Chapitre 34 : Non, elle n'a pas osé !

Ecrit par afi92


Au restaurant le phénicien...


Elle : (riant et levant les mains au ciel) eh, seigneur vient en aide au pauvre David, son meurtre sexuel est en train d’être planifié ici par une certaine Rosine. Je suis innocente oh, puisque je t’ai prévenu d’avance.


(on se met à rire ensemble.)


Moi:  Dit copine, tu as ton portable sur toi ? Il Faut que j’appelle papa pour Le prévenir que je ne pourrais pas le voir cette nuit, on avait prévu se voir aujourd'hui.


Elle : d'accord, il n'y a pas de soucis, mais fait vite les garçons attendent depuis un moment. Et moi, je meurs de faim si vous ne voulez pas avoir un cadavre sur votre conscience, il faut vraiment qu’on passe à table. (se levant pour sortir de la pièce et se retourne une dernière fois en me disant ) Et je te rappelle que le mec n’a pas organisé tout ceci pour que tu restes coincé sur un téléphone ton père sera toujours là demain matin cette soirée non.


Moi : (prenant le portable de ces mains) toi, tu aimes trop manger, mais c’est toi, qui est toujours mince, on dirait brindilles de balais. C’est quoi cette manie d’avoir toujours faim comme cela même ? Tiens juste un peu le temps de passer l’appel à papa, il doit sûrement m’attendre et s’inquiéter de mon silence. Comme ce dîner est une surprise, je n’ai pas eu le temps de déprogrammer mon rendez-vous avec lui.


Elle : ok, ok fille à papa fait vite, on ne va pas jeûner sans prière à cause de toi, je vais aller me servir du champagne en attendant. Faut j'ouvre les portes de mon ventre pour bien m'empiffrer.


Moi : (m’adressant à la maquilleuse) stp tu peux me laisser un moment ? Je vais passer un appel et merci beaucoup de m’avoir sublimé, tu es une vraie professionnelle et n’oublies pas de me donner ta carte, je vais te présenter à mes amies.


Elle sort de la salle avec le sourire et des merci tant mieux il ne faut pas qu’elle se hasarde à écouter ma conversation. Je me lève pour bien vérifier qu’elle n’est pas proche. Les gens qui font ces métiers sont de grandes commères. Donc écouter aux portes ce n'est pas de ça elle va se priver.


Bref, je compose le numéro et lance l'appel Papa ne décroche qu’au troisième appel.


Moi : allô ! Allô !


Lui : oui allô ! Bonsoir,


Moi : papa, c’est Rosine. hayi tu ne reconnais pas la voix de ta fille ?


Lui : mais Rosine pourquoi tu m’appelles avec un numéro inconnu ? Et ton portable ? Il a quoi ? C'est à qui se numéro ? Je ne veux pas être dérangé après.


Moi : il n’y a rien, juste que je voulais passer te voir pour qu’on discute un peu. À quel jeu tu joues ? Il ne reste qu'une journée avant notre départ. Normalement, le plan était de faire changer d’avis à David et maintenant, tu nous souhaites un bon voyage ? Je ne comprends plus rien.


Lui : il ne faut surtout pas t’inquiéter ma fille, tout se passera bien, tu ne risques rien en partant avec ton mari. Reste juste toi-même et ne panique pas. Plus tu es stressée plus la maladie est susceptible de se déclencher alors reste calme. Et tu ne m'as toujours pas répondu, pourquoi tu utilises le portable de Nina ?


Moi : (étonnée) mais de quoi tu me parles ? Maintenant, tu mises sur le hasard ? En tout cas moi, je t’avais prévenue si tu ne me trouves pas un plan jusqu'à demain soir, je serais obligé de tous dire à David.


Lui : ne prends pas de décision active n’oublie pas que personne ne voudras d’une folle comme mère de famille. N'oublie pas que personne ne voudras d’une folle comme mère de famille. Tu n’as toujours pas répondu à ma question tu le fais exprès ou quoi ?


Moi :  C’est David il ma fait une agréable surprise ce soir en….


( quelqu’un ouvrant la porte)


Nina : hayi ma chère sort, on y va, on ne va pas passer toute la soirée pour t’attendre pardon mon téléphone. Si Richard le voit maintenant, je suis foutu il a juste dit le boulot et la famille.


Moi ; papa, je te rappelle après les Nina m’attendent Kix


Lui : où ca ? Rosine, vous êtes où ? Rosine... (en le coupant)


Moi : je te rappelle papa. Après, je t'explique tous. clic


David...


Rosine en met du temps ca fait plus de 1 h qu’elle est rentrée dans cette pièce. Je n'aime pas ne pas l’avoir sous les yeux. On sait jamais ce qui peut se passer, il ne faut pas que mon plan tombe à l'eau. Je suis sûre que ce vieux sorcier à quelques choses derrière la tête. Son calme ne présage rien de bon, je pense ou bien, c’est moi, je me fais des idées ? Il a quoi à gagner en cachant la maladie de sa fille ? Son calme ne présage rien de bon, je pense ou bien, c’est moi, je me fais des idées ?

Pourquoi il veut garder secret sa maladie qui ne se déclenche d'ailleurs que très rarement.


