Chapitre 30 : inspecteur
Ecrit par Boboobg
... Lovely Onda...
Moi : ton père nous fait faux bon, faudra que j'aille récupérer maman et Mireille !
Tracy (s'habillant) : il ne viendra pas alors?
Moi: bien sûr qu'il viendra, c'est juste un rendez-vous de dernière minute. (lui touchant la joue) Heee cherie, ne fait pas cette tête, il est fier de toi, nous le sommes tous tu sais !
Tracy : merci Love !
Moi :voilà que tu m'appelle Love, impolie !(m'en allant) pour vous c'est et sera toujours Lovely !
Tracy (riant) : d'accord Love !
Moi: tchrrrr
Je vais retrouver Marie qui a déjà fini d'habiller Alphonsia. Je la prend pour la tétée avant d'aller prendre ma douche. Marie s'occupe des deux monstres.
Nous nous retrouvons tous au salon.
Moi(aux enfants) : vous partez avec Marie et Tracy, moi je vais chercher mamie et mimi,faudra être sage dans la voiture.
Junior : Maman moi je veux venir avec toi!
Moi:non chéri, maman est déjà fatiguée, je ne veux pas de votre bruit !
Junior (fesant la moue) : moi je veux aussi aller chercher mamie !
Moi: d'accord, Hope tu viens aussi ?
Hope : non, je vais restée avec Tracy. Toi après tu vas me crier dessus !
Moi: au moins ça nous évitera à toutes les deux de crier n'es pas ?
Hope (rire) : oui !
Moi: bon, allez on s'active. L'avion n'est pas à Onda alors dépêchez vous!
J'installe Alphonsia à l'arrière en lui mettant sa tétine dans la bouche . Cet enfant aime trop manger !
Junior : Maman je veux bien le bonbon la
J'enlève le chewing-gum que j'ai dans le bouche et le lui donne. C'est ça quand tu es mère, tu ne peux rien manger sans partager !
Nous sommes derrière la voiture avec les enfants jusqu'à Kombo, puis moi je continue jusqu'au marché de massengo.
Probablement alerté par le bruit du moteur, maman et Mireille sortent de la parcelle avant même que je n'ai garé !
Maman : tu es en retard !
Moi: les enfants ont fait des siennes pour manger !
Maman (embarquant) : quand je dis que vous les couvés trop. Aucun de mes enfants n'a jamais fait de siennes pour manger !
Moi (changeant de sujet) : ça va Mimi ?
Mimi: ça va !
Depuis son avortement, mireille est taciturne et morose. J'ai comme l'impression qu'elle déprime mais elle me dit toujours que ça va. Au moins elle sait que si elle a besoin d'une oreille, je suis là.
Je ne me permettrai jamais de la juger pour son acte. Elle est la seule à savoir ce qu'elle veut dans la vie. C'est son corps et si pour elle porter cet enfant n'était pas concevable alors voilà. Les femmes se sont longtemps battu pour avoir le droit de décider de leur corps. Pour moi, le fait qu'elle ai avorté, à été son choix le plus fondamental, comme moi j'avais choisi de garder Hope .
Junior : mamie tu vois je suis venu te chercher !
Maman : merci mon chéri, je ne sais pas ce que je deviendrai sans toi !
Après que mireille ai fait entré son dernier bagage, nous prenons la direction de mazala.
Maman(regardant à travers la vitre) : Hum les chauffeurs de brazza, encore un qui a dû tuer je ne sais combien de personnes !
Moi: et comme toujours c'est à nous de nous coltiner les embouteillages causés par leurs bêtises tsuippppp
Maman : c'est pour cela que je ne veux même pas acheter de voiture !
Moi(rire) : vu que ta chere lovely est là pour te conduire n'es pas ?
Mama(rire) : neuf heures de travail ce n'était pas pour rien !
Junior : quel travail ?
Mireille : le boulot chéri
Il nous a fallu trente minutes pour passer ces embouteillages. C'est à 16h30 que nous sommes arrivés à l'aéroport.
Maman : mais ils sont où tes enfants ?
