Chapitre 23 : Le couple FAH

Ecrit par Les stories d'une K-mer

***Solange***

Moi (le regard figé) :

Gilles : Ne fait pas ton offusquée Solange (passant nerveusement la main sur le visage) Je fais de mon mieux pour te sortir de là, Nous sortir de là (soufflant longuement) J’en ai marre, tout autant que toi, j’en ai marre !!!

Moi (toujours figée) : Tu le fais pour qui Gilles ? Toi ou moi ? (le regardant) Parce que je ne t’ai jamais dit que j’étais prête à TUER pour retrouver ma liberté. JAMAIS. J’AI choisi cette vie, j’en paye les conséquences, TOUTE SEULE, je ne suis pas criminelle Gilles, Catin, prostituée, ce que tu veux, mais pas CRIMINELLE

Gille (la tête entre les main) : Parce que tu penses que je le suis moi ? Tu penses que je le suis ?

Moi : Qu’est-ce que tu veux que je pense ? Quand toi-même tu m’a menacée de mort ? Quand toi-même tu m’a violée derrière et devant ? Quand tu m’as regardé dans le blanc des yeux en me disant que si j’essaie quoi que ce soit , tu mettras toute ma famille sous silence, moi avec ? Qu’est-ce que tu veux que je pense de toi Gilles, dit le moi

Gilles (soufflant longuement) : Tu ne comprends donc pas ? Tu ne comprends pas Solange ?

Moi : comprendre quoi ? Que tu as un faible pour moi ? Et après ? Est-ce que ça empêche que tes nuits tu les partages entre la chambre d’Aymar et la mienne ? Est-ce que ça empêche qu’il soit celui qui décide de ce qu’on mange ou pas au petit déjeuné ? Est-ce que ça empêche que ce soit lui qui t’accompagne partout où tu vas ? (pause) Qu’est-ce que j’ai à comprendre que vous ne m’ayez déjà expliquez ? Je suis le pot de fleur, votre couverture

Gilles (me fixant) : Tu vaux plus que ça à mes yeux et tu le sais (pause). Il fallait que je mette Aymar en confiance vis-à-vis de toi, et que cette confiance il la relaie aux « supérieurs ». Depuis le début je te couvre, mais tu ne réalises pas

Moi :…

Gilles : tu penses que c’est de gaité de cœur que je t’ai dit ou fait toutes ces choses ? Il fallait que devant lui le naturel prime, qu’il sente que tu as peur de mi, que je t’ai souffrir, là seulement il allait baissé la garde et c’est ce que j’ai fait ! Tu l’as entendu, toi-même ma tolérance à ton égard, (pause) JE t’ai EPOUSE Solange tu entends ça ? (passant nerveusement la main sur le visage), jamais, JAMAIS aucune des filles n’a eu le cran de me poser des conditions. (rire nerveux) Si je voulais en finir avec toi, il y a longtemps que tu serais six pieds sous terre LONGTEMPS. (se retournant)  Je sais que tu discutes avec Milène, depuis le mariage

Moi (sursautant) :

Gilles : tu n’as pas à me regarder avec cette tête ! Je t’ai dit que je surveille tout, TOUT ! Mais ça j’ai laissé passé

Moi (Bargainant) : mais pou-pou-quoi, tu…

Gilles (sourire en coin) : Je déteste me répéter et tu le sais Solange. (soufflant) Tu veux quoi d’autre qui te montre que tu es bien plus qu’une couverture ? (s’approchant)

[Bruit dans le couloir]

C’était Aymar qui s’approchait, alors Gilles et moi avons simuler une scène de dispute

Gilles (jouant le nerveux en criant) : Que tu le veuilles ou pas Tu vas coucher avec eux, en t’engageant tu savais à quoi tu t’exposais

Moi (jouant le jeu) : Il n’est pas question FAH, ton pédé et toi n’avez qu’à mettre fin à mes jours aujourd’hui, J’en ai marre de vous, de cette vie, tuer moi et qu’on en finisses

Aymar (derrière la porte) : Gilles ouvre moi et que j’abrège ces jours à cette catin de mes couilles, je n’en peux plus de ses cris , je n’en peux plus

Gilles (souriant) : Je m’en occupe Aymar

Aymar(frappant la porte) : Ouvre moi je te dis !

