Chapitre 38 : c’est officiel.
Ecrit par Dele
Ma famille, ma perte.
Chapitre 38 : c’est officiel.
Je gars dans la cour et sors de la voiture en claquant la portière. Avant que je ne contourne la voiture pour aller récupérer votre impolie de copine, elle sort et prend ses jambes à son cou. En trois enjambées je la rattrape.
Miracle : (se débattant) lâche-moi Jamal. Ne fait rien que tu vas regretter. Laisse-moi partir.
Sans faire attention à ses supplications je la remets sur mon épaule et prend la direction de la résidence et donnant l'ordre à Martin que personne ne me dérange. Je monte avec elle à l’étage et la jette sur le lit.
Miracle : je t'en supplie ne me fait pas de mal. Je t'en prie.
Je n’ai pas l'intention de lui faire du mal mais de la terroriser. Elle a osée lever la main sur moi. Ce que mes propres parents n’ont jamais fait. Je vais lui apprendre à respecter ses aînés.
On est pas en couple donc je ne lui doit aucune explication sur ma vie. Si elle avait gardée son calme elle aurait raison de me faire la tête comme elle veut mais lever la main sur moi. C’est une grave erreur que tu vas payer très cher Miracle.
En la fixant droit dans les yeux avec mon regard le plus terrifiant, je commence à débouter ma chemise. Je la vois ouvrir grandement ses yeux en me voyant jeter au loin ma chemise et mon débardeur. Quand j’attaque le bouton de mon pantalon, elle commence à trembler.
Miracle : (se mettant a genoux sur le lit en joignant ses deux mains) je t'en supplie encore une fois Jamal. Ne fait pas ça. Oui j'ai commis une grave erreur en levant la main sur toi mais ce n'est pas pour ça que tu vas détruire ma vie en faisant ça. Rappelle toi de ma mère. La pauvre elle ne supporterait pas un autre drame. Gifle moi aussi autant que tu veux ou bastonne moi mais je t'en supplie à genoux ne me viole pas. S'il te plaît.
Dès qu’elle voit mon pantalon glisser à mes pieds, elle saute du lit et se dirige vers la sortie. Avant qu'elle ne touche le poignet de la porte je l'attrape et la plaque contre la porte. Elle hurle de peur en pleurant.
Miracle : pense à ma pauvre mère je t'en supplie. Elle te considère comme son fils donc tu es mon frère et par ricochet je suis aussi ta petite sœur. Ne fait...
Sa phrase meurt dans sa gorge parce que je viens de capturer ses lèvres. Je la brutalise légèrement en la tripotant. On peut même entendre son cœur battre à des kilomètres. Tout son corps tremblote. J'ai l'impression qu'elle s’étouffe donc je libère ses lèvres.
Miracle : je t'en supplie pitié arrête.
Moi : tu as osé faire ce que mes parents n'ont jamais osé faire ni personne d'autre alors moi aussi je vais te faire ce que personne ne t’a encore jamais fait.
Elle veut parler mes je recapture ses lèvres et la décolle de la porte et l’amène vers le lit. Dès que son dos touche le lit elle commence par gesticuler dans tous les sens. Dans ses mouvements désespérés de se soustraire à mon emprise, le bras de sa robe se rompt et libère l'un de ses sein. Même sa propre robe est contre elle. Sans perdre une seconde, je prend ses tétons que je commence à sucer avec avidité. J'alterne entre ses lèvres et ses seins. Ses cris et pleurs se transforment en gémissement petit à petit. Tout en ayant ma bouche accroché à sa poitrine je fait descendre sa robe. Ce qui me permet d'avoir totalement accès à tout son corps. J'adore son corps. Elle est si douce. Je mordille ses lèvres et elle gémit de douleur. Je quitte ses lèvres et lui mordille le lobe de l'oreille ainsi que le cou. Tout doucement j'envoie ma main vers sa cave. Dès que ma main effleure son pubis, elle serre ses cuisses. Je remonte la main sur sa poitrine et commence à caresser ses gros seins bien pointue qui me narguent. Avec ma bouche et ma langue je part à la découverte de chaque centimètre de son corps. Elle n'est plus que gémissement. À un moment je la retourne sur le ventre et continue ma découverte. J'essaie de lui retirer son string mais elle se retourne vivement sur le dos en me donnant au passage un coup de genou au visage. Ça a eu le don de m’énerver. Sans qu'elle ne s'y attend, j’écarte ses jambes et plonge ma tête entre ses cuisses en cassant la corde de son string. Ce dernier geste la fait pousser un petit cri.
