Chapitre 27
Ecrit par YadRosa
**Franck**
Paris, France...
Moi : je ne vais pas te manger et d'ailleurs, je suis ton mari, je peux te donner un bain...
Liliane : Franck je... au fait, j'ai peur.
Moi (souriant) : je sais. Tu me fais confiance ? Tu sais que je ne te ferai jamais mal n'est ce pas ?
Liliane : oui.
Moi : OK, viens.
Je lui ai pris par la main et nous nous sommes avancé pas à pas vers la salle de bain. Je sens sa main tremblée un peu. Je prends tout mon temps parceque je ne voudrais pas la brusquer, en raison de sa précédente expérience avec ce homme pervers qui voulait la prendre de force. Elle a peut être des séquelles...
Nous sommes dans la salle de bain et elle a la tête baissée. Je lui relève doucement le menton et je pose mes lèvres sur les siennes. Je la sens frémir puis se raidir.
Moi : laisse toi faire, fais moi confiance...
Elle entrouvre un tout petit peu ses lèvres et délicatement, je me mets à l'embrasser. J'ai tellement attendu ce moment, tellement rêver de ça, je l'ai tellement imaginé qu'à présent, je sens comme si je viens de recevoir une décharge dans tout mon corps.
Je prends son visage entre mes mains et j'accentue la pression de notre baisé. Elle commence peu à peu à se détendre. Ses lèvres me sont parfaitement offertes et sa poitrine contre mon torse me donne tant d'idées, aussi folles les unes que les autres.
D'un geste lent, je fais descendre les bretelles de sa robe, qui tombe jusqu'à la chute de ses reins. Je l'entends pousser un petit gémissement de protestation. Son ventre est si plat... J'imagine déjà notre enfant à l'intérieur : un adorable petit garçon ou une jolie petite fille. Cette idée me fait sourire contre ses lèvres.
Liliane m'entoure le cou de ses bras et se serre un peu plus contre moi. Je fais alors glisser mes mains sur son dos jusqu'à atteindre l'aggrafe de son soutien gorge. En un seul mouvement, il se retrouve par terre. Elle se fige contre moi.
Liliane : Franck...
Moi : oui mon amour...
Liliane : je te fais confiance !
Je ne m'attendais pas du tout à ces quatres petits mots mais ils remplissent mon coeur de joie. Je me remets à l'embrasser. Jouant avec sa langue. Je quitte ensuite ses lèvres et je me mets à genou face à elle. Elle fronce les sourcils.
Un sourire aux lèvres, je lui enlève totalement sa robe, elle détourne le regard. Un petit tissu lui cache la nudité.
Moi : je peux ?
La tête toujours tournée, elle acquiesce.
Doucement, je fais descendre son slip, découvrant toute la beauté de sa nudité. Un gros point noir se trouve juste au dessus de son sexe, la rendant encore plus sexy. Je la contemple, dans toute sa splendeur.
Liliane : arrêtes de me regarder comme ça je t'en prie...
Moi : je ne peux pas, tu es beaucoup trop belle. Je suis captivé !
Je me releve et je reprends ses lèvres. Son corps nu m'excite au plus haut point. J'ai tellement envie d'elle, tout de suite...
Je me relève et la guide vers le shower tout en l'embrassant. J'ouvre ensuite l' eau sur nous alors que je suis tout habillé.
Liliane : ah ! Mais... tu..
Moi : ne t'inquiète pas pour ça. Laisse moi juste prendre soin de toi.
Après avoir savonné l'éponge, je me mets à la laver centimètre par centimètre. Elle a tellement honte que j'ai envie d'éclater de rire.
Liliane : je peux le faire toute seule tu sais ?
Moi : oui mais je veux le faire. Ta peau est vraiment douce. J'ai envie de te manger !
Elle s'est mise à rire. Un vrai rire... puis elle s'est renfermée dans son mutisme. Après lui avoir donné son bain, je l'ai enveloppé d'un grand peignoir et elle est sortie.
Phase numéro un, terminée !
Faudrait que je prenne moi aussi un bain mais froid ! Parce que la nuit risque d'être très longue...
