Chapitre 3 : l’agression

Ecrit par Nifêmi



interdit au moins de 18 ans SVP!!!


---- Jersey----

Il m’a eu le Boss. D’habitude monsieur Dean m’envoyait en privé vers des clientes dans des hôtels ou dans d’autres villes. Mais jamais ici ! Qu’est-ce qui lui arrive de m’envoyer travailler avec Vénus et Sersey ? Je n’ai pas d’autres choix que de la suivre. Il a promis de payer le bail annuel de mon appartement. Quand je pense que tout ce que je gagne ne suffit pas pour m’occuper de ma mère et de ma petite qui est au collège. Je dois payer leur maison chaque mois, leur agent de poche et les frais en rapport avec la scolarité de ma sœur. Depuis mes quinze ans je faisais des petits boulots pour assister ma mère, j’ai un père démissionnaire, il s’est évaporé dans la nature. Aujourd’hui, du haut de mes vingt ans je suis celui qui doit m’occuper d’elles et  l’aide du boss est la bienvenue, raison pour suivre cette Sersey. Un boss dont on n’a jamais vu le visage, d’où lui est venue l’idée des masques ? Je travaille ici depuis presque trois ans et le concept du masque a triplé la clientèle j’avoue.

 Et elle ne sait rien de ce que je fais à part mon rôle de barman pour camoufler. Je l’aime bien, c’est une fille superbe en forme. Son air fragile me rend accro, elle me donne envie de la protéger et je la veux hors de ce monde pour un meilleur avenir. J’envisage sérieusement me mettre en couple avec elle, pourquoi ne pas avoir des gosses. Je la sais sérieuse mais j’ai du mal à la voir avec ces goujats qui la tripote, ai-je le choix ? Je supporte d’une part parce qu’elle m’aide financièrement car pour elle mon boulot de barman ne me rapporte pas trop et d’autre part vénus la bombe me déstresse. L’une et l’autre ne savent pas que je les gère. Avec Sersey c’est du sérieux bientôt elle va fini avec ce boulot de merde, mais avec Venus c’est juste des parties de jambe en l’air. J’aime bien sa façon à elle de s’ouvrir sexuellement, elle est très cochonne mais pas de mon goût. Elle est trop mince et plate !

Je suis Sersey, elle est avec Venus qui lui chuchote à l’oreille je ne sais quoi. Je les suis jusqu’à la cabine. Je vois une jeune dame allongée sur le sofa, sans son masque. Elle est novice ou soit elle sait à quoi s’attendre en exposant son visage. Elle a l’air si jeune. Elle demande à la fille de venir vers elle et me demande  de me servir à boire. Mais avant de m’assoir elle demande à ce que je me déshabille avant de m’assoir. Waouh quelle autorité !! Le pouvoir de l’argent ! Je m’exécute. Je me déshabille rapidement. J’aimerais bien me déshabiller lentement et lui faire une danse de strip-teaseur comme je le fais aux autres clientes mais non, je suis gêné de le faire devant Sersey et Venus. Elles ne feront plus ce qu’elles sont censées faire à la jeune dame.

Je prends place sur la chaise assise confortablement, mon verre rempli de whisky à moitié. Je bois une petite gorgée. Les petites s’activent devant. Je fais confiance à la Venus, très entreprenante, qui a sa tête entre les cuisses de la petite dame. Je fais confiance à sa langue experte, j’en sais quelques choses. Rien qu’avoir ses pensées je sens une érection que je cache tant bien que mal à cause des gémissements de cette petite dame. Elle me fixe bordel ! Je ne peux détourner mes yeux, une lueur excitante illumine son regard. Mes fille faisaient bien leur boulot, les mains me démangent, Sersey joue le rôle que j’envie : attraper les seins bien fermes de la petite. Elle  pousse des cris de jouissances, elle a l’air détendu et l’air de se laisser faire. Elles me donnent envie de m’occuper d’elle une à une.

Subitement, la petite dame se lève, sa robe tombe elle vient vers moi souriant malicieusement, elle sort un condom de nulle part et me l’enfile. Je suis bien tendu, elle s’assoit aisément sur moi en enfonçant mon petit ‘’J’’ en elle. Elle est super légère et bien humide. J’aurais bien voulu une petite fellation mais je me contente de son sexe humide bien étroit. Le temps de passer les bras autour de sa taille, elle me chevauche déjà avec une telle facilité. Normal sa taille le lui permet. Je la sens se cambrer en avant et frotte son sexe sur mon pubis pendant un moment. Elle se penche en arrière, punaise ! Je vais venir ! Elle me serre dans ses bras et je me vide, au même moment que moi elle jouit aussi. Son vagin se contracte sur mon pénis et un liquide coule sur mes balles. Elle maitrise l’affaire. Je n’ai jamais connu ça, une femme qui contracte son sexe de cette façon.

