CHAPITRE 21: FIN DU DEAL.

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

***CHAPITRE 21: FIN DU DEAL.***


**LINDA NDOMBI**


Moi: (Le plaisir atteignant son pic) Bé, bé, Béni miiaaaoouu.


Mon corps s'est contracté avec plus de violence que ce matin. Il a retiré sa bouche pour mettre ses doigts avant de venir m'attraper pour que je ne cogne pas ma tête contre le miroir. Il m'a fermement saisi jusqu'à ce que je me calme avant de ramener mon visage vers lui.


Benjamin : Tu as très bon goût mon cœur. 


Ensuite il m'a embrassé à pleine bouche pendant un moment avant de décoller sa bouche de la mienne et me faire des petits baisers sur le visage jusqu'au cou.


Benjamin : (À mon oreille) Je sais que ce n'était pas dans notre accord mais je rêve de te faire jouir depuis hier lorsque tu m'as ouvert la porte de ta maison. J'ai conscience d'être aller loin mais je ne le regrette pas. Dans mon fantasme, je te faisais l'amour dans tous les sens du terme mais tous les fantasmes ne sont pas faits pour être réalisés, voilà pourquoi je n'irai pas plus loin. Permets-moi juste de te dire que tu es très belle et que j'ai kiffé te faire jouir ce soir. 


Je suis restée silencieuse dans la même position. Secouée par ce que mon corps avait expérimenté et les paroles qu'il venait de dire. Sans s'éloigner de moi, il a fouillé l'un des tiroirs dans lesquels étaient posés mon pied et y a sorti un gant de toilette propre. 


Benjamin : Permets-moi également de te nettoyer, tu le veux bien ?


J'ai remué affirmativement  la tête sans parler. Il a ouvert le robinet d'eau qui était juste à côté et a imbibé le gant avant de le presser. Puis il s'est mis à m'essuyer délicatement le se-xe pour me débarrasser de ma mouille qui avait coulé. Il le faisait en me fixant de temps en temps dans les yeux. J'avais le sentiment d'être une petite fille qui se faisait nettoyer par son père. Après l'avoir fait, il a correctement remis mon soutien gorge et a reboutonné ma chemise avant de s'abaisser pour ramasser mon pantalon et mon slip. Ce dernier était tellement poisseux qu'il a décidé de ne pas me le remettre au risque de me salir , il l'a donc mis dans sa poche et m'a remis le pantalon. Il a ensuite rincé ses mains avec de l'eau et du savon, s'est essuyé les mains avant de me faire descendre du meuble.


Benjamin : (Me regardant) On y retourne ?


Moi: D'accord.


Il m'a tenue par la main et nous sommes retournés trouver les autres.


Benjamin : (Me faisant asseoir sur ses jambes) Qu'est-ce qu'on a manqué ?


Damien : Pas grand chose, juste que demain on fera une balade en couple dans la zone et on ira se laver à la rivière.


Benjamin : Je vois.


Kelly : Linda , tu t'es déjà lavée dans une rivière ?


Moi: (Portant mon verre que j'avais récupéré à la bouche) Non, jamais.


Damien : Donc tu ne connais pas les piscines naturelles. Tu sais au moins nager n'est-ce pas ?


Moi: Oui. Je nage de temps en temps quand j'ai la possibilité de le faire, il y a une piscine dans la résidence où j'habite.


Kelly : Ah bon? Il faut me montrer chez toi comme ça j'irai squatter là-bas pour l'utiliser tous les jours.


Mme NGUEMA : Encore toi-même, on ne te montre pas les choses. Pointue comme l'aiguille.


Nous avons ri et continué à parler pendant un moment jusqu'à ce que Daphnée nous fasse remarquer qu'il y avait une étoile filante dans le ciel. Nous avons tous levé les yeux pour la voir. 


Karl : La légende dit qu'il faut faire un vœu quand on en voit une.


Daphnée : C'est vrai ?


Karl : Oui. 


Daphnée : Je sais ce que je veux.


Karl : (Aux enfants) Faites chacun un vœu dans votre cœur.


Ils se sont concentrés un moment tous les 7 avant de sourire. 


Karl : C'est bon ?


Eux: Oui.


Karl : Vous avez demandé quoi? 


Corneille : J'ai demandé un peu plus d'argent de poche.


Nous avons éclaté de rire.


Fresnel : Il faut déjà effacer ce vœu hein car il ne se réalisera pas.


Corneille: Tonton Karl, tu as dit que les vœux vont se réaliser non?