Dix minutes plus tard, je la rejoins dans la chambre. Elle est assise sur le lit, le regard dans le vide. Lorsqu'elle me voit apparaître en serviette, elle tourne aussitôt la tête.
Moi : chérie, cette nuit, je veux qu'elle soit inoubliable pour toi. Tu vois ce décor, ce n'est pas une fantaisie mais j'ai fait tout ça pour que ça reste gravé ici et ici !
J'ai désigné son coeur et sa tête et je l'ai vu sourire.
Liliane : merci...
Comme poussée par une force invisible, elle s'est levée et s'est approchée de moi. J'ai repris ses lèvres mais cette fois-ci en un baisé fougeux. Je l'ai ensuite soulevé et étendu sur le lit couvert de pétales de roses.
On s'est embrassé et caressé trente minutes ? une heure ? Je ne sais pas. Je sais juste qu'il n'y a qu'elle et moi dans cet univers magique.
Moi (chuchotant) : je suis fière que tu sois Ma Femme !
Je me suis mis à défaire le noeud de son peignoir, dévoilant sa poitrine pleine et sa peau brillante. Quittant ses lèvres, j'ai commencé à lui donner de petits baisés dans le cou, sur le visage, aux épaules et elle s'est mise à gémir très doucement, les yeux fermées, le front un peu plissé.
Moi : Liane tu veux de moi ? Tu veux que je t'initie à l'amour ?
Liliane : ou.. oui.. oui.. je veux Franck, je...
J'ai suspendu sa phrase à l'aide d'un autre baisé. Mes mains se mettent à être baladeuses, explorant son corps...je les fais ensuite descendre vers son intimité en la caressant. Lorsque j'ai posé la paume de l'une de mes mains contre sa fleur, elle a eu une petite secousse, comme un frémissement. Je me suis mis à y faire de petits cercles jusqu'à l'entrée.
Elle mouille déjà et très abondamment. Il faut tout de même que je prenne mon calme quoique ça devient une vraie torture.
Moi : je vais te faire une caresse. Ça va peut être te faire un tout petit peu mal.
Doucement, j'ai introduit un doigt en elle.
Moi : ça te fait mal ?
Liliane : non mais je sens un picotement.
Moi : OK, ferme les yeux et essaies de savourer.
Elle s'est offerte, et je suis mis à lui caresser le clitoris par des mouvements circulaires. Puis ensuite, je commence par aller et venir en elle avec mon doigt. Elle gémit mais se mord la lèvre comme pour arrêter cela.
Moi : non, ne te retiens pas. Je veux t'entendre gémir. Ça m'excite !
Elle a ouvert les yeux et s'est mise à me fixer alors que mon doigt allait et venait toujours en elle. Je sens l'intérieur de son sexe se contracter et elle écarquille les yeux, surprise de ce qui lui arrive.
Moi : tu jouis... mais c'est rien comparé à ce qui va suivre.
Je me suis étendu près d'elle et je l'ai à nouveau embrassé tout en continuant ma caresse. Je prends ensuite l'un de ses tétons dans ma bouche. C'était si imprévu qu'elle poussa un petit cri.
Liliane : Franck....
Moi : oui..?
Liliane : je...je sens des choses dans mon corps. Je... C'est comme un feu.
Moi : oui, ça l'est. Mais c'est un doux feu. Un très doux feu...
C'en était de trop. J'ai basculé sur le côté de sorte à l'avoir sous moi. La serviette que j'avais noué à la taille masquait mal mon érection. Ses yeux ont glissé le long de mon torse et ils se sont arrêtés au niveau de ma bosse. D'un geste rapide, je l'envoyais valser au loin. Elle a fermé aussitôt les yeux.
Moi ( riant) : tu es beaucoup trop puritaine. Ouvre les yeux. Je veux que tu me regardes, comme j'aime te regarder !
Elle les a ouvert lentement.
Moi : touche le !
Elle : je...je peux pas...
Moi : bien sûr que si, il ne mord pas. Au contraire, il est très gentil..
