CHAPITRE 3: REVIVRE.
Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE 3 : REVIVRE.
JOLA TU AVAIS DIT DEUX BONUS, POURTANT J'AI TROUVÉ MES RÉPONSES MOI SEUL HEIN (REGARD DE TRAVERS)
**LOYD MBAZOGHO**
Lucrèce : (Inquiète) Tu n’es pas content de me voir ?
Moi : (Silence)
Lucrèce : Dis quelque
Je ne l’ai pas laissée terminer sa phrase que je l’ai serrée dans mes bras et sans que je n’arrive à me contrôler, mon corps s’est mis à trembler et mes larmes ont coulé le long de mes joues. Je suis tellement choqué que j’ai toujours du mal à y croire. Plusieurs minutes sont passées ainsi avant qu’elle ne prenne la parole.
Lucrèce : Bébé rentrons dans la maison, les moustiques.
Je l’ai simplement soulevée par les fesses et elle a ceint ma taille avec ses jambes en me serrant fortement le cou. Nous sommes rentrés et j’ai fermé derrière en poussant la porte avec mon pied. J’ai marché avec elle jusqu’au canapé et je me suis assis avec elle à califourchon sur moi. J’ai placé mon visage au creux de son cou et j’ai remonté mes mains dans son dos. J’étais encore aux prises avec mes émotions et mes larmes coulaient toujours. Elle s’est mise à me caresser la tête et me faire des petits baisers sur ma joue jusqu’à ce que j’arrête de trembler.
Lucrèce : (Après un moment) Ça va ?
Moi : Non. Je suis bouleversé. Tu as secoué mes émotions de la plus forte des manières.
Lucrèce : (Souriant) J’espère en bien hein ?
Moi : (Me redressant pour la regarder dans les yeux) Qu’est-ce que tu fais là ?
Lucrèce : (Essuyant mes larmes) Je suis venue pour te voir et être avec toi.
Moi : Et tes études ?
Lucrèce : Je vais y retourner. On vient de commencer et il n’y a pas grand-chose à faire pour le moment, alors j’ai sauté dans le premier avion pour venir te rejoindre durant un mois.
Moi : Tu es complètement folle.
Lucrèce : (Souriant) Je sais. Tu aimes ta surprise ?
En guise de réponse, j’ai capturé ses lèvres qui m’ont tant hanté tout en pressant son corps contre le mien.
Moi : (Décollant lentement ma bouche de la sienne, les yeux fermés) Je ne veux plus que tu fasses un truc comme ça Reb. Tu es partie pour tes études et tu ne peux pas décrocher dès le début pour prendre les choses en cours. Tes études sont importantes alors ne les négliges plus jamais de la sorte.
Lucrèce : (Silence)
Moi : (Esquissant un faible sourire en ouvrant les yeux pour tomber sur les siens) Néanmoins, je suis content que tu sois là. (Elle sourit) Je vais te garder avec moi durant ce mois mais la prochaine fois, je vais te traîner à l’aéroport par la peau des fesses et te remettre dans un avion.
Lucrèce : (Souriant) J’aimerai bien voir ça.
Moi : Je suis sérieux Reb.
Lucrèce : D’accord. Je te promets de ne plus refaire une folie pareille sauf si ta vie est en danger.
Je la regarde et elle me mord la joue en faisant une petite grimace avec son visage qui me fait sourire.
Lucrèce : (Me regardant) Tu as maigri.
Moi : Je sais. C’est à cause de toi. J’étais triste et je n’arrivais pas à me nourrir par manque d’appétit.
Lucrèce : Hum !
Moi : (La regardant dans les yeux) Pourquoi tu m’as ignoré tout ce temps ?
Lucrèce : Je voulais me protéger. Je savais que si jamais je te répondais, cette histoire n’allait jamais s’arrêter. Je pensais n’avoir aucun espoir d’être avec toi alors je voulais m’éloigner. À la base, j’étais censée bloqué ton numéro de téléphone mais je n’ai pas pu. Alors j’ai pris sur moi pour ne pas répondre.
