chapitre 35: J'assume!

Ecrit par ngakomal

merci de kiffer et commenter. donnez moi des ailes....

~~~~ sango njanè … madiba adrian~~~~~~

Je plonge ma tête dans ce que je pense être mon oreiller et me retrouve le nez dans des cheveux. Je reconnaitrais ce parfum entre mille. Je suis bien là. Je resserre les bras autour d’elle et ma main se pose sur son sein que je pétris doucement tandis que mon sexe se réveil. Au moment où je veux rejeter les draps de nos corps, je sens la présence de Biboum dans la pièce.

-          Huuummm fis-je les yeux mis clos. Qu’est ce que tu fiche là, rentre chez toi !

-          Si tu avais daigné me répondre quand je me connectais à toi ? je ne serais pas là. Tu m’as fait passer par tant d’émotions à la fois que j’ai cru avoir les cheveux blanc avant l’âge. Et depuis quand tu dors avant 1 h du matin ?

-          Je ne sais pas mais j’aime.

-          S’il te plait djanè sors de là nous avons à parler. Fit-il avant de rebrousser chemin.

Je n’avais aucunement envie de sortir de ses bras mais le devoir m’appelait. Ce devait être important. J’ai desserré mes bras autour d’elle avec précaution. Le fait qu’elle ne veuille pas me lâcher me fit sourire. Je pouvais passer mes jours à la contempler, à admirer sa beauté. Son petit nez, ses lèvres charnus, la forme de son visage ses pommettes etc… j’aimais tout d’elle. Elle était si paisible dans son sommeil on dirait un bébé.

-          Sango je t’en pris dépêche toi je tombe de fatigue et en plus je  ne pourrais pas me téléporter. Criat-il depuis le séjour.

J’arrive dis-je dans ma barbe avant de le rejoindre. Il tournait en rond et dès qu’il me vit, il lança.

-          C’est qui elle ?

-          Ma reine.

-          La prêtresse ? s’exclama t-il les yeux exorbités de stupeur.

-          Hey… calme toi de quel prêtresse tu parle ? c’est reine… reine c’est son prénom.

-          Vraiment ?

-          Oui vraiment. Mais qu’est ce qui ne va pas ?

-          Je ne sais pas peut-être trop d’informations en même temps. C’est si complexe. C’est la fille dont tu me parlais là ?

-          Oui c’est elle.

-          Je n’ai même pas pu bien la voir. tellement tu l’avais enveloppé. Déclara t-il en se dirigeant vers la chambre.

-          Hey reste là ne la réveil pas. Tu ne disais pas être pressé ?

-          Et jaloux avec ça ! fit-il en me montrant sa dentition. Vraiment un empêcheur de tourné en rond.

-          Alors que dis le roi des eaux ? demandais-je en prenant place sur l’un des sofas.

-          Pardon ne me fatigue pas vois par toi-même.

Il s’approche et bizarrement je ne ressens pas le besoin de me mettre en condition afin de canaliser l’énergie de Piè. Tout se fait si naturellement et dès que je le touche, j’entre direct en connexion avec son esprit. Mais au lieu de sa conversation avec mon père, je tombe sur lui et la fille de l’autre fois entrain de s’envoyer en l’air.

-          S’il te plait Biboum concentre toi. Si j’avais envie de voir du porno je te l’aurais fait savoir.

Sans lui laisser le  temps de répondre je me suis remis au travail. Mais j’ai cru entendre un « escuse moi ». Cette fois ci, je suis tombé direct sur sa rencontre avec mon père. Au lieu de suivre comme la dernière fois, et je ne sais par quel alchimie, je me suis retrouvé à imprimer la conversation dans mon esprit à moi. On aurait dit que c’était automatique et en même temps je vivais la scène. Lorsque j’eu fini, il se laissa tombé dans un autre fauteuil en face de moi.

-          Si la prêtresse est ici, nous devons mettre la main sur elle. Je ne suis pas d’accord avec sa majesté. Nous tenir à l’écart nous rendra faible le moment venu. Peut-on compter sur l’alliance de Danielle ?

-          Je ne sais pas maître. Nous ne fessons que nous croisé. Et je ne me suis même pas encore penché sur ses aptitudes.

