Chapitre 32 :
Ecrit par Maya my'a
(...)
Chez George, il y était : sa voiture dans la cour me le confirmait. J'étais certaine, qu'il était avec une femme. Cet homme ne payait rien pour attendre. Mais je ne m'inquiétais pas, car d'une manière ou d'une autre, j'avais la conviction qu'il me signerait ces documents. Je misai le tout pour le tout sur cette tentative.
Je savais que le champ serait libre. En effet, Priscilla avait invité Monique hors de la maison pour prendre de l'air. Elle la rejoignit avec son petit garçon, David qui subit les frasques de ses disputes avec George. Depuis ma fugue, ils ne partageaient plus le lit conjugal, ainsi, pour la punir, il ne touchait plus son propre fils.
Cependant, son attitude vexait Monique, mais pas David qui, d'ailleurs, malgré son jeune âge, ne voulait plus entendre parler de lui.
(...)
George sommeillait sur le canapé. Ça tombait bien, il était tout seul.
-Bonjour, mon chou, dis-je sensuellement en même temps très dégoûté.
-Ah ma petite pute ! Se redressait-il surpris, mais serein. Tiens donc, je savais que tu reviendras, reprenait-il tout excité.
-Oui ! Pour toi, je suis revenue.
Il me répugnait, mais j'avais un objectif à attendre. Je caressais son torse tout en lui donnant des bisous sur ses gros tétons fades et velus.
-Tu as dû te rendre compte que ma bite te manque, me séduisait-il en se masturbant.
- J'avoue que oui ! Et Monique m'empêchait de te savourer convenablement.
-Et si je la mets dehors, tu viendras t'installer ici ?
-Tu veux que je la remplace ?
-Ça toujours été mon souhait.
- Hum ! Tu aimes la chair fraîche toi !
-Assurément...
Il empoigna mes fesses fougueusement. Il commençait par me serrer très fort contre lui, à ce moment, je jouai le jeu ; je me détachai de lui.
-Un instant, j'ai mis du thé au feu. L'après-midi sera rude ; je ne dois pas brûler la maison.
-Ah oui, c'est la seule maison que nous ayons.
- Ah, cette maison, nous ne la louons pas ?
-Bien sûr que nous louons ! Nous y habitons en échange d'une bonne somme n'est-ce pas ? Donc elle nous appartient.
- Dans ce sens... Si tu le dis...
J'eus quelques minutes pour préparer deux tasses de thé. Je revins lui proposer de mettre un peu d'aphrodisiaque dans nos verres.
-Je ne mouille pas trop ! Raison pour laquelle j'ai du mal...