Moi : (Silence)
Lucrèce : Quand j’ai appris que tu avais annulé le mariage par maman quelques jours avant que tu me le dises, je n’en revenais pas et je pensais que tu allais te rétracter. C’est pourquoi j’ai continué pour voir jusqu’où tu devais aller et si tu maintiendrais ta décision malgré le fait que le contact soit coupé avec moi. J’ai attendu et j’ai vu que tu étais resté ferme malgré la pression alors j’ai décidé de venir te voir (nouant ses doigts aux miens des deux côtés) pour t’aider à supporter la pression que tu subis car je n’ai pas envie que tu tombes malade ou que tu retombes dans les mêmes travers. Je suis venue pour être l’épaule sur laquelle tu pourras poser ta tête, l’oreille qui pourra t’écouter, la poitrine sur laquelle tu pourras te coucher et dont le cœur battra au rythme du tien et les bras dans lesquels tu pourras te réfugier pour trouver du réconfort. (On se fixe dans les yeux) Je suis là pour toi, pour te dire que tu n’es plus seul. Je marcherai à tes côtés et nous traverserons cela ensemble.
Moi : (La serrant dans mes bras) Merci bébé, je t’aime.
Lucrèce : Je t’aime aussi.
Nous sommes restés ainsi pendant quelques minutes avant qu’on ne se détache et on se regarde en souriant.
Lucrèce : (Souriante) Ne t’inquiètes pas, je prendrai soin de toi.
Moi : (Souriant) D’accord.
Lucrèce : Mais en attendant, j’ai besoin d’une bonne douche et d’un bon repas car je meurs de faim.
Moi : Je n’ai rien préparé.
Lucrèce : Hum. Ce n’est pas grave, je vais m’en occuper. Je vais faire un truc léger juste pour cette nuit. Ton congélateur est plein ?
Moi : Juste des steaks et quelques petites choses, je n’ai pas fait de marché depuis ton départ.
Lucrèce : Hum, tu voulais vraiment mourir.
Moi : C’est de ta faute.
Lucrèce : Hum. Allez allons voir ce qu’on peut faire.
Elle est quittée sur moi et s’est levée avant de me tendre la main. Je l’ai prise et me suis levé à mon tour pour la suivre à la cuisine. Elle a réussi à trouver des haricots verts, steaks et pommes de terre. On s’est débrouillé avec ça en se promettant de faire des courses demain. Quand les choses étaient en train de cuire, elle a pris la parole.
Lucrèce : Mes affaires sont toujours dehors Loyi.
Moi : C’est vrai. Je vais les récupérer.
Je suis sorti et j’ai vu deux valises et un sac à main. J’ai tout pris et je suis allé les mettre dans ma chambre. Elle m’y a rejoint.
Lucrèce : Ne range pas la grande valise, mes affaires sont à l’intérieur. Je vais prendre quelques trucs pour ce soir.
Moi : Tu es vraiment sûre de vouloir l’ouvrir cette nuit ? Tu peux toujours utiliser mes affaires.
Lucrèce : (Souriante) Tu veux recommencer hein ?
Moi : C’est juste pour t’épargner un travail supplémentaire ce soir. Il y a le nécessaire à la douche et pour t’habiller, tu peux prendre un de mes vêtements qui est facilement accessible au lieu de tout déballer cette nuit.
Lucrèce : C’est seulement parce que tu as raison que j’accepte. Je finis rapidement à la cuisine avant de venir prendre cette douche.
Moi : D’accord. Je te sors le nécessaire.
Lucrèce : Merci.
