CHAPITRE 32 : Léana NGUIMBI
Ecrit par deli
*PDV de Pierrick*
En descendant
de l’avion j’ai tout de suite eu envie de voir la petite bouille de dalia, je
dois avouer qu’elle m’a manqué. Autant arrêter de me voiler la face, j’ai des
sentiments pour elle et j’en suis ravie, c’est une fille vraiment spéciale et
adorable qui s’assume parfaitement, ce qui l’a rend encore plus attirante. Etant
donné que j’ai voyagé avec léana, il va d’abord falloir que je l’accompagne
chez elle avant de pouvoir voir dalia ; heureusement que le contrôle douanier
n’est pas un problème pour nous donc on est directement sorti de l’aéroport
après avoir récupéré nos affaires.
Léana :
on va chez toi ?
Moi (la
regardant) : mon chauffeur va t’accompagner chez toi
Léana (surprise) :
je ne descends pas chez toi ?
Moi : ça
fait un moment que tu n’es pas rentré je suis sûr que tes parents t’attendent
avec impatience
Léana :
mais
Moi (la
coupant) : écoute ma maison n’est pas encore arrangé pour te recevoir
Léana :
ce n’est pas grave on pourra l’arranger ensemble
Moi (sentant
l’agacement monter) : lé (petit nom de léana) laisse-moi le temps s’il te
plait, je suis habitué à vivre seul et ce depuis un moment déjà, tu peux pas
juste débarquer et vouloir t’imposer dans mon espace, ça va pas marcher
Léana (visiblement
agacé) : ça fait une dizaine d’années qu’on est fiancés et on a vécu
ensemble aux USA pendant des années et tu me parles d’espace ; tu es sérieux
là ?
Moi (plissant
les sourcils) : très sérieux, j’aime pas qu’on on veut m’imposer des
choses et tu le sais très bien donc maintenant on y va, mon chauffeur va t’accompagner
Léana (prenant
une grande respiration) : d’accord on y va
On a pris la
route du parking et en nous voyant arriver le chauffeur est venu vers nous
prendre nos bagages après nous avoir salués
Moi (au
chauffeur) : tu raccompagnes mademoiselle NGUIMBI chez elle et après tu
peux rentrer
Le chauffeur :
d’accord, je vous en prie mademoiselle (ouvrant la portière)
Léana (me
regardant surprise) : tu ne viens pas avec moi ?
Moi :
je viendrai demain
Léana :
mais comment ça ? Qu’est-ce que je dis à mes parents lorsqu’ils vont
demander après toi ?
Moi :
que je passerai demain tout simplement
Léana :
mais tu es celui qui est venu me chercher et là tu m’abandonnes toute seule à l’aéroport
Moi (agacé) :
léana je ne t’abandonne pas, je suis épuisé je veux rentrer me reposer, si je
vais chez toi tes parents voudront me garder pour parler et manger entre temps
tout ce que je veux là c’est dormir alors excuse-moi au près d’eux mais je
passerai demain d’accord ?
Léana :
non pas d’accord du tout, tu ne peux pas m’abandonner
Moi (soufflant) :
merde lé tu es dans ton pays comment ça je t’abandonne (criant presque)
Léana (tout
aussi énervé) : s’il y’a une personne qui doit s’énerver ici c’est bien
moi, mais qu’est ce qui t’arrive
Moi (massant
mes yeux avec mes doigts) : ok je suis désolé (me rapprochant d’elle et la
prenant par la taille tout en la collant à moi) on se voit demain promis (lui
faisant un bisou) maintenant va te reposer toi aussi et profite de tes parents
bébé
Léana :
tu passeras vraiment demain ?
Moi :
tu as ma parole
Léana :
d’accord
Elle a passé
ses mains autours de mon cou et m’a embrassée de manière très suggestive
Léana (me
regardant dans les yeux) : je t’aime
Pour simple
réponse je l’ai embrassé et on s’est séparé puis elle est montée dans la
voiture et le chauffeur a démarré après s’être correctement installé
J’ai respiré
un bon coup, c’est exactement ce qui m’empêche de tomber amoureuse d’elle
beaucoup trop capricieuse et clairement enfant trop gâtée qui est habitué à
toujours avoir ce qu’elle veut à le seconde même où elle l’a désiré, merci
maman de m’avoir empêtré dans cette relation non désiré pfff.
Après leur
départ je me suis dirigé vers ma voiture que j’ai laissé ici avant de partir et
après m’être confortablement installé j’ai appelé la seule personne que j’ai
envie de voir, dalia qui a pris un peu de temps avant de décrocher
Dalia (la
voix ensommeillée) : allô
Moi :
bonsoir chérie
Dalia : bonsoir amour, ça va ?
Moi :
maintenant que j’entends ta voix ça va encore mieux
Dalia : quel
beau parleur !
Moi (souriant)
: je ne dis que la vérité. On peut se voir ? Tu m’as manqué !
Dalia (la
voix fatiguée) : on se voit demain chéri ! Je suis trop épuisée ce soir
Moi : je
passe te prendre comme ça tu pourras te reposer dans mes bras
Dalia : ça
ne peut pas attendre ?
Moi :
sûrement pas
Dalia : je
vais annoncer la nouvelle à madame véronique et je te donne une réponse
Moi : je
peux l’appeler si tu veux
Dalia : non
ça va, y’a certaines choses que je dois faire moi-même et ça, ça en fait parti
Moi :
d’accord j’attends ton appel alors.
