chapitre 28

Ecrit par Boboobg



... Hope Divine Ngakosso-Onda....

Lui: alors mademoiselle divine, de quoi voulez vous parler aujourd'hui. 

Moi: je ne sais pas docteur. 

Lui: ça va faire huit séances deja et vous ne savez toujours pas quoi dire. Mais si vous préférez rester silencieuse, je respecterai votre choix mais c'est quand même cinq cent dollars de l'heure même si je sais que vous pouvez vous le permettre ! 

Moi: oui je peux me le permettre mais je suis là parceque j'ai un problème, un problème d'ordre psychologique et je veux que vous me guérissez! 

Lui: c'est bien que vous reconnaissez avoir un problème, c'est là la première etape vers la guérison mais je ne suis en rien un guérisseur. Je suis là seulement pour vous aider a aller mieux mais cela doit être le résultat de vos propres efforts. 

Moi: à vous entendre, tout doit être mon souhait n'es pas ? 

Lui: oui vous devez d'abord le vouloir, le vouloir vraiment et ensuite vous donner la volonté de le faire pour le faire. 

Moi: d'accord. Je peux donc parler de ce que je veux ? 

Lui : de tout ce que vous voulez ! 

Moi: OK, j'ai deux bébés. Ils sont magnifiques Tay et Igor. Deux pitbull pure race, ils ont l'air méchant mais ne feront jamais de mal a qui que ce soient. E tout cas aussi longtemps qu'ils ne me sentent pas en danger. Moi et Rodolphe ont s'en occupe comme deux parents même si je ne suis pas souvent là ! 

Lui: c'est qui Rodolphe ? 

Moi: c'est mon compagnon, mon monsieur muscle, mon garde du corps comme le dirai certains ! 

Lui: et pourquoi un garde du corps ? 

Moi: je suis une célébrité, il y'a les paparazzis,  les fans un peu trop fan et aussi les malades qui croient que parcequ'ils se masturbent sur tes photos, vous avez une relation pationnelle. Vous voyez ce que je veux dire ! 

Lui(griboullant des notes) : oui je vois. Et depuis quand êtes-vous protégés par Rodolphe ? 

Moi: depuis mes quinze ans je dirai ou peut être moins. Je ne m'en souviens plus. 

Lui: et donc c'est Rodolphe qui vous a conseillé d'acheter des chiens ? 

Moi: non il n'en voulait pas. J'ai dû ruser pour les avoir et aujourd'hui ce sont ses toutous ! 

Lui: donc Rodolphe est comme un père pour vous n'es pas ? 

Moi: oui même s'il me gâche toujours mes soirées, ce que daddy ne fera jamais! 

Lui: Daddy c'est votre père ? 

Moi: oui mon papa ! 

Lui: parlez moi de votre père ? 

Moi : il n'y a rien a dire de spécial, c'est un papa hors père. Il m'a toujours donné tout ce que je voulais et depuis qu'il avait su que j'existe, il a toujours été un bon père pas seulement pour moi, mais aussi pour mon frère et ma sœur ! 

Lui: interressant donc votre père ne savait pas que vous existez ? 

Moi : oui, a cause de sa mère qui n'a jamais accepté la mienne, nous ne nous sommes rencontrés que cinq ans après ma naissance ! 

Lui: donc votre père vous a ensuite pris avec lui ! 

Moi: non, j'habitais avec ma mère et son époux. C'est après l'accident que je suis allé vivre avec mon père, ma sœur avec Mimi et mon frère chez son oncle ! 

Lui : vos yeux brillent quand vous parlez de votre frère, vous semblez beaucoup l'aimer ! 

Moi(m'emportant) : qu'est ce que vous voulez dire par là, n'es pas normal pour une fille d'aimer son frère ? On a jamais rien fait de mal ! 

Lui(griboullant) : je n'ai rien dit de tel. Et si on parlait de votre frère ? 

Moi: il n'y a rien a dire sur mon frère ! 

Lui: vous etes ici pour quoi Hope ? 

Moi : pour guérir ! 

Lui: et guérir de quoi ? 

Moi: de tous les maux qui me rangent ! 

Lui: citer moi un des maux qui vous rangent ! 

Moi: heu je ne dors pas sur mon lit ! 

Lui: et pourquoi cela ? 

Moi: parceque je vois des choses, en fait j'y revois des choses ! 

Lui: vous est il déjà arrivé de dormir sur votre lit ? 

Moi : oui, quand je ne suis pas toutes seule, quand mon frères est là ou ma sœur et parfois mimi. 

