CHAPITRE 32: DE GRÉ OU DE FORCE.

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 32 : DE GRÉ OU DE FORCE 

Désolée pour le silence, j'ai un souci de connexion depuis des heures


DEUX SEMAINES PLUS TARD 

**LESLIE OYAME**

-Arsène : Les enfants prennent les vacances de Noël aujourd’hui n’est ce pas ?

-Moi : Oui. 

-Arsène : C’est quoi ton programme pour ce week-end ? Et il y a mes parents qui vont faire une petite fête de Noël le lundi 25, maman voudrait que les enfants et toi soyez présents.

-Moi : Pour le week-end, je n’ai rien de prévu. D’accord pour lundi, je viendrai avec les enfants.

-Arsène : Ok, je confirme la chose à maman.

-Arsène : Comme tu n’as rien de prévu ce week-end, j’aimerais que toi et moi nous discutions.

-Moi : Discuter de quoi ?

--Arsène : De nous…


J’ai regardé son message pendant un moment avant de répondre.


-Moi : Y a-t-il un '’nous’’ entre toi et moi ?

-Arsène : C’est justement pour ça que ‘’TOI’’ et '’ MOI’’ devons discuter pour essayer de convenir de la possibilité d’avoir ou non un '’NOUS’’ entre '’TOI’’ et '’MOI’’.

--Moi : (Après un moment) Je vois.

-Arsène : Alors tu es d’accord que nous ayons cette discussion ce week-end ?

-Moi : Je suis d’accord.

--Arsène : Tant mieux.


J’ai vu des clients rentrer et j’ai donc dû déposer mon téléphone après lui avoir envoyé un dernier message.


--Moi : On déjeune ensemble aujourd’hui ?


J’ai posé le téléphone et j’ai souri au monsieur qui était en face de moi.


Moi : (Souriant franchement) Bonjour monsieur,

Lui : (Répondant à mon sourire) Bonjour madame/mademoiselle ?

Moi : (Souriant toujours) Madame.

Lui : Oh c’est dommage, J’espère que l’heureux élu s’occupe parfaitement de vous.

Moi : (Souriante) Il fait mieux que bien s’occuper de moi, il se surpasse sur ce plan.

Lui : (Faussement déçu en touchant sa poitrine) Ô Seigneur autant ? Ça veut dire que nous autres là n’avons donc aucune chance alors.

Moi : (Souriante) En effet, il ne laisse aucune place aux éventuels concurrents.

Lui : (Souriant) C’est tout à son honneur, il est bien chanceux. Permettez-moi juste de vous dire que vous êtes magnifique madame et que votre sourire illumine cette salle, surtout qu’il ne quitte pas votre visage.

Moi : Merci. Que puis-je faire pour vous ?

Lui : Je veux faire un dépôt.

Moi : Vous avez rempli le bordereau ?

Lui : Oui

Moi : Passez le moi svp avec les documents nécessaires.

Lui : D’accord.


Il m’a passé les documents et j’ai effectué la transaction avant d’accomplir le reste des formalités et lui remettre ses choses. Il m’a remercié en me disant que si toutes les caissières pouvaient être agréables comme moi, beaucoup de société se porteraient mieux. Je lui ai dit merci puis il est parti. Il n’est pas le premier à me le dire. Ça va faire deux semaines que je reçois des compliments de toutes parts et les gens ne cessent de me dire que je suis radieuse et que mon sourire illumine mon visage. C’est Arsène qui a commencé avec ça la fois où il m’avait embrassé dans ma chambre après m’avoir dit qu’il me trouvait parfaite et m’avoir embrassé avec beaucoup de douceur, on aurait dit que j’étais une petite chose fragile et qu’il avait peur de me briser en faisant un mouvement brusque. Il s’était ensuite légèrement retiré de moi avant de me caresser le visage en me regardant dans les yeux.


