chapitre 34: y voir plus clair.
Ecrit par ngakomal
~~~~ MEHOUM reine. ~~~~~~
- Pour commencer du devrais me dire où nous nous trouvons.
- Bien ma prêtresse…
- S’il te plait arrête avec ce non ridicule que tu me donne. Mon nom c’est reine où Mehoum. Et merci de ne pas y ajouté le possessif. Oui je t’écoute…
- Comme je disais, nous somme dans la forêt sacret des royaumes de la terre de la mer et du ciel. De ce que je comprends nous sommes dans une combinaison des lieux mythique des deux grandes forêts du monde, des récifs des profondeurs et du point culminant de la couche d’ozone.
- Pourquoi c’est lorsque je suis avec lui. Fis-je en le désignant du doigt. Que je me retrouve ici ?
- Je pense que tu sens qu’il en a besoin. Où est-ce lui qui en est le déclencheur.
- Pourquoi moi ?
- C’est l’univers qui décide ma reine. Même mon maitre a été juste choisit.
- Comment t’es tu retrouvé en lui ? il a fait des vœux et tu le fait payer maintenant ? car si je me souviens bien tu m’avais dis la dernière fois que tu étais un génie. Mais tu es plus laid que ce que l’on décrit dans les livres de contes.
- Pour la première question ma reine… quand mon maitre voudra vous en parlé il le ferra. Et non je n’exhausse pas de vœux.
Je ne comprenais toujours rien à toute cette histoire. Je ne voulais même plus comprendre. Je sentais l’appel de la forêt. La douceur du vent sur ma peau, le touché de la brise et le chant… cette symphonie que je n’avais jusqu’à lors remarqué. Je me sentais m’élevé aux grés des accords qu’elle émettait. J’entendais dans le vent et de manière distincte le non de « Madiba sango Njanè » qui était ce ? Je savais pertinemment qu’Ad s’appelait Madiba… mais qui était ce Sango. Je me tournais vers l’endroit où se trouvais Ad endormis et ne semblait plus le voir. Ma vision était floue. Qu’en à parler du gros chat noir, il avait complètement disparut. Bizarrement je ne sentais pas la panique monter en moi. Le calme dont je fessais preuve n’avait pas son pareil. Mon environnement changea et ce fut comme si j’étais suspendus dans l’espace. Des planètes se formaient et disparaissaient des étoiles explosaient et se formaient. Tantôt c’était le noir absolue et à d’autres moments, on aurait dit une lumière incandescente. Puis on aurait dit que des sphères venu de nulle part se formaient et s’emboitaient. C’est là que je vie un trône et un sceptre confié à une femme qui se manifesta directement devant moi au cœur d’une forêt inconnue. Peut-être était-ce cette forêt ? Elle m’ouvrit les bras en signe d’invite et la tête inclinée vers le sol. Je m’approchais, je voulais voir son visage. Elle leva subitement le visage et notre ressemblance me toucha de plein fouet. J’eu à peine le temps de m’y attarder que son œil spirituel me captura. Je refusais de seder et réussit à fermé les yeux afin de me concentré sur mon œil spirituel. Cette femme voulait qu’il s’ouvre afin que je voie par moi-même la noirceur et la lumière des mondes. Je ne pouvais le permettre N’Zeu avait dit que ce n’était pas le moment. Quand était-ce alors ? Je me mis à me débattre encore et si bien que le poids de mon corps qui avait disparu un peu plutôt revint avec acuité.
- Mais qu’est ce que tu as fait Piè. Je ne l’ai jamais vue dans cet état. Entendis-je la voix de N’zeu. Porte la et pose la auprès de ton maitre je pense qu’il réussira à la stabiliser.
- Comment il s’y prendra ? lui-même est presque inconscient. Répondit Piè en grognant.