Karl : (Riant) Oui.


Corneille : (Souriant) Voilà.


Épiphanie : (Sa sœur) Moi je veux une robe de princesse pour la fête de Noël de mon école.


Samuel : Moi, je veux la dernière Playstation qui est sortie.


Damien : Ça aussi tu peux vite l'oublier. On a dit plus de jeux vidéo.


Samuel: (Faisant la moue) Ce n'est même pas drôle.


Chloé : (Sa sœur) Moi, je veux aller en vacances en Amérique.


Damien : Eh! Mais il y a des gens ici qui ne se prennent pas pour des petits gens hein. 


Nous avons éclaté de rire.


Karl (Riant en regardant Raphaël) Toi, tu veux quoi mon grand ?


Damien : (Riant) J'espère que ce n'est pas aller sur la lune hein. (rire général)


Raphaël : Non. Moi, j'ai demandé que Tata Linda reste avec nous pour toujours.


Je me suis crispée dans les bras de Benjamin en écoutant son souhait. 


Daphnée : (Regardant son petit frère un sourire sur les lèvres) Tu as pensé comme moi Raph. Moi j'ai demandé que Tata Linda se marie avec papa et vienne habiter avec nous à la maison.


Karl : (Nous regardant Benjamin et moi) Alors là. 


Damien : (Portant son verre à la bouche) On n'a pas les petits souhaits par ici hein. C'est vraiment le haut niveau.


Karl : Et toi D, que veux-tu ?


Darnell : (Levant la tête pour me fixer dans les yeux un sourire sur les lèvres) Que tata Linda devienne notre mère.


Mon cœur s'est mis à battre fortement dans ma poitrine sans que je ne sache pourquoi. J'ai également ressenti comment Benjamin s'est figé derrière moi. 


Fresnel : C'est en quelque sorte la conséquence logique des deux premiers souhaits. 


Mme NGUEMA : (À eux) Donc vous voulez tous que Tata Linda devienne la femme de votre père ?


Eux: Oui, on l'aime beaucoup.


Moi: (Le cœur battant) Je vous aime aussi mes trésors.


Ils ont esquissé de larges sourires et Raphaël s'est levé pour venir se mettre devant moi afin que je le porte, je l'ai fait. Je ne sais pas encore comment ce sera à la fin de notre engagement, c'est-à-dire à notre retour sur Libreville, mais j'espère que Benjamin me laissera rester proche des enfants. 


Karl : En tout cas, le ciel a écouté vos doléances, laissons lui le temps de les exaucer. 


On a changé de sujet avant de décider de rentrer dans la maison autour de 22h. J'ai entraîné les enfants à la chambre et j'ai veillé à ce qu'ils se brossent les dents et enfilent leur pyjama. Je les ai ensuite ramené dans la chambre qu'ils occupent et je suis restée avec eux jusqu'à ce qu'ils s'endorment. Je leur ai fait des bisous avant de sortir en éteignant les lumières. Lorsque je suis venue dans la chambre que j'occupe, Benjamin était déjà sur le lit, les mains en dessous de sa tête en train de fixer le plafond. 


Moi: Ils se sont endormis.


Benjamin : (Après un bon moment) D'accord.


Je l'ai regardé en silence pour essayer de comprendre ce qui se passait. Il avait l'air bizarre.


Moi: Tout va bien ?


Benjamin : Oui.


Je ne savais pas ce qui lui arrivait mais il avait l'air d'être distant. Je n'ai pas voulu me casser le cerveau pour comprendre ses états d'humeur. J'ai pris mes affaires et je suis allée m'enfermer dans la salle de bain pour me doucher. J'ai regardé la nuisette qui me restait et j'ai soupiré, elle était encore plus sexy que la précédente et ne cachait rien. Je ne sais vraiment pas à quoi elle pensait quand elle mettait ça dans mes affaires. J'ai enfilé ça et moi-même j'ai eu peur de mon reflet. Ça c'est direct le genre de choses que si tu vois une femme porter, tu ne te poses pas milles questions, le message est clair, "Je suis en chaleur et je veux bai-ser". Je ne peux pas dormir avec ça comme ça, c'est un ensemble de cordages rouges que les séductrices portent souvent dans les films à connotation sexuelle. J'ai mis ma serviette par dessus et je suis allée récupérer dans mon sac pour voir si je pouvais avoir quelque chose pour mettre par dessus, il me restait deux robes, une culotte en jeans blanc et une chemise en soie. Rien que je pouvais enfiler. J'ai mis ma main sur le front et l'autre sur les hanches en me demandant ce que je devais faire.