Elle est ressortie et je suis allé apprêter une serviette propre, une brosse à dents et un de mes t-shirt. Je suis ensuite parti la retrouver à la cuisine, je me suis assis sur l’un des grands tabouret qu’il y a dans cette pièce et je me suis mis à l’observer en silence. Je ne peux pas exprimer avec des mots ce que je ressens présentement mais mon cœur est heureux. Elle finit de vérifier ses choses et vient se placer devant moi en nouant ses bras autour de mon cou en souriant, j’enroule les miens autour de sa taille.
Lucrèce : Tu sais que tu m’as manqué ?
Moi : Non.
Lucrèce : Eh bien oui. Tu m’as horriblement manqué et je m’endormais tous les soirs en repensant à ce que nous avons vécu le mois surpassé.
Moi : (Souriant) Et moi qui pensais que tu avais tout oublié.
Lucrèce : Tu es inoubliable Loyi.
Moi : (Élargissant mon sourire) Et toi encore plus Reb.
J’ai lentement posé mes lèvres sur les siennes en me penchant sur sa lèvre inférieure que j’ai légèrement tiré pour la sucer, elle s’est laissée faire avant de joindre sa lèvre supérieure et approfondir le baiser. Très vite nos langues ont commencé à se tourner autour et nos corps à réagir. Nos respirations étaient de plus en plus fortes et nos mains baladeuses. Heureusement pour nous, elle avait un pantalon jeans qui lui servait de vêtements et au moment où j’ai voulu l’ouvrir, elle s’est détachée de moi en souriant.
Lucrèce : (Regard de braise) Pas maintenant. J’ai une cuisson à terminer et un bain à prendre.
Moi : (Voix grave) Regarde ce que tu m’as fait ?
Je parlais et fixais mon sabre qui était bien tendu sous ma culotte.
Lucrèce : (Passant la main dessus) C’était juste pour lui faire un petit coucou histoire qu’il sache que sa maison est de retour et qu’il pourra très rapidement s’y loger pour recevoir les soins nécessaires à son épanouissement.
Je souris pendant que mon bâton tressaillit sous sa caresse. Elle me fait un chaste baiser sur les lèvres et retourne à sa cuisson qu’elle ne tarde pas à arrêter.
Lucrèce : Le temps que ça refroidisse un peu, je vais aller me doucher. Tu viens m’attendre ?
Moi : (Me levant) Je suis ton ombre ce soir.
Elle a pris ma main en souriant et nous sommes allés à la chambre. Après m’avoir fait asseoir sur le lit, elle s’est mise à lentement se déshabiller devant mes yeux. D’abord son haut qui a dévoilé sa paire de soutien en dentelle. Puis son pantalon qu’elle a ouvert en me regardant dans les yeux avant de se tourner et de lentement se baisser pour le faire descendre jusqu’à ses pieds exposant ainsi ses fesses rebondies et séparées par la ficelle de son string assorti au soutien à ma vue. Je me suis mordu la lèvre inférieure pendant que mon sabre s’est à nouveau dressé dans ma culotte.
Elle s’est redressée en posant ses mains sur chacune de ses fesses avant de légèrement tourner la tête vers moi un sourire à la fois innocent et provocateur sur les lèvres. Elle a retiré sa main droite et a mis un de ses doigts dans la bouche puis elle s’est retournée pour marcher et s’arrêter devant moi.
Lucrèce : Tu m’aides à sortir mes pieds du pantalon ?