Lui: qu'est ce que vous ressentez quand vous vous retrouvez seule dans un lit ? 

Moi: je... Je revois la scène ! 

Lui: quelle scène Hope ? 

Moi: je vois ma mère entrain de donner le sein a phansia et ensuite Alphonse arrive et s'assoie a côté d'elle. 

Lui(me fixant) : qui est Alphonse ? 

Moi: le mari de ma mère. 

Lui: qui est il pour vous ? 

Moi: il est l'homme qui a épousé ma mère ! 

Lui: Hope dite moi, ce soir là quand vous le voyez s'asseoir, qui est il pour vous ? 

Moi: c'est son mari que voulez vous que je dises ? 

Lui: dites moi ce que vous vous empêchez de dire. Ce qui est au fond de votre gorge et que vous ne voulez prononcer. Nous ne sommes que tous les deux alors dites moi Hope, qui est il pour vous ? 

Moi(respirant fortement) : c'est c'est c'est mon père, c'est mon père, c'est papa ! 

J'ai l'impression qu'un poids minime oui minime vient de quitter mes épaules. 

Lui: c'est bien Hope. C'est votre père, Alphonse est autant votre père qu'il est le père de votre sœur et votre frère. Pourquoi vous vous refusiez à cette vérité ? 

Moi: il a tué maman ce soir là, je l'ai vu sortir tout doucement le couteau mais je ne pouvais rien dire. Je ne pensais pas que c'était pour lui faire du mal ! 

Lui:croyez vous que votre mère est morte par votre faute ? 

Moi(gorge serré) : oui ! 

Lui: pourquoi croyez vous cela ? 

Moi: j'avais vu le couteau, si j'avais parlé, si j'avais dit a maman que papa avait un couteau ou si j'avais fait savoir que j'etais réveillé, il ne l'aurais pas tué., j'aurai pu éviter tout ça mais je n'ai rien fait et ma mère est morte (crise d'angoisse) ma mère est morte par ma faute, par ma faute ! 

Le psy se précipite pour me donner un sac avec lequel j'arrive après plusieurs minutes à réguler ma respiration. Nous restons ainsi pendant de longues minutes sans parler. Je n'avais jamais dit ça à  qui que ce soit, jamais. 

Lui: le mâle qui vous range le plus Hope, c'est votre mutisme. Le fait que vous vous soyez enfermer dans le silence. Nous devons savoir nouq ouvrir pour être bien dans notre esprit. C'est un grand oas que nois venons là de faire. 

Moi:.... 

Lui: qu'elle age aviez vous ? 

Moi: je venais d'avoir six ans. Maman avait meme organisé une petite fête a mon école. 

Lui: es ce que vous pouvez savoir ce qui se passera dans par exemple deux minutes ? 

Moi: je ne suis pas devin

Lui:voilà vous n'êtes pas devin Hope, vous ne l'êtes pas aujourd'hui et vous ne l'etiez pas a six ans pour savoir ce qu'aurait fait ou pas votre papa. Vous ne pouviez pas savoir, personne n'aurait pu le prévoir a moins d'être Dieu ou devin, ce que vous n'étiez et n'êtes pas. Ce qui est arrivé a votre mère sur son lit, était une tragédie oui mais ce n'était pas la faute de la petite fille que vous étiez. Répétez apres moi, ce n'était pas ma faute ! 

Moi : ce n'était pas ma faute ! 

Lui: encore ce n'était pas ma faute ! 

Moi: ce n'était pas ma faute !

Lui(me regardant dans les yeux) : ce n'était pas votre faute Hope et ce soir, je veux que vous dormez sur votre lit. Parceque un lit, c'est fait pour ça,pour dormir. Ce sera votre devoir a faire a la maison comme au primaire . La séance est terminée, on se voit dans deux jours ! 

Je suis sortie du cabinet du psychologue en allant directement dans les toilettes vomir un coup. Ça fait des semaines que je n'ai rien pris et les cauchemards ainsi que visions sont revenus en force. Il me fallait trouver de l'aide pour pouvoir venir en aide a ma sœur. Alors j'ai demandé une pause a charly afin de voir un psychologue pendant un moment. 

Le fait que José m'ait crier qu'il voulait  guérir avec ou sans moi, m'a fait réfléchir. Je veux guérir pour pouvoir moi aussi vivre sans avoir peur, pour ne plus me sentir coupable pour ne plus être celle que je ne suis pas. 

