faire ça.


Moi : Je ne vais rien tenter, je te jure. J'ai juste besoin de ton aide.


Kafu : …


Moi : Kafu ?


Il ouvre la porte finalement après quelques petites minutes.


Kafu : Qu'y a-t-il ?


Moi : J'ai besoin de ton aide pour faire une surprise à Dehan. C'est bizarre je sais mais… Kafu tu as tout vu , tu sais tout ce que j'ai subis et tu sais à quel point j'ai toujours voulu qu'il change, à quel point j'ai toujours voulu retrouver que j'ai aimé. J'ai l'impression que c'est ce qui se passe actuellement, qu'il a changé et j'ai juste envie d'en profiter et éviter que ça ne change encore. Ce que je voulais est en train de se passer. J'ai juste besoin de ton aide pour aujourd'hui et je ne t'en demanderai pas plus.


Kafu : Que voulez-vous que je fasse ?


Moi : Que tu me laisse accéder à la cuisine… Je veux faire à manger pour lui, c'est juste une soirée pour lui et moi que je veux faire... Tu pourras rester à côté de moi pour te rassurer que je ne fais rien qui ne lui plaira et si tu n'as pas confiance,  tu peux commander à manger alors et qu'on livre. Peu m'importe, je veux juste apprêter quelque chose avant qu'il ne rentre



Je le regarde qui réfléchit.

Il ne peut prendre le risque de commander à manger c'est pour cela que j'évoque ce sujet.

Est-ce que je veux réellement lui faire une surprise ? Non, je cherche juste le moyen de prévenir la police de l'endroit où on se trouve. S'il faille que j'y passe Aÿ nouveau pour espérer que Dehan




>>> Julie




Moi : Dimitri tu me passe mon téléphone s'il te plaît ?


Dimitri : Tu vas l'appeler ?


Moi : Bien sûr que je vais l'appeler, trop de silence.


Dimitri : Elle a dit que c'est elle qui doit appeler non ?


Moi : Oui mais ça me tue aussi de ne pas avoir de nouvelles ( lançant l'appel ).… Ça sonne ( le regardant ).


… : Allô ?


C'est un homme qui répond.


Moi : Euh… Bonjour, je pourrai parler à Kimberley ?


… : Vous êtes ? 


Moi : Julie, sa sœur. Je pourrai lui parler ? 


… : Julie ? Vous dites être sa sœur ? 


Moi : Je le suis, pourquoi ?


… : Celle avec qui sont les filles ?


Moi : A qui ai-je l'honneur s'il vous plaît ? 


… : Excusez moi, je suis Léo… l'inspecteur en charge de l'affaire de son mari. C'est avec vous qu'elle parlait  souvent n'est-ce pas ?


Moi : Oui.


Inspecteur Léo : Enfin quelqu'un à qui m'adresser


Moi :  Qu'est-ce qui se passe ?


Inspecteur Léo :  Vous êtes avec les filles ? 


Moi : Oui.


Inspecteur Léo : Elles vont bien ?


Moi : Oui.


Inspecteur Léo : Sûre ? 


Moi : Oui ! Que se passe-t-il ? 


Inspecteur Léo ( soupirant ) : …


Moi : Dites moi ce qui se passe, pourquoi insister sur les filles et …


Dimitri me tendait sa main pour que je lui remette le téléphone, ce que j'ai fait.

Il met le haut parleur avant d'engager la conversation.


Dimitri : Allô ? 


Inspecteur Léo : Allô.


Dimitri : Je suis fiancé de Julie , Dimitri. J'ai cru entendre que vous demandiez après les filles avec instance, que se passe - t - il ?


Inspecteur Léo : J'ai longtemps cherché à avoir quelqu'un proche d'elles pour me rassurer qu'elles allaient bien.


Dimitri : Elles vont bien, ce serait possible de parler avec Kimberley ? 


Inspecteur Léo : Écoutez… Kimberley est euh… On ne sait pas où elle se trouve.


Moi : Comment ça vous ne savez pas où…


Dimitri : Julie, s'il te plaît… Comment ça vous ne savez pas où elle est ?


Inspecteur Léo : Son mari a, je ne sais comment, su où elle était et l'a menacé de faire du mal aux filles si elle n'allait pas avec lui. A l'heure d'aujourd'hui, je fais ce que je peux mais je n'ai jusque là aucune piste qui pourrai me dire où elle se trouve et je suis tout autant surpris de savoir que les filles sont avec vous mais qu'il a dit qu'il sait où elles sont. 


J'ai simplement pensé à une personne, sa mère.

Il n'y a qu'elle qui aurait pu lui dire où sont les filles.

Dimitri et moi on se regarde sans rien dire.


Inspecteur Léo : Allô ?