Sans lui répondre, je me suis baissé et agenouillé devant elle afin de retirer son pantalon. Quand ce fut fait, j’ai levé ma tête pour la regarder et dans un jeu de regard, elle m’a demandé d’ôter aussi son string et je l’ai fait. Je suis tombé nez à nez avec un pubis bien rasé et l’odeur de son sexe que je ne connais que trop bien est venue me titiller les narines. J’ai posé mes mains sur ses cuisses que j’ai caressées jusqu’à son pubis avant de passer ma main sur son sexe. Elle a frémi en me caressant la tête et en écartant légèrement ses jambes. J’ai légèrement frotté mes doigts sur son clitoris avant d’insérer l’un d’entre eux à l’intérieur de son sexe. Elle s’est mise à gémir de plaisir puis elle a reculé pour faire sortir mon doigt. J’ai levé mes yeux pour croiser son regard et son sourire n’avait pas quitté ses lèvres. J’ai ramené mes doigts au niveau de mes narines pour bien aspirer son odeur qui m’a manqué ces dernières semaines avant de les porter à ma bouche pour les sucer, son goût était le même que dans mes souvenirs. Elle s’est à nouveau rapprochée de moi avant de se retourner, ses fesses étaient devant mon visage. J’ai posé mes mains dessus avant de les malaxer puis je me suis levé en suivant les courbes de son corps jusqu’à sa poitrine que j’ai caressée à travers son soutien gorge. Je l’ai ensuite ôté pour être en contact direct avec sa peau. J’ai à nouveau saisis ses seins pour les pétrir légèrement en lui faisant des bisous dans le cou et sur l’épaule.
Lucrèce : (Voix empreinte de désir) Tu as reconnu ta propriété ?
Moi : Oui.
Lucrèce : D’accord. J’ai une douche à prendre.
Elle s’est éloignée de moi et s’est rendue dans la salle de bain qu’elle a laissé ouverte. Je suis resté debout excité comme un taureau avec un sourire sur les lèvres. La petite là sait comment jouer avec mes sens et me provoquer. Je me suis baissé et j’ai ramassé ses vêtements que j’ai pliés et mis dans le panier à linge sale qui est dans la chambre. Je suis ensuite allé me positionner à l’angle de la porte pour la regarder prendre sa douche. Au bout de 2 à 5 minutes à la regarder, j’ai ôté mes vêtements pour la rejoindre bien qu’ayant déjà pris ma douche, se laver n’a jamais fait de mal à quelqu’un. Nous nous sommes titillés à l’excès à l’intérieur avant de sortir sans que je n’arrive au bout de mon entreprise, c’est-à-dire la pénétrer avec mon sexe. Elle ne m’a pas non plus laissé jouir pourtant sa bouche et ses mains ont malmené mon sabre. En tout cas, je prends mon mal en patience, je l’ai avec moi pour le mois, je finirai bien par me loger dans sa maison.
Elle a enfilé le t-shirt et moi la tenue que j’avais puis nous sommes sortis. Elle a fait un petit dressage et nous nous sommes attablés. J’ai mangé avec appétit et c’est la première fois depuis son départ. Elle s’est d’ailleurs amusée à me nourrir.
Lucrèce : Tu travailles demain n’est-ce pas ?
Moi : Oui.
Lucrèce : On ne devrait plus tarder car il est plus de minuit.
Moi : C’est vrai.
Nous avons terminé de manger et avons débarrassé ensemble. Les assiettes sales sont allées dans la machine et elle a nettoyé le four. À la fin nous sommes retournés à la chambre nous brosser avant de nous asseoir tous les deux sur le lit pour prier. Je n’étais pas particulièrement inspiré ce soir donc ce fut une courte prière. J’ai allumé le climatiseur et nous avons retiré nos vêtements avant de nous coucher sur le lit l’un en face de l’autre.
Moi : (Lui caressant le visage) Je suis content de te voir et que tu sois là avec moi.
Lucrèce : Moi aussi.
Je me suis rapproché et l’ai embrassée pendant un moment avant de la soulever et de la caler sur ma poitrine.
Moi : Bonne nuit Reb.
Lucrèce : Bonne nuit Loyi.
Je l’ai bien serrée dans mes bras et j’ai sombré dans un profond sommeil(…)
Moi : (La regardant) Qui est au courant que tu es ici ?
Lucrèce : (Posant mon verre de jus devant moi) Tantine Lucia. Vu que j’habite avec elle, je n’avais pas le choix que de lui dire.
J’ai noté une pointe de tristesse dans sa voix avant qu’elle ne poursuive.