Je sors de là et me dirige vers un parc sur la même avenue que le centre où je m'assied sur un banc. Je regarde les enfants jouer a des jeux de leur âge avec cette insouciance qui les caractérisent. J'aurai tellement voulu rester insouciante. Ne pas avoir la vie que j'ai, j'aurai tellement voulu que tout ceci ait été une vaste comédie, un cauchemar, un film d'horreur. 

Aussi longtemps que les gens sont a mes côtés, je ne le vois pas alors je fais tout depuis que j'ai décidé d'arrêter la drogue de ne pas être seule. 

A cette heure, Rodolphe doit être en train de promener les chiens, je risque de ne troiver personne a la maison. Même si le psy m'a fait comprendre que je ne suis pas responsable de la mort de maman(essuyant une larme), ceka ne change en rien le fait que je ne sois oas a l'aise avec moi même. 

C'est au soleil couchant que je me dirige a l'appartement où je suis accueilli par une bonne odeur de spaghetti a la sauce bolognaise et les chiens ! 

Rodolphe : comment c'était Princess? 

Moi : Bien ! 

Rodolphe (les yeux brillants) : tu as dis bien ou je rêve ? 

Moi: non tu ne rêves pas et ce soir je veux les chiens dans la chambre stp 

Rodolphe (souriant) : ok je vais placer leur... 

Moi : non on sera sur le lit ! 

Rodolphe : tu es sûr ? 

Moi:je veux aller mieux. 

Il quitte la cuisine pour me faire sans doute un câlin mais de ma main je l'arrête. Je veux faire des efforts mais ça, c'est encore trop tôt pour moi. 

Rodolphe (me touchant la joue) : c'est bien princess, met toi bien je vais te servir ! 

Moi: merci ! 

J'ai envoyé un message a papa, je ne veux parler a personne et je n'ouvre mon téléphone personnel que rarement. J'écris a mimi et daddy pour leur dire que je vais bien. Ensuite j'échange un peu avec Alphonsia. 

Elles sont rentrés a Ottawa depuis deux semaines et Alphonsia n'a pas voulu revoir son père d'après ce qu'elle m'a dit, elle n'en a pas encore la force en ce moment peut être après s'être faite a l'idée mais il lui écrit tout les jours. 

Mimi elle, semble plus heureuse m'a avouer dans nos échanges Alphonsia, me disant qu'elle l'a soupçonne d'avoir un nouveau copain car elle s'enferme maintenant pour téléphoner. Je trouve cela bien, elle a besoin de respirer et quoi de moeux que de se faire baiser lol. 

Après le repas, je fais prendre un bain aux garçons et ensuite j'en prend aussi. Nous disons bonsoir a Rodolphe et nous montons sur le lit. 

Moi : ce n'est pas ma faute. Ce n'est pas ma faute ! 

C'est après deux crises d'angoisse que j'arrive a me coucher sur le lit, au milieu de mes deux chiens. Ce n'est pas de ma faute. Ce n'est pas de ma faute que maman est morte. Je n'aurai pu rien y faire, je n'étais qu'une enfant. Je n'etais et je ne suis pas devin pour savoir. Ce n'est pas de ma faute. 



.... Glory Kanda.... 

Sophie (riant) : et il me dit, n'essaie pas de te marier avec ce mangeur de riz. Je lui dit mais papa je l'aime moi mon mangeur de riz et il me répond, les chinois pas dans ma famille ! Je n'ai pas eu la force de lui répéter encore une fois que non papa, mon mec est japonais ! 

Moi(rire) : ton père n'est pas possible, donc jusqu'à maintenant tu ne lui a pas dit que Mori et toi etes deja marié ? 

Sophie (rire) : qui ça ? Moi ? Non hein, j'attends de finir avec toutes cettes pagailles qu'il y'a ici, d'avoir un petit Fujiwara en route pour lui lâcher la bombe ! 

Moi: bonne idée, je n'aurai jamais imaginé cela venant de sa princesse ! 

Sophie : c'est Bruce qui est fatigué, il m'a dut que maman n'arrête pas de lui demander quand sasa et lui feront un enfant. Non mais a quelques mois seulement qu'ils se sont mariés ! 

Moi: qu'est ce que tu veux, ils s'ennuient tous seules ! 

Sophie : vos parents abusent, ce n'est pas possible ! 

Benjamin(en courant) : papa, papa, maman dit que le dîner sera bientôt prêt ! 

Sophie : heeee l'amour de ma vie, vient embrasser l'écran mon ange ! 

Moi(lui laissant la place) : je n'ai jamais eu droit a ça  moi ! 

Benjamin (faisant des bisous sur l'écran de mon pc) : c'est parceque c'est moi son ange, n'es ce pas tata ? 

