CHAPITRE 28
Ecrit par Jojo D
Kylian
Mais
qu’es ce qui vient de se passer ? Je n’avais jamais vu Chlo dans cette état,
même après avoir appris pour l’existence de Sally et tout, elle n’a pas réagi
comme ça, mais ça se comprend aussi parce qu’elle n’avait personne sur qui
versé sa colère mais là, elle s’est carrément défoulé ce soir (rires), et moi
je lui donne entièrement raison, faut pas prendre des gens pour des con jusqu’à
ce point-là ! Axel avait beau être mon frère mais je ne cautionne pas tout
ce qu’il a fait mais ce qui me dépasse le plus c’est le fait que sa mère trouve
ça normal, hum, on aura tout vue dans cette famille. Je sors de ma rêverie
essayant de réfléchir comment je vais rentrer chez moi ; je pense avoir du
liquide donc j’irais en taxi. Je regarde autour de la salle et ils sont
toujours aussi consterner par le comportement de Chloé. L’oncle qui prenait la
parole se met à scander tellement il est dépasser
Lui : (retirant son violement son chapeau de la
tête et le jetant au sol) Oscar (le nom de mon père) donc c’est ce genre de
belle fille que tu as chez toi ? Une qui n’est pas capable de nous
respecter et d’accepter les traditions ?
Je vois
mon père baisser la tête de honte
Lui : elle nous manque de respect à nous ces pères,
nous insultes et n’adhère pas à nos décisions ? Non !, je ne peux pas
le croire………
Et la
contre toute attente je vois l’oncle de Cho se lever, durant toute cette scène
il n’a pipé mot et je peux voir qu’il est vraiment en colère mais se contient
T. Philipe : (se maitrisant) Oscar, nous sommes
des amis depuis bien longtemps avant que les affaires ne nous réunissent, et en
amitié comme dans toute choses faut savoir mettre un stop quand il faut. J’espère
que ton fils de là où il est, est en train de bruler dans les flammes de l’enfer
T. Madeleine : (se levant) je ne te permet……..
T. Philipe : (lui jetant un regard noir)
Madeleine je ne ressemble pas à ton mari donc quand je parle tu fermes ta
bouche ! (ce qui a le don de la calmé net) Oscar, je ne suis pas venu chez
toi pour que ta famille et toi vous humilier les miens, ton fils était mauvais
et ça ne surprend pas quand on sait qui est sa mère mais ne………..
Il est
coupé par sa femme, cette femme tellement son sang chauffe que je me demande
comment l’homme si fait pour la supporter
T. Rose : tu parles même quoi doucement depuis ?
Ce sont des animaux et il faut leur parler avec le non-respect qu’ils méritent (se tournant vers
T. Madeleine) tu n’as même pas honte ! Regarde le genre de choses que toi,
femme comme moi tu cautionne
T. Madeleine :
(brandissant les mains en l’air de façon théâtrale) je ne vois pas où est le
mal dans ca Rose, c’était son mari, elle n’a pas pu lui donner un enfant et il
est allé chercher dehors ! Il y’a rien de sorcier dans le fait qu’elle devrait
prendre en charge cette enfant et ce n’est pas le boucan qu’elle a tapé ici qui
vas m’arrêter, s’il le faut j’irais chez elle avec Alexia…….
T. Rose : (dépasser) vraiment Madeleine tu me déçois
beaucoup. Si cette situation t’était arrivé serais tu contente d’accueillir le
fruit d’un adultère chez toi ? Sache juste que tout se paie ici-bas, ne
pense pas récolter du bien si tu as fait du mal…..
T. Madeleine : ah pardon quitte moi la, vas prêcher
ça a l’église
Et sur
ceux, elle se tourne arrache l’enfant des mains d’un de mes oncles, se tourne
vers 2 femmes que je suppose être ces petite sœurs et sortent du salon en
trompe. Je regarde vers la direction de T. Philipe et de sa femme et je vois
que sa femme est vraiment peinée de ce qui arrive à Chlo. Je vois mon père qui
s’avance vers eux surement pour s’excuser mais il a à peine le temps d’ouvrir
la bouche que T. Philipe lève la main devant pour l’arrêter, tire sa femme et ils s’en vont. La salle est toujours dans
un brouhaha pas possible, chacun y vas de son grain de sel sur cette situation,
je suis certes un africain mais je ne comprendrais jamais les mentalités de
certaines famille africaine. Je me mets à chercher mes clés dans les poches de
mon jean quand je me souviens que Chlo a embarqué ma voiture dans son délire,
sans plus un regard pour cette salle, je me lève et je m’en vais. Une fois hors
de la maison je marche enfin d’atteindre le coudrons ou je pourrais facilement
prendre le taxi ou la moto pour chez moi………….
