Chapitre 27 : On avance

Ecrit par dude

Un  mois plus tard….

Deschannel …

Depuis que Duda s’est réveillée tout va pour le mieux pour moi. Le boulot m’a accordé deux mois pour m’occuper de ma femme sans que je n’en fasse la demande. Je ne m’y attendais pas mais dans la foulé j’ai également appris que je suis affecté en Ecosse enfaite le mois de congé n’en ai pas vraiment un puisque je vais en Ecosse chaque deux jours pour les formalités et bien sur le job encore et toujours. Bref c’est déjà très bien de pouvoir la voir un peu plus souvent et en plus elle progresse assez bien dans ses rééducations et son rétablissement  mais, elle ne peut pas encore quitter le centre de santé mais elle commence à sortir de sa chambre. Chaque jour elle reprend des couleurs et j’en suis ravi.

Elle est assise à la extérieure de sa chambre, je me dirige vers elle, je reviens tout droit d’Ecosse pour lui faire une surprise…

Deschannel : «  Madame que faites-vous dehors à une heure pareille ? Je te rappelle que tu ne dois pas trop te forcer. En plus avec ce vent tu pourrais attraper froid et ce n’est pas le moment. Il est 19h45 presque 20h bb.»

Duda : «  Lubwa !! Je suis ta copine ? Tu m’as dit bonjour aujourd’hui ? Viens m’embrasser au lieu de faire le bruit dans mes oreilles »

Deschannel : «  Chérie tu sais que je suis au pain sec depuis là non ? Quand je te touche directement je bande à mort, en ce moment précipitère ou je plonge mon regard dans le tien tout mon corps recherche ta chaleur. Comment te refuser ce baiser ? Viens dans les bras tu m’as manqué mon amour. »

Duda avec une lueur coquine dans les yeux : «  Alors montres moi comment je t’ai manqué et à quel point tu a envie de moi…. » Avec une voix débordant de sensualité.

Deschannel : «  Bb ne fait pas ça tu me donne envie et actuellement tu ne dois pas trop te dépenser et j’ai trop peur de te faire mal. »

Duda : «  Qui a dit que je suis obligée de me dépenser ? Je veux que TU ME FASSE L’AMOUR …. »

Elle est rentrée dans la chambre en fermant les portes fenêtres. Avec une démarche féline malgré ses boitements.  Commencant à faire remonter sa robe lentement.

Cette femme risque de me provoquer un arrêt cardiaque, à chaque pas qu’elle fait mon cœur bas plus fort. Il faut me comprendre je suis en sevrage depuis au moins 8 mois et quand je la vois encore me faire les provocations sensuelles je me sens craquer de l’intérieur. Au fur et à mesure que sa robe remonte, je redécouvre ce corps que m’a tant manqué et qui me rend fou de désir.

Duda poussant Desch sur le canapé : «  Dis moi que je t’ai manqué…, que tu m’aimes, que tu me désir … Que je suis à toi… »

En même temps elle disait ces mots en même temps elle s’est mise à défaire la boucle de ma ceinture, elle a ouvert ma barguette  libérant mon membre qui était déjà sous tension depuis quelques minutes. J’étais comme paralysé par le spectacle qui se jouait devant mes yeux. Sans doute à cause du manque accumulé. Lentement elle a mis mon sexe dans ta bouche pour une procurer une caresse aux sensations amplifiés et exquises.

Desch : «  Dud….a… Bb … Je ne vais pas pouvoir me retenir si tu continue à m’allumer…. B….b …Hmmmm… quelqu’un pourrait rentrer ici. »

J’étais dans les nuages, cette femme sait me faire planer OUI… Tous les poils de mon corps étaient dressés. Brusquement elle s’est redressé, j’ai commencé à m’inquiété pensant qu’elle s’était fait mal quelque part en voulant me procurer du plaisir. Mais il n’en était rien madame s’est juste levée pour aller fermer la porte à clef. Tranquillement elle a délicatement relevé sa robe faisant glisser au sol sa culotte. Sans me demander mon avis elle  s’est assise sur moi entrainant par la même occasion que je la pénètre d’un coup. Elle mouillait déjà abondamment donc ma queue n’a trouvé aucune difficulté à trouver le chemin de son intimité. Je me sentais bien encrer en elle.