Arsène : Tu es tellement belle Leslie et tu l’es plus encore lorsque tu souris. Ton sourire seul suffit à illuminer une journée et il irradie ton visage.


J’avais esquissé un faible sourire.


Arsène : Je sais que tu peux faire mieux ma Douce 


J'avais élargi mon sourire et il avait souri à son tour.

Arsène : (Souriant) Comme ça. Je ne veux plus qu’il quitte ton visage, tu peux faire ça pour moi ?

Moi : (Souriante) D’accord .


C’était ainsi que j’avais souri toute la journée et tous les jours qui avaient suivi. Il faisait tout pour me faire sourire quand il venait à la maison, me prenait pour le déjeuner, m’appelait ou m’écrivait. Il ne s’est plus rien passé entre nous depuis ce jour, il m’avait dit qu’il avait des choses à régler pour le moment et donc il ne tenterait rien. Il n’y a rien mais je souris toute seule lorsque je le vois, j’écoute sa voix ou que je reçois un message. Du coup, j’ai un sourire sur les lèvres toute la journée vue qu’il m’envoie des messages presque tout le temps et donc les gens autour ne cessent de me dire que je suis radieuse et mon sourire est lumineux. Le monsieur qui était là, c’était un bel homme, mais je trouve que Mfoula est bien plus beau, plus grand et plus classe que lui. Même pour le sourire , celui d’Arsène est bien plus beau. 

Trois autres clients sont arrivés et je les ai servis avec le même sourire et la même vivacité, j’ai reçu d’autres compliments. Après le troisième, j’ai récupéré mon téléphone pour voir la réponse qu’il m’a envoyé.


-Arsène : Désolé ma Douce, ce ne sera pas possible aujourd’hui car j’ai une urgence, mais ce soir, je passerai chez toi.

-Moi : D’accord.


J’ai posé mon téléphone et j’ai poursuivi mon boulot jusqu’à l’heure de pause, Larsen m’a invitée à me joindre à eux et j’ai accepté, ils m’ont tous regardé avec les grands yeux.


Moi : Qu’est-ce qu’il y a ?

Fergie : (Surprise) Tu as accepté de venir avec nous ?

Moi : Oui.

Créole : (Choquée) Ce que tu n’as pas encore vu avec tes yeux, ne dis pas que ça n’existe pas parce qu’un jour tu seras surpris d’être étonné que cela existe bel et bien. Voici le miracle.

Larsen : (Heureux) Laissez les conneries. La plus belle allons pardon, il ne faut pas les gens vont essayent de te décourager. 


Il est venu m’attraper par le bras et nous sommes sortis en souriant, les deux autres nous ont suivis. Nous sommes allés dans un restaurant du côté de Nombakelé  (quartier) où on fait un bon tchèp (riz). Nous avons mangé dans une assez bonne ambiance et Larsen n’a pas cessé de me faire rire. Nous avons mangé et sommes sortis.


Larsen : (Riant) Ah quand on vous dit de vous méfier des filles minces, vous pensez que c’est la blague. Elles mangent plus que les grosses. Leslie tu manges ton poids en terme de nourriture ?

Moi : (Riant) Laisse-moi tranquille Larsen, j’ai mangé un plat normal. 

Créole : Non, respect Leslie, tu connais manger oh. 

Moi : Quittez là. 


Nous étions en train de rire jusqu’à ce que j’aperçoive la voiture de Mfoula garée de l’autre côté de la route et lui à l’intérieur en train d’embrasser une fille qui avait l’uniforme d’une école supérieure. J’ai écarquillé les yeux en le fixant. Quand il s’est séparé d’elle son regard a rencontré le mien. Mon humeur a changé du tout au tout et j’ai attaché mon visage avant de me retourner et de marcher à pas pressés pour aller prendre un taxi, mes collègues ne comprenaient pas ce qui se passait ni pourquoi je partais de façon brusque. J’entendais l’autre connard crier mon prénom derrière mais je ne me suis pas arrêtée. J’ai hélé un taxi qui s’est arrêté devant moi et au moment où je voulais monter, il est venu m’attraper par le bras.