Moi (à fond dans le jeu) : Vas te faire foutre ! oups j’oublias tu le fais déjà ! Call moi la paix, pour une fois !

Aymar (frappant de plus belle) : Gilles laisse-moi entrer je te dis, il est temps qu’elle apprenne à s’adresser aux gens (frappant) Merde Gilles !

Pendant qu’il faisait son chaud, Gilles et moi nous nous embrassions (rire). Vous direz que je suis indifférente à lui c’est mentir (pause) ; Oui il est pédé, ou a été (levant les épaule), bisexuel si vous voulez, l’important c’est qu’il prenne soin de moi et me protège (sourire) ça fait du bien de savoir qu’il y a une personne aux yeux de qui on compte surtout quand on a une vie comme la mienne. Il sait d’où je viens , ce que je faisais, mais il a quand même eu le cran de s’attacher à moi (sourire).

Gilles (yeux dans yeux) : Aymar (criant) Je t’ai dit que je m’en occupais !

Il m’ fait un autre bisou avant de se mettre à m’insulter, cette fois avec le sourire, c’était tellement drôle de se foutre de la Guelle d’Aymar. Il a fini par ouvrir la porte en me demandant d’aller me refugier aux toilettes. Ce que j’ai fait sans hésiter. Puis il a ouvert à Aymar qui était en sang ! Pendant qu’ils se criaient dessus, bah moi je prenais un bain (sourire) à chacun ses problèmes.

Clap ! La porte s’est refermé avec une si forme intensité qu’elle a fait trembler la pièce. C’est Aymar qui s’en allait avec ces mots

Aymar : Elle a intérêt à plaire au « chief », sinon je me ferrai un plaisir de choisir dans quel cimetière déposer ses reste !

Une fois le bruit parti, je suis sortie, trouver  Gilles assis sur le lit la tête entre les mains.

Gilles : Penses à ce que je t’ai dit, nous sommes mardi, je te laisse jusqu’à Vendredi soir (se levant) Penses y ! Mon plan dot être effectif pour dans deux semaines, j’ai un corps à envoyer au Cameroun, et c’est ta porte de sortie (me faisant un bisou) Dit du bien de moi à Milène (s’en allant)

Moi (Perdu) :…

Je suis restée dans les vapes un moment. Je ne comprenais trop rien à ce qu’il racontait. Le fait d’envoyer un corps au Cameroun, et de tuer Aymar ? où est le rapport ? Déjà je ne suis pas pour l’idée de tuer, ou d’être complice d’un meurtre (froid dans le dos) hum !

Je suis restée dans la chambre après le bain, à manipuler mon téléphone, rien à faire, peut-être il serait temps que je pense à comment occuper mes journée. Pour mon contrat j’avais exigé un boulot avec un salaire (rire), j’ai le salaire mais je ne travaille pas. (me redressant) il est peut-être temps que ça change.  Je me suis mise à fouiller sur Indeed et job l’étudiant les offres, ça m’a occupé l’esprit, du moins jusqu’à ce que je m’endorme (rire)

**Gilles**

Entre appels aux pays et tours répétitifs à l’ambassade pour le cas de (pause) je ne me rappelle même plus c’est quoi le véritable lien de parenté avec cette fille, mais (soufflant) je le fais pour maman. Depuis le mariage avec Solange elle change peu à peu avec moi. Elle m’appelle, prend des nouvelle. Depuis la mort de papa, c’est la première fois qu’elle me demande un service, et je n’allais pas dire nom, surtout que (pause), ça pourrait être en même temps une issue de secours pour moi, pour nous je veux dire (sourire).

Vendredi avant de rentrer j’ai fait un message à Solange lui disant qu’il fallait qu’on parle. La seule façon pour elle et moi de nous retrouver seuls c’est d’avoir une dispute (pause). Aymar n’en peut plus (rire) et c’est tant mieux pour lui. Comme à son habitue Aymar est passé me prendre pour qu’on rentre ensemble (soufflant) pot de colle celui-là. Il pense vraiment qu’en faisant tout ça je lui suis fidèle ? Je ne suis pas son chien moi !