Lucrèce : Et on s’est disputée toutes les deux. Elle n’approuve pas cette relation et la trouve malsaine en plus du fait d’avoir fait du mal à Janaï.
J’ai posé ma main sur la sienne car je sais que l’opinion de Lucia compte beaucoup pour elle et c’est l’une des personnes dont elle est le plus proche. Cette situation n’est pas facile à gérer et nous le savons, c’est la raison pour laquelle nous avons tourné depuis plusieurs années avant de lâcher prise et arrêter de lutter contre nos sentiments. Durant le mois qu’on avait fait ensemble, j’avais essayé de retourner ça dans ma tête pour essayer d’entrevoir l’issue de cette histoire et j’étais arrivé à la conclusion que ce n’était pas le bon moment pour le dire à qui que ce soit. Ce n’était même pas le bon moment pour me mettre avec Lucrèce car quoiqu’on dise, tout le monde pensera que c’est elle qui a détruit ma relation avec Janaï sans compter les autres aspects qui viennent compliquer cette équation, notamment la différence d’âge et nos différents statuts. Elle est certes majeure mais on pourra toujours dire que je l’ai manipulée ou forcée à être avec moi, sans compter le regard de la famille et l’entourage. Peut-être qu’avec quelques années supplémentaires, c’est-à-dire qu’elle avait fini ses études et était plus indépendante, la pilule serait mieux passée. Mais en même temps, si ça ne s’était pas fait maintenant, je me serais certainement entêté à épouser Janaï et j’aurais gâché nos vies en nous rendant tous malheureux. La vérité est que je n’aurais jamais dû me mettre avec Janaï et j’aurais dû rester dans mon coin. J’aurais certainement appris qu’elle n’était pas la fille de mon beau-frère et j’aurais patienté pour qu’elle soit un peu plus grande pour tenter quelque chose mais malheureusement les choses ne se sont pas passées ainsi. Au niveau où nous en sommes, on ne peut plus faire marche arrière et nous savons également que cette relation ne peut pas être officielle pour le moment, on n’a pas d’autres choix que de la garder secrète.
Moi : Je suis désolé bébé.
Lucrèce : (Esquissant un faible sourire) Ne t’en fait pas. Je sais que ça va s’arranger et qu’elle finira par comprendre quand elle verra que notre amour est réel. Je t’aime et je suis heureuse d’être avec toi. Si c’était à refaire, je le ferai encore et encore.
Je lui caresse la joue avant que nous ne prenions notre petit déjeuner. Un peu plus tard, elle m’accompagne jusqu’à la voiture en portant ma mallette qu’elle pose dans le véhicule et reviens vers moi correctement ajuster ma cravate et enlever une poussière imaginaire sur mes épaules. Je finis par la serrer dans mes bras et l’embrasser sur la bouche.
Lucrèce : (Se détachant) Vas-y pour ne pas être en retard .
Moi : (Montant dans le véhicule ) Tu me manques déjà.
Lucrèce : Toi aussi mais il faut que tu ailles travailler l’argent pour m’épouser dans quelques années, papa a dit que ça va coûter un bras.
Moi : (Démarrant en souriant) Ils seront tous les deux choqués de voir qu’ils recevront le triple de ce qu’ils me demanderont.
Lucrèce : (Riant) Carrément, c’est toi Crésus non.
Moi : Pour toi seulement, je serai plus que Crésus.
Lucrèce : (Souriante) J’ai confiance. (Reculant) passe une bonne journée bébé et rend moi fière.
Moi : Je n’y manquerai pas. Te quiero.
Lucrèce : (Riant) Espagnol sur moi mainon.
Moi : (Riant) C’est l’amour qui me fait parler ainsi.
Lucrèce : (Riant) Je vois ça. (Insérant le code pour ouvrir le portail) Je t’aime aussi.
Je lui ai envoyé un bisou dans les airs et je suis parti avec un énorme sourire sur le visage. Je me sens revivre…