Moi: je ne sais pas, ils devaient nous attendre ici !
Mireille : peut être que comme on a duré Tracy est partie faire ses formalités pour gagner du temps !
Moi: si c'était le cas, Marie et Hope serait déjà là !
Maman : moi je vais les chercher dans l'aéroport, essayez de les appeler !
Moi: d'accord, mimi appelle Tracy, je vais appeler Marie !
C'est à la quatrième tentative que j'abondonne. Il n'y a que la voix électrique qui me dit que l'appareil de mon correspondant est soit éteint soit hors de la zone de couverture. Je commence peu à peu à paniquer. Ou sont mes enfants ?
J'appelle Alphonse, peut être qu'ils sont allés manger une glace. Oui c'est ça, Hope adore les glaces et son père ne lui refuse jamais rien.
Moi : chéri ?
Lui: oui ?
Moi: vous êtes où avec les enfants, je te rappelle que Tracy doit être dans l'avion dans quelques minutes. Elles n'ont même pas encore fait les formalités !
Lui : quoi ? Comment ça ? Je suis a l'aéroport dans une minute !
Moi: Tracy et Hope ne sont pas avec toi ?
Lui: je t'avais dit que j'aurai rendez vous de quoi tu me parles !
Moi (panique) : elles sont où alors ?
Lui: lovely qu'est ce qui se passe !
Moi (sentant les larmes montés) : je ne comprends pas. Marie, Tracy et Hope étaient dans la voiture pour l'aéroport avec le chauffeur. Ça fait quinze minutes qu'on les cherche partout ici, aucune trace et personne ne semble les avoir vu !
Lui: calme toi, je suis là!
Mireille me touche au moment où je décolle le téléphone de mon oreille. Elle a les larmes aux yeux !
Moi : ne t'inquiète pas vous allez voyager aujourd'hui même en jet privé s'il le faut !
Mimi (voix tremblante) : j'ai eu le téléphone de Tracy !
Moi (donnant Alphonsia à José qui est assis) : haaa elles sont où ?
Mimi (pleurant) : c'est une dame qui m'a répondu, elle a dit que la voiture a fait un accident avant le rond point mazala !
Je pousse un cri de terreur sans m'en rendre compte. Mon Dieu ! Mon bébé ! Hope ! Seigneur ! C'est pas possible ! L'accident qu'on a dépassé en venant ? Non, non, non ça ne peut pas etre mes enfants !
Au même moment je vois Alphonse arrivé. Je me jette dans ses bras en pleurant. J'ai tellement peur que le pire soit arrivé.
Alphonse:lovely calme toi, on va les trouver. Elles ne peuvent pas être loin !
Moi : la voiture à eu un accident à mazala ! On a vu une foule en venant mais j'étais loin de penser que ça pouvait être mes enfants ! Alphonse ma fille !
Alphonse (ouvrant grand les yeux) : quoi ?
Mireille (pleurant) : la dame a dit que les passagers étaient inconscients et qu'ils ont été enmenés au CHU.
Alphonse (prenant Alphonsia des bras de son frère) : calmez vous, ou est maman?
Moi (essuyant mes larmes) :quelques part par là je ne sais plus !
Alphonse :allez vous installer dans la voiture, mireille tu sais conduire n' es pas ?
Mimi :oui mais....
Alphonse (lui donnant ses clés) : ramène les enfants chez maman, nous on va au CHU. Surtout soit prudente, je te promet que vous allez voyager ok ?
Mireille : OK !
Pendant que mireille sort de là avec José et Alphonsia, moi j'attends qu'Alphonse ai trouvé maman, puis avec ma voiture nous allons au CHU.
Arrivée là bas, il a fallu se renseigner aux urgences et ensuite patienter pendant de longues minutes qui me parurent des heures avant qu'un médecin ne daigne venir à nous. Je comprends maintenant pourquoi les familles des patients sont toujours de mauvaise humeur.
Le docteur : c'est vous la famille des accidentés ?
Nous : oui c'est nous !
