Chapitre 21: Pause entre les préparatifs.
Ecrit par Dalyanabil
Chapitre 21: Pause entre les préparatifs.
Je me suis réveillé ce matin complètement en sueur avec des cernes hideuse, plus le mariage se rapproche plus je stressée. En tant normal ce n’est pas à ma mère que j’aurais dû présente mon futur époux, ni elle qui aurait dû approuvé mon mariage mais on n’est pas en temps normal et je suis dans une situation compliqué. Tellement compliqué qu’a dix jours de mon mariage je n’ai toujours pas pu présente à mon futur mari mon tuteur légal mais pire encore il ne sait pas que la personne à qui revient ce rôle c-a-d mon père est vivant, bien portant et que la seule chose qui m’empêche d’allez vers lui est toute la colère et la rancoeur que je ressens vis-à-vis de lui.
Mon état de stress n’a d’ailleurs pas échappé à mon entourage, maman, dada, Maimouna et les filles se doutent du pourquoi et je supposes que c’est pour ça que ma mère s’est dit que quelques jours à Paris m’aideraient à remettre les choses en perpective. J’ai cru comprendre que les filles nous retrouvaient sur place, maman, dada, ma soeur et moi y allons en voiture avec chauffeur. Normalement c’est le genre de détail qui aurait dû ma mettre la puce à l’oreille mais je me suis dit que c’était juste maman sortant le grand jeu pour me distraire.
« Ma grande » c’est comme ça que maman m’appelle surtout quand elle vas me dire ou me demande quelque chose de pas commode « tu dois appeler ton père. »
« Il est partir il y’a 10 ans, il a perdu tout ses droits. »
« Tu ne peux pas te marié sans tuteur. »
« Je sais ça, ce n’est juste pas obligé que ça soit lui. »
« Si. » Ma mère me regarde peiné « ma chérie je ne veux pas que tu laisse ce qui s’est passé entre ton père et moi affecte ta relation avec lui. »
« Quel relation maman? Il est partie quand je n’étais qu’une adolescente. Lui et moi on a jamais rien eu. Aucune. Relation. Nada. »
Ses yeux se remplissent de larmes « mais… »
Je me rapproche d’elle sur la banquette arrière « ne fait pas ça, toutes ces années je me suis retenu de l’affuble de tous les noms d’oiseaux qu’il mérite par égard pour toi. » Je me colle à elle et pose ma tête sur son épaule avant de continué « je vais trouvé une solution maman alors stp ne t’inquiète pas avec ça et profite de ces quelques jours, ok? »
Elle soupire me rends mon étreinte « et pour le lieu? »
« Je dois en discuté avec Jafar. »
« Ma cherie fuir… »
Je finis la phrase pour l’avoir entendue un nombre incalculable de fois « les problèmes ne les font pas disparaitras. »
Elle me jette un coup d’oeil « Hum, laisse lui un peu le bénéfice du doute. OK? »
J’acquiesce et me blottis encore plus près d’elle. Je ne suis pas sûre qu’elle ai compris pourquoi j’hésite sur le lieu de la cérémonie encore moins si elle m’approuverai mais elle a compris sans que je n’ai dit un mot que je n’avais pas parle de mon père à Jafar et m’encourageais à le faire rapidement.
C’est prévu et il semblerai que je sois oblige de le faire plutôt. Je soupire et jette un coup d’oeil à Maimouna et Dada qui se sont assoupi sur les sièges d’en face.
En presque trois semaines elles ont presque finis de tout mettre en place pour mon mariage. On vas tous profité de ce voyage pour faire du shopping et complète nos tenues respectives, faire encore des essayages pour ma robe et celle des filles. Je ne sais pas ou maman à déniché la jeune femme femme qui confectionne ma robe mais c’est une perle. Mansha Allah son travail est juste magnifique et elle est tellement douce et gentille. Elle a accepte de faire le déplacement jusqu’en Belgique pour prendre mes mesures et celle des filles une fois le croquis de la robe finalisé. Elle a réussi après une conversation de trente minute avec moi a dessiné la robe telle que je l’avais imagine. Maman à aussi réussi à me trouve quelqu’un pour le henné, elle a déjà pris contacte avec des traiteurs aussi bien à Londres qu’a Bruxelles. Jafar lui à dit qu’il s’occupait de la salle et à mis à la disposition de maman quelqu’un pour la déco. C’est ma soeur qui s’occupera de mon gâteau.