Rob (nous regardant par le retro viseur) : Monsieur vous voulez qu’on passe chercher madame ?

Aymar (s’énervant) : Parce qu’elle est où ?

Rob : Elle a demandé à aller passer la journée chez des amis, puis est allée prendre un verre, et…

Aymar (l’interrompant) : De quel droit elle se permet de sortir celle-là ? (me fixant) Tu as intérêt à garder ta chienne en laisse, parce que si elle commet une bêtise, je te le dit (durciçant le ton) Je ne vais pas hésiter à..

Moi (le coupant) : à quoi Aymar ? Tu n’en a pas marre de proférer des menaces ? tu n’en a pas marre ? Depuis que tu le fais tu as vu un changement ? La situation n’est -elle pas la même ? Sinon pire ? Donc arrête un peu. Toi comme elle vous me saouler ? Vous vous disputer comme deux sœurs à qui on donne des bonbons de couleurs différentes (soufflant) ça me gaze tout ça. J’ai hâte de finir avec ma mission ici (soufflant) Prendre un peu d’air ne me ferait que du bien

[Silence]

Moi (à Rob) : Elle est où tu as dit ?

Rob : à l’avenue alsace lorraine

Aymar : Mais Putain !!!!! parce que tu vas laisser ça passer Gilles ?

Moi (forçant les nerfs) : Parce que tu m’as déjà vu laisser quelque chose passer ? Je gère à ma façon, MA FAÇON ; Je n’ai pas besoin de crier ou de m’agiter, et tu le sais. Je parle et elle s’exécute, c’est comme ça avec moi !

[Silence]

Moi : Un fois à la maison, tu la mets en veilleuse, ce n’est pas la peine de me casser les oreilles avec vos disputes à deux balles qui n’avance en rien. Elle aura ce qu’elle mérite un point c’est tout !

Aymar : Si tu exigeais d’elle un minimum de respect vis-à-vis de moi, peut-être elle arrêterait de me mettre hors de moi

Moi : Peut-être si TU te donnais toi-même ce respect, elle te le rendrait (le fixant) Tu n’as pas besoin de tout ce folklore tu sais ? Je te vois, tu n’as pas besoin de ça (posant ma main sur sa cuisse) Ce n’est pas la peine

Aymar (boudant) : J’ai bien plus l’impression que tu la vois elle que moi. Tu te permets des dépassements que jamais au paravent tu n’as fait. Tu t’attends à quoi ? à ce que je réagisse comment ?

Moi (sourire dans le coin) : à ce que tu t’adapte à la situation. Avec chacune des filles c’était différent. Chacune à ses caractéristique. Il est certes vrai que jusqu’ici elles étaient toutes soumises, mais comprends que la rébellion est une des caractéristiques de Solange

Aymar (pouffant) : C’est ça oui ! Et depuis quand tolérance fait partir de ton jargon

Moi : depuis que j’ai compris que l’impulsivité n’ai que synonyme de bêtise (sourire)

Il m’a regarder sans rien ajouter, et c’est tant mieux. Bien sur que nous sommes passée prendre Solange, et bien sûr qu’elle n’y était pas, de quoi rendre Aymar Fou (rire). Avec la discussion qu’on vient d’avoir, il ira directement s’enfermer dans la chambre(rire), de quoi avoir un moment seul avec Kenne (sourire).

A peine Rob a garé, solange s’est pointée à l’entrée avec un large sourire

Solange (souriant) : Alors mes tourtereaux sont rentrés

Aymar (la bousculant) : Fermes là, Salope

Solange (le dévisageant) : Pédé

Moi (jouant le nerveux) : Tu la fermes Kenne, tu la fermes ! déjà tu étais où ?