- Obéit c’est tout ce que je te demande. Elle est translucide. Si la forêt l’aspire vous ne saurez dans qu’elle coin du monde elle sera et moi je serais incapable de vous en informer
Je me sentis soulevé du sol et posé prés du corps chaud et parfumé d’ad. Je m’enroulais autour de lui tel une sensu je voulais en prendre possession. C’était si doux si attachant et si reposant… j’aspirais au repos…. J’avais les mêmes sensations que ce soir là à l’hôpital. Je sentais, je savais, je pouvais me laisser aller. Je serais en sécurité… Dès que cette pensée eu traversé mon esprit, je me suis dis : « comment peut-il me protégé dans cet état d’abandon ? Avant de sombrer allégrement dans un trou noir réparateur.
~~~ N’zeu ~~~
Il fallait vraiment le faire ! Avec toutes les émotions qu’elle traverse et mon mur de protection qui menace de se brisé sous l’insistance de son œil puissant et écrasant, je ne sais plus où mettre mon esprit… qu’ai-je fais à l’univers pour qu’il puisse me laisser me reconnecter à elle ? La Prêtresse Diane avait su me punir. Vraiment ! Elle avait su. Même si je ne sais ce que je lui avais fait. Maintenant je me retrouve à devoir composé avec des entités pour pouvoir gérer des situations mettant l’avenir du monde en jeux.
- Ton maitre sait ? demanda N’zeu
- Qu’elle est la Prêtresse ? ou qu’il est le gardien et le compagnon de la prêtresse ?
- Les deux.
- Non. Il est si amoureux qu’il ne veut pas mettre un et un l’un près de l’autre. Ou alors il a tellement vécu sur la terre ….
- Je penche pour la première option. Le danger est imminent l’œil s’ouvrira d’ici peu. Trouve un moyen de le lui dire. Qu’il comprenne que ce sera bientôt à lui de passer à l’action. Son l’œil détruira sous peu la barrière que j’avais érigée autour d’elle. De grâce fait le bien comprendre. Quand la barrière cèdera elle sera vulnérable. Ils sauront plus précisément où elle se trouve et viendront à elle.
- Je lui dirais….
- Ne te contente pas de dire qu’il comprenne !.... intimais-je avant de disparaitre sous d’autres cieux.
J’avais un peu de repris comme elle dormait près de son protecteur. Il fallait que je puisse faire un tour aux portes de l’au-delà pour avoir une vue complète sur les protagonistes de cette guerre. Il est loin l’époque où je criais mes os !
~~~~ sabine Blairon ~~~~
- Béthanie ! Béthaaaa !! Béthanie ??
- Oui maman j’arrive… il y a quoi pour que tu cris mon nom comme ça ? finit-elle par répondre après une éternité.
Elle savait se faire désirer ma fille. Le seul problème était qu’elle ne savait quand ni où utiliser cette astuce que je lui avais apprise pour séduire les hommes.
- Où sont les habitants de cette maison ?
- Maman tu me demande comme si cette maison m’appartenait? Tu sais parfaitement que depuis que cette Rêve a eu son accident, Michel se terre dans sa chambre dès qu’il rentre de l’école.
- Et ton père ?
- Je pense qu’il n’est pas là si tu n’as pas vu sa voiture dehors. Si non, il est là.
- Et …. Cette bonne à rien est où ?
- Maman c’est quoi ? tu veux seulement me faire parler ? ce n’est pas toi qui lui a donné l’autorisation de partir je ne sais où ? tchuip si c’est seulement ce que tu demandais je remonte dans ma chambre. Dit-elle en se retournant pour partir.
- Attend ! tu veux me dire qu’elle n’est pas encore rentrée ? elle est quittée d’ici à qu’elle heure ?
- Elle nous a servie Mike et moi et puis elle est partie. Il fallait voir comment elle m’a parlé. Humm depuis que tu lui laisse poussé des ailes…. Et puis ce ne sont pas mes oignons
- Elle ose te parler mal ? elle c’est qui dans cette maison ?
- Maman c’est toi qui la laisse faire hein… moi … chez moi tu ne verra jamais des conneries comme ça…ou cela t’avais même prise par où pour que tu l’accepte chez toi hoooo .