Elle a poussé un petit gémissement qui a faillit me faire perdre la tête car il avait un moment que je ne les avais plus entendu. Duda ondulait des hanches lentement me faisant pousser des grognements sourds à chaque coup de rein. J’ai glissé mes mains sous sa robes, titillant ses tétons avec mes doigts (lui arrachant par la même occasion des petits cris sexy) ses seins étaient chauds comme le reste de son corps d’ailleurs  que je couvrais de baisers.  

Duda : « fais-moi l’amour…. Haa….Haaa… oui bb continues…. Comme ça… Hmmmmm »

Je ne me suis pas fait prier. Délicatement je l’ai soulevé pour la déposer sur son lit, après m’être débarrassé de mon pantalon et le reste, je me suis couché derrière elle, après quoi je l’ai pénétré avec beaucoup de prudence. Que c’était BON PUTAIN !! je lui ai fait l’amour encore et encore. L’entendre gémir était juste un pur délice.  Je l’ai retrouvé toute une nuit, malgré sa convalescence elle s’est donnée à moi. Tout son être m’avait manqué, j’étais juste le plus heureux des hommes à cet instant. Nous nous sommes endormis au petit matin épuisé, après une nuit à faire l’amour délicatement et tendrement à ma femme.

Ce sont les coups frappés à la porte qui nous sorte  de notre doux sommeil, j’en suis venu à oublier que nous ne sommes pas dans une chambre d’hôtel ni même chez nous mais plutôt au centre de santé. Je me lève rapidement pour me revêtir pendant que Duda ne bouger toujours pas de son lit et se moque de moi qui coure partout à la recherche de mon boxeur.

Desch : «  Je peux savoir pourquoi tu ne cherches pas tes vêtements ? Ou tu veux que ton kiné te trouve dans cette tenue ? »

Duda toute  détendue : «  Viens me vêtir alors…. »

Desch : «  Ce n’est pas le bon moment bb, nous ne sommes pas dans une vraie chambre.» 

Duda : «  c’est le petit déjeuner qu’ils voulaient apporter. Ils repasseront dans 2h, ce qui nous laisse du temps pour que tu t’occupes de moi encore….un peu… »

Desch : «  Rho, tu n’es pas fatiguée ? Je ne veux pas les problèmes avec les fang pardon »

Duda : «  Ou tu viens, ou s’est moi qui te retrouve où tu te trouve actuellement avec pour seul vêtement ton pantalon qui gâche ma vue actuellement »

Desch : «  arretes de m’allumer !! »

Elle est descendue du lit en laissant son drap tomber exprès, et bien sur… j’ai encore cédé, en même temps  c’est normal mettez vous un peu à ma place. Elle m’a fait faire un sevrage forcé. Là je ne fais que prendre ce qu’elle me devait hein !! Nous avons fait l’amour à nouveau avant de prendre une douche.

Une plus tard, notre petit déjeuner était servi sur la terrasse extérieure de sa chambre, les médecins, sont passés plus tard prendre des nouvelles et nous donner les résultats des derniers examens qu’elle avait effectués.

Docteur : «  Je vois que vous reprenez des couleurs madame Binga et c’est très bien. Les résultats de vos examens montrent que vous récupérez assez bien. Normalement vous pourrez quitter le centre dans deux mois. »

Desch : «  Elle boite encore, vous pensez que dans deux mois le problème sera réglé ? Je suis un peu inquiet à ce sujet »

Docteur : «  dans deux mois je pense qu’elle pourra marcher sans béquille Mr, il a un petit souci, elle a pris du poids depuis sa sorti du coma, je pense que vous avez pu le constater de vous-même (sourire moqueur) donc c’est un peu normal qu’à ce niveau elle ne soit pas encore  totalement rétablie mais qu’à cela ne tienne en deux mois nous verrons comment elle réagit face aux traitements. Son œil aussi n’est pas totalement guéri mais nous sommes sur la bonne voie. »

Duda : «  De toutes façons j n’ai pas le choix, je continue les traitements. »

Docteur : «  Je ne m’en fais pas pour vous, vu comment vous êtes radieuse aujourd’hui, je pense que vous aurez la motivation nécessaire … »

Duda : «  heu… »

Docteur : «  C’est tout à fait normal, on se demandait juste à quel moment vous alliez vous décidez à passer à l’acte. Il faut juste faire attention Mr Binga, elle ne doit pas trop se dépenser et gardez en tête qu’elle est convalescente donc allez-y mollo !! »

Nous avons tous  éclaté de rire visiblement, tout le monde est au courant pour cette nuit. Kié même ici le congossa est fort !! Moi je ne regrette rien donc c’est tranquille. Maintenant que je sais que je peux enfin la toucher je compte bien rattraper le temps de son absence.

