Chapitre 3
Ecrit par Nessa.Belmonde
Chapitre 3
** Naïrobi Masiya **
Je me réveillais lentement de cette nuit tourmenté, j’émergeais d’un sommeil tourmenté , en ouvrant les yeux j’ai vu cette .. cette chose près de moi et ma mère pas très loin entrain de somnoler sur une chaise à peine confortable.
Pourquoi as t-il fallu que cela m’arrive à moi ?! Qu’ai je fais pour que ce malheur puisse tomber sur moi , souffrais-je déjà pas assez ainsi ?! Il as fallu me rajouter cette chose qui as vécu en moi pendant des mois , il fallu que cette chose soit là pour me rappeler ce que j’ai vécu , un souvenir que j’essaie d’effacer du plus profond de ma memoir.
Ma mère se réveillais pendant que j’avais les yeux rivé sur le plafond
Maman : Naïrobi o lamuki ?! ( est tu réveiller ?! ) Dit-elle en se levant
Moi : ..
Maman : papa est parti lui acheter le nécessaire car il n’a rien du tout
Moi : ..
Maman : Ah seul Dieu sait comment il fait les choses ma fille .. seul Dieu sait .. maintenant et voilà ce petit miracle
Moi : De quel miracle parle tu ?! Dis-je en tournant mon regard vers elle
Maman : Je parle de cette enfant
Moi : Il n’est pas un miracle mais un malheur !
Maman : Ko banda té ! ( ne commence pas )
Moi : Je sait ce que je te dit ! Crois tu que c’est une joie pour moi de le voir !?
Maman : Naïrobi cette enfant n’a rien demandé
Moi : c’est sa !
Maman : C’est un innocent
Moi : Et moi donc ?! Ne suis-je pas innocente ?? Je ne l’était pas quand une personne est venu me faire ce qu’il m’a fait pour engendré cette chose ?! Où est Dieu dans tout sa ?! Tu me parle de miracle celui qui fait les miracle soit disant ou est ce qu’il est ?! Celui qui est sensé me protéger ou est ce qu’il était quand le géniteur de cette chose et venu gâché ma vie ?! Hein ?!
Maman : ..
Moi : C’est bien ce que je me disait
Maman : C’est pas parce que je n’ai rien dis que tu as raison, je ne te répond pas car ça ne sert à rien que je puisse t’expliquer quoique se soit car tu n’est pas en état de comprendre les choses
Moi : Maman je veut rester seul
Maman : Je ne te laisserais pas seul avec cet enfant Dieu seul sait ce que tu peut lui faire si j’ai le dos tourné
Elle resta avec moi jusqu’à ce que je m’en dorme , je me suis réveillé uniquement quand les infirmières sont passé pour faire quelque soins et elles m’ont dit que je pourrais sortir demain .
C’est mes parents qui le nommèrent au nom de Iyad .
Le lendemain,
En rentrant je me rendit directement dans ma chambre , mes parents se sont chargée de leurs nouvel enfant moi je ne le veut pas près de moi.
Assis sur le lit le regarde dans le vide Abraham apparut sur le seuil de la porte de ma chambre
Abraham : Naïrobi ..
Moi : ..
Abraham : Je reste ton frère .. et pour rien au monde je pourrais te faire du mal , cela fait plusieurs mois que tu ne me supporte guère près de toi , je ne suis pas la personne qui t’a fait sa , nini papa , nous sommes ta famille, et si je pouvais maintenant être avec celui qui t’as fait sa crois moi que je le tuerais de mes propres main
Moi : ..
Abraham : Je t’aime ma sœur et cela m’attriste de te voir ainsi
Après quelques petites minutes de sans response de ma part il parti.
Trois mois plus tard
Je ne supporte pas cette enfant, l’entendre pleuré je n’en peut plus ! Il est trois heures du matin et le voilà entrain d’hurler pour je ne sais quel raison , je le regardais pleuré parce que je ne sais pas quoi faire de lui , je ne comprend pas pourquoi maman s’entête à ce qu’il dorme avec moi , que je passe du temps avec lui , lui donne son lait , son bain, des fois j’ai envie de le noyer de son bain tellement que je ne le supporte pas ! Quand je le voit , juste son visage , ses yeux tirer et sa peau matte , je me dis qu’il doit ressembler a la personne qui m’a fait sa , un jour j’ai entendu mes parents discuter ma mère disait à mon père qu’il devait avoir des origine libanaise .
Ma mère rentra dans la chambre
Maman : Mais Naïrobi depuis que l’enfant pleure tu ne fait rien ?? Dit-elle en le prenant dans ses bras
Moi : ..
Maman : Mais Naïrobi sa couche est rempli ! Il .. fait de la fièvre . Dit-elle en le touchant
Ella ma regarder quelques secondes avant de sortir avec le bébé en furie de la chambre . Mon père est venue quelques minutes plus tard très en colère
Papa : Naïrobi trop c’est trop ! Cette enfant fait de la fièvre ! Cela fait plus d’une heure que tu le laisse pleuré sans rien faire ! Je ne tolère pas que tu puisse faire du mal à un innocent qui ne t’a rien fait ! Encore moins quand c’est ton enfant !