-          Il le faudrait et le plus tôt possible. Une chose que je sais de l’univers…. Le hasard n’existe pas. Même le fait que je me sente plus vigoureux après avoir dormi auprès d’elle… je sais qu’elle à son rôle à jouer. Elle a tellement d’énergie…. Tu sais la dernière fois que j’ai dormi auprès d’elle, j’ai pu faire deux semaines sans que mon corps ne ressente le besoin de puiser de l’énergie autour afin de stabiliser mon géni. C’est la deuxième fois et crois moi je me sens si bien ! je te le dis rien n’est pour rien.

-          Et alors qu’est ce que tu en pense ?

-          Que l’univers me prépare à l’affrontement. Il me faut être prêt. Donc si l’ennemie connais que la prêtresse est ici et moi avec…

-          Il faut doubler de vigilance et éviter de dormir auprès de ta reine.

Pour toute réponse je levais un sourcil. On dirait qu’il n’avait pas compris ce que je venais de lui dire.

-          Je suis là depuis plus d’une heure et ai constaté ton état comateux. Sans ton génie je t’aurais réveillé. Tu semblais si vulnérable…

-          Je semblais biboum… je semblais juste. Mon géni te fait dire qu’il était la lui et veillait.

-          Oui il m’a demandé de veillé aussi sur ta reine là.

-          Avec raison.

Nous avons changé de sujets et avons commencé de parlé de tout et rien quand soudain, nous avons suivis un raclement de gorge et nous nous sommes tournés. Elle avait encore le sommeil plein les yeux et marchait t’elle une enfant. Cette image était si doux je lui tendis la main et elle vint s’assoir près de moi.

-          Bonsoir….

-          Bonsoir. Répondit Biboum.

-          Reine Mehoum je te présente mon meilleur ami  Biboum. Dis-je

-          Enchantée fit-elle

-          Moi de même. Continua Biboum. Je suis ra…..

-          Jesus , marie, joseph ! s’écria t-elle en se mettant debout comme un i et apeurée

-          Que se passe t-il demandais-je

-          S’il te plait dis-moi que ton horloge est détraquée et qu’il n’est pas 23h50.

-          Hum non c’est l’heure exact.

-          Seigneur je suis fini. Dit-elle en courant vers la chambre. Et moi de la suivre du regard sans comprendre.

Biboum s’est mis à rire sous cape pendant que Meh ressortait coiffé, chaussures aux pieds et son petit sac sur les épaules. Elle semblait stressé et se tordait les doigts. Elle avait fait vite dis donc !

-           Je suis désolée de ne pas pouvoir rester. dit-elle à Biboum. Il faut que je rentre chez moi depuis midi que je suis sortie de la maison.

-          Pas de quoi Reine je comprends parfaitement. Fit-il avec un fond de sourire sur les lèvres. Si je devais me fâché de quelqu’un ce devrait être de lui. Me désignant de la tête.

-          Ooooh non. Il ne faut pas. Il était bien trop fatigué. Une tornade aurait enlevé la toiture qu’il n’aurait pas compris. Il ne faut pas lui en vouloir ce n’est ni sa faute ni la mienne. Cela devait arriver et c’est tout. Finit-elle en me lançant ce regard plein de tendresse que j’affectionnais tant chez elle.

-           Merci Meh dis-je tout simplement avant de la prendre par le bras. Allons biboum raccompagnons la chez elle.

Nous avons pris sa voiture. Il était au voulant et nous à l’arrière. Reine avait protesté tant bien que mal. Elle disait que cela ne se fessait pas. Pour elle c’était manqué de respect à mon ami. Il n’était pas notre chauffeur quand même ! Qu’avais-je à foutre ? Je voulais juste la tenir dans mes bras, respirer son parfum et laisser cette paix m’envahir. Quand elle a compris que si je m’assaillais devant, elle serait sur mes cuisses elle m’a laissé faire. Biboum s’était crispé depuis que reine avait parlé de mon état de sommeil. Je savais que son cerveau tournait à mille à l’heure pour essayer de comprendre ce qui se passe. Moi aussi elle m’a intrigué quand elle a dis que ce n’était pas de notre faute à tous les deux. Il y avait tellement de choses qu’elle me cachait… et que je lui cachais. Nous sommes finalement arrivés à son domicile. Heureusement qu’à cette heure la circulation est fluide car, Logpom- Bonadjo n’est pas une mince affaire. Comme la fois dernière elle nous a dis de nous arrêter avant le dôme de protection.

