CHAPITRE 21

Ecrit par deli

*PDV de dalia*

Ça y est !!! c’est enfin vendredi et ça fait environs 10 minutes que nous sommes arrivés à la baie des tortues luth situé à la Pointe-Denis et franchement je n’ai absolument pas de mots, c’est à couper le souffle.

D’après ce que j’ai pu lire en faisant quelques recherches sur internet, l’hôtel La Baie des Tortues Luth est un complexe hôtelier de renommée internationale pour ses plages vierges, sa végétation tropicale luxuriante et son site de ponte d’œufs des tortues luth unique au monde. Il allie décoration traditionnelle africaine à un luxe verdoyant de paradis, l’établissement dispose de 24 hébergements répartis en trois types : 10 Bungalows Standard, 11 Bungalows Deluxe et 3 Bungalows Duplex.

En arrivant à la réception j’ai pu entendre pierrick dire qu’il a réservé pour un bungalow de luxe mais je n’y ai pas trop prêté attention car la beauté de cet endroit captive toute mon attention. Je ne savais même pas qu’il y’avait un tel endroit dans mon pays c’est incroyable.

Pierrick (me sortant de ma rêverie) : j’espère avoir droit à ce genre de regard un jour (sourire en coin)

Il a passé sa main sur le bas de mon dos afin de me faire comprendre que je dois avancer et suivre l’hôtesse

Moi (me mettant à marcher) : ça dépendra

Pierrick : ça dépendra de quoi ?

Moi : de ton comportement

Pierrick (souriant) : on en parlera une fois seul à seul

Moi : et moi qui pensait qu’on allait faire autre chose, quel dommage

Pierrick (petit rire) : tu es entrain de me chauffer là

Moi (faisant l’innocente) : je ne vois pas du tout de quoi tu parles

On a suivi l’hôtesse jusqu’à notre bungalow et là encore, coup de cœur direct, c’est tout simplement magnifique, après nous avoir souhaité un bon séjour elle a quitté la pièce.

Alors comment vous décrire ça ! la pièce principale est un magnifique salon décoré dans un cadre tradi-modèrne avec un agencement parfait entre le bois et le verre. Les canapés sont disposés en rond autours d’une tablette en verre, non loin accroché au mur un magnifique écran relié au câble et une boxe wifi posé sur un meuble fait avec du bois et du verre.

Pierrick : tu viens ? on va poser nos affaires à la chambre

Sans me faire désirer je l’ai suivi et encore une fois mes yeux ont apprécié la vue de l’immense lit au milieu de la pièce, lorsque je me suis rendu sur le balcon (c’est un bungalow à étage) la vue m’a simplement coupé le souffle, c’est lorsque j’ai senti les bras de pierrick me serrer la taille, son corps se presser contre le mien et son souffle caresser ma nuque que j’ai remit les pieds sur terre.

Pierrick : heureux de voir que tu apprécies

Moi (la tête appuyée sur son torse) : c’est vraiment magnifique

Pierrick : pas aussi magnifique que toi

Il m’a retournée afin qu’on se fasse face et sans demander son reste il a pressée ses lèvres contre les miennes dans un doux baisé.

Pierrick (me tendant la main) : viens on va prendre une douche et plus si affinités

Moi (saisissant sa main) : lol c’est ça !

On s’est rendu dans la douche tout aussi magnifique que toutes les autres pièces

Pierrick : je peux te déshabiller ?

Moi (souriant) : fais toi plaisir

Pierrick (répondant à mon sourire) : tu n’as pas idées de tout ce qui peut me faire plaisir à cet instant

Moi : j’ai ma petite idée !

Etant donné que j’ai porté une combinaison avec seulement un string comme sous-vêtements, se sera très facile pour lui de me déshabiller. Il s’est avancé vers moi et s’est planté juste devant moi, avant de commencer à me déshabiller il a saisi chaque côté de ma tête avec ses mains et a pressée ses lèvres contre les miennes d’abord tout doucement ensuite de plus en plus passionnellement, afin d’approfondir ce baiser j’ai passé mes mains autours de son cou et lui a fait glisser les siennes autours de mes hanches, il a demandé l’accès à ma bouche avec sa langue et nos langues se sont rejoint dans une danse infernale

Moi (gémissant d’aise) : hummm

Afin de reprendre nos souffles on a dû mettre fin à ce baiser mais il a réussi à me faire mouiller ma culotte rien qu’en m’embrassant.

Délicatement il fait glisser les cordes de ma combinaison en prenant soin de laisser glisser ses bras de chaque côté de mon corps jusqu’à mes pieds

Pierrick (me regardant dans les yeux) : tu as un corps magnifique dalia (avec une voix sensuelle)

Moi (pinçant ma lèvre inférieure entre mes dents) : merci

Encore une fois il s’est saisi de mes lèvres et cette fois son envie de me posséder se fait très sentir car il est un peu plus enivrant. Il fait glisser sensuellement ses mains jusqu’à mes fesses qu’il presse en me collant un peu plus à lui et j’arrive à sentir son érection qui me donne de plus en plus chaud.

Pierrick (pressant mes fesses tout en murmurant à mon oreille) : tu me rends dingue dalia

Moi (souriant) : montre à moi à quel point alors

Sans même se faire désirer il a enlevé le dernier bout de tissus qui me restait sur le corps, il prend le temps de détailler chaque parcelle de mon corps et à chaque endroit où il pose ses yeux j’ai l’impression qu’u, feu ardent me brule, je crois que c’est bien la première fois que je désire autant quelqu’un.

