-Ah oui ! Tu dois bien te lubrifier ma petite ! Répondait-il. Après, je suis sûr que tu n'auras plus mal. Si tu fais ce que je veux, je te donner tout ce que tu désires. Argent, voitures... Ma petite, abandonne ta mère et vient vivre avec moi. Tu mérites mieux ! Cette femme ne t'aime pas. Constate que tu n'as pas d'opportunités par sa faute...

 Il parlait en s'extasiant. De retour dans le jour, je le trouvais tout nu dans le séjour. Rien ne surprenait : il s'agissait de George.

-Prends le petit flocon à côté du JB sur le bar. 

Une haine m'animait, pourtant, je me contenais.

- Cette bouteille ? 

- Exact ! J'en Gardais pour faire vibrer ta mère.

(au fond de moi) : je vais en finir avec toi lentement, pauvre type. Salaud ! Vieux con ! Tu finiras en enfer. Vibrera, bien qui, vibrera le dernier.

Je mis le contenu dans mon verre, et dans le sien, je ne mis rien. Je lui présentai le plateau des tasses. Il arbora un sourire narquois.

-Mon verre est lequel ?

Je lui présentai son verre qu'il prit en souriant. 

Je risquais de me faire prendre à mon propre piège, mais je ne pouvais reculer.

-Échange les, m'ordonna-t-il, les yeux fixés sur les verres, avec un petit sourire...

Il ne m'effrayait pas ! Je me moquais de lui ! Je lui donnai mon verre, l'air un peu hésitante. Il était content. J'affichais une mine faussement triste. Il était convaincu qu'il venait, aussi facilement, de démonter mon plan.

Il but cul-sec jusqu'à la dernière goûte. En plus de l'aphrodisiaque, j'avais rajouté un somnifère très efficace, trouvé au chevet de son lit. Il m'exigeait de vider le contenu de son verre. Je pris un peu, puis d'une gorgé, j'avalai tout le contenu.

-Bien ! Je suis né avant toi ; je connais toutes les petites ruses de jeune fille. Je vais te baiser dans tous les trous. 

Sereine, je le fustigeais des yeux. Dans bientôt l'effet recherché donnera son premier fruit. Ses yeux s'alourdissaient lentement, mais avant son sexe s'était déjà bien enflé. Il était en érection. L'association des deux produits avait un effet indésirable immédiat sur lui. Il suait à grosses gouttes.

-Avant signe les documents de l'école. Je veux m'en aller avant de voir la sorcière qui te sert de femme. 

- les documents de quoi ? 

Il perdait ses facultés progressivement.

- L'école ! Voyons.

-Ah oui ! C'est pourquoi tu es revenu ! Ton proviseur t'a informé qu'aucune autre personne même pas Monique ne pouvait signer tes documents.

-Hum ! Tu l'as fait pour être incontournable, n'est-ce pas ? C'est bientôt la rentrée scolaire, je dois faire la réinscription. Dit moi, combien de plan du genre, tu as mis en place ?

-Vous m'appartenez ! J'aime vous baiser ! Toi, ta chatte est... Heu... Ta mère, la sienne est prof... Prends l'enveloppe dans le tiroir du bar pour ta réinscription. Et , puis baise-moi comme un bébé....