Le docteur : le jeune homme va s'en remettre, juste une jambe cassé et des égratignures. La jeune femme par contre à eu une hémorragie cérébrale, le pronostic vitale est engagée !
Moi ( en détresse) : et les enfants ?
Le docteur : quels enfants ?
Moi : mes enfants bon sang !
Alphonse : il y avait le chauffeur, la dame de compagnie et nos deux filles de dix sept et six ans !
Le docteur (lisant sur sa feuille) : non, non, nous n'avons reçu ici que ces deux là. Pas d'enfants !
Moi : hein? Écoutez moi docteur je suis aussi médecin et je ne tolérerai pas ce genre de blague qui n'ont pas lieu d'être. Ou sont les enfants !
Le docteur : je suis sérieux chère collègue, nous n'avons pas admis d'enfants ou même de jeune fille !
Alphonse (me calmant) : calme toi lovely, peut etre qu'elles n'ont rien !
Moi(pleurant) : comment ça rien, ils ont dit que tous les victimes de l'accident ont été enmener ici. Alphonse ou est ma fille ? Ou sont elles seigneur !
Alphonse : puis je parler au chauffeur ?
Le docteur : ou bien sur, salle 25
Alphonse : merci (a moi) reste là avec maman, j'arrive !
Je vais m'asseoir à côté de maman qui n'arrête pas de faire son chapelet depuis que nous lui avons appris pour l'accident. J'aimerai bien m'y mettre aussi mais j'ai trop peur !
Maman: tu devrais appeler Jonathan !
Moi: non
Maman: il s'agit de sa fille ! Donne moi ton téléphone je vais le faire.
Je lui donne mon téléphone et plonge ma tête dans mes mains. J'ai la peur au ventre. S'il arrive quelque chose à ma fille, je vais mourir. Je ne pourrai jamais m'en remettre. Hope c'est mon espoir à la vie, c'est ma vie. Elle est mon tout ! Seigneur s'il te plaît, ne me prend pas mon enfant !
... Alphonse Onda....
J'essaie de garder mon calme mais au fond de moi je panique comme un animal prit en chasse. Qu'est il arrivé à mes filles ? Pourquoi ne sont elles pas ici ?
Moi (entrant dans la pièce) : sergent Dann !
Lui:patron je suis désolé. J'ai tout vu. C'était prémédité !
Moi:comment ça ?
Lui : la voiture nous suivait depuis la maison, j'ai essayé de le planter mais les embouteillages ne nous ont pas aidé. Ils nous sont rentré dedans. Une cilindré noire immatriculé 54...et une rav 4 rouge je n'ai pas pu clairement la voir. Quand la voiture a arrêté de tourner, la petite avait du sang qui lui sortait de la tête, je la voyais par le rétroviseur. Et ils les ont emmener !
Moi (criant carrément) : qui ça?
Lui : il y'avait un homme dans un fauteuil roulant et deux autres qui ont d'abord pris Tracy et après la petite. J'ai essayé de les aider patron mais ma jambe était coincé. Je suis vraiment désolé !
Je sais qui sait. Donc comme ça, il n'était pas mort ? J'ai longuement cru que ce serait sa famille qui chercherai à me faire payé sa mort. Non que ce fils de pute, reviendrai finir son boulot.
Moi(au téléphone) : oui inspecteur Yannick, Alphonse Onda à l'appareil. Mes filles ont disparus, j'ai besoin de vous !
Lui:..
Moi : prenez un hélico, une remorque ou même un pousse pousse s'il le faut mais je veux que vous soyez là au plus vite ! Débrouiller vous comme vous pouvez !
Je raccroche la peur au ventre. J'appelle tout mes connaissances dans la police, la gendarmerie, l'infanterie. Si j'avais même le numéro de la CPI, je les aurai appelé. J'ai peur pour mes enfants. Ce sale psychopathe peut aller très loin.
... Inspecteur Yannick...
Monsieur Onda vient de raccrocher. Je lui pardonne son manque de respect, il doit avoir peur c'est pour cela. J'ai toujours mené à bien mes missions, avec lui, on a souvent coopérer. De plus, c'est t un homme honnête qui payent bien.