Benjamin : Y a t-il un souci ?


Moi: Non, enfin si. Je n'ai rien à mettre pour m'endormir. Le t-shirt que j'avais est sale et rien de ce qui reste n'est adapté pour le sommeil. 


Après m'avoir regardé un moment , il s'est levé du lit et est venu fouiller son sac pour me donner son t-shirt.


Benjamin : Tiens.


Moi: N'est-ce-pas ce que tu vas porter demain ? 


Benjamin : Je trouverai quoi mettre.


Je l'ai regardé pendant un moment avant de le prendre. Il a ensuite rangé nos deux sacs. Pendant que j'essayais d'enfiler le haut, la serviette est tombée, exposant mes sous-vêtements à sa vue. J'ai rapidement ajusté le t-shirt qui m'arrivait à mi-cuisse pour les cacher. J'ai ramassé ma serviette et je suis allée l'étendre dans la douche avant de revenir. J'ai mis mon bonnet de tête et je suis venue le trouver sur le lit avec mon masque à la main. Je l'ai placé sur mon front, me suis allongée sous la couverture avant d'éteindre de mon côté.


Moi: Bonne nuit Benjamin.


Benjamin : (Me regardant) Bonne nuit Linda. 


Il a également éteint de son côté . J'ai ajusté mon masque pour m'endormir. Au bout d'une heure, je n'avais pas pu le faire et je n'arrêtais pas de me retourner sur le lit. J'avais énormément chaud. 


Benjamin : Qu'est-ce qui se passe ?


Moi: Rien.


Benjamin : (Mettant la lumière) Rien et puis vous gesticulez de la sorte ?


Moi: En fait, je n'arrive pas à m'endormir car j'ai chaud.


Benjamin : Ôtez alors le t-shirt.


Moi: Je ne peux pas dormir toute nue.


Benjamin : Vous avez des sous-vêtements en dessous, vous n'êtes pas nue.


Moi: Ils, ils sont trop sexy.


Benjamin : Je vous ai fait un cunnilingus ce soir alors que vous étiez toute nue, qu'est-ce qui peut être plus sexy que vous sans vêtements ?


Moi: (Silence)


Benjamin : Retirez ce t-shirt et vous allez arrêter de gesticuler car vos mouvements m'empêchent également de dormir. 


Je me suis assise sur le lit et je l'ai enlevé avant de le plier et le déposer sur ma table de chevet. Je me suis ensuite recouchée.


Benjamin : (Après un moment) Linda?


Moi: Oui.


Benjamin : Vous me permettez à nouveau de vous toucher? Je vous promets qu'il n'y aura aucune pénétration. Je veux juste vous donner du plaisir comme ce soir aux toilettes.


Mon cœur s'est mis à battre dans ma poitrine et une lutte a commencé dans mon cerveau. Ma raison me disait non, ce n'était pas convenable mais mon corps en avait envie. L'idée même de seulement revivre ce qui s'est passé en bas suffit à m'émoustiller et je suis très tentée de revivre cette scène. Alors sans qu'il n'y ait lieu de réfléchir plus je réponds.


Moi: Je suis d'accord. Je vous permets de me toucher sans qu'il n'y ait de pénétration.


Benjamin : Vous avez ma parole. Vous pouvez garder votre masque, vous l'enlèverez au temps convenable. 


Il a retiré la couverture sur nous et s'est mis à me caresser lentement la cuis-se en remontant petit à petit jusqu'à mes se-ins avant de prendre le chemin inverse. Il m'a fait un bisou sur l'épaule, puis sur le cou avant de me sussurrer à l'oreille.


Benjamin : (Voix grave) Tu es magnifique Linda et c'est un plaisir pour moi de caresser ta peau toute douce (ba-iser dans le cou ) Tu ressembles à une reine avec ta jolie peau ébène. (Mordant légèrement mon oreille) Magnifique Linda ( traçant un sillon de l'arrière de mon oreille jusqu'à la commissure de mes lèvres) ma reine.


Il m'a ensuite embrassé à pleine bouche. Mon corps était parcouru par des frissons, mes tétons dressés et ma mouille coulait en grande quantité de mon va-gin. Il a laissé ma bouche et est descendu le long de mon cou pour me faire des petits baisers aspirés, étendant la chose jusqu'aux épaules avant de descendre lentement vers ma poitrine, il l'embrasse pendant un moment et empoigne mes se-ins avec chacune de ses mains. Il les soupèse puis les malaxe quelques minutes avant de faire des petits massages circulaires avec ses pouces sous la base de mes se-ins.