J’avais les yeux fermés, j’ai réalisé que les filles me regardaient, j’ai très honte. Pour couronner cette extase, la petite dame m’embrasse langoureusement, sa langue est mentholée. J’entends tousser, la dame me lâche et se lève. Je fais de même, je me dirige dans la toilette sans aucun regard pour Venus et Sersey. J’enlève ma protection avec les papiers toilettes. Surprise, je suis toujours en érection. Petit ‘’J’’ en veux en plus. Je prends un peu d’eau du robinet pour me débarbouiller et me rafraichir.

Je sors de la douche c’était la fête, les verres en main, les trois dansaient et se trémoussaient l’une contre l’autre. J’assiste à ce spectacle incrédule. Je prends place dans le sofa pour mieux les observer. Elles sont nues comme des verres, elles s’embrassent entre elles. Petit ‘’J’’ maintient toujours sa position, tendu, droit et bien dressé, voilà ce qui fait ma fierté. Je vais me les faire toutes, mais ma préférence c’est la petite dame. Je la regarde bouger et se déhancher. Elle fait accroupir Venus devant son sexe et chuchote un truc à Sersey à l’oreille. Sersey vient vers moi, sourire aux lèvres et s’accroupit à son tour entre mes jambes. Elle pose ses mains sur mes cuisses et donnes des petites bises à petit ‘’J’’. Elle l’enrobe de ses lèvres pulpeuses et me fait une fellation. Une profonde fellation, c’est-à-dire elle descend pour avaler aussi mes balles. Comme un bel ingrat je l’ignore malgré le plaisir qu’elle me procure, j’ n’avais d’yeux que pour la petite dame. Elle aussi jouissait sous les caresses que Venus lui prodigue.

Je me lève, je vais me tenir derrière elle pour avoir un accès facile à sa poitrine. Je lui pince le bout des seins avec mes index et majeurs. Elle penche sa tête en arrière pour m’embrasser. Je la repousse violemment en avant pour qu’elle m’offre ses fesses. Je m’apprête à la fourrer quand elle esquive, manquant de tomber sue Venus. La scène me fait sourire. Elle me dit :

Elle : je ne suis pas la seule ici chérie, tu fourres celle-ci ou celle-là.

Elle désignait les autres avec son menton.

Moi : c’est je veux, et je pense que tu as payé pour ça n’est-ce pas.

Elle : j’ai payé pour jouer avec vous et aussi pour respecter les règles du jeu.

Moi : les règles ? Lesquelles ?

Elle : la seule et unique règle mon chéri : mes ordres sont des désirs. Trêve de bavardages, tu fourres Sersey et je garde la déesse Venus avec moi. Ok ?

Sans répondre lui répondre, je rejoins l’autre qui souriait déjà. Elle se met à quatre pattes et je la pénètre d’un coup sec sans crier garde. Personne ne m’avait jamais rejeté de la sorte. Petite dame pourrie gâtée excitante. Mon sexe grossit de plus en plus. Je n’éprouve aucune pitié pour Sersey, je fouette avec une sauvagerie inexplicable. Je suis contrariée ! Je lance un regard en direction de la petite dame, Venus est allongée sur elle, les deux me regardaient. Elles sont excitées apparemment par les cris de Sersey ou peut-être de ma prouesse. Je sens le liquide venir, je me retire immédiatement de Sersey, je coupe ma respiration quelques secondes, astuce pour refouler le sperme. Je m’assois pour reprendre mon souffle et je dis à la petite dame :

Moi : c’est toi j’ai envie de défoncer, tu es très bandante

Elle : viens !