Je suis Yannick Koulibali d'origine sénégalaise mais j'ai toujours vécu au Benin. J'ai été dans l'armée jusqu'à créé mon agence de surveillance pour personnes riches. Je fouille dans la vie des gens, je les retrouve où simplement je met de la vrai transparence dans les affaires de mes clients.
Il y'a bientôt une année, monsieur Onda m'a engagé pour la première fois sur une affaire d'ordre privée. Il voulait que je surveille sa fille et ses compagnons. C'est comme ça que j'ai découvert, la vie de débauche de celle ci. Mais j'étais loin d'imaginer qu'il m'appellerai encore pour la même fille et de surcroît sur sa disparition. Je suis prête à mettre ma main au feu que son ex petit ami est à l'origine de ceux ci mais la question qui me taraude, pourquoi avoir pris la petite aussi ?
J'appelle vite une de mes connaissances à l'aéroport, je dois impérativement descendre sur Brazzaville. Sur un enlèvement d'enfant, les vingt quatre premières heures sont les plus cruciales. Et je n'ai jamais eu confiance aux techniques de polices africaines. Leur père a raison d'être aussi paniqué, ces deux filles ont mille chances de ne jamais être retrouvés vivantes si l'on laisse la police s'en charger.
(...)
Il est minuit quand je depose le pied sur le sol congolais. Je prends une chambre dans un motel par téléphone et vais droit au centre hospitalier universitaire. Il faut que je parle au témoin principal.
Je vois de loin monsieur Onda, il est assi avec une très belle femme que je devine être son épouse.
Moi: monsieur Onda !
Mr Onda : il n'est pas trop tôt !
Moi: le Benin n'est pas aussi proche que ça ! Monsieur!
Mr Onda : Lovely, c'est de lui que je te parlais. Maintenant on doit rentrer, maman n'arrête pas d'appeler, la petite te réclame !
Moi: madame vous ne changerez rien à rester ici. Je vous promet de faire mon possible pour retrouver vos enfants.
Elle (voix enroué) : Marie est dans le coma, je dois attendre ici que ses parents arrivent !
Mr Onda: un des policiers va rester avec elle, tu dois te reposer !
Lovely (pleures) : comment voulez vous que je me repose, mon bébé, mon espoir ! Ma petite fille à été enlevé, comment voulez vous que je me repose ?
Mr Alphonse : je le conçois très bien, moi aussi j'ai peur. Mes deux enfants sont je ne sais où mais on doit rester fort pour elles !
Il l'a prend dans ses bras avant de l'entraîner au dehors. Je vais de ce pas m'entretenir avec le chauffeur. Qu'est ce qu'on leur apprend dans l'armée bon sang, tu vois bien que tu es filé mais tu ne le signale pas et en plus tu prends une route très peu fréquenté ! Pfff vraiment du travail d' amateur !
Ensuite je me rend sur le lieu de l'accident. Non sans avoir lancé l'alerte enlèvement sur tous le territoire. J'espere juste qu'ils n'ont pas eu le temps de quitter le pays. D'ici une heure, les photos de ses deux jeunes filles vont circuler sur toutes les chaînes de télévision, le journal de ce matin, les aéroports, ports et autres. De toutes les façons, leur père a les moyens.
Il est trois heures du matin quand j'arrive sur le lieu de l'accident. La voiture se trouve sur dos.
J'inspecte les lieux, je reviendrai dans quelques heures, quelqu'un a dû voir quelques choses. On ne peut pas enlever deux personnes sans que quelqu'un quelque part n'ai remarqué que quelques choses clochaient ! Nous sommes en Afrique, ici les gens ont toujours l'œil dehors pour voir le malheur du voisin. Avec un peu de chance, il y'a une personne qui pourra noys faire une représentation robot des ravisseurs.
Je vais me coucher, demain j'ai une longue journée. Sans compter que je dois faire une conférence de presse avec la police, c'est une de mes tactiques pour faire sortir le coupable de sa cachette.