- C’est parce que j’ai dis qu’elle peu sortir qu’elle décide de faire les bordelles chez moi ? je l’attends ici. Déclarais-je allant m’assoir sur la table à manger de façon à voir l’entrée principale à travers la fenêtre. Sert moi s’il te plait….
- Maman pardon ne me confond pas ! si tu veux manger va te servir. Tu penses que tu vas donner des vacances à ta ménagère pour me transformé en boniche ? je vaux mieux que ça. Je suis quand même la future femme du fils d’un ministre très haut placé.
Le temps de surprise passé, je compris qu’elle entrait déjà dans son rôle de femme ! je ne pouvais lui en vouloir. Il fallait qu’elle impose le respect. Tant de son mari que de son entourage. Je lui souris tendrement avant de lui dire qu’elle avait parfaitement raison. La félicitant de ne pas perdre ses reflexes. Elle deviendrait…. Non. Elle était une vrai dame du monde. Je suis allé me servir et mangé. Un vrai délice ! Vraiment cette fille avait des mains de fée quand il s’agissait de la cuisine et de sorcière pour tout autre chose. Elle savait parfaitement me faire perdre le nord comme sa feu mère. Une vraie mégère. On klaxonne et le gardien ouvre. Mon mari gare et descend. Toujours à trainer son corps comme un mollusque flasque et informe. Votre Dieu là sait y faire. C’était le seul assez spirituellement faible et instable, facilement manipulable et cérise sur le gâteau comme les blancs disent, Pascale était blanc et riche. Le meilleur choix pour occuper une bonne place dans la société et le meilleur moyen de mourir vielle fille. Encore heureux que je sache me débrouillé à me trouver de vraies et beaux males.
- Bonsoir Pascale. Dis-je dès qu’il franchit le pas de la porte.
- Bonsoir ma chérie. Répondit-il en s’avançant devant moi pour me faire la bise. Comment était ta journée ?
- Bien jusqu’à ce que je rentre et ne trouve pas ta protégée.
- De quoi est ce que tu parles encore sabine. Ma journée a été très chargée et je suis fatigué.
- Fatigué ? que moi tu penses que je me sens comment ? cette fille me fatigue ! une vaux rien que je soutient depuis des années comme j’ai donné la permission de sortir elle veux me faire comprendre qu’elle rentrera le matin.
- Sabine… pourquoi en faire tout un plat. Tu couve trop rein… je voulais dire la petite. Laisse-lui un peu d’espace. A son âge Béthanie fessait des semaines entières hors de la maison.
- Je savais ! je savais ! que tu prendrais sa défense. C’est moi la méchante de toute façon ! je monte me couché débrouille toi. Dis-je en mettant l’acte à la parole.
Je montais péniblement les escaliers. J’avais tellement mangé que j’en marchais à peine. Pas étonnant que je prenne permanemment du poids.
Je ne voulais pas me démener pour faire le service à la place de rêve et aussi c’était la raison tout trouvé pour éviter de remplir mes devoirs conjugaux. Il me fallait à tout prix caser ma fille avec Mike et me débrouiller pour chasser cette va nu pied de chez-moi.
- Sa cuisine va vraiment me manquer. Murmurais-je entre les dents. Il y a encore les femmes de ménage dans ce monde. Je finirais bien par me passer d’elle.
Depuis un bout de temps, j’ai l’impression que tout vas de travers. Mon ministre ces temps semble ailleurs et semble avoir des remords dans ses choix de vie et plus précisément dans sa relations avec moi. On dirait qu’il se recadre sur sa femme. Mon emprise sur lui se lâche je ne sais pas pourquoi. Je pratique les incantations comme prévue. Nous avons une partie de jambe en l’air au moins une fois par semaine. Je le dis ainsi car en ces moments je ressens un mal de chien comme ce soir. Il faut bien ! c’est le prix à payer physique. Les conséquences sont plus lourds spirituellement. Il faut juste prier que Dieu et la Nature ne s’en mêlent pas. Je me débarbouille et prend place dans mon lit. Vivement que le jour se lève. Je ferrais à cette Rêve sa fête. Je me demande encore aujourd’hui ce que cette cruche avait trouvé à ce nom ridicule pour le donner à sa fille.