Moi : Allô… oui…


Inspecteur : Vous avez une idée de comment il aurait su où elles se trouvent ?


Je me mets à tout lui expliquer et lui aussi fait de même et finit par me demander de bien m'assurer que les filles ne sortent pas ou ne soient pas sans surveillance.

Dès qu'il a raccroché j'ai directement demandé à voir Reine.


Reine : Tu m'as appelé ? 


Moi : J'ai à te parler, assieds toi. Dim tu peux aller rester avec Léa s'il te plaît ?


Dimitri : Bien sûr.


Il se lève et sort de la chambre.


Reine : Il se passe quelque chose ? 


Moi : Oui, il se passe quelque chose Reine.


Reine : Quoi donc ? C'est en rapport avec Kim ?


Moi : Reine est-ce que tu te souviens de ce que tu as fait dernièrement ? Cette fugue que tu as eu à faire e' emmenant l'enfant avec toi.


Reine : Julie je me suis déjà excusée pour ça.


Moi : Peut-être mais il se trouve qu'à cause de ça, à cause de ta bêtise Dehan a de nouveau de quoi faire chanter Kimberley. Tu sais quoi, il l'a menacé de le suivre sinon il vous ferait du mal et aujourd'hui même la police ne sait où elle se trouve.


Reine : QUOI !?


Moi : Tu as bien entendu Reine… Tu as bien entendu Reine… Tu as laissé cette femme appelé son fils pour lui dire que vous étiez avec elle et maintenant voici le résultat, tu es fière de toi ? 


Reine : Où est Kim ?


Moi : Ça, il faut demander à ton beau-frère ou sa mère parce que personne ne sait où elle est. Si tu étais restée ici cette femme n'aurait jamais appelé… Regarde ce que tu as causé maintenant parce que oui, c'est quand même de ta faute ça aussi.


Reine : Ne dis pas ça.


Moi : Il faut que je te le dise pour que tu saches où tes actes peuvent te mener.


Elle me regarde et je vois les larmes couler de ses yeux... Je ne peux m'empêcher avoir de la peine.

Je vais faire elle et la prend dans mes bras.


Reine : Je suis tellement désolée Julie, je ne voulais pas ça.


Moi : Je sais … je sais…


Reine : On va la retrouver n'est-ce pas ? Dis moi qu'on va la retrouver, s'il te plaît ( en larmes ).


Moi : Je te promets.


Je promets mais en réalité je suis juste en train d'espérer.




>>> Kimberley




Je n'ai pas tellement d'autre choix que de tenter ça et de toute façon, qu'est-ce que ça change ?

Qui ne tente rien n'a rien, dit-on.

Ce que je veux faire c'est juste le distraire et avoir la possibilité de prendre son téléphone et ça, s'il a tous ses moyens je ne pourrai pas.


J'ai cuisiné, j'ai tout mis dans la chambre.

Kafu a appelé Dehan pour demander l'heure à laquelle il tentera mais il ne lui a pas donné d'heure exacte donc à 20h je suis quand même allée prendre une douche puis je me suis mise dans le lit à attendre.

Ça fait deux heures que j'attends mais il n'est toujours pas rentré et la fatigue commence à me prendre.




>>> Dehan




Moi : Tout est bon maintenant, je pense que je vais y aller maintenant.


Kanan : Oh mais pas maintenant mon cher ami, il faut bien fêter ça. J'ai appelé des filles et elles nous attendent à l'hôtel, des filles comme tu aime. 


Moi : Oh non, ça va ( me levant ).


Kanan : Aller ! Ne sois pas timide, je sais ce qui te plait et je sais que ça va te plaire.


Moi : J'ai quelque chose à rattraper avec ma femme qui m'attend.


Kanan : Oh monsieur a décidé d'être fidèle ?


Moi ( souriant ) : Je vais y aller.


Kanan : Okay, bonne fin de soirée avec madame.


Je le remercie et me lève.

Je sors comme je suis entré sans que personne ne me reconnaisse.


Une fois à la maison, Kafu me dit qu'il passera la nuit dehors.


Moi : Pourquoi ? 


Kafu : Entrez vous verrez.


Moi : Que s'est-il passé ?  Qu'a-t-elle fait encore ? 


Kafu : Rien qui ne vous plairait pas.


Moi : C'est-à-dire ?


Kafu : Allez voir monsieur, passez une bonne nuit.


Il sort de la maison complètement après m'avoir la clé de la chambre.

Qu'a-t-elle fait encore ?


J'ouvre la porte déjà avec toute la colère mais une colère qui disparaît aussi vite que je la vois debout devant moi me tendant un verre... Toute une.


Moi : Qu'est-ce qu'on célèbre ?


Kimberley : Tu le prends ou pas ? 