Miracle : (entre le 2éme ciel) Ja Jamal je je
Elle ne finit pas sa phrase avant que je commence à lui faire la cuni du siècle qu'elle n’est pas prête d'oublier.
Je mallasse, titille et malmène sa zone érogène avec ma langue et mes lèvres. Je souffle sur son abricot, la titille et l'aspire et reprends le précédent scénario. Comme si je délectais du yaourt je prends possession de ses lèvres vaginales que je suce jusqu’à ce que ces dernières gonfles de plaisir. Elle se tortille, tire sur le dras en gémissant fortement. Je veux la possédé là tout de suite mais me retiens. Il faut que je la torture d'avantage. J’introduis un doigt en elle et je suis surpris qu'elle soit aussi étroite. J'essaie d’envoyer un deuxième doigt mais elle gémis de douleur. Je retire ce dernier. Serait-elle toujours vierge ? C'est impossible. Être vierge à 26 ans ? Mon érection chute d’un coup. Je chasse ces questions de la tête et me reconcentre sur sa cave en la doigtant avec mon majeur tout en ayant son abricot entre mes lèvres. Tel le Titanic en 1912, sa cave s'inonde pour mon plus grand plaisir. Je la sent hoquetter et ses cuisses trembler. J’accélère mon doigt et ma langue. Les secondes qui ont suivie je la sens secouer.
Miracle : je je je veux pisser. Jamal je vais faire pipi. Je je je
Elle grogne et pousse un petit cri de gémissement. Au même moment mon visage fuit inondé par sa cyprine. Ma chérie est une femme fontaine. J'adore. Je quitte son entrejambe et remonte vers son visage en ayant toujours mon majeur dans son va**** et en faisant de petits vas et viens. Elle ne gesticule plus mais continue de gémir. Nos regards se croisent et elle veut détourner le sien mais je l'en empêche avec mon autre main libre.
Moi : (la fixant) ça va ?
Miracle : (voulant faire sortir mon doigt de son intimité, je résiste en la pénétrant plus profondément) hummmmmm
Moi : Miracle ça peut aller.
Miracle : Ja Jamal
J'adore la manière dont elle appel mon prénom. Cette fille va me rendre dingue.
Je recommence mes vas et viens plus rapidement en la pénétrant profondément à chaque fois.
Moi : hum ? Tu disais ?
Miracle : je je vais bien. Bègue t-elle.
Je ne la laisse pas respirer et reprend ses seins dans ma bouche.
Miracle : (au bout de quelques vas et viens) ça vient. Je vais encore fait pipi. Attend attend.
J’ai encore accéléré jusqu’à ce qu'elle jouisse une deuxième fois. Elle se blottir contre mon torse les cuisses tremblantes. Tout doucement je retire mon doigt en elle et la serre dans mes bras. Nous gardons le silence et restons blottir l'un dans les bras de l'autre jusqu’à ce que son rythme cardiaque devienne normal.
Miracle : désolé pour le pipi sur le lit. Je n'ai pas puis me retenir.
Moi : (souriant en me détachant légèrement) tu n’as pas faire pipi.Tu as jouir.
Miracle : jouir ? (Touchant le dras qui est tout trempé) non regarde. C'est déjà trop pour que ça soit de la jouissance.
Moi : tu es une femme fontaine et quand les femmes fontaines jouissent, leur sprine sort comme de l'eau.
Miracle : Ah.
Moi : (je me lève et lui tend la main) elle me donne sa main et me suit. Je l’entraîne dans la salle de bain où on prend un bain ensemble en silence entre les caresses, les embrassades et les gémissements. On sort de la salle de bain une heure environ plus tard. Elle m'aide à changer le dras et nous rejoignons le lit.