Lynn
Chloé
Famille
de sorcier ! Soldats de Lucifer ! Ça ne vas vraiment pas dans leur tête,
donc ils pensent vraiment que moi, Kamgué je vais élever l’enfant de Sally et
Axel dans ma maison ? Ils ont menti, même si c’est Dieu qui descend sur
terre cette enfant ne vivra pas avec moi, les foutaises comme ça !
Je viens
d’arriver à la maison, je me gare et je descends, j’entre et la première chose
a quoi je pense en montant les escaliers c’est de prendre une bonne douche,
tout cet échauffement chez ma belle-famille ma donnée chaud. Apres ma douche j’opte
pour un micro short et un body étant donné que je ne compte plus sortir de la
journée et je descends. Je suis à la cuisine en train de me servir un verre de
jus d’orange quand j’entends des bruits dans la cours, je sors donc afin de
savoir ce qui se passe quand je vois ma belle-mère tenant l’enfant dans ces
bras accompagné de ces sœurs, dès qu’elles m’aperçoivent, ma belle-mère dépose
l’enfant au sol
B.M : femme stérile, tu es enfin sortit de ta
cachette
Je me
contente juste de la regarder faire son boucan
B.M : tu es la incapable de faire un enfant, un
ventre vide de ton état mais le bon Dieu te fait grâce en te donnant un enfant
cadeau tu es la a vouloir nous tué
Elles ont
continué à bavarder tout en m’insultant, je baisse les yeux vers la petite et j’ai
vraiment mal pour elle, avoir une grand-mère comme ça ce n’est pas une aubaine
du tout. Lasse t’écouté leurs bavardages je décide d’y mettre fin
Moi : Mama pardon mettez-vous dehors, et n’oublier
pas de prendre l’enfant avec vous
B.M : (tapant dans ces mains) eeeehhh Lynn c’est
à moi que tu parles comme ça ? Si je ne sors pas tu vas me faire quoi ?
Moi : tu veux vraiment voir ce que je vais
faire si tu ne sors pas avec ta clique ? Ok, attend moi, j’arrive
Ceci dit,
j’entre dans la maison en courant, me dirige vers le petit magasin près de la
cuisine et y ressort une fois que j’ai trouvé ce qui m’intéresse, un cadavre
sortira ici ce soir et ça ne sera pas moi. Je ressors de la maison en courant,
je vois qu’elles sont distraites entrain de bavarder et enfin de signaler ma présence,
je gratte ce que j’ai en main au sol
KRAANNN KRANNNNN
Ah mouf !
Faut voir le marathon qu’elles ont pris dès qu’elles on vue ce que j’ai en
main, ma belle-mère à lancer un cri d’horreur avant de tirer l’enfant et de
courir vers la sortie avec moi derrière elles, brandissant ma machette. Elles arrivent
à sortir du portail toujours en criant avec moi à leurs trousses avec ma
machette en main. Je suis déjà près de les rattrapé quand je me sens soulever
de terre, la surprise me fait lâcher la machette, je me tourne donc pour voir
qui a osé me touché et je vois qu’il s’agit de Kylian et la manière donc son
visage est déformé par la colère, il n’a pas l’air content du tout, j’arrête
donc de me débattre et je me laisse faire docilement. Il se baisse, ramasse la
machette et direction la maison ; hum, je sens que ça va barder pour moi
aujourd’hui. Pendant qu’il avance avec moi dans ces bras je constate qu’il y’avais
déjà un attroupement dehors entrain de suivre la scène ; vraiment le
Camerounais aime les choses comme ça, petit cris et tout le monde est déjà dehors
pour de quoi il s’agit.
Dès que
nous arrivons au salon il me dépose au sol et jette la machette a ses coté, par
prudence je fais quelques pas en arrière
Lui : tu peux me dire ce que tout cela signifie ?
Moi : (croissant les bras sur ma poitrine et le
défiant du regard) sa signifie que j’avais des comptes à régler avec ta belle-mère
Lui : et tu penses que c’est en sortant à moitié
nu, muni d’une machette que tu règleras ces comptes ?
C’est là
que je me rends compte d’effectivement j’étais presque nue, ehhh Seigneur !