Moi ( prenant ) : Qu'est-ce qui se passe ? J'ai raté quelque chose ?


Kimberley : Détends toi.


Elle me débarrasse de ma veste et me demande de m'asseoir, ce que je fais bien sûr. Elle s'asseoit juste à côté de moi.


Kimberley : Alors , avant que tu ne dises ou ne sous entende quoique ce soit j'aimerais que tu m'écoute. J'ai supplié Kafu de me laisser te faire à manger parce que je voulais qu'on passe une belle soirée, ce pourquoi je t'ai attendu et…


Moi : Pourquoi tu as fait ça ?


Kimberley : Tu l'as dit, ce que j'ai toujours voulu, ce pourquoi j'ai toujours prié malgré ton acharnement sur moi était que tu retrouve tes esprits et que je retrouve mon mari. Depuis que je suis ici et que je t'écoute j'ai l'impression que tu as changé ou du moins que tu change et en t'écoutant tout à l'heure je me suis dit que certainement son changement est vrai. J'ai peur  crois-moi, j'ai peur en pensant qu'en une seconde tu peux virer et me faire terriblement mal mais en même temps j'ai envie de croire en ce que tu dis espérant que tu sois sincère.


Moi : Eh, regarde moi ( ce qu'elle )… je ne vais rien te faire maintenant… Je te répète Kim que tu as fait cette chute j'ai eu le cœur qui a presque lâché, j'ai eu l'impression de te perdre en quelque sorte. J'ai mal exprimé mon amour mais je veux faire autrement Kim… 


Ses yeux se remplissent de larmes qu'elle essuie vite fait.

Je prends son verre et le mien que je pose au sol.

Franchement, je n'ai que faire de la nourriture qui est sur la table je vais manger autre chose avant ça.

Je la fais asseoir sur moi et l'embrasse fougueusement.


Moi : Tu tremble Kim.


Kimberley : Ça fait longtemps tu ne m'as pas touché.


Moi : Je vais y remédier maintenant ( pressant ses seins ).


Je me lève avec elle et la pose dans le lit.


Moi : Je reviens.


Je fouille dans la mallette que j'avais tout à l'heure et en sort l'échantillon que Kanan m'a remis.


Moi ( lui lançant ) : Essaie ca.


Elle l'ouvre le paquet et se met à aspirer, pendant ce temps je me déshabille en pensant à ce que je vais lui faire.


Tout nu,  je la retrouve dans le lit en me plaçant entre ses jambes.


Moi : Comment tu trouve ? 


Kimberley : C'est fort.


Moi : Oui ! Mélange de drogue naturelle et drogue de synthèse, c'est très… fort… tu l'as dit.  Ça se vendra très vite j'en suis sûre.


Kimberley : Pour la vente je sais que tu es doué donc forcément ça se vendra très vite monsieur JANSE. 


Je sniffe avant de lui répondre.


Moi : Ça fait toujours autant le même effet quand tu m'appelle ainsi. Tu sais quoi ( caressant son corps ) ?


Kimberley : Dis moi.


Je la regarde frémir au fur et à mesure que ma descende plus bas, encore plus bas. 

Mes doigts vont en excursion , elle perd ses moyens et ce n'est que le début.




>>> Kimberley




Il retire ses doigts, mets de la poudre dessus et se met à les renifler.


Dehan : Ça, c'est de la bonne.


Il se replace à ma hauteur, reprend ses mouvements avec ses doigts en me regardant droit dans les yeux.

Je ferme mes yeux, je me dis fais le vide Kimberley et pense à vos débuts au risque que je en craque en lui demandant de me lâcher.


Dehan : Bébé ouvre tes yeux s'il te plaît.


Je ne peux empêcher mes larmes de couler en les ouvrant, ce qui fait qu'il s'arrête immédiatement.


Dehan : Je t'ai fait mal ?


Moi : Non… non… 


Dehan : Qu'est-ce qu'il y'a ?


Moi : J'ai l'impression de retrouver mon mari et je ne peux m'empêcher de couler des larmes tellement c'est ce que je voulais depuis.


Dehan ( souriant ) : Rien que ça tu te perds dans tes émotions ? Apprête toi madame à te perdre dans un tourbillon de plaisir.


J'évite de le regarder dans les yeux.

Quand il est entré en moi j'ai eu souffle court et je me suis dis plus de retour possible.

Il a entamé ses vas et viens de la façon la plus douce à la façon la plus brutale, c'est tout Dehan et tant mieux d'ailleurs qu'il se lâche.


Il a pris son temps, il a repris son temps et quand il s'est senti vraiment satisfait et épuisé il s'est roulé sur le côté m'a prise dans ses bras.


Dehan : Je t'aime Kimberley JANSE.


A cet instant même mon cœur a raté un battement. 


Pour le meilleur & l...