Benjamin : Retourne toi et couche toi sur le ventre.


Je me suis exécutée.Il a posé une de ses mains à l'arrière de mon cou et y a fait un massage à cet endroit qu'il a étendu sur les épaules et omoplates avant de glisser le long du dos pour s'arrêter sur les fes-ses qu'il a pressé en descendant sur les cuis-ses jusqu'aux pieds. Il m'a fait quelques massages des chevilles avant de me faire des baisers partant de la plante des pieds jusqu'aux fes-ses. Il a ensuite attrapé mon slip et me l'a lentement retiré . Il s'est assis en mettant mes jambes de part et d'autre de son corps , m'obligeant ainsi à légèrement me cambrer tout en mettant en contact direct mon va-gin et son pénis déjà durci à l'intérieur de son caleçon . Il m'a attrapé aux niveaux des côtes avec ses mains et s'est mis à me masser en faisant glisser ses mains jusqu'aux hanches . Il a fait des petites pressions à la base de mon dos avec ses pouces afin de détendre mes muscles à ce niveau. Je n'arrêtais pas de gémir et gesticuler entre ses mains frottant ainsi mon se-xe contre le sien. Il est remonté lentement jusqu'à mon soutien et l'a dégrafé avant de se mettre à faire des bisous sur mon dos jusqu'à mes fes-ses qu'il a légèrement mordu l'une après l'autre m'arrachant ainsi un petit gémissement aigu. Il m'a ensuite écarté les fes-ses et soufflé sur mon an-us à trois reprises me faisant trembler le corps de frissons avant de les refermer et faire passer sa main sur mon va-gin pour faire un va-et-vient dessus.


Moi: (Excitée comme jamais) Seigneur, je vais, mourir.


Benjamin : (Voix grave) Pas avant d'avoir joui comme la reine que tu es.


Moi: (Me tordant de plaisir) Ô mon Dieu, Béni. Je, je vais hurler.


Benjamin : Ne te retiens surtout pas, hurle à plein gosier, les murs sont insonorisés. Personne d'autre que nous n'entendra les cris de jouissance que tu exprimeras. 


Moi: (Me caressant la joue dépassée par la situation) Ooh, aah, ouii.


Il s'est retiré du dessous de moi avant de me demander de me retourner et me mettre sur le dos. Je me suis exécutée. Il a complètement ôté mon soutien avant de prendre mes se-ins en bouche pour les sucer en les aspirants légèrement au niveau des tétons, les durcissant davantage tout en me caressant les cuis-ses avec sa main libre. Il a quitté mes se-ins et est descendu suis mon ventre, puis mon va-gin qu'il s'est mis à sucer après m'avoir écarté les jambes. J'ai instinctivement ramené mes mains sur mes se-ins pour les malaxer en me tordant de plaisir et gémissant de plus en plus fort. Il s'est affairé avec sa bouche sur mon se-xe pendant quelques minutes. Lorsqu'il a vu que je n'allais pas tarder à jouir, il s'est arrêté.


Moi: ( Frustrée) Continue stp, tu t'es arrêté trop tôt.


Benjamin : Tu ne jouiras pas comme ça cette nuit, j'ai d'autres plans pour toi chérie.


Moi: Hum.


Il s'est assis et a fait passer mes jambes de part et d'autre de son corps. Cette fois-ci mon se-xe était en contact direct avec le sien, il avait ôté son caleçon. L'idée de le savoir totalement nu m'effrayait et m'excitait à la fois. Il s'est mis à frotter son pé-nis contre mon se-xe tout en me massant les extrémités de mon triangle, me faisant gémir et respirer fortement par la bouche. Je me suis surprise en train d'onduler mon bassin dans un mouvement de vagues au même rythme que ses frottements. Ses mouvements occasionnaient des subtiles entrées et sorties de son pé-nis dans mon va-gin et cela m'excitait terriblement, je l'entendais grogner de temps en temps. Il a fini par me redresser et me mettre en position assise. J'étais maintenant à califourchon sur lui en train de me frotter contre son membre bien durci. Il a retiré mon bonnet et mon masque avant de m'embrasser. J'ai noué mes bras autour de son cou et il a saisi mes fes-ses qu'il pressait avec un peu plus d'ardeur au fur et à mesure des frottements de nos se-xes. Mon corps était très tendu et le sien aussi. Nous n'allions pas tarder à jouir. Il a légèrement inséré son majeur dans mon an-us en se frottant davantage à moi. Cela a eu pour conséquence d'accentuer mon plaisir.