Je l’aide à retirer son tee-shirt et je m’imprègne de chaque partie de son torse en y faisant glisser mes mains, je le caresse délicatement afin de profiter de ce magnifique corps jusqu’à sa taille, je déboutonne son jean et je me baisse afin de le faire correctement glisser jusqu’à ces pieds.

Etant donné que je ne suis pas du genre timide ça ne me dérange absolument pas d’être totalement nue devant lui ni de voir son magnifique regard sur moi, j’aime absolument découvrir son corps, il est magnifique, tellement virile et beau et c’est avec un peu de tension que je porte mes mains à l’élastique de son caleçon, j’ai envie de le voir entièrement mais je stresse également de voir si il est à la hauteur de mes attentes ou si ce que je vais voir va me décevoir.

Voyant l’hésitation sur mon visage il s’est saisi de ce dernier

Pierrick : et moi qui pensais que tu n’avais peur de rien

Moi (le regardant dans les yeux) : c’est le cas (sourire en coin)

En vue de mon hésitation il s’est déshabillé tout seul et m’a dépassé pour se rendre à côté de la baignoire afin de régler la température de notre bain une fois la température réglée et le bain apprêtée il s’est tourné vers moi me prenant en plein flagrant délit pendant que je matais son cul (l’œil n’a pas de frein)

Pierrick (sourire en coin) : tu aimes ce que tu vois ?

Moi (pinçant ma lèvre inférieure) : oui, beaucoup

Pierrick (me tendant la main) : viens

Moi (saisissant sa main) : tu es très beau

Pierrick (souriant) : merci ma belle

Il m’a aidée à prendre place dans la baignoire et s’est ensuite installé derrière moi, il m’a tiré vers lui et sans demander mon reste j’ai commencé à me lover dans ses bras ma tête posée contre sa poitrine.

Je dois avouer que ça détend vraiment et que j’en avais besoin. C’est d’autant plus agréable parce que c’est la première fois qu’un homme est aussi doux et attentionné avec moi, je veux dire je sais qu’à l’instant présent il a envie de me baiser et moi aussi d’ailleurs j’en ai envie mais je ne sais pas, pour une fois j’ai envie de laisser mon côté allumeuse et entrepreneuse de côté afin de me laisser faire.

Pierrick (coupant le fil de mes pensées) : tu penses à quoi ? (Faisant des cercles sur mon ventre)

Moi (les yeux fermés) : à toi, à moi, à nous, à certains problèmes que j’aimerai oublier

Pierrick (continuant ses cercles) : tu as envie d’en parler ?

Moi : j’ai pas envie de casser l’ambiance

Pierrick : moi j’ai envie que tu partages ce qui te dérange avec moi

Moi (me redressant et me retournant vers lui) : c’est à propos de ma famille (jouant avec l’eau du bain)

Pierrick : qu’est ce qu’il se passe avec ta famille ?

Moi (soupirant) : ce n’est pas vraiment ma famille c’est celle de mon défunt père. A la mort de mon père, ils nous ont spolié et maintenant que je suis plus grande j’aimerai récupérer ce qu’ils nous ont volé. Au début je pensais tout récupérer mais je pense que toute la liquidité doit être fini depuis un moment et maintenant tout ce que je veux récupérer se sont les maisons.

Pierrick (semblant réfléchir) : est ce que tu es de la même famille que le maire Obame de port-gentil ?

Moi : oui c’est un des parents à mon père

Pierrick : mais comment tu veux t’y prendre pour récupérer des maisons sans avoir la preuve qu’elles appartiennent à ton père ? Et puis pourquoi maintenant ?

Moi : la mort de mon père a été la plus dure épreuve de ma vie, je n’avais jamais vécu quelque chose d’aussi horrible et de voir du jour au lendemain les gens sur qui j’ai compté toute ma vie nous insulter et nous chasser comme des malpropres mon Dieu que c’était horrible (fermant mon visage avec mes mains)

Pierrick (enlevant mes mains pour me regarder dans les yeux) : si tu veux on peut arrêter d’en parler si c’est trop dur

Moi : non ça va (me reprenant) ! donc pour la faire courte, je veux me venger parce que lorsque je repense à la souffrance de ma famille j’ai le sang aux yeux

Pierrick (me faisant un bisou) : il est temps de sortir de la douche, viens !

On s’est levé, rincé dans la cabine de douche et on s’est rendu dans la chambre ; c’est en voyant pierrick se passer un caleçon que j’ai compris qu’il ne compte pas me toucher maintenant

Pierrick (me regardant) : habille-toi on va aller diner au restaurant de l’hôtel, il est déjà 20h et je meurs de faim

Moi (souriant) : je dois avouer que moi aussi j’ai faim

Après s’être correctement habillés, on s’est rendu au restaurant de l’hôtel, tout aussi magnifique que tout ce qu’il y’a ici. On s’est prit une table à part et l’ambiance romantique va finir par avoir raison de moi car ce type me fait craquer de plus en plus, je n’aurai pas rêvé mieux.

Pierrick (tendant son verre de vain vers moi pour un toast) : à notre santé !

Moi (répondant à ce toast) : à nous

 
Le parcours de ma vi...