J'ai donc pris sa main tremblante et je l'ai envoyé vers mon sexe. Lorsque la paume de sa main fut au contact du petit moi, j'ai senti une décharge. Automatiquement je crispe la mâchoire.
Moi : je te désire trop Liliane Diby. Je... je ne peux vraiment plus attendre. Ça va te faire mal mais ça va vite passer ok ?
Liliane : ok.
De nature j'ai un gros sexe raison pour laquelle j'ai décidé d'acheter un lubrifiant pour ne pas qu'elle ait trop mal pour sa première fois.
Elle me regardait passer le gel sur Francky, l'air fasciné.
Moi : c'est du lubrifiant, pour que ça ne te fasse pas trop mal.
Je finis de me mettre le gel et je m'étend sur elle en prenant soin de ne pas l'écraser sous mon poids. J'ai ensuite mis mon sexe au contact du sien.
Moi : désolé...
Lorsque je l'ai fait entrer de quelques mètres, elle était toujours silencieuse mais s'accrochait à mon épaule.. puis :
Liliane : haaaaaah !
Moi : ça va passer, désolé...
Elle s'est mise soudain à pleurer, des larmes silencieuses. Ça m'a carrément refroidit.
Moi : ça te fait trop mal ?
Liliane : non, c... c'est que...je ne sais pas. Je sais pas ce qui m'arrive.
Moi : tu veux que j'arrête ? Je ne voudrais pas te faire mal. Il est un peu gros raison pour laquelle j'ai peur de te traumatiser.
Liliane : non, je...je veux que tu continues, s'il te plaît...
Je suis toujours en elle et je me demande si je dois capituler ou continuer. La deuxième possibilité ne me plaît pas vraiment. Je me mets donc à faire de très lent vas et vient en elle, tout en restant concentré sur ses réactions.. Elle a encore crié une fois avant de se taire complètement. J'ai crû un moment qu'elle s'était évanouie jusqu'à ce que je ne l'entende gémir doucement en ondulant le bassin.
Petit à petit je commence par doubler mon rythme. Cette fois-ci, elle gémit pour de vrai, me griffant, s'accrochant à mon épaule. Elle mouille vraiment et c'est trop intense ce que je ressens
Moi ( souffle court) : tu... aimes ? Tu sens le plaisir ?
Liliane : oui chéri, oh ! seigneur. Franck...
Je comprends que sa douleur avait laissé place au plaisir et maintenant elle en veut un peu plus. Mon corps est en émoi, je fais un effort surhumain pour ne pas déverser ma semence trop vite. Juste pour qu'elle en profite au maximum, qu'elle en profite autant que moi, même si c'est vraiment difficile de ne pas succomber.On va à présent sur le même rythme, la même cadence. Chair contre chair, la respiration saccadée et le corps brûlant. Liliane ne tarda pas à jouir. Criant mon nom. Son visage s'illumina, il devint brillant. Quelques secondes après, je la rejoins en grognant... Tous les deux, nous envolons pour le septième siècle...
Lomé, Togo...
**Flora Bernice Dougnon**
Stéphane : c'est la deuxième fois qu'on vient de le faire. Pourquoi tu es aussi têtue hein ? Dis moi !
Médecin : Madame Pereira...
Moi : mademoiselle Dougnon !
Médecin : autant pour moi, désolé ! Au fait ces examens sont cent pour cent fiables. Vous êtes bel et bien enceinte.
Stéphane : laissez nous s'il vous plaît. Je te ferai signe tout à l'heure.
Médecin : OK.
J'étais toujours assise près de Stéphane. Je... j'ai vraiment besoin de revenir à la réalité. C'est la deuxième fois que nous faisons l'échographie et le résultat est le même : je suis enceinte !
Donc, ça veut dire que.. Prisca m'a menti ? Pendant tout ce temps, je vivais dans un mensonge ? Un horrible mensonge... Prisca a changé ma vie en un cauchemar. Je dormais mal toutes les nuits depuis plus de cinq ans et tout ça à cause d'elle ? Je... Les mots me manquent, non, je ne sais vraiment pas quoi dire.