Arsène : (M’attrapant par le bras) Leslie stp, laisse-moi t’expliquer . 


Je me suis retournée et lui ai collé une gifle sur le visage qui l’a fait me lâcher.


Moi : (En colère) Essaie encore de me toucher et tu vas voir ce que je vais te faire, chien.


Je suis montée dans le taxi et je suis retournée au boulot. J’ai voulu pleurer mais je me suis faite violence, cet imbécile ne mérite pas mes larmes. Il me dit à moi qu’il ne peut pas déjeuner parce qu’il a une urgence et je le trouve dans la rue en train d’embrasser une fille ? Il a raison, c’est moi la conne à qui il dit des bêtises et je l’écoute.  Mes collègues sont arrivés quelques minutes après moi, mais j’avais le visage tellement amarré que personne n’a osé m’aborder, ils font bien. Le reste de la journée j’ai été désagréable avec tout le monde et j’ai même insulté un client qui n’a pas bien signé sur le bordereau. Comme il m’a répondu, c’est parti dans un clash au point où M. Rogoula a dû me convoquer dans son bureau.


M. Rogoula : (Visage fermé) Assieds-toi Leslie ? (Je me suis exécutée) Je peux savoir ce qui t’a pris d’injurier le client ? 

Moi : (Tête baissée) Je suis désolée monsieur, je ne sais pas ce qui m’a pris. 

M. Rogoula : Il y a forcément une raison vu que ce n’est pas dans tes habitudes de te comporter comme ça, j’ignorais même qu’avec ton visage d’ange , tu puisses sortir ce genre de grossièreté de ta bouche. Toute cette semaine, tu as été Souriante et ce matin même, j’ai écouté quelques clients faire des éloges de ton attitude, maintenant que s’est il passé ? Tu as eu un souci à la pause ?

Moi : (Silence)


Il s’est levé de sa place et est venu se placer devant moi avant de prendre une de mes mains dans la sienne.


M. Rogoula : (Voix rassurante) Leslie stp, tu peux me parler, il y a un souci avec les enfants ?

Moi : (Bougeant négativement la tête)

M.Rogoula : Alors c’est quoi ?

Moi : (Silence)

M. Rogoula : (Soupirant) Si tu ne veux pas me dire, je ne te forcerai pas à me parler. Sache juste que je n’ai pas apprécié ton attitude avec le client et j’espère que cela ne se répétera plus à l’avenir .

Moi : Oui monsieur, je vous le promets.

M. Rogoula : (Me lâchant la main) D’accord, retourne à ton poste et on se voit tout à l’heure pour l’inventaire.

Moi : Ok. Merci monsieur.


Je me suis levée et je suis sortie pour aller reprendre mon poste, tout le monde me regardait étrangement. J’ai poursuivi ma journée en m’occupant de deux client avec un visage aussi froid que la Sibérie. À la fin, nous avons fait l’inventaire et monsieur Rogoula a insisté pour me déposer chez moi, comme j’avais gaffé tout à l’heure , je n’ai pas refusé. Le connard là n’a pas cessé de m’appeler et m’écrire sans que je ne lise ou ne réponde. Monsieur Rogoula a garé son véhicule devant mon portail avant de descendre et venir m’ouvrir la portière.


Moi : (Descendant) Merci beaucoup monsieur.

M. Rogoula : Tu vas arrêter avec les monsieur là , nous ne sommes plus au boulot.

Moi : (Faisant un rictus) Merci Serge.

M. Rogoula : (Souriant) C’est mieux. Dis moi, tu as quelque de prévu pour demain ? J’aimerais t’inviter.

Moi : Écoute Serge ce n’est pas

M. Rogoula : (Me coupant)Stp Leslie, juste un dîner pour que tu puisses me connaître en dehors du travail , stp ?

Moi : (Après un moment) D’accord.