Aymar (marquant une pause) : Surement se faire baiser ! Pute ! (s’en allant)

Il est passé comme un éclair devant elle. Clap ! C’est le bruit qu’à fait la porte de sa chambre (rire). Je suis entré à pas lent, précédé de Solange qui remuait son popotin devant mes yeux, de quoi me faire bander.  Pendant que je mangeais, elle échauffait un entre jambe, et une fois j’ai descendu ma dernière gorgée d’eau, nous sommes monter nous mettre à l’aise (rire), avec mise en scène, Aymar n’en verra que du feu

Moi (la balançant sur le lit) : Je t’ai interdit  de sortir n’est pas ? (donnant un coup de fouet sur le lit) N’est-ce pas ?

Solange (criant) : Je ne suis pas en prison FAH, je sors si je veux !

Moi (la pénétrant d’un coup) : Je t’interdis, parle-moi autrement ! (la pilonnant) Ta désobéissance ne conduira qu’à ta perte ! Tu veux faire la têtue ? (donnant une claque sur ses seins)

Solange (criant) :

Moi (macérant sa poitrine) : Avec moi et chez moi j’ordonne le respect. Mes règles tu les suis à la lettre d’accord ?

Je l’ai retourné en la plaçant sur le ventre, avec sa permission, j’ai introduit un gode à l’arrière. Le fouet dans la main droite, j’ai dirigé mon érection jusqu’à son minou en me servant de ma main gauche. A coups de fouets elle se trémoussait tout en criant aussi fort qu’elle pouvait, je faisais de même. Le gamme a duré le temps d’un épisode de sitcom, c’est-à-dire une vingtaine de minutes. C’est tout crevé que j’ai versé mon essence en elle, en tombant raide mort sur le lit !

Moi (criant) : C’est comme ça ! quand tu écoute

Solange (essoufflée) : Je vous emmerde !

Le temps de reprendre notre souffle, j’ai entendu le bruit du côté d’Aymar, j’ai vite fait de me rhabiller.

Solange (se redressant) : Pourquoi tu as autant peur de lui

Moi (m’asseyant) : hum ! Aymar c’est la définition même du diable. Il est près à tout pour l’argent. (la fixant) Il n’a pas hésiter à éliminer un à un les membre de sa famille, père ; mère frère, sœur (pause) Crois moi que malgré tout l’amour qu’il ressent pour moi, il n’hésiterait pas à me liquider pour se protéger lui

Solange : protégé de quoi ?

Moi : De tout ! Il est comme mon mentor, quand je merde c’est lui qui écope, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a droit d’approbation sur tout ce que je fais (pause) Je t’expliquerais plus tard (pause) Alors ?

Solange (se redressant) :

Moi (soufflant) : Nous sommes vendredi Solange

Solange : Il n’y a pas d’autre issue ?

Moi :si ! (moqueur) Nous suicider tous les deux !

Solange (baissant la tête) : Et ce serait quoi le plan ?

Moi (sourire) : Donc tu es partante ?

Solange (petite voix) : Ai-je d’autre choix ?

Moi (me levant) : On a toujours le choix Solange (Bruit dans le couloir)

J’ai attendu qu’Aymar passe avant d’aller dans l’une des douches commune prendre mon bain, le rejoindre sous les draps. Il a voulu essayer quelque chose, mais je l’ai stoppé net. Il m’a donné le dos (levant les épaule) Je m’en fou. Je me suis levé la nuit pour envoyer quelque mail, avant de  reprendre ma place. Il a encore voulu essayé (soufflant) Je me suis levé du lit

Aymar (s’énervant) : C’est quoi ton problème Gilles ?

Je suis sorti, sans rien dire. 5 minutes après, je suis revenu tenant des Godes en mains, Les plus gros qu’il soit (rire). Je vais lui détruire sa boîte à caca, demain il sera obligé de rester à la maison.

Moi (sourire vicieux) : Tu veux t’amuser ?

Aymar (bondissant du lit) : J en demande que ça !

C’est parti en caresse vite fait, bisous dans aucun effort de ma part. Il a introduit sa main dans mon bermuda en essayant de me faire réagir

Moi (le poussant avec rage sur le lit) : Ce soir c’est toi, et toi seul !