Moi : et qu’es ce que j’aurais dû faire ? T’attendre
peut être ? Tu as été incapable de prendre ma défense quand on était chez
vous et la tu viens me raconter quoi ? Laisse-moi gérer mes problèmes
comme je veux
Lui : et que voulais tu que je fasse ? Que
je me mette à crier comme toi ?
Moi : au moins moi je réagis. Tu n’es qu’un
traire Kylian, tu supportes ta famille dans tous leurs bêtises, tu n’es pas
mieux que ton petit frère, tous des enfoirer, vous n’en avez pas assez dans le
pantalon pour vous imposer quand il le faut, que des………..
BAM
Je me
sens pousser violement sur le mur du salon, je fais une petite grimace ;
ce gars vas finir par me briser le dos à force de plaquer sur le mur comme ça.
Lui : répètes un peu ce que tu disais
Moi :
Lui : et bien comme ça, je n’en ai pas assez
dans le pantalon ? Et bien je vais te montrer le contraire
Et la
sans crier gare il m’embrasse ; son baisser est sauvage, impérieux et
dominateur, quand je décide de suivre le mouvement de nos lèvres il me mordille
la lèvre inferieur, pas le temps de crier qu’il reprend sa douce torture sur
mes lèvres tout en malaxant mes seins, il libère mes lèvres descend et m’enlevé
mon short des fesses et en fais de même pour mon string et remonte s’attaqué à
mes lèvres tout en introduisant deux doigts en moi tout en torturant mon
clitoris avec son pouce, sans plus tarder je m’attaque a sa fermeture et libère
son membre déjà bien dresser. Je suis en train de m’appliquer à lui donner des
caresse quand soudain il soulève mon pied droit, enlève ses main da chatte et
sans crier gare me pénètre d’un coup sec, je lâche un cris aigu tellement c’est
bon et ça fait mal à la fois, pas le temps de souffler qu’il commence ces vas
et viens en moi, toujours avec cette brutalité, je ne sais pas si je suis en
train de crier ou de gémir, mes pieds commence déjà à trembler, je ne tiendrais
plus longtemps avant d’atteindre le nirvana. Il continu ces coups de butoir
plus sec que jamais signe qu’il ne tardera pas à venir lui aussi et quelques
seconde plus tard n’y tenant plus je me lâche suivi de près par lui et nous
nous écroulons sur le sol. Je suis toujours en train de souffler quand j’entends
comme dans un murmure
Lui : Je t’aime Chlo
Je baisse
un peu la tête et je constate que lui-même ne se rend pas compte de ce qu’il
vient de dire, mais ça me réchauffe tellement le cœur ; IL M’AIME ! Je
le serre encore plus contre moi et aussi doucement que je peux
Moi : je t’aime aussi……….
Une
semaine plus tard
Je suis assise devant le miroir en train de
mettre la dernière touche sur mon maquillage, comme vous l’aurez devinez Kylian
et moi sommes de sorti ce soir, pas pour un truc un amoureux hein, mais une sortie
de travail en quelque sorte. Nous avons tous les deux reçu chacun de son côté
une invitation pour une réception à l’honneur des jeunes entrepreneurs
Camerounais et étranger basé ici au Cameroun, la réception se tiendra à la
salle des fêtes ARENA situé au quartier Bonamoussadi derrière la banque SGBC. Pour
cette occasion j’ai opté pour un look simple et classique ; une robe noir
longue manche qui m’arrive au niveau de la cheville, les manches et le bustier
sont transparent, une paire d’escarpin noir et pour la coiffure j’ai opté pour
une greffe toute lisse avec une raie au milieu, une pochette rouge, un peu de
parfum et me voilà prête, je descends trouver Kylian qui s’impatiente déjà en
bas et on s’en va.
Arriver
à la réception, je suis agréablement surpris de voir que Max est également de
la partie, je fais les présentations et nous prenons place. Je suis en train de
discuter avec Max tout en gardant la main de Kylian dans la mienne quand
soudain je le vois se crisper, je m’excuse auprès de Max et me tourne vers
Kylian et je vois une jeune femme assise à sa droite, très belle je dois l’avouer,
teint claire et tout, je la regarde attentivement et son visage ne m’est pas
inconnue, je cherche rapidement dans ma mémoire et là, bingo ! Je me
souviens d’elle ; c’était elle la partenaire de Kylian quand il m’a
surpris en train de danser en boite avec un inconnue, nos regard se croise et
elle me lance un regard plein de défi tous en se caressant le ventre. Je comprends
pourquoi Kylian s’est crispé tout un coup mais je ne comprends pas ce qu’elle
fait la………………………..