Sans me faire prier, je bondis sur elle. Je la mets sur ses pieds et je la pénètre sans préservatif. Je voulais sentir les muscles de son vagin se contracter sur mon engin. Sa taille me permet de bien me retrouver au fond d’elle. Son buste parallèle au sol, j’allais et venais en elle. Elle jouissait et mouillais davantage, et je glisse à mon plus grand bonheur, et à mon plus grande déception, elle contracte ses muscles vaginaux, je ne pouvais pas contrôler cette fois-ci. Je me retire et me déverse sur la peau lisse de ses fesses. Apparemment elle n’a pas atteint son orgasme. Elle se redresse et me toise et s’en va dans la douche pour se nettoyer surement. A peine la   porte se referme que Sersey m’apostrophe, elle était allongée maintenant elle s’assoit :

Sersey : c’était quoi ça ? Tu voulais me fendre ?

Moi : Sersey, ne te fâche pas je suis barman et je ne sais pas comment vous faites les choses donc j’ai été emporté

Sersey : ah oui, mais tu tenais à la baiser pour un novice

Moi : l’effet de l’alcool. Le travail et l’alcool ne font pas bon ménage. Excuse-moi

Venus : arrêtez, elle peut vous entendre. De quoi ça se plaint d’ailleurs !

Moi : calme ta copine s’il te plait.

La petite dame sort de la toilette toute nue telle qu’elle était rentrée. Elle a un beau corps très propre. On sent qu’elle n’est pas une fille du coin.

La petite dame : que se passe-t-il ?

Moi : rien madame

Elle : appelle moi Foumi

Moi : il se passe rien Foumi, juste qu’on commente la soirée. Il est à peine 2 heures du matin, les choses sont allées vite.

Elle : ah oui, les choses sont allées vraiment vite, genre tu exploses sans me faire jouir. Le premier coup est bon mais le deuxième ça laisse à désirer. Tu voulais prouver ta virilité j’imagine !

Elle efface le sourire de mon visage avec ce qu’elle vient de me dire. Seule Venus en rit. Mais la petite dame Foumi ou quoi continue :

Elle : ça finit à quelle heure ? J’ai très sommeil et ça devient ennuyeux

Elle nous snobe ou quoi !

Moi : ça finit à 5h et trente minute après le club ferme ses portes.

Elle : ok ! Ça marche…

Elle remet sa robe et demande à Sersey de lui céder une place à côté d’elle. Elle aimerait faire un petit somme. Et elle nous demande de nous amuser et de boire les restes des boissons. Sans attendre notre réponse elle ferme les yeux et s’endort. Celle-ci a l’air sympathique mais sans respect. Son comportement très farouche me donne envie de la revoir.

   

---- Candice/ Foumi----

 

Je me réveille, je regarde autour de moi je suis toujours à Disneyland. Des couinements me réveillent. C’est ce macho de Jersey. Ils étaient en train de baiser. Ils ont de s’amuser, la scène que je vois est intéressante mais j’en ai pas envie vraiment. Je me redresse pour mieux les observer. Au passage les bouteilles sur les tables étaient vides. Ils étaient au sol sur le tapis, ces coquins. Je souris. Je vois Sersey sur le dos et Venus sur elle en train de jouer avec les seins de sa seconde qui riait. L’effet de l’alcool. Jersey est à genoux, bien droit, il labourait par derrière Venus. Ses mouvements étaient lents. Ce qui réveille un désir me faire prendre lentement. Je sens la chaleur en moi malgré l’air conditionné. Ils m’ignoraient totalement et continuait leur partie à trois.

Quelques minutes après j’entends une sirène moins bruyante. Je panique qu’est-ce qui se passe ? Je me lève. Les trois dispersent, Jersey vient vers moi et me dit :

Jersey et me chuchota à l’oreille : c’est fini petite dame, à la prochaine, ça sera toi et moi seuls.

Venus vient me serrer dans ses bras et dit : à la prochaine, je t’aime bien

Je lui souris en lui faisant un au revoir. Sersey était déjà à la porte et me lance ‘’ n’oublie pas ton masque’’. Je la trouvais sympathique, mais que lui arrive-t-il ? Pff tampis. Je sors aussi à mon tour en remettant mon masque. Un monsieur sans masque m’interpelle.

Inconnu : eeeeh ! Tu bosses ici depuis quand et je ne t’ai jamais remarqué ? Dean cache des trésors apparemment.

Moi : je ne bosse pas ici

Inconnu : dommage, j’allais bien m’amuser avec toi. La prochaine fois demande Valdo si tu veux des sensations fortes.