Il m’a caressé le bras et la même sensation désagréable que j’éprouvais au contact des hommes m’a à nouveau saisie. Je me suis dit que ça est, la malchance là est revenue. Il a essayé de m’embrasser mais j’ai décalé mon visage.

Moi : Excusez-moi mons, Serge mais je

Voix : Leslie ?


Nous avons tourné tous les deux nos têtes vers la voix et nous sommes tombés sur l’imbécile de Mfoula là qui descendait de son véhicule avec le visage fermé. Il est venu vers nous.


M. Rogoula : (À moi) Qui est ce ?

Moi : C’est personne.

Arsène : (Levant un sourcil) Pardon, tu peux répéter ?

Moi : (L’ignorant ) Serge, on se voit demain comme prévu.

M. Rogoula : (Regardant Arsène avant de me regarder) D’accord, je t’appelle.

Moi : Ok. 


Je me suis penchée pour essayer de l’embrasser sur la bouche mais le salopard là m’a attrapé par le bras et m’a tiré pour m’éloigner de Serge. Ce dernier a essayé d’intervenir mais il a pris un coup de poing de Mfoula sur le visage qui l’a fait reculer.


Arsène : (En colère) Essayez encore de poser vos sales pattes sur ma femme et vous allez voir ce que je vais vous faire.

Moi : (Le regardant interdite) Tu es malade ? Qui est ta femme ? Va dire ça à la pute que tu embrassais cet après midi dans ton véhicule. Tu te prends pour qui ?


J’ai essayé d’aller vers Serge mais il m’a à nouveau attrapé par le bras et m’a tiré jusqu’à sa voiture avant d’ouvrir la portière et me faire rentrer de force à l’intérieur. Serge a essayé de demander aux gens d’intervenir parce qu’on me kidnappait, mais on lui a dit que ce n’était pas un kidnapping et qu’Arsene et moi sommes un couple et avons trois enfants ensemble. L’autre fou là a grimpé dans la voiture avant de démarrer les mâchoires serrées.


Moi : (Essayant d’ouvrir la portière pendant que la voiture était en marche)  Laisse moi descendre de ta maudite voiture Mfoula.

Arsène : (Verrouillant les portières) Tu n’iras nulle part et tu vas m’écouter.

Moi : Je ne veux pas t’écouter, Laisse moi descendre.

Arsène : Tu le feras aujourd’hui , de gré ou de force.


Je me suis mise à le frapper pendant qu’il conduisait avant de le mordre à l’épaule . Il a perdu le contrôle du véhicule un moment en essayant de me séparer de lui et nous avons été secoué un moment avant qu’il ne rattrape le volant rapidement pour nous empêcher d’avoir un accident. Il a arrêté le véhicule sur la route après l’avoir stabilisé et est descendu pour aller ouvrir le coffre qu’il a refermé avec violence avant de venir ouvrir mon côté et me sortir du véhicule de force en me tirant par le bras. Il a ouvert la portière arrière et m’a poussé à l’intérieur avec violence avant de grimper et m’attacher les mains avec une corde.


Moi : (Me débattant) Laisse-moi Mfoula, laisse moi tranquille.


Je me suis débattue comme j’ai pu mais je n’ai pas pu faire le poids, il m’a bien bloqué contre le siège et m’a attaché les deux mains ensemble avant de les attacher sur la manivelle qu’on tient souvent sur les côtés en cas de secousse du véhicule. Il est descendu et a claqué la portière avant d’aller monter et reprendre le volant. Comme les vitres étaient montées et qu’elles sont teintées, les gens ne pouvaient pas voir comment le criminel là m’a séquestrée et attachée dans sa voiture.


Moi : (Hystérique) Mfoula espèce de salopard, vient rapidement me détacher. Si tu ne me détaches pas, je vais crier. 

