*JE SUIS DÉSOLÉE POUR LES SCÈNES A CARACTÈRE SEXUEL MAIS JE NE SUIS TOUJOURS PAS DOUÉE POUR LES ÉCRIRE, JE FAIS VRAIMENT DE MON MIEUX, BONNE LECTURE*

On a très bien mangé dans une ambiance bon enfant et j’ai découvert un côté particulièrement attendrissant chez pierrick, il est drôle, passionné, passionnant, gentil et très à l’écoute et là maintenant je n’ai qu’une seule envie, qu’il me prenne sans plus tarder.

Lorsqu’on a rejoint notre bungalow j’ai attendu gentiment qu’il ferme la porte et une fois qu’il s’est retourné pour me faire face j’ai foncé sur ses lèvres le calant contre la porte. Il a fait glisser ses mais sur mes fesses (geste que j’apprécie beaucoup), et moi mes mains se sont attelées à déboutonner sa chemise, j’ai beaucoup trop attendu. Il nous a guidé sur un des canapés sur lequel il a prit place m’incitant à m’asseoir à califourchon sur lui, ce baiser est représentatif de l’envie folle qu’on a l’un de l’autre, en caressant le bout de mes seins à travers ma robe en satin pierrick a pu ressentir le bout de mes seins tendu et durs.

Pierrick (suçant le lobe de mon oreille) : tu es trop belle

Moi : et toi trop bondant

Pierrick (riant) : lève-toi ma tigresse

Pas besoin de me le dire deux fois que je me retrouve déjà sur mes pieds. En suivant mon geste il s’est aussi levé et a fait passer ma robe par-dessus ma tête et encore une fois je me retrouve en string devant lui. Après avoir fait glisser sont pantalon de ses pieds on a repris notre position sur le canapé.

Avec sa bouche il s’est mis à la découverte de mon corps avec les caresses de ses lèvres et c’est tellement bon que les bruits de mes gémissements recouvrent entièrement la pièce.

D’abord ses doigts ont commencé à caresser mes seins ensuite il a fait glisser une de ses mains sur l’endroit le plus sensible de mon anatomie pour le caresser à travers le tissu de mon sous-vêtement

Pierrick (la voix sensuelle à mon oreille): tu es tellement mouillé

Moi (la voix allaitante) : c’est toi qui me mets dans cet état

Il a arrêté de me caresser à travers le tissu de mon string et a fait glisser sa main à l’intérieur de ce dernier. Il s’est d’abord saisi de mon clitoris qu’il a pincé avec ses doigts m’arrachant un râle de plaisir et ensuite ses doigts ont glissé en moi en commençant des mouvements d’abord lent et ensuite de plus en plus rapide jusqu’à ce que je jouisse de plaisir sur ses doigts.

Pierrick (me suçant le cou) : j’espère que tu es prête pour la suite ma belle (me regardant dans les yeux en suçant les doigts sur lesquels je viens de jouir)

Ce geste m’a carrément chauffé encore plus que je ne le suis déjà, ce type dégage un sexappeal incroyable putain qu’il est bondant ! dans des gestes rapides et mal assurés on s’est retrouvé complètement nus et comme s’il avait prévu le coup il s’est saisi de son portefeuille duquel il a sorti un préservatif. En voulant l’ouvrir je lui ai pris des mains et en plantant mon regard dans le sien j’ai porté le préservatif à ma bouche et je l’ai ouvert avec mes dents, j’ai senti sa queue tressauter sous mes fesses signe qu’il est prêt à me baiser comme il se doit, après lui avoir enfilé le préservatif il m’a légèrement soulevé de façon à être dans une position convenable pour me pénétrer et c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai glissé sur son membre bien dur nous arrachant à tous les deux des râles de plaisirs.

Il m’a d’abord laissé le temps de m’habituer à son membre puis a commencé des mouvements avec ses reins m’incitant à suivre cette danse passionnelle de ses mains sur mes hanches

Moi (gémissant) : hum oui, c’est bon !