-          Merci dit-elle à Biboum à travers le rétroviseur interne. Celui-ci répondit par un hochement de tête. Elle ouvrit la portière prête à descendre quand je la retins par le bras.

-          Donc tu t’en vas sans m’embrasser ? demandais-je en la regardant  dans les yeux. Elle baissa les paupières une, deux fois, les ferma un moment avant de regarder Bboum embarrassée

-          Ne tient pas compte de lui repris-je pour l’encourager.

Elle revint vers moi. Se souleva légèrement pour être à ma hauteur avant de poser délicatement ses lèvres sur les miennes. Elle resta ainsi deux à trois seconde avant de sortir le bout de sa langue qu’elle posa sur ma lèvre inférieure en fessant une légère ligne. Mon sang courrait en attente. Je voulais qu’elle le fasse. Qu’elle m’accepte et qu’elle me goûte.

-          Fait juste comme je te l’ai appris. Soufflais-je entre ses lèvres.

Alors sans plus attendre, elle prit appuis sur ma cuisse d’une mais et de l’autre elle me maintint par la nuque. Ce geste possessif déclencha une onde électrique qui parcourut tout le long de mon corps en m’arrachant un gémissement. Ne pouvant me retenir je pris les choses en main en forçant la barrière de ses lèvres pour gouter au nectar de sa bouche. De ma langue, je léchais, suçais, mordillais et lapais. Ses gémissements me mettaient en émois et je voulais plus infiniment plus. Une onde naissait et montait de nous ? De moi ? Ou encore d’elle ? Je ne pouvais le dire. Cette énergie était instable. Etait ce la même qui m’avais propulsé dans les toilettes. Ne sachant à quoi m’en tenir, je mis fin a ce baisé. Elle avait l’air désorientée, les yeux mouillés, les lèvres gonflées. L’image à se faire damné. Elle était belle. Je poussais un profond grognement de frustration avant de caler ma tête sur la banquette. Je comprenais enfin ces poètes qui décrivait l’amour comme doux et douloureux. Dangereux mystérieux et attirant. Terriblement attirant.

-          Je peux y aller maintenant ? m’interrompit-elle. Je ne pu que secouer la tête pour dire oui. Ok je t’appelle quand je peux et quand il me faudra sortir pour

mes cours. N’oublie pas hein j’ai besoin de toi.

-          Pas plus que moi de toi. M’entendis-je lui répondre.

-          OK… Bye Mr Biboum.

-          Tout simplement Biboum. Bonne soirée à toi.

Elle claqua la portière en se dirigeant vers la maison. Elle attendit deux à trois seconde pour s’envelopper de sa propre aura protectrice avant de traverser la barrière invisible.

-          Tu vois  ce que je vois ? où ai-je rêvé.

-          Non mon frère. la première fois j’ai été autant surpris que toi.

-          Bon sang qui est t’elle ? et cette énergie quand tu l’embrassais… on aurait dit la même d’il y a un mois.

-          Oui. la première fois que je l’embrassais, je m’étais laissé aller et elle a explosé. Ou elle m’a propulsé loin d’elle.

-          Et qu’est ce que cela signifie ? et comment a-t-elle pu savoir qu’au près d’elle tu étais vulnérable ? il y a tellement d’incompréhension… !

-          La dernière fois que je lui ai posé la question tu sais ce qu’elle m’a dis ? il secoua la tête pour signifier que non. Elle a dis quand je serais prêt à lui dire ce que je suis elle ferrait pareil.

-          Ce n’est pas bon ça… pas bon du tout.

-          Pour l’instant elle me fait du bien et j’aime ça. C’est tout ce qui compte.

A ce moment, un message est entré dans mon téléphone me signifiant qu’elle est bien entrée chez elle et que je pouvais rentrer chez moi. Comment pouvait-elle savoir que j’étais encore là?

-          Allons chez toi. De là je rentrerais chez moi par téléportation et reviendrait demain matin. Il faut bien que nous ayons une vraie conversation la fille et moi.