Dalia :
d’accord bisous
Moi : bisous
Après qu’elle
ait raccroché je suis resté assis dans ma voiture toujours garée sur le parking
de l’aéroport. Je préfère rester là comme ça une fois qu’elle me fait signe je
pars directement la prendre. J’ai attendu quelques 15 minutes avant qu’elle me
rappelle enfin
Dalia : allô
bébé
Moi : oui
chérie
Dalia :
c’est bon je fais mon sac mais, je vais prendre ma voiture
Moi :
pourquoi ?
Dalia : je
dois aller au travail demain
Moi : tu
prendras une des miennes, j’arrive dans 15 minutes je suis là
Dalia :
d’accord à tout de suite
Cette fois j’ai
directement démarré après qu’elle ait raccroché, je ne veux plus perdre de
minutes mais j’ai quand même conduis pas trop vite car je la connais elle va
sûrement trainer et tourner en rond ; une quinzaine de minutes plus tard j’ai
garé devant chez elle et je l’ai rappelé
Dalia (décrochant) :
oui ?
Moi : je
suis là
Dalia :
j’arrive
Quelques minutes
plus tard elle s’installait sur le siège passager
Elle (refermant
la portière après m’être installée) : bonsoir mon cœur
Je me suis
directement penché vers elle et j’ai plaqué mes lèvres contre les siennes et
après un long baiser rempli de désir je me suis séparé d’elle
Moi (la
regardant dans les yeux) : tu m’as manqué
Dalia :
tu m’as manqué aussi chéri
Après ses
belles retrouvailles j’ai mis cap sur la maison où on est arrivé assez
rapidement car la route était dégagée. Une fois sur place, j’ai pris les
affaires de dalia et on s’est dirigé à l’intérieur de la maison directement
dans ma chambre.
Moi (plongeant
sur le lit) : ça fait du bien d’être chez soi
Dalia (s’asseyant
sur le canapé) : tu n’étais pas encore arrivé ici ?
Moi (la
regardant) : non je reviens à peine de l’aéroport
Dalia (souriant) :
je t’ai tant manqué que ça ?
Je me suis
levé et dirigé vers elle
Moi (lui
tendant la main) : viens que je te montre
Elle a saisi
ma main et s’est levé je l’ai plaqué contre mon corps ne laissant aucun espace
nous séparer et nos regards se sont croisé, quelle belle femme ! Sans plus
attendre je l’ai embrassé de manière à ce qu’elle soit bien consciente de mon
intention de la mettre dans mon lit et pour que soit complètement clair mon
érection s’est mêlé à la fête, dalia a poussé un gémissement tellement
suggestif qu’il a été comme un coup de sifflet pour moi j’ai saisi sa robe et la
lui ai enlevé.
Etant donné
qu’elle a une petite poitrine elle porte rarement de soutient donc elle s’est
retrouvé avec comme seul vêtement sa culotte en dentelle qui révèle
parfaitement sa magnifique hanche, je l’ai tourné face au mur pour avoir une
vue dégagé sur son magnifique cul qui me fait bander rien que d’y penser, cette
femme est trop bandante ; j’ai collé ses fesses à mon érection pendant que
mes mains malaxaient ses seins et ma bouche se délectait de son cou. Ses gémissements
sont tellement bons à entendre.
Moi (chuchotant
à son oreille) : je t’ai manqué dalia ?
Elle (en
gémissant) : ouiiii
J’ai dirigé
une des mains qui malaxaient ses seins entre ses cuisses en la glissant dans sa
petite culotte et elle a naturellement ouvert les jambes, elle est tellement
prête pour moi, j’ai commencé à jouer avec son clitoris et masser son sexe
Dalia :
oww, hummm ouii
J’ai enfoncé
un puis deux doigts en elle pendant qu’un autre massait son clitoris et ma
bouche jouait sur son coup et dans son oreille et ses gémissements ont rempli
la pièce, c’est tellement jouissif et au bout de quelques minutes elle s’est
crispé et a joui dans un grand râle de plaisir.
Je l’ai
conduit vers le lit sur lequel je l’ai poussé, je me suis glissé sur le lit
également et je l’ai débarrassé de sa culotte, une fois chose faite je me suis
mis à me déshabiller très lentement pendant que nos regards étaient accroché l’un
à l’autre, humm quelle allumeuse je me suis dit lorsqu’elle a commencée à jouer
avec ses lèvres et les pincer. Une fois complètement nu je me suis glissé entre
ses jambes qu’elle a bien sur écarté pour me faire de la place ; on a
décidé de ne pas utiliser de préservatifs, dalia prend la pilule donc on a pas
trouvé ça utile surtout que chacun de nous avait un bilan de santé de moins de
6 mois quand on a commencé ensemble du coup on profite parfaitement l’un de l’autre.
Je me suis
glissé entre ses jambes et l’ai pénétré très lentement de manière à ce qu’elle
me ressente bien me glisser en elle
Moi (à son
oreille) : humm tu es tellement bonne bébé
Lorsqu’on est au lit les positions viennent naturellement, j’ai l’impression qu’on est tellement synchrone, tellement compatible, pas étonnant que j’ai des sentiments fort pour elle, elle me correspond parfaitement.