Maman : Yaka yaka to kende hôpital bangu ! Criait-elle au loin ( vient vite que nous partons à l’hôpital ! )
Il quitta ma chambre avant de claqué la porte .
Quelques jours plus
Personne ne me parle à la maison, tout le monde m’ignore et plus mes parents , je ne vois plus le bébé , ils ne le déposent plus dans ma chambre et je m’en fiche . Rien et ni personne ne va me faire changer d’avis !
Dans l’après-midi je suis sorti de la pour aller m’acheter un petit truc à manger pas très loin, en rentrant sur mon chemin je vit le gigolo de y’a Maï entrain d’embrasser une fille mon sang a fait juste un tour , je me dirigea vers lui à pas décider avant de finir lui sauté au coup comme une folle , j’avais la haine il fallait que je la déverse sur quelqu’un
Moi : Imbecile c’est sa que tu fait à ma sœur ! Criais-je en lui griffant le visage
Sa copine était entrain de crié derrière moi mais elle , elle était le cadet de mes soucis , je voulais en finir avec lui maintenant tout de suite , il me poussa je tombas en me relavant j’ai pris du sable avec moi et je lui lança dans les yeux , il hurla, je profita de se moment pour me jeté sur lui , lui mordre son oreilles à sang, lui donner des coups au testicule , il se défendais , il me faisait mal mais je ne le sentait pas à ce moment , jusqu’à ce que des passant finirent par nous séparer.
Il criait et m’insultait de pute qui cherche à se faire violé , jusqu’à ce que j’ai eu un enfant, je ne lui répondais pas car c’était peine perdu , quelqu’un me raccompagnas chez moi , je lui demandèrent de me laisser à deux pâté de maison de la nôtre pour que mes parents ne se doute de rien , j’enlèvas du mieux que j’ai pu tout le sable que j’avais sur moi avant de rentré à la maison. A peine rentré que j’entendis la voix de ce bébé pleuré qui m’irrite la peau , il ne se calme jamais , tout le temps il pleure va savoir pourquoi, il m’énerve tant.
Dès que je rentra je suis directement parti m’enfermer dans ma chambre, après avoir pris une douche à peine je me mettais sur le lit que y’a Maï rentra dans ma chambre en furie
Maï : Imbecile ! Petite conne comment te permets tu te lever la main sur Hans . Dit-elle en me poussant la tête
Je me suis directement levé
Moi : Y’a Maï arrêter sort de ma chambre
Maï : Imbécile le fait que tu soit une aigris violé cela ne te permet pas de venir lever la main sur Hans
Je fût très blessé par ses mots , commet ma grande sœur peut elle me parler ainsi
Moi : Il te trompait ! Dis je en criant
Maï : arête de mentir ! Criait-elle
Elle me gifla , sans tarder je lui rendit la gifle et de la commença une bagarre entre elle et moi , mon père et Abraham sont venu nous séparer
Papa : J’en ai marre de vous deux ! Criait-il. Naïrobi comment tu peut te permettre de te battre avec ta grande sœur ?! C’est quel genre d’impolitesse sa ?!
Moi : elle m’a insulté parce que j’ai osée la défendre son gigolo !
Maï : Ne l’appelle pas comme sa , sale violé
Abraham se retournas vers elle et lui assigna une gifle
Abraham : Espèce de folle, sorcière ! A cause de ton vieux mec tu te permets d’insulter ta petit sœur ainsi ?!
Maï : Qu’elle ne parle pas de Hans !!
Papa : Bima ! Bima n’a ndaku na nga kende na zoba na yo ! ( sort ! Sort de chez moi , part avec ton gigolo )
Elle sorti la de maison et moi je retourna m’enfermer dans ma chambre jusqu’à ce que je me suis en dormis.
J’entendais des cris de pleurs, les pleurs de bébé , j’ouvrais les yeux et je vie Amari se faire jeté par la fenêtre de ma chambre par une personne dont je ne voyait pas le visage vu qu’il faisait noir dans la chambre, je hurla , je suis sorti dans la chambre en courant pour le voir dans la cours , je criait maman pour qu’elle puisse me rejoindre mais elle ne sorti point de sa chambre, quand j’arrivais dans la cour j’ai vu le petit corps de mon bébé par terre sand vie , je hurla , et j’entendis une voix me dire « je te l’arracherais et tu en aura plus jamais ! » je pleurai Amari en criant « rendez moi mon bébé » et je me réveilla en même temps , j’étais toute transpirante en cherchant Amari a mes côtés mais j’oubliais que désormais il dormais avec mes parents.
Pendant trente minimum j’hésitais a aller le récupérer dans la chambre de mes parents au vu de l’heure quelques secondes après je l’ai entendu pleuré , je me suis directement rendu dans la chambre de mes parents pour le prendre devant ma mère sous un air choqué , sans rien dire j’ai récupéré mon enfant et tout se dont j’avais besoins pour m’occuper de lui avant de m’enfermer avec lui dans ma chambre.
Après avoir fermer la porte je me suis lâché et j’ai aussi pleuré .
Moi : Je suis désolé , je suis désolé , maman est désolé mon amour , maman est désolé . Dis-je en sanglotant