Il a saisi mon coup avec une de ses mains et a calé l’autre sur ma hanche et s’est mis à me donner une série de coup de rein tellement bon que je suis sûre d’avoir eu un orgasme monumentale mais apparemment il n’est pas prêt de venir car il nous a levé du canapé et m’a incité à me mettre à quatre pattes sur ce dernier de façon à ce qu’il ait une belle vue sur mon cul , et sans précipitation il m’a empoigné les hanches, mon dos s’est cassé naturellement nous faisant adoptant une position levrette et sans ménagement il m’a pénétré et s’est mis à me pilonner de façon dur et tellement virile que je me retrouve complètement trempée et qu’il est même difficile de suivre la cadence

Moi (la voix allaitante) : oui ; oh oui ; c’est tellement bon

Encore quelques coups de reins et il a joui dans un long râle de plaisir. Il a pris son temps avant de se retirer de moi, il a retiré le préservatif, l’a enlevé et l’a jeté ensuite il s’est affalé sur le canapé m’a tiré contre lui en passant une de ses mains autours de ma hanche, donc j’ai posé ma tête sur son torse et il m’a fait un doux baiser sur le crâne ; c’est juste parfait à cet instant.

Pierrick (la voix calme) : tu as été géniale mademoiselle Obame

Moi (la tête toujours contre son torse) : et toi magnifiquement habile

Pierrick (riant) : merci

Moi : c’était un plaisir

Pierrick : tu veux un verre ?

Moi (me redressant pour lui faire face) : oui s’il te plait, je veux bien un verre de vin blanc

Pierrick (se levant) : d’accord

Il a enfilé son caleçon et s’est rendu au mini bar de notre bungalow, il a  pris une bouteille de vin blanc et s’est ramené avec deux coupe de vin, il prend même la peine de faire le service comme un vrai gentleman et je trouve ça vraiment sexy (sourire)

Pierrick (me tendant mon verre en s’asseyant avec le sien à côté de moi) : qu’est ce qui te fait sourire (portant son verre à sa bouche)

Moi (sirotant mon verre) : j’apprécie juste tes qualités de gentleman

Pierrick (souriant) : ne t’y habitue pas trop

Moi (souriant) : je savais que c’était de l’arnaque

Pierrick (riant) : tu me brises le cœur là

Moi (riant) : c’est ça

C’est tellement plaisant de passer un si bon moment que je n’ai même pas hâte de rentrer sur Libreville (soupire)

Pierrick : qu’est ce qu’il y’a ma belle ?

Moi : rien t’inquiète ça va (sourire)

Pierrick : tu es sure ?

Moi (souriant) : et certaine même

Pierrick : tant mieux parce que la nuit est encore longue (buvant son verre)

Moi : tu m’as l’air insatiable toi

Pierrick (franc rire) : non pas du tout c’est juste que j’en ai rêvé de ce moment

Moi : heureuse de savoir que j’alimente tes désirs

Pierrick : oh tu ne t’imagine même pas à quel point

On a encore discuté un moment avant d’aller terminer notre nuit dans la chambre, l’un en l’autre dans un bon nombre de positions (sourire).

*PDV de NOUR*

En partant à son week-end romantique avec ya pierrick, ya dadou m’a laissée sa carte de crédit au cas où il y’a une urgence derrière elle et 30mil pour moi. Je dois avouer que depuis qu’elle est de retour tout va pour le mieux dans nos vies et ça fait plaisir de voir que toutes les charges ne reposent plus sur maman même si ya dadou s’est toujours occupé de nous, même avec la distance.

En plus grâce à elle maman connait déjà Cédric et sa famille et je dois avouer que c’est beaucoup plus facile entre nous. Je n’ai plus besoin de mentir à maman et ça avance plutôt bien. On a décidé qu’après notre licence on ira tous les deux à Londres pour la suite de nos études car la France et les États-Unis ne nous disent trop rien.