~~~~ Mehoum Reine~~~~

Le gardien, bien qu’étant surpris de me voir cogné au portail à cette heure m’a laissé me faufiler dans la maison. Je suis passé par la porte arrière de la cuisine et direction ma chambre. Comme elle était juste à côté de la cuisine, je n’avais pas à craindre de réveiller toute la maison. Après avoir retiré mes vêtements et mis une robe légère, je me suis allongée dans mon semblant de lit fait de carton. Je me sentais plein d’énergie et n’avais pas du tout sommeil. Je sortis donc faire un tour dans la maison.  En tout cas au rez-de-chaussée. Cela m’avais intrigué de constaté que la porte de la cuisine n’était pas fermé. Le séjour était encore éclairé et je pris soin de fermer à clé. Dès cet instant je me sentis si sale. Non ce n’était pas moi. J’avais l’impression que mon environnement était sale. Je pris alors sur moi de laver, récurer et cirer la maison en allant du salon à la salle à manger. Je finissais par cuisine en gardant le reste du repas qu’aucun n’avais pris soin de faire. Je fini vers l’aube en fessant une fois le petit déjeuner. Je m’écroulais dans ma chambre sans que cette maison ne sente le propre. J’avais fini par conclure que c’était la faute à cette énergie en forme de dôme autour de la maison. Qu’est ce que ma’a Sabine avait encore fait ?

Au simple fait de m’être posé cette question je me mis à voir un gros serpent lécher ma sabine de sa langue fourchue et une autre image ou elle fessait l’amour à un monsieur mi homme mi bête qui la prenait sauvagement. C’était sale, crade et dégoutant. Je me suis soustrait à cette image. C’était trop.

-          Rêeeeve….. rêeeeve. Lève-toi parce que si c’est moi qui te trouve dans ton lit je te jure que….. que je vais t’avaler toute crue.

On pourrait croire à une métaphore mais non. Si elle avait pu je ne serais plus de ce monde. D’après N’zeu son objectif premier en me prenant dans cette maison était de me voler mes pouvoirs. Même si elle ne la jamais ressentis. Elle savait que ma mère avait hérité d’un vase important donc il était logique que j’en hérite aussi. Je me lève en cachant mon téléphone comme toujours et sort. Nous nous croisons à la porte de la cuisine menant à la sale à manger. Sans que je ne dise un mot, les coups commencèrent à pleuvoir sur moi. Je mis attendais mais souvent elle prenait le temps de poser des questions avant de me passer à tabac. Je me recroquevillais sur moi-même en me laissant glisser sur le sol. Je pus constater que son serpent-araignée était en dormance. Elle se fatiguera vite. Je me déconnectais de mon corps pour ne pas ressentir la douleur. Mais je pouvais entendre.

-            donc comme je t’ai permise de sortir hier tu t’es cru en France hein ?.... Des chiennes ne font pas des chats. …. Je n’élève pas les bordelles chez moi tu as compris. … Jusqu’à tu entre chez moi après moi. …..Tu es malade ???

Je sentis à un moment les coups s’arrêter et en levant la tête je vis tonton pascale la tirer loin de moi. Elle continuait à vociférer et pour moi quoi. Je voulais juste prendre une bonne douche et dormir. Aie ! la douleur revenais cuisante.

-          C’est comme ça pascal ? en plus de la baisé tu la défends ? tu défends cette chienne qui me vole mon mari ? qu’est ce que je t’ai fait ? hein dis-moi. Tu me manque de respect avec une gamine…. En plus sous mon toit ?

-          Mais qu’est ce que tu raconte sabine ? je t’ai mainte fois dis que ce dont tu m’accuse est faux et ne pourrais jamais arriver. Elle est ma fille voyons.

-          Que votre sorcellerie des blanc la on ne connaît pas…

-          Ooouuuuhhh. Soupira tonton pascale. Je voulais juste que tu arrête de la frapper. Cela ne sert à rien à par radicaliser l’enfant. La violence ne résoudra pas le problème.

-          Dans la maison de qui hééé. Pascale lâche moi que je termine avec elle ici.

-          Arrête sabine tu fais tout un plat pour une entrée tardive dans la maison mais lorsque béthanie part toute une semaine sans en avertir personne, tu ne réagis même pas !