     Je ne comprends plus rien à cette histoire à chaque fois que j’avance un peu, je me perds.

Je lève la tête histoire de sortir un peu de ce tourbillon de réflexion lorsqu’au même moment Rosine sort de la pièce complètement méconnaissable tellement belle dans sa robe jaune avec les perles. J’ouvre grandement la bouche que Richard s'empresse de fermer avec sa main.


Lui : (joignant ma lèvre inférieure à celle du haut) pardon ton costume est déjà propre elle n’a pas besoin d’être lavé par de la bave. (ils éclatent tous de rire, je lui donne des coups et m’approche de Rosine)


. Oh seigneur comment une si belle femme peut se laisser embarquer dans une histoire aussi sordide et morbide ? Je lui donne un baiser tellement remplir de regret et de reproches. Je me demande comment cette histoire finira à la fin de mon enquête. Elle va sûrement me haïr. Mais il le fallait, cette famille fait trop de victime.


Elle : (les yeux remplir de larmes) ah mon chéri, mais qu’est ce qui t’arrive, tu tremblais presque dans mes bras. Merci pour tout ceci, j'ai carrément adoré la robe la chaussure, je ne pourrais choisir mieux. Tu m'as prouvé cette nuit que je n’ai pas eu tord de te choisir comme l’homme de ma vie.


Moi : oh ma douce ne t’inquiète pas, ce sont les émotions si non, tu es époustouflante dans ta robe, je suis encore tombé sur ton charme une n'énième fois. Je t’aime ma petite femme. Et ne pleure pas ton maquillage va couler.

( Je l'embrasse encore plus tendrement, mais qu’est ce qui me prend David reprend toi, c’est une criminelle, tu es un professionnel ce n’est pas ta première mission.

N’oublie pas l’objectif de vue. 


La voix de Richard me fait revenir à moi.


Richard : bon ici n’est pas encore la chambre venez, on va manger, comme ça vous pourrez aller vous tripoter à la maison les pervers que vous êtes.


Tout le monde se met à rire à cette blague et il a bien raison, il suffit de voir la bosse de mon pantalon pour se rend compte que j'étais prête à la prendre maintenant et ici.


Moi : (tripotant mon engin de se calmer ce qui à l'air de faire marrer Rosine) dit un grand pervers qui a déjà tout fait avant notre arrivée. À croire que la Sorcellerie des gens de nos jours n’a aucune limite, je profite juste de ma douce tendre et belle femme. Une déesse rien qu’a moi. (donnant un baiser à Rosine)


On se rapproche d'eux et je fais signe aux serveurs de nous servir du champagne.


Moi : ( je lève mon verre en l'air) je trinque aujourd'hui à la santé des plus belles  et uniques femme de nos vies, à ces déesses qui ont accepté nous supporter malgré nos comportements des fois pas très catholiques. Sauf bien sûr moi, je suis l’exception qui confirme la règle.

      (Nina jette un coup d’œil à Richard, Rosine ce fait un plaisir de secouer la tête.). Mais cette nuit, je voudrais vous dire que vous êtes les plus belles choses qui puissent nous arriver et nous voulons vous témoigner notre amour cette nuit pour tout ce que vous êtes pour nous. N’en doutez pas une seule seconde ont vous aiment énormément (Richard donne des baisers à la main de Nina, ça se voit qu’il est fou d’elle.) alors je lève mon verre et je trinque en votre honneur mes dames. À l’amour


Eux en cœur : (en levant leurs verres) à l’amour


Après, on se dirige vers la table magnifiquement décorée, ce Richard a du goût quand je pense qu’il a tout choisit même la robe des filles. Et c’est moi, on menace de jeter de la ligue des mâles alphas. Je souris juste à l’idée. Tout le monde prend place autour de la table et les serveurs s’apprêtaient à nous servir quand le portable de Nina se mit à sonner.


Richard ; (mécontent) chéri qu’est ce que j’avais dit par rapport au portable ? Mets le en mode silencieux  stp. ( Elle, jetant un coup d’œil, a l’écran.


Elle : c’est le boulot faut que je décroche peut-être, il a besoin d’une information urgente. Ce n’est pas de ces habitudes, je vais décrocher voir stp. Juste une minute excusez moi un instant SVP, sorry.


    Mon cœur rate un battement, c’est qui entre les deux ? Le fils ou le père ? Tout ceci ne me dit rien de bon. Mais je ne pouvais pas quand même l’empêcher de décrocher ça serait trop louches comme situation. (elle se lève dépose un baiser sur les lèvres de Richard et quitte la table.)


Nina revient quelques minutes après le visage toute souriante.


Richard : ma chérie, c’est quoi ce visage souriant ? Tu as eu une promotion au téléphone ou quoi ?  (on se mit tous à rire.)


Elle : (souriant) non-non, c’était le père de Rosine avec ces blagues. Il était en communication avec Rosine quand l’appel a coupé donc il a rappelé pour s'assurer que tout allait bien. Donc je lui ai dit qu’il ne fallait pas qu'il s’inquiète que sa petite fille gâtée pourrie était entre de bonne mains avec nous au restaurant Phénicien.


Je manque de m’étouffer avec mon verre, Nina vient de dire quoi là ?...


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