Nous venons d’arrivé à notre hôtel situe dans le 1er arrondissement, le ‘’Madanrin oriental’’ est un endroit splendide, ma soeur à récupère la clé de notre suite.
« On peut se permettre quelque ça. » Nous avons atterri au penthouse situé au dernier étage de l’hôtel.
Ma soeur souris à ma mère avant de répondre à ma question « C’est Jafar qui s’est chargé des réservations. »
Bien sûr, ce qui m’étonne c’est que ma mère l’ai laissé faire je n’ai pas le temps de l’interroge plus avant que Sophie et Joresse font leur entre et commencent à pousser des waouh d’émerveillement. En effet le penthouse du ‘’Madarin Oriental’’ décoré dans des tons blanc et or avec des touches de prune mêlés de mabre comportant trois chambres complétés par une salle de bain raffinée repartis sur deux niveau de pure luxe est tout simplement splendide. Je ne sais pas ce qui est le plus impressionnant dans cette suite, le magnifique escalier en metal, les superbes tableaux, la salle de gym privée, le hamman, la salle à manger, le salon, les deux salles de bain en plus ou la vue sur les toits de Paris, l’opéra et la tour Eiffel. Je dirais définitivement la vue qu’on peut admire des deux terrasses de notre logement temporaire.
« On a un ascenseur privé. » Joresse s’exclame tout existé.
« Je sais, et cette vue. »
« Bon les filles, installez-vous. On a une longue journée devant nous. » C’est ma mère qui vient de nous disperser sinon on passerai tout l’après midi à aller et venir la bouche en coeur comme si on était dans une chocolaterie.
Je ne sais pas toujours ce que ma mère à prévu, j’ai reçu l’ordre quand j’ai demande de me taire et d’en profite. Après avoir grignoté vite fait quelques délicieux sandwichs avec des smoothies fournies par l’hôtel notre chambre, non rectification dans notre suite, on a eu droit à une pédicure, une manucure, un massage, soin de visage bref la totale. Ensuite on s’est habillé de manière élégante pour allez dîner, je vais de surprise en surprise quand je découvre que l’endroit choisi par mère qui n’est jamais venu à Paris n’est autre que le célèbre ‘’Le Jules Verde’’, la vue est juste spectaculaire. On a l’une des meilleures tables du restaurant, comment a t-elle fait pour avoir une place aussi vite? Je me retiens de pose la question et me contente comme conseille plutôt par ma mère d’en profité. On est à peine assise que mon téléphone vibre, enfin Jafar ça fait presque 48 heures que je n’ai pas eu de ces nouvelles
‘’Salam, et Paris?’’
‘’Ce serait encore mieux si tu étais là.’’ je l’imagine sourire en lisant ma réponse.
‘’Je peux arrange ça.’’
‘’Dit le gars qui est à Londres pour affaire.’’
Sophie me regarde avant de dire, « pose ton téléphone et profite des personnes autour de toi. »
Maimouna qui est la plus proche de moi se penche pour jette un coup d’oeil « hum »
« tais-toi » je lui fais les gros yeux pour qu’elle ne développe pas son HUM même si je sais que c’est peine perdue.
« Elle écris à qui? » Joresse pose ses mains sur la table et me regarde de manière espiègle. Je suis sûre qu’elles s’en doute.
« Comme si tu avais besoin de précision. » lui répond Maimouna.
Maman et Dada éclatent de rire devant ma mine déconfite. « Fichez lui la paix. » lache dada « du moment que ça reste correct elle a le droit. »
Je lui sourie reconnaissante qu’elle prenne ma défense « merci » j’accompagne mon mot d’un baiser sur sa joue.
Un petit bruit sonore m’informe d’un nouveau sms ‘’Vous avez l’air de bien vous amusez’’
Je lis et relis le sms sans que l’information ne percute mon cerveau « ça va? » me demande dada inquiète par mon soudain silence.