Moi : (la prenant dans mes bras) je suis désolé de t'avoir faire peur et de t'avoir brutalisé.
Miracle : je suis aussi désolée de t’avoir gifler. Je te promets que ça n'arrivera plus Jamais.
Moi : tu as intérêt.
Miracle : je n’ai pas pu me contrôler suite à la scène de...
Moi : on est pas en couple Miracle donc tu n'as pas le droit d’être jalouse. À chaque fois que je t'aborde tu te renfermes et tu agis comme une gamine de
Miracle : (relevant la tête en me fixant) je le veux. J'accepte.
Moi : tu veux et accepte quoi ?
Miracle : je veux être ta petite amie. J'accepte tes avances.
Moi : tu es sûr de toi ?
Pour toute réponse, elle m’embrasse d'elle-même pour la première fois. Je passe ma main derrière sa nuque et approfondie le baiser.
Miracle : (arrêtant ma main qui commence à caresser ses grosses fesses) non arrête. J'ai le pays bas en feu. S'il te plaît.
Moi : (rigolant) je n'ai utilisé qu'un seul doit. Dit tu es toujours vierge ou tu as fait l'amour il y a longtemps.
Miracle : je n'ai jamais connu d'homme. Tu es mon premier homme et petit ami donc oui je suis vierge.
Moi : hum ! À 26 ans ! Waouh. Tu attendais quoi tout ce temps ?
Miracle : toi.
Je souris a sa réponse et dépose un baiser sur son front.
Miracle : je vais rentrer.
Moi : à l'heure là ? Pas possible que je ressorte. J'irai te déposer quand il fera jour.
Miracle : (voulant se lever. Je la retiens) je n'ai jamais découcher et vu la manière dont tu m'as fait quitter la soirée hier, ma mère serait morte d’inquiétude à l’heure actuelle. Je n’ai même pas pris mon téléphone avec moi pour pouvoir l'appeler et la rassurer.
Moi : (l'aidant à s’allonger) ta petite sœur à la situation en main. Reposons nous un peu avant qu’il ne fasse jour. Dis-je en me positionnant derrière elle. Je prends un de ses seins en coupe dans la paume de ma main en fermant les yeux d’aise. J'ai tellement rêvé de ce moment que je préfère qu’elle soit dans mes bras comme ça. Je ne veux pas qu'elle fuie au petit matin.
Elle sent mon érection et décolle ses fesses de mon bassin. Je ramène ses fesses dans la position précédente.
Moi : si je voulais te pénétrer j'allais le faire quand tu gémissait de plaisir tout à l’heure. Ça va se calmer tout seule. Reste juste comme ça.
Elle ne dit rien et me colle d'avantage. J'enfouillie mon visage dans son cou en humectant son odeur. Nous restons dans la même position jusqu’à ce que le sommeil nous emporte.
Je me suis réveillé par mon alarme du samedi matin. Votre copine est profondément endormie. Je la contemple en souriant. Même endormi sa beauté me sidère. Comment peut-elle être aussi jolie au réveil avec ses cheveux en bataille ! Ses lèvres pulpeuses me donnent envie de les déguster mais je renonce en allant à la recherche de ses lèvres du bas. Je glisse tout doucement du lit pour ne pas la réveiller. Je la retourne sur le dos avec soin pour ne pas la réveiller. Elle fait un petit mouvement et replonge dans son sommeil. J’écarte tout doucement ses jambes et souffle sur son intimité. Au premier coup de langue elle se réveille avec sursaut et veut resserrer ses cuisses. Je retiens ces dernières en faisant disparaître ses lèvres vaginales dans ma bouche.
Miracle : (se cambrant) hummmmmm
Je commence des vas et viens doux dans sa chatte avec ma langue. Avec mon pouce je titille son clitoris. Elle n'est plus que gémissement. J'alterne ma langue et mon doigt dans sa cave jusqu’à ce que je sente qu'elle veut jouir et je sors de son intimité la laissant sur sa faim.
Miracle : qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu t’arrêtes ?
Moi : je veux aller me brosser.
Miracle : j’étais sur le point de jouir.
Moi : je sais.
Miracle : je me sens bizarre, mon corps est insatisfait.
Moi : d’