... Lovely Onda...
La maison est infesté de policiers en tout genre. Je ne vois même pas ce qu'ils font là, au lieu d'aller chercher ma fille dehors, ils sont là à polluer ma maison de leur présence inutile. Ça va faire six heures, six heures que Hope et Tracy ont disparu et aucun d'eux ne semble savoir par où commencer.
Maman (me mettant Alphonsia dans les bras) : je sais que c'est dur, mais tu as un autre bébé qui a besoin de sa mère. José est dans la chambre avec mireille. Jonathan est au salon.
Je jette un regard sur Alphonse, il ne doit pas être content que celui là soit dans sa maison.
Moi(serrant mon bébé dans mes bras) : ne t'inquiète pas chérie, tes sœurs vont bien !
Je monte avec Phonsia dans la chambre. Je la dépose sur le lit, le temps de prendre une douche et de pleurer un coup. J'ai tellement peur, peur que le pire arrive. Je dépose mes jambes à terre et prie de toute mes forces que Dieu protège mon bébé. Ma petite fille, ça fait juste deux mois qu'elle a six ans. On a attendu en vain la demande de rançon mis rien. Seigneur ramène moi mon bébé.
Je suis déjà en train de somnoler au milieu de mes larmes quand j'entends du bruit prévenir d'en bas. On dirait des gens qui se disputent. Merde ! Je me souviens alors que Alphonse et Jonathan doivent être dans la même pièce. C'est presque en courant que je descend les escaliers ma fille dans les bras, direction le grand salon.
Jonathan (bloqué par deux policiers) : je jure que je te ferai du mal Onda ! S'il arrive malheur à ma fille, je te tuerai !
Alphonse : de quelle fille tu parles, sale irresponsable ! Tu as une fille toi ? Le monsieur se réveille un beau matin et veut jouer au père parfait ! C'est moi que cette enfant réclame dans son sommeil et c'est encore moi qui sera toujours et à jamais son père !
Jonathan : j'ai toujours su que tu étais louche. Dite moi qui, qui a part une personne qui se reproche de quelque chose peut faire garder sa maison et sa famille de cette façon ? Il y'a juste deux jours, Hope me disait qu'ils n'avaient pas le droit de sortir sans un garde du corps. Je suis sûr et certain que tu as quelque chose à voir avec ça, mais gare à toi s'il arrive malheur a mon enfant !
Son père : calme toi filston, on s'en va. Ça ne sert à rien de rester ici !
Alphonse : sort de ma maison vermine !
Jonathan : c'est toi la vermine. Un bouffon de ton espèce,tu devrais t'agenouiller à mon passage car je suis bien au dessus de toi ! La femme que tu crois sienne, c'est moi qui l'ai faite femme et juste pour cela, elle sera toujours mienne et ma fille, notre fille qui a sans doute été enlevé par ta faute, est la mienne aussi. Tu as juste réchauffer ma place en attendant mon retour. Même si tu t'egozille à ramasser mes restes, ceux ci n'en demeurent pas moins toujours Mes restes !
Alphonse fonce sur lui, Dieu merciil y'a trop de monde pour qu'ils arrivent à se toucher. Le père de Jonathan emmène celui ci hors de la maison.
Je vais toucher Alphonse pour le calmer, quand il me repousse violement. C'est inextremiste qu'un des policiers me rattrape avant que je ne me retrouve le derrière à terre avec Phonsia dans les bras. Ma mère et moi nous nous regardons, j'ai l'impression de lire dans ses yeux en lettre d'or : regarde ce que tu causes !
Ma fille disparaît, et au lieu que ces deux là trouvent un terrain d'entente sur le fait qu'ils aiment tous les deux un seul et même être. Non, il leur faut se disputer et déverser leur haine devant tous le monde. Et celui là il me repousse. Est ce que j'ai mérité d'être repousser de la sorte ? Ma fille a disparu et tout ce que je veux, c'est de l'avoir dans mes bras. Elle est mon espoir, ma grande richesses ! Tout ce que je veux, c'est qu'on me retrouve mon enfant !