Quand je pense à Cédric j’ai des palpitations dans le ventre (sourire), ce garçon représente tellement pour moi que quand je pense à la fin de notre relation j’en ai le souffle coupé mais je fais tout mon possible pour que ça n’arrive pas après tout aucun problème n’est insurmontable, tout est question de communication. C’est vrai qu’il sait exactement quoi dire pour me toucher comme la dernière fois avec le sujet de ma grande sœur mais je ne lui en tiens plus rigueur car à partir du moment qu’il s’est excusé sincèrement on peut passer à  autre chose, je ne suis pas de nature rancunière, d’autre diraient que je ne m’affirme pas assez mais c’est ma nature, je suis comme ça et c’est tout, je sais que je n’ai pas nécessairement besoin de m’énerver ou crier sur mon homme pour me faire entendre.

D’ailleurs si ma relation avec Cédric marche si bien c’est parce qu’on a deux comportements complètement différents. Lorsque lui il hausse le ton et sors de ses gongs moi je reste calme tout en lui faisant savoir qu’il a atteint mes limites, tout est question de communication.

En parlant de lui, il doit déjà être en route pour venir me chercher car on part à la plage aujourd’hui, après tout quoi de mieux que d’aller à la plage un dimanche. Je vérifie que j’ai bien tout ce dont j’ai besoin et je file m’asseoir au salon où je retrouve maman et eurode

Maman (me regardant) : tu sors ?

Moi (m’asseyant) : oui Cédric arrive me prendre pour aller à la plage

Eurode (bondissant de son fauteuil) : je peux venir ? (Yeux de chien battu)

Maman : ah faut pas déranger les autres dans leur sortie

Moi : euh non non si ça ne te dérange pas elle peut venir hein, nous ça ne nous dérange pas

Eurode : ouiii, s’il te plait maman d’amour

Cette fille (riant), elle a 16ans mais elle est comme une enfant de 12ans, j’aime trop ma petite sœur c’est ma complice des coups fourrés. Dès que maman a dit oui elle a foncé dans sa chambre se changer et au même moment ya dadou et ya pierrick ont fait leur entrée dans la maison, apparemment le week-end est déjà fini.

Maman : vous êtes déjà rentrés ?

Ya dadou (s’affalant sur le fauteuil) : et oui, le week-end est fini

Ya pierrick a d’abord fait les bises à maman et ensuite à moi et s’est assis à côté de ya dadou, ils sont tout mignon (souriant)

Ya dadou (me regardant) : tu es toute belle mademoiselle Obame tu sors ?

Avant même que je puisse répondre eurode est revenue toute prête

Ya dadou : ah ça vous partez où ?

Moi : à la plage avec cédric

Ya dadou (à eurode) : et toi tu fais cinquième roue du carrosse ?

Moi : on serra en groupe donc elle ne va pas s’ennuyer

Ya dadou : hum ! ou bien elle aussi doit voir son copain

Ya pierrick : laisse tes sœurs tranquilles, tu viens à peine d’arriver que tu les tourmente déjà

Ya dadou : mais je prends état de la situation

Ya pierrick : tu n’es pas agent de police

Pour simple réponse elle a levée les yeux au ciel et j’ai reçue un message de cédric disant qu’il est là

Moi (me levant) : bon nous on y va

Eurode (pressant le pas) : au revoir

Sans demander son reste elle a foncé comme une flèche mdrr

Ya pierrick : attend nour

Il s’est mis a fouillé ses poches a sorti son portefeuille et en a sorti des billets

Ya pierrick (me tendant des billets) : si jamais vous devez vous acheter à manger ou en cas d’urgence

Moi : j’ai 20mille sur moi

Ya pierrick (souriant) : alors c’est ma contribution à votre sorti

Moi (prenant les sous en souriant) : merci, bon bonne fin de journée à vous

J’ai pressée le pas et j’ai retrouvé eurode installée à l’arrière de la voiture de Cédric entrain de discuter avec ce dernier

Moi (refermant le portière) : bonsoir mon cœur

Cédric : bonsoir ma puce

Eurode : un célibataire pourrait faire une dépression en vous voyant

Cedric (souriant) : c’est normal j’ai pris la dernière plus jolie fille de la terre

Eurode : beurk

Je sens qu’on va passer une bonne journée.