Moi: (Hurlant de plaisir) Aaahh. Ben, Béni.


Benjamin : (Regard sombre et voix rauque, me frottant avec plus d'énergie contre son se-xe.) Vas-y ma reine, lâche toi et miaule pour moi ma petite chatte. Miaule.


Je n'ai pas pu me retenir plus longtemps et je me suis mise à miauler comme une véritable chatte pendant qu'il poussait des grognements. J'ai senti un liquide visqueux et chaud se déverser en très grande quantité sur mon se-xe, mon pu-bis, mon ventre et mes se-ins. J'ai su alors qu'il venait d'éjaculer et que c'était son sperme qui était ainsi sur moi. Comme mon corps était pris de spasmes, il m'a alors serré contre lui, ce qui fait que son spe*rme s'est répandu sur nos deux corps joints. Nous avons gardé la position jusqu'à ce que je me calme . Nous nous sommes ensuite regardés dans les yeux, il avait un sourire sur les lèvres avant de m'embrasser.


Benjamin : (Détachant sa bouche de la mienne) Tu es tellement belle quand tu jouis ma petite chat-te.


Il m'a à nouveau embrassée pendant un bon moment.


Benjamin : Il vaudrait mieux que nous allions rapidement prendre une douche.


Moi: D'accord.


J'ai voulu me détacher de lui mais il m'a maintenue et a simplement décalé ses pieds pour les poser au sol. Il m'a ensuite soulevé par les fesses et m'a conduit à la douche où il m'a déposé au sol avant de faire couler de l'eau sur nous. Il n'a pas arrêté de m'embrasser sous la douche tout en me caressant les se-ins et les fes-ses. Nous nous sommes ensuite essuyés avant de revenir nous coucher sur le lit tout nu. J'ai remis mon bonnet à la tête mais je n'ai pas remis le masque. Il m'a attiré à lui et m'a fait coucher sur sa poitrine. Nous nous sommes encore embrassés pendant un moment avant de nous arrêter.


Benjamin : Bonne nuit Linda.


Moi: Bonne nuit Benjamin.


Il a éteint la lumière et nous nous sommes endormis avec un sourire sur les lèvres. 

Lorsque je me suis réveillée le lendemain, j'étais dans ses bras et il me caressait les se-ins. Je me suis mise à sourire toute seule en repensant à ce que nous avions fait la veille et que maintenant il était en train de me caresser la poitrine. J'ai eu envie de me soulager, alors j'ai essayé de bouger mais il a resserré ses bras sur moi. J'ai voulu insister et j'ai entendu.


Benjamin : Où vas-tu ?


Moi: Je vais à la douche pour me soulager.


Benjamin : D'accord. Mais ne dure pas. 


Il m'a lâché et je suis partie à la douche où je me suis soulagée et brossée avant de revenir sur le lit. Il s'est levé à ma suite et s'y est rendu à son tour. Lorsque qu'il est revenu, j'ai bien pris le temps de l'observer et de notamment regarder son pé-nis. N'ayant jamais vu un en vrai, j'étais incapable de dire s'il était plus long ou plus court que la normale mais une chose était sûre, lorsque tu jetais un œil sur son corps tout nu, c'était la première chose qui attirait ton attention car ce n'était pas discret. Il est remonté sur le lit et m'a à nouveau tiré dans ses bras pour m'embrasser et me caresser le corps. Durant les temps de caresses j'ai eu à saisir son se-xe à trois reprises beaucoup plus par curiosité qu'autre chose. Heureusement pour moi, il ne m'a pas demandé de faire quelque chose avec, j'aurais été incapable. Nous avons fini par nous laver et nous habiller avant d'aller trouver les enfants qui étaient avec leurs grands-parents en bas et étaient déjà propres. Nous avons salué et je suis allée en cuisine avec leur mère pour apprêter le petit déjeuner. Les autres sont descendus et nous sommes passés à table avant de sortir avec les enfants Benjamin et moi jusqu'en Ntoum où nous avons fait quelques achats pour ses parents, j'ai également pris les bouteilles de gingembre, les bonbons mentholés roses et blanc et une boîte de lait liquide. Il n'y en avait plus. Alors qu'on mettait les courses dans le véhicule, un photographe de rue nous a interpellés.