Aymar (passant la langue sur les lèvres) : j’aime quand tu es brutal !

Moi (m’avançant) : Tu vas adorer cette séance. (ton dur) tourne toi !

Aymar (s’exécutant) : oww !!

J’ai fait sortir le lubrifiant du tiroir de la table de chevet, que je lui ai administré en lui donnant quelques bisous dans le dos, il n’a pas arrêté de gesticuler, le manque hein (rire). Je ne lui ai pas demandé s’il était près ou pas, j’ai juste introduit le gode dans son c*l, rien a foutre de s’il a mal ou pas. Je l’ai pilonné avec rage, en lui donnant de forte tapes sur les fesses.

Aymar (gesticulant) : arrête, j’ai mal !

Moi (ton sec) : Non bébé , ça m’excite !

Il s’est mis sur le côté, et moi aussi, pendant que je m’adonnais dans ma tâche, lui se branlait. Il a versé son quater non pas une, ni deux, mais quatre fois. Il hurlait de douleur, ou de plaisir, je n’en sais rien, et je n’avais pas envie de savoir. Dans d’autre conditions j’aurais moi aussi versé de ma semence, mais là, il ne me faisait aucun effet, aucun !

Après près de 2 heures et trente minutes, Il s’est levé brusquement en se rendant à la douche couler un bain dans lequel il s’est assis (rire). J’ai paisiblement élevé les draps, les changer et m’endormir comme s’il ne c’était rien passé, la bataille qu’il aura avec son derrière ne regarde que lui, si ça l’aide à se calmer c’est tant mieux. Moi en tout cas je dors.

***Mya***

Moi (sortant ma carte) : Je réserve de quand à quand ?

Will (s’approchant) : Ta carte c’est pourquoi ?

Moi (le regardant) : payez nor

Will (pouffant) : c’est ça oui (me donnant la sienne) jusqu’à preuve de contraire je suis l’HOMME

Le genre de regard qu’il m’a lancé hum !. J’ai pris SA carte pour nous réserver les billets et l’hôtel. On se rend à Paris en semaine.

Will : La mise en bière de ton amie c’est quand ?

Moi : Jeudi soir

Will : ah ok !

Ça me fait bizarre de le dire , mais Anaïs n’est plus (triste), comment la vie peut être aussi injuste que ça ? Elle n’a pas vécu, commençait à peine à vire, et d’un coup tout s’arrête. J’ai de la peine pour Gary, ça doit être dur pour lui, le bébé (baissant les yeux) Mon Dieu ! . Pendant que certain tuerait pour en avoir, d’autres en  ont mais partent. (soufflant).

J’ai rejoint Will à la cuisine (rire) il a décidé aujourd’hui de cuisiner pour s’excuser. Depuis la dernière fois, on a été un peu en froid. Il a mal interprété mes paroles, et j’ai trouvé sa réaction excessive, alors, on en a parlé et (pause), je lui ai dit pour ma vie passée. Pas dans les détails, mais de façon assez sommaire. Comment je suis quitté de fille de bas quartier, à une fille de quartier huppé, comment du jour au lendemain j’ai vu les zéros s’aligner derrière un chiffre dans mon compte en banque sans que je n’ai besoin de lever le petit doigt. Comment (pause) Nolan m’a brisé et que j’ai (pause) Trouver le moyen de passer outre. Il connait grossièrement l’histoire et je crois que c’est mieux comme ça.

On a eu une longue discussion sur la vie de famille, les possibilités d’avoir des enfants. Je ai to pris rdv chez le gygy et  je redoute ce qui pourrait en sortir. J’y serai lundi, Will a tenu à m’y accompagner. Le soir même de lundi, on décolle pour paris.

Will (me tenant la main) : ça va ?

Moi (soufflant longuement) : ça ira !

Nous sommes entrés chez le gygy

La secrétaire (souriante) : Bonjour !