Je pense qu’il est temps pour nous de penser à avoir des enfants, cet accident m’a ouvert les yeux sur les surprises de la vie.  J’ai failli la perdre encore une fois et je ne veux plus avoir cette sensation de vide. Je veux qu’elle porte mes enfants. Pour le moment c’est délicat avec son rétablissement je ne veux pas la brusquer avec tout ce qu’elle doit affronter je ne veux vraiment pas la brusquer mais, il faut qu’on avance. Aujourd’hui je désir plus que tout fonder notre famille je souhaite qu’elle s’agrandisse. J’aime vraiment cette femme elle me donne des envies que j’ignorais jusque là. Il faut que je pense à superviser le déménagement, je suis soulagé de savoir que je suis affecté en Ecosse loin de toute cette merde du blèd. Je ne sais pas encore ce qu’elle a prévu faire par rapport à la femme de son ex, elle n’en parle presque pas et je ne sais pas si je dois rester calme ou m’en inquiété. Elle est tellement imprévisible que j’imagine le pire. An tous cas je suis ravis d’emmené mon épouse loin de tout ce monde. Je veux qu’elle s’épanouisse elle en a trop bavé, je pense que où nous partons il aura plus de sécurité pour elle et je serai plus tranquille. Le choc de son accident est encore trop présent dans ma tête.

Duda….

J’ai passé une nuit torride, oui, Desch m’a fait la surprise de débarquer sans me prévenir de son arrivée. J’avais envie de lui et il m’a comblé dans tout les sens du terme. Ma condition physique actuelle ne me permettais pas de faire grand-chose, mais lui, mon homme, mon amour, a su comment me prendre il m’a tellement manqué que je ne compte plus le nombre de fois qu’il m’a fait l’amour. En même temps le pauvre il a tenu plus de huit mois, je dois donc faire preuve de beaucoup de largesse.

Nous allons aménager en Ecosse ce qui est une très bonne chose pour un nouveau départ loin de tout. Beaucoup s’interroge sans doute sur ce que je prépare à Bénédicte. Je préfère vous dire que je planche sur le sujet et qu’une fois que j’en aurai fini avec elle, elle sera tellement traumatisée qu’elle risque de marché nue dans Libreville. Je ne suis pas une personne méchante, mais j’ai trop supporté les attaques de gratuite de certaine personne. Il est temps de passer à la caisse et croyez moi je ne blague pas. Donc c’est une chose de porté atteinte à ma vie mais s’en est une autre de s’en prendre à ma progéniture. Elle est allée trop loin pourtant je me suis retirée sans histoires mais visiblement elle n’a toujours pas compris alors je dois agir en conséquence. Ce nouveau départ dans un autre pays m’aidera à laisser toute cette peine derrière moi. J’ai trop donné aujourd’hui je dois revoir et tampi pour qui se mettra en travers de mon chemin.

Je dois me remettre en forme avant d’entreprendre quoique ce soit. Ma famille me soutient au maximum, je ne laisse pas la colère guider mes actes, je garde en tête ce qui ma conduit jusqu’ici. J’ai un homme qui m’aime et me le démontre chaque jour un peu plus, aujourd’hui j’y crois, le bonheur est la juste à coté je peux le voir, le saisir, le vivre et le partager. J’espère donner des enfants à mon époux c’est mon rêve. Mon cœur s’est fendu quand il m’avait annoncé que j’étais enceinte lors de l’accident. Il avait tellement mal que je l’avais ressenti très fort en moi, il veut des enfants. Je crois qu’aujourd’hui avec ce qui m’est arrivé il n’en parle pas mais je le ressens. Je lui donnerai des enfants quand Dieu me permettra je ne veux pas me mettre la pression.

Dudaland