Lui: Photos souvenir la famille ?


Benjamin et moi nous sommes regardés avant qu'il ne donne son accord. Nous avons fait quelques clichés ensemble. Les garçons avaient tous des t-shirts, culottes et baskets aux pieds ; Daphnée et moi avions de longues robes fleuries avec des sandales. Les miennes étaient à talons. Nous avions tous des lunettes aux yeux. Il nous a filmés avant de nous montrer une trentaine de photos. Benjamin les a récupérées avant de les payer ensuite nous sommes revenus à la maison. J'ai rapidement mis en machine les draps que les enfants et nous avons utilisés avant de les étendre. C'est la moindre des choses à faire quand on a été invité chez des gens, j'ai également rangé et nettoyé les chambres avant d'aller préparer les 6 bouteilles de cocktail de leur mère qui était très sérieuse. J'ai renversé deux bouteilles et demi de Vin blanc dans un grand bidon avant d'y mettre trois bouteilles de jus de gingembre, j'y ai ajouté la moitié d'une boîte de lait et les bonbons. J'ai secoué jusqu'à ce que les bonbons aient complètement fondu avant de les transvaser dans de bouteilles que j'ai mises au frais. Naturellement les quantités d'ingrédients sont à revoir selon la quantité définitive de cocktail que l'on veut avoir. Et c'est meilleur consommé avec des glaçons.


Nous sommes ensuite allés nous balader avec les 3 autres couples de jeunes dans le quartier, laissant les enfants avec leurs grands-parents. Nous avons fini notre périple à la rivière qui était très grande. J'ai découvert des talents de nageurs de Benjamin, ses deux frères et leur sœur qui sont véritablement des poissons dans de l'eau. Nous avons fait des courses en couple que Benjamin et moi avons toutes remportées parce que contrairement aux partenaires des autres, moi j'étais une excellente nageuse ce qui fait que nous avions un avantage. 


Kelly : (Sur le chemin retour) Normalement vous deux là vous avez triché.


Benjamin : (Riant) Comment ça ?


Kelly : Mais oui. Vous deux vous nagez très bien alors que les autres couples étaient handicapés.


Les autres : C'est la vérité.


Benjamin : (Riant) La mauvaise foi. Est-ce de notre faute si (m'enlaçant en me faisant un bisou dans le cou) mon bébé et moi nous sommes de bons nageurs. N'avez-vous jamais entendu le dicton selon lequel les grands esprits se rencontrent et les oiseaux de même plumage volent ensemble?


Wendy : Ouais c'est ça, je te rappelle que Joliane ne savait pas nager hein. 


Je ne sais pas pourquoi mais cette phrase a comme jeté un froid dans l'ambiance bonne enfant qu'il y avait. Benjamin s'est légèrement crispé avant d'enlever ses mains sur moi. 


Damien : (Regardant sa femme avec insistance) Oui maintenant les choses ont changé.


Les autres: C'est vrai. 


Ils ont changé de sujet jusqu'à ce qu'on rentre à la maison. Nous nous sommes changés avant de passer à table. Nous sommes restés jusqu'à 18h chez ses parents avant de prendre la route avec les enfants pour revenir sur Libreville. J'ai essayé d'observer l'attitude de Benjamin en chemin et quelque chose avait changé. Il était très distant. Plus même qu'à l'aller. Le trajet était chaleureux à cause de la présence des enfants qui exprimaient leur joie par rapport à ce week-end. Il a garé à mon portail autour de 19h30 avant de s'en aller après que j'ai dit au revoir aux enfants. Une heure après, je n'avais reçu aucune nouvelle de lui pour me signifier qu'ils étaient bien arrivés. Je lui ai fait un message classique et un autre WhatsApp pour lui demander si c'était le cas, mais bien qu'ayant lu, il ne m'a pas répondu. Une heure plus tard, j'ai tenté d'appeler. Si les deux premières fois, il n'a pas décroché et a laissé sonner le téléphone, la troisième fois il a rejeté l'appel avant de me faire un message.


-Benjamin: Le week-end est terminé, notre accord a donc pris fin. Que chacun reprenne sa vie comme elle était. Merci pour la bonne compréhension. Cordialement, Benjamin NGUEMA !


Je ne sais pas pourquoi en lisant ce message, j'ai eu l'impression de m'être prise une grosse claque en plein visage. Mon cœur s'est compressé dans ma poitrine et mes yeux se sont mis à me piquer…

MÈRE MALGRÉ MOI