Sophie : bien sûr et tu sais qui t'a acheté le costume de Iron man pour halloween? 

Benjamin (sautillant) : ma tata, ma tata, ma tata ! 

Je sors de là avant de mourir de jalousie, entre ces deux là, il n'y a personne pour se mettre au milieu. 

Les dimanches, j'aime les passés en famille, entouré de ma femme et de mon fils. Et de temps en temps, a discuter avec la famille. 

Sophie est installée depuis trois ans a Tokyo a cause de sa boîte et s'est marié en cachette avec son patron, elle dit être amoureuse c'est ce qui compte mais mon père est un peu raciste sur les bords. Et le fait que moi je suis deja marié à Dominique qui est française de pure souche n'a pas arranger les choses. Sur ce côté là, sa fierté, ce n'est que  Bruce, comme il dit, lui au moins a su aimé les gens comme lui (rire). La vieillesse ne lui va pas à Théophile ! 

Dominique esg en train de faire la table avec la bonne. Je m'en vais lui donner un coup de main et en profiter pour lui claquer les fesses. 

Do:haiii ! 

Moi(l'attirant contre moi) : tu sais de quoi j'ai envie là ? 

Do(me poussant) : on est pas tout seul Glory ! Ou est Ben? 

Moi: avec l'amour de sa vie ! 

Do: haaa elle ne m'a pas salué ? 

Moi: tu la connais la réponse, onnmange quoi ? 

Do(faisant une moue) : poulet au purée de pommes de terre ! 

Moi(grimace) : ok ! 

Do(rire) : ne fait pas cette, j'ai fait du steak bien cuit pour toi ! 

Moi(sourire) : tu es la meilleure, un bisous ! 

Elle m'embrasse et s'éclipse dans le couloir pour sans  doute demander a Ben de venir manger. 

Dominique et Sophie, ce n'est pas une grande histoire d'amour. Rien de méchant, juste qu'elles ne se supportent pas. Mais maman, l'adore cnest deja ça. 

On passe a table, je finis par partager mon steak avec Benjamin, un petit brigand ce gamin. 

On regarde les infos suivient d'une petite bataille entre père et fils sur PlayStation et je vais lui faire prendre qon bain avant de le mettre au lit. 

Je ferme les portes de chez moi comme a chaque fois en souhaitant bonne nuit a Nora notre domestique. 

Je prends une douche, me brosse les dents et c'est a poil que je rejoins Dominique sous la couette. Je lui arrache son livre des mains et l'embrasse dans le cou en emmenant sa main sur ma queue. 

Dominique (gesticulant) : non je quis fatigué Glory ! 

Je n'en ai que cure de ses faux semblant et plonge ma main dans sa petite robe en soie. Je vaiq titillé juste un peu qon clitoris et plonger mon doigt dans sa cave deja toute inondé. 

Moi(lui montrant mes doigts mouillés) : alors tu disais ? 

Dominique (m'embrassant) : contente toi juste de faire l'amour a ta femme ! 

Je n'ai oas attendu qu'elle le dise deux fois que j'etais déjà en train de lui enlever sa robe et son string. Avant de lui écarter les jambes et d'attirer le bas de son corps vers moi. 

Dominique (me stoppant) : j'ai dit faire l'amour Glory donc ? 

Moi: je te ferai l'amour ! 

C'est de tout mon poids que je me suis couché sur elle en introduisant tout doucement mon sexe dans le siens. Dominique n'a jamais su supporter ma virilité, d'aussi loin que je m'en souviennent et les seules fois ou elle me laisse l'a baiser, c'est quand madame est trop saoule pour dire non mais elle passe toujours les jours suivants a le regretter ! 

C'esg avec douceur et lenteur que je vais et je veins en elle. En l'embrassant de temos en temps, mordant une oreille, une lèvre ou le bout de son sein. Elle ne tarde pas a jouir en mouillant tout le drap de son liquide ejaculatoire, ses cris de plaisir me ramènent quelques semaines plus tôt. Trois je dirais où j'étais dans cette même position avec une autre. 

Je la revoie me retourner brusquement et prendre l'avantage qur moi. Placé mes mains sur sa fine taille avant de commencer une dance endiablé sur mon membre tendu. Sensuellement elle s'est retourné sans sortir mon sex de son antre et s'est courbé au milieu de mes jambes en m'offrant toute la vue sur paris, avant de commencer à me baiser. Oui, elle m'a baiser comme jamais au paravent une femme ne l'avait fait. Le plaisir était tel, que j' ai ejaculer en poussant des cris d'animal blessé. 