-          Ma fille est bien éduquée pas comme cette bordelle. A ma fille on peut faire confiance. Lança-t-elle en propulsant son mari qui faillit tomber sur une chaise

avant de monter les escaliers aux pas de course. J’étais toujours assise au sol. Soutenue par le mur, j’essayais de juguler la douleur après avoir reconnecté mon corps à mon esprit. Faut pas croire, cette dissociation me permettais juste de ne pas subir l’action. Tonton Pascal me regardais avec son air désolé de tous les jours et voutant le dos, alla s’assoir à table pour prendre son petit déjeuner. Je me suis levé et suis directement allé prendre une douche dans les toilettes arrière pour les serviteurs. Après avoir remis une nouvelle robe, je suis couchée sur mon lit en l’attente des nouveaux cris. Nous nous connaissons. Le deuxième round ne saurait tarder. « Bonsoir Ad. Bien dormi ? Juste pour te faire un coucou.»

Je lui écrivais car j’avais envie d’entendre le son de sa voix. Il avait le dont de m’apaisé. Mais je ne sais pas ce qu’il avait contre les messages. Je pouvais attendre des heures avant qu’il ne réponde. J’ai remis mon portable sous l’oreiller. J’étais perdu dans mes pensées quand j’ai entendu la porte s’ouvrir. J’ai sursauté surprise.

-          Ne t’inquiète pas Reine c’est moi Mich. Comment tu vas ? demanda t-il en me fixant comme s’il voulait me sonder. Genre dis moi la vérité.

-          Ca va mon gros bébé. Dis-je taquine. Je croyais que tu n’aimais pas quand je t’appelle comme ça.

-          Il n’y que toi qui le fait donc… entre nous dans cette maison c’est un code.

-          Ah bon ?   je ne le savais pas !  fis-je en me redressant pour lui faire de la place sur le lit afin qu’il prenne place.

-          Tu vas bien n’est ce pas? insista-t-il tout triste. Je suis désolée pour ce que maman te fait. Je ne comprends pas pourquoi elle est méchante avec toi. Maman fait et je commence à la détesté.

-          Je t’ai dis que j’allais bien. Arrête d’en faire une montagne en plus je suis habitué. Mais pour ta mère tu ne dois pas parler d’elle de cette façon. Quoi qu’elle puisse faire… me faire elle reste ta mère.

-          Oui mais une mère ne fait pas ce qu’elle fait ! tu as vue comment les autres mamans font ? régarde la mère de Raoul, de Ramel, de jenny ou de daphné. Elles sont si douces… maman croit que l’argent règle tout. Mais de toi Reine, je reçois tout. Je me sens plus proche de toi en tout point…

-          Oui je sais. Moi aussi je me sens proche de toi…… écoute il faut comprendre que moi aussi je suis fautive. J’assume juste les conséquences de mes actes. En rentrant tard je savais que ceci arriverait. Il y a eu un petit silence gêné.

-          La mère de Raoul est venue hier te chercher. Rompit-il

-          Elle voulait quoi ?

-          Elle ne me l’a pas dit. Elle a juste dit vouloir parler avec toi.

-          Ok. mais je ne sais pas comment je ferrais pour sortir avec cette histoire ci.

-          Si tu veux j’irais las bas.

-          Merci tu me sauve la vie. Je voudrais que tu prennes certaines polycopies à Raoul et me le pose ici sans que personne ne soit au courant et tu dis à sa mère que je passerais la voir quand je pourrais. Je te fais confiance.

-          Je sais

-          Hum hum…

-          je t’aime tu sais non ? me déclara-t-il en baissant la tête de malaise.

-          Je t’aime aussi mon petit frère chéri. Dis-je en le prenant dans mes bras. Pour un long et très long câlin.

-           Pardon ça va hein…. Je ne suis pas ton Gard dit-il

Nous avons ris et parlé de tout et de rien. Je lui ai encore parlé du fait qu’il ne se rende malade à vouloir chercher un coupable à ma situation. Moi très sincèrement je pense que le seul coupable c’est Dieu. S’il ne s’évertuait pas à rendre le destin ou le chemin des uns plus tortueux que celui des autres.

Par les Eléments