Arsène : (conduisant en silence) 

Moi : (Hurlant) Au secours ? À l’aide ? Venez m’aider, un assassin ritualiste m’a kidnappé, woyoooo, venez oooooh.


Il a mis la musique à fond pour couvrir le son de ma voix


Moi : (Agitant mes pieds pour le frapper avec) Tu crois que tu vas me tuer pour boire mon sang dans tes pratiques, tu as menti Mfoula, mon sang est bien amère, c’est plus amère que le sang et le cœur de la panthère, tu ne pourras pas me tuer dans tes pratiques tu comprends non ? Sorcier, fait moi descendre de ton tas de ferraille là tout de suite.


Il ne m’a pas répondu et il a roulé pendant un bon moment au point où la nuit tombait déjà. Après je ne sais combien de temps de route pendant lesquels je ne faisais que l’insulter , il a garé en arrêtant tout à l’intérieur du véhicule puis est descendu en claquant la portière. J’ai attendu quelques minutes en silence avant que la portière arrière ne s’ouvre brusquement sur lui tenant un couteau à la main. J’ai été saisi de panique.


Moi : (Me collant contre l’autre portière) Mfoula ? Tu veux faire quoi avec ça ? 


Il est monté dans la voiture et j’ai repris mes cris d’au secours en fermant les yeux. Il a coupé la partie qui me maintenait au véhicule avant de me tirer pour me faire descendre de force. Une fois à terre, je n’ai pas reconnu l’endroit , il y avait plein d’arbres autour, des plantations, j’ai aperçu quelques animaux ça et là dans des coins, des cases en planches, d’autres en contreplaqué etc. Il y avait aussi une grande maison en dur en face de l’endroit où le véhicule était garé. 


Moi : ( Une fois à terre) Tu m’as emmené où ? Nous sommes chez qui ici ? (Hurlant) Je te parle Mfoula, ramène moi chez moi tout de suite.


Mon bruit a attiré les regards des gens qui étaient là. Il n’a pas fait cas et s’est mis à tiré sur la corde avec laquelle mes mains étaient attachées on dirait une esclave qu’il partait vendre. Je l’ai insulté tout le chemin qui conduit à la maison et devant la porte d’entrée , un homme lui a remis les clés.


Arsène : (Parlant pour la première fois depuis qu’il avait pris le volant) Que personne ne s’approche de cette maison aujourd’hui, peu importe les cris que vous entendrez, je ne veux voir personne. Le premier qui viendra ici sera viré. J’espère que je me suis bien fait comprendre ?

Lui : Oui monsieur.

Arsène : Tu peux t’en aller.


Le monsieur est parti et Arsène a ouvert la porte avant de me tirer à l’intérieur et refermer derrière nous. Il a actionné un bouton pour éclairer la maison. Je n’avais pas fini de familiariser mes yeux au décor de la pièce qu’il m’a saisi par le bras avec violence et m’a conduit dans une chambre avant de me jeter sur le lit qui y était. Je me suis redressée pour m’asseoir et je l’ai vu boucler la porte à clé avant de retirer sa ceinture tout en me regardant avec des yeux noirs de colère.


Moi : Tu fais quoi ? Pourquoi tu m’as emmené ici ?

Arsène : (Enlevant complètement sa ceinture) Tu n’as pas dit que tu es sauvage et têtue ? C’est parce qu’on ne t’a pas assez frappé dans ton enfance que tu penses que c’est avec tout le monde que tu vas faire la sauvagerie n’est-ce pas ? Je vais t’apprendre le respect aujourd’hui.


Il s’est approché de moi avec sa ceinture en main et je ne réalisais pas ce qu’il voulait faire jusqu’à ce qu’il me mette le premier coup avec. Au deuxième coups, j’ai commencé à crier et au troisième, je pleurais et le suppliais d’arrêter parce que ça faisait mal…


SECONDE CHANCE