Il me dépasse et s’en va vers la sortie. Son odeur de tabac et d’alcool mélangé au musc arabe, traine derrière lui. Et oui je connais le musc arabe dans les parfumeries à Dubaï. Ce personnage donne froid dans le dos avec cet allure. Je n’aimerais pas me retrouver seule dans une pièce avec lui. Certes il est grand et beau au teint très clair. Un peu mon genre mais il me terrifie. Valdo ! Mon œil.

Je me dirige vers la sortie. Je vais chercher ma pochette et continuer. Dommage que je n’ai plus un rond sur moi. Sinon j’allais m’assoir dans un Pub prendre une sucrerie en attendant les 6h30. Je vais me balader un peu avant de rentrer. Heureusement que je n’ai pas porté des chaussures à talon. Je sors du Disneyland sans apercevoir Sersey qui était si gentille au début et le goujat de gros bras à l’entrée.

Je l’avais bien deviné, ça ne dors pas ici. Il y a de l’ambiance partout. Ça chante ça crie ça danse. Tout ça me donne envie de faire une ballade avant de rentrer. J’ai le sens du repaire, il suffit de calculer les vons et je vais retrouver mon chemin vers le motel.

Les gens ne s’ennuient pas ici. J’ai raté trop de choses que je compte rattraper de toute façon. Je regarde à gauche à droite tellement émerveillée, que je constate une voiture noire qui roule tout doucement derrière moi à bonne distance. La paranoïa ! Je tourne dans la petite rue à ma droite puis la rue à ma gauche, il y avait pratiquement personne, et c’était sombre. Là j’ai peur. Je tourne encore à gauche pour me retrouver dans la rue dans laquelle j’étais quand j’ai constaté que j’étais suivi. Cauchemar, ça devenait plus sombre, je ne comprends rien. J’entends des pas, quelqu’un est entrain de courir après moi. Je m’arrête et m’adosse contre le mur sans bruit. J’ai vu passer quelqu’un qui était poursuivi par un autre. Je voulais dire un ouf de soulagement quand je sens une main sur ma bouche m’empêcher de crier. Comment est-ce possible ? Je vais mourir ici maintenant. J’essaie de me débattre en voulant griffer le visage de mon agresseur. Il y avait un plastique qui protégeait son visage. Merde ! Un masque ! L’agresseur empoigne mes deux mains qu’il tire en arrière. Il les maintient avec une main et d’une main il remonte ma robe. Foutue mini robe ! Je sens un gros engin dur rentré entre mes cuisses, qui m’écarte les lèvres et me pénètre. J’ai souvent rêvé des séances de viol comme fantasme, mais le vivre est tout autre chose. C’est horrible Qu’il ne me tue pas. Il décide de parler :

Lui : tu pensais m’échapper ? Ah non, on ne me fuit pas. Je prends quand je veux comme je veux. Tu ne m’empêcheras pas. Tu es trop bandante avec cette robe en cuir. Tu m’as rendu fou. Je ne pouvais résister. Putain ! Tu es une vraie salope, tu es bien trempé là ! Cerise sur le gâteau tu es très étroite. Ne bouge pas reste tranquille quelques minutes que je finisse avec toi…

Il racontait ses délires le salaud. La partie à trois de Jersey, Sersey et Venus m’avait allumé. Ce n’est en aucun cas ce que je subis à l’instant. Il est très gros et s’enfonce en moi sans pitié. Qui aurait su que je serais violée ce soir ?j’essaie de me concentrer, de penser à ma famille quand une odeur de musc arabe me chatouille les narines. Une odeur d’alcool et de tabac. Cette voix je la reconnais. C’est ce Valdo ! Personnage cruel. J’ai voulu crier son nom mais j’avais peur qu’il m’exécute. Je reste calme. Il continuait son délire :

Lui : voilà ! Tu deviens docile ! Les femmes c’est la violence et ensuite la douceur, mais toi tu aimes la violence, ça se voit ! J’en ai à foison de la violence ma chérie. Tu es très bonne !

Il me donne une claque sur la fesse, je me suis surprise à jouir et à avoir l’orgasme. Il râle et se vide en moi sans protection. Au même moment je pousse un cri de jouissance je masque en cri de détresse. J’entends des voix au loin qui se rapprochent. Mon agresseur poussa un juron et s’évanouit dans l’obscurité. Je tombe par terre sans force. J’entends des voix de femmes. Elles essaient de me relever tant bien que mal. J’ai mal bras et mon sexe chauffe. Je me sens faible, l’orgasme me met K.O…

Escortes