Moi (répondant à son sourire) : Bonjour ! Un rendez vous au nom de Mya Maka, avec le Dr DI Toro

La secrétaire (souriant) : Alors je vous laisse vous installée en salle d’attente, le Dr Di Toro est pour le moment en consultation, elle viendra vous chercher une fois terminé

Moi (répondant à son sourire) : D’accord, Merci

La secrétaire (souriante) : Je vous en prie,  deuxième porte  sur  votre gauche

Nous nous sommes dirigés à la salle d’attente, Will était le seul homme (rire). Il a tenu a être là , je n’allais pas dire nom, en plus il n’allait pas rester seul à la maison nor ?Nous nous sommes assis, et chacun a sorti son téléphone pour mettre sous vibreur ou silencieux. Son téléphone n’arrêtais pas de vibrer alors  il l’a mis sous silence.

Dr Di Toro (se pointant) : Mme MAKA ?

Moi (levant la tête) : oui ?

Dr : (souriant) : Venez avec moi s’il vous plait

 Je me suis exécutée, en la suivant dans son bureau.

Dr (prenant place derrière son bureau) : Vous avez ramenez les résultats ?

Moi (fouillant mon sac) : Euh oui une seconde s’il vous plait !

Dr (sur son écran) : Je les ai reçu moi aussi (sourie) si vous ne les avez pas ce n’est pas grave, je pourrais toujours les imprimer. Votre carte vitale aussi s’il vous plait, et la mutuelle.

Moi (les sortant) : Non c’est bon je les ai (sourire) !

Dr(les prenant) : Merci

Elle a jeté un coup d’œil vite fait avant de me demander d’aller me mettre sur la chaise pour une autre échographie. Je me suis exécutée. Elle a fait ses manœuvres, et m’a demandé de me rhabiller, ce que j’ai fit, avant de prendre place en place d’elle.

Dr : Alors, rien de bien grave (souriant), un kyste qui a pris beaucoup de poids, 7 cm à peu près.

Moi (inquiète) : 7 cm ? ça fait beaucoup quand même

Dr (souriant) : Oui, mais, une opération d’un jour fera l’affaire. (me regardant) Par contre il faut qu’on vous mettes sous traitement pour augmenter vos taux d’hormones, ils sont très bas.

Moi (arquant les sourcils) : Comment ça ?

Dr (feuilletant mon dossier) : Vos règles se font rares car vous ne secrétez plus assez d’hormones. Il faudrait réguler votre taux d’hormones

Moi (souriant) : OK

Dr (saisissant sur son écran) : Voilà, vous allez prendre ça, ça et ça. (me regardant) autre problème que vous ne m’avez pas signalez ?

Moi (souriant) : Pas pour le moment

Dr : très bien ; On va imprimer tout ça  ( se levant) Voilà (revenant avec l’ordonnance) Tenez madame

Moi (prenant) : Merci (sourire)

Dr (répondant à mon sourire) : Mais je vous en prie . euh (je vous rend vos résultats (me tendant l’enveloppe), j’ai une copie électronique

Moi : merci (sortant) Bonne soirée

Dr (souriant) : Merci !

J’ai fermé derrière moi en rejoignant Will. On a levé les voiles de là pour l’aéroport.

Will : Tu vas rester garer là ?

Moi (verrouillant) : La ville est petite

Will (rigolant) : C’est ça oui !

On est entré main dans la main , le check in, et hop assis l’un à coté de l’autre.

Moi (bouclant ma ceinture) : J’arrive toujours pas à croire qu’Anaïs est décédée, (triste) avec un bébé Prématuré qu’elle laisse

Will : Anaïs tu dis ?

Moi : oui, mon amie dont je té parle depuis que tu es arrivé

Will :Mais tu ne m’as jamais dit son nom. Une amie à ma mère a elle aussi perdu sa fille, Anaïs Kouma elle s’appelle

Moi (le regardant) : C’est mon Amie

Will (arquant les sourcils) : Bizarre

Moi : pourquoi ?

Will : peu être ma mère a oublié de mentionner qu’elle était enceinte !

Moi (soufflant) : Le bébé est né prématuré, Pauvre Gary, s’occuper seul de leur enfant (le regardant) Gary c’est le père, ils vivaient ensemble

Will : okey !

Quelques minutes après on a décollé.

Le bonheur à tout pr...