Stéphane ( en colère) : Flo, je ne sais pas ce qui s'est passé entre Prisca et toi mais cette femme c'est vraiment une psychopate et franchement je vais la poursuivre en justice. Non seulement elle a volé notre fils et elle t'a fait croire que tu n'étais plus en mesure de concevoir. Quel genre de...de.. d'être humain est-elle ?
Moi : je vais la tuer !
Stéphane : quoi ?
Je me suis levée soudain et je me suis dirigée vers la sortie, la rage au coeur. Mes yeux sont rouges, rouges de colère ! C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Prisca a dépassé les limites et moi, je ne vais pas en rester là !
J'entends Stéphane qui crie en m'appelant mais j'accelere le pas. Comment j'ai pu être aussi aveugle et ne rien voir dans son jeu. Juste quelques mois après que j'ai commencé à me prostituer, elle m'a informé qu'elle voulait que j'arrête pour m'occuper des nouvelles venues. La nouvelle m'avait étonné mais jamais je n'ai pensé que c'était pour... Pour ça...! Je dois en finir avec cette pouffiasse qui n'arrête pas de détruire tout sur son passage. Oui, je vais la mettre six pieds sous...
Je viens de recevoir un grand choc qui interromp le cours de mes pensées. J'entends vaguement Stéphane hurler mon nom et c'est le trou noir...
**Maëlys Desouza**
Moi : donc, je suis vraiment sa.. fille ?
Virginie : oui. Le détective de Bruno est très compétent et j'avoue même que je ne m'attendais pas à ce qu'il fasse aussi vite.
Moi : hum, OK ! Merci beaucoup Vivi. Je... je savais que c'était ça mais maintenant que j'ai ces documents entre mes mains, j'ai encore plus mal. Comment ma mère avait pu tomber aussi bas ?
Virginie : ne l'accuse pas à tort. Elle était leur employée. Reste à savoir si ton oncle... euh, ton père... pfff laisse tomber !
Moi : aucun d'entre eux n'est victime. Je les déteste vraiment. Encore plus ma mère. Elle aurait dû être franche. Au moins avec moi non ?!
Virginie : oui mais on est en Afrique et...
Ding dong...
Virginie : tu attends quelqu'un ?
Moi : pas que je sache. J'arrive un instant.
Je vais ouvrir et c'est la mère de Kelvin que je trouve au seuil. Elle sort d'où ? Moi qui pensais ne jamais la revoir...
Elle : salut ma grande ! Comment tu vas ?
Moi ( mal à l'aise) : euuh, bien, je vais bien !
Elle : OK, on peut discuter un peu ?
"Faut vraiment que je lui dise..."
Moi : madame... au fait... je pense que le mieux serait qu'on ne se parle plus. La dernière fois, j'ai essayé de parler avec Kelvin mais ça s'est finit en dispute et jusqu'à maintenant on ne se parle plus. Je suis vraiment désolée de le dire comme ça mais ce sont vos histoires de famille et le mieux serait que vous les réglez entre vous. Moi je n'ai pas à y interférer. Je ne suis que la petite amie de votre fils.
Je m'attendais à ce qu'elle soit triste ou découragée mais au contraire, elle avait toujours son air fier et hautain.
Elle : ok, je te comprends. Désolée pour le désagrément. Bonne journée !
Elle est partie.
Je reviens au salon en étant très surprise.
Virginie : c'était qui ?
Moi : la mère de kelvin. Je lui ai dis tout ce que tu m'as conseillé de lui dire et à ma plus grande surprise, elle n'était pas du tout touchée. C'est un peu bizarre non ?
Virginie : ouais, c'est sûr ! Fais attention à ne pas te créer des ennuis à cause de cette femme OK ? Et par rapport à ton amoureux, il relâche l'affaire.
Moi : bof, même pas. Figure toi qu'il m'a ignoré pendant toute la réception de son ami. C'est à peine si nous avons échangé trois mots !
Virginie : ok, phase deux, opération séduction ! Aucun homme ne résiste au corps d'une belle femme qui sait ce qu'elle fait. Vas te changer querida, on va faire les boutiques !
À suivre....
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