Ce n'est plus ma femme que je vois là, c'est Oko avec sa peau carmelle et son regard de braise. Ce n'est plus ma femme que j'entends gémir, c'est Mireille avec sa voix de sirène qui m'en sorcelle. 

Je donne un dernier coup de rain en me libérant qaund je remarque Dominique qui me repousse pour ne pas que je m'écroule sur elle. 

Do(rouspetant) : j'avais faire l'amour Glory ! 

Moi : désolé chérie, c'était trop bon, excuse moi ! 

Elle s'est levée avec mal pour se diriger dans les toilettes où elle a pris un bain chaud avant de me réjouindre sur le lit. Jai voulu lui faire une câlin mais elle m'a repousser avant de me tourner le dos. Dans ce genre de moment, mieux je lanlaisse digérer sa colère. 

C'est en entendant sa respiration devenir régulière que j'ai tout doucement quitté le lit, mis mon peignoir et je suis sorti sur le balcon. 

J'ai regardé l'heure avant de lancé l'appel. Ça a sonner avant de couper signe qu'elle est occupée parce qu'il doit faire encore jour là bas . J'ai attendu presque une heure avant qu'elle ne rappelle, chance que le froid n'est oas zncore vraiment élu domicile en ce début d'octobre. 

Moi: bonjour Mi ! 

Mimi: bonjour bébé, comment vas tu ? 

Moi: ca va et toi ? 

Mimi :épuisé ! 

Moi: comment tu fais pour travailler les dimanches toi ? 

Mimi : c'était une urgence, la patiente aurait pu perdre son utérus. Ils m'ont appelé en catastrophe ! 

Moi: Mireille Oko est une héroïne. 

Mimi : et Glory Kanda est lon héros. Tu me manques, j'ai hâte de te revoir. 

Après notre soirée chargée de sexe cetre nuit là, nous nois sommes revus les trois autres nuits qui ont suivient apres leur retour tout en faisant attention a ne pas que Phansia ai des soupçon. Mireille dit ne pas vouloir donner une mauvaise exemple a sa fille, elle n'arrête pas de se sentir coupable par rapport a ma situation mais bon ce n'est pas comme ci c'était prémédité. Les choses se sont fait ou dois je dire refaites toutes seules. 

Trompé ma femme n'a jamais effleurer une seule fois mes pensées, d'ailleurs avec Mireille, je n'ai pas vraiment l'impression de la tromper. C'est comme si, nous etions destiner a  être ensemble. 

Ce soir-là, quand je suis sorti de cette maison, j'aurai dû rentrer chez moi. Maiq je voulais lui donner une réponse, je voulais lui dire que je lui avais pardonner. Qie cela m'avait pris du temps mais j'avais arrêté de lui en  vouloir. 

En entrant dans sa chambre, je l'ai entendu pleurer et mon cœur s'est serré dans ma poitrine. Je voulais secher ses larmes, je voulais la voir sourire, je voulais être auteur de son bonheur. C'était plus fort que moi. 

Moi(regardant derrière moi) :toi aussi tu le manque,c'est promis je viens te voir bientôt. 

Mimi: j'ai hâte, faudrai pas me faire de surprise, je voudrais bien m'organiser. 


Moi(souriant) : qulest ce que tu as en tête petite coquine ? 

Mimi (rire cristallin) : rien du tout monsieur Kanda, je penses juste a comment je vais m'occuper de mon amoureux ! 

Moi: tu as dit quoi là ? 

Mimi : ce que tu as entendu Kanda. 

Moi: c'est vrai tu m'aimes ? 

Mimi : je n'ai jamais arrêté de t'aimer Kanda, je t'aime comme une folle. 

Moi(souriant) :alors tu vas me revoir plus tôt que tu ne le crois. 

Mimi (rire) : pas de surprise monsieur ! 

Avec Mireille, c'est tellement plus facile, plus fluide. Ils nous arrivent de parler ainsi pendant des heures et ça me rend heureux même si j'arrive claque au boulot. 

J'aime ma femme et encore plus mon fils, j'aime tout simplement ma famille mais j'aime aussi ce lien quasi bizarre que je partage avec cette femme. A croire que pendant toutes ces années ma haine pour elle, n'était qu'une autre représentation de mon amour. J'ai tout fait pour l'oublier mais cela s'est imposé comme une évidence. 

Je ne sais pas ce que l'avenir nous réservent mais a trente cinq ans, je crois que c'est de loin la meilleure période de ma vie. 


 

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