~~~~ Biboum~~~~
Je dépose le téléphone après avoir envoyé un message à Est. Depuis la dernière fois dans mon bureau, je n’arrive pas à la défaire de mes pensées. J’ai connu beaucoup de femmes… mais aucune ne m’a aussi marqué l’esprit. Je n’avais jamais pensée que mon voyage dans les profondeurs prendrait autant de temps. J’entre à peine et Mlle Douala était au séjour comme à l’accoutumé cherchant à s’acclimaté à sa vie sur la terre ferme. Entre livres, télévision et autres. Je ne m’étais pas encore penché sur ses capacités innées. Il faudrait bien que je le fasse. Mais tout d’abord il faudrait que je comprenne la raison pour laquelle je ne capte pas Sango Djanè. Il m’oblige à me tapé le trajet jusque chez lui à 22h. je suis si fatigué que j’en grince des dents. Encore heureux que cette anguille électrique m’a aidé. Si djané répondait je me serais juste téléporté. Je me change et ressort.
- Ne m’attend pas pour te couché. Je pense rentrer un peu plus tard.
- Ok. Mais tu ne t’es pas nourris.
- On dit tu n’as pas mangé ? danielle… je le ferrais a mon retour. Et qu’à fait la femme de ménage.
- Un truck avec les algues rouges. J’ai oublié le nom. Mais c’est super bon.
- Je sais. Dis-je avant de claquer la porte. C’est mon plat préféré murmurais-je en me callant dans la voiture. Et je n’aurais pas le plaisir de me la couler douce ! vraiment… le travail de protecteur de Djanè n’est pas du tout facile
Le trajet ne dura pas. En moins de deux j’étais devant son portail. Le gardien vint ouvrir.
- Bonsoir patron Biboum.
- Bonsoir … ton patron est là ?
- oui il est rentré.
- Depuis ?
- Vers 15h…
- Mais qu’est ce qu’il fait pour ne pas me répondre ? m’interrogeais-je inquiet.
Je n’avais pas de pressentiment négatif. Il allait bien. Mais pourquoi il ne me répondait-il pas ? Djanè allait me donner la crise cardiaque. Il savait précisément que je rentrerais aujourd’hui des profondeurs. Il savait qu’on devait avoir un débriefing comme le disent les humains.
- Ouvre, je gare.
Je tiens le poignet de la porte me préparant à cogner. Chose bizarre elle s’ouvre. Jamais il n’avait laissé sa porte ainsi. Mais qu’est ce qui se passe ? J’entre dans le séjour et commence à l’appeler tout doucement. Un tour dans la cuisine me montre qu’il a mangé. Je monte à l’étage pour vérifier dans la sale d’entrainement. Rien ! J’espère qu’il est en méditation. Mon Dieu qu’il n’est pas fait une téléportassion dans les eaux. C’est trop risqué dangereux même. Je redescends et vais dans sa chambre. Mon regard tombe en premier sur l’aquarium de Puce.
- Salut puce comment tu vas ?
- Ha l’ami bizarre de mon maitre. Je vais bien sauf que je m’inquiète pour mon maitre. Je ne l’ai jamais vue dormir autant.
- Il est où avant de dormir ?
- La dans le lit. Tu es aveugle ou quoi ?
Je tourne la tête vers le lit et le vois recroquevillé dans les draps. Je me rapproche pour vérifier que c’est bien lui. Je ne m’étais jamais autant approché de lui sans qu’il ne sente ma présence. De toutes ces années que nous étions sur la terre ferme, je ne l’avais jamais vue dormir. Il m’accueillait toujours à la porte, si non il était dans sa salle de sport. Je remarque une jeune femme. Il s’était enroulé autour d’elle t’elle une sangsue. On la remarquait à peine !
- Mais qui est-elle ? m’exclamais-je
- Je ne sais pas ! répondis puce. Ils sont arrivés là et après m’avoir traité de laide, elle est allée s’assoir sur le lit. Ce n’est pas parce qu’elle est belle qu’elle a le droit de traité les autres de moche. Quand je l’ai traité de bête elle a semblé surprise. Tu pense qu’elle à pu m’entendre ?
- Fait plus court puce. Tu divague déjà. Dis-moi ce qui s’est passé.
- Mais je te le dis. Non ?…
- Comment veux tu qu’elle t’entende, c’est une humaine ! fis-je mais rien n’est moins sur. Raconte.
- Ils ont mangé, j’ai supplié mon maitre de me faire voir un accouplement humain. Mais il s’est couché et a dormis et puis elle aussi à dormis. Depuis ils sont comme ça. Seule la femelle bouge de temps à autre.
~~~~ BIBOUM~~~~~~
Je les regarde dormir depuis plus de 20 min. je jette un coup d’œil sur ma montre 22h 45. Qu’est ce que je fiche ici, je suis si fatigué qu’en m’essorant, je produirais surement des plantons. C’est décidé je le réveil. Je m’avance et tend la main pour le secouer doucement c’est là que son géni choisit de m’apparaitre. Ses yeux profonds me poussent à reculer de deux pas. Son aura est si puissante. Il ne semble adouci pas comme la dernière fois avec Joël. Sa puissance destructrice m’avais éblouit.
- Non ne le réveil pas. De toute façon quand il n’aura pas fini de la stabilisé, il ne pourra pas se lever.
- Mais… mais…
- Il t’expliquera si lui-même comprend se qui se passe.
- Bonsoir Matou… dit puce de sa voix haut perché
- Bonsoir mon 4 heures. Répondit-il est-ce moi ou je rêvais ? j’ai bien cru voir un léger sourire à la commissure de sa moustache.
- Que se passe-t-il ? je ne l’ai jamais vue dans cet état. Stabilisé ? je ne comprends pas ! et de plus qui est cette fille ?
- Ecoute. Reprit Piè. il y est des choses qui dépasse l’entendement et dont on ne peut que laisser faire. Etre dans cet état l’aide et m’aide. Tu as du le ressentir. Et en ce qui concerne la fille, je pense que mon maitre t’en a déjà parlé.
- Et qu’est ce que je fais moi ?demandais-je
- Attendre je pense qu’ils ne vont plus tarder à se réveiller. Mais avant nous devons parler.
- De quoi ? pour toute réponse, il leva un regard sur l’aquarium de puce.
- J’ai toujours trouvé que ce poisson parlait trop. Peut-on lui faire confiance.
- Je ne trahirais jamais mon maitre pour qui tu me prends ? repondis puce à ma place. N’importe quoi.
- Peut importe je trouve toujours que tu parle trop ! dit-il qu’une voix profonde ce qui fit hérisser les poils de mon corps. fallait vraiment pas le mettre en colère. Bien ! sortons d’ici allons dans l’autre pièce.
Je le vis tout simplement étirer son corps et passer à travers le mûr. Sa queue si on pouvait appeler ça une queue, était rattaché à mon maitre. Je suis sortis le rejoindre en laissant puce dans sa colère et son délire.
- Nous sommes tous deux des serviteurs. Commença t-il. Et en tant que tel il y est des situations où nos observations nous renseignent plus que les mots. Que penses-tu de la petite ?
- Rien en particulier. Je ne la connais pas.
- Il t’a parlé d’elle…. Tes impressions ?
- Je le trouve plus gaie plus reposé et plus …. J’ai pas les mots pour le définir. Il change.
- Et si je réponds que c’est à cause de la petite ?
- Je dirais qu’il est amoureux.
- Sérieusement ? grogna-t-il ce qui me fit sursauter de deux pas en arrière. Vraiment ! passer du temps avec les humains vous a grillé le cerveau.
- …..
- Il se réveil… sache que tu devras aussi protéger cette fille. S’il lui arrive malheur mon maitre en pâtira et le monde avec. Les périodes sont sombres et comprend bien que l’univers ne connaît pas de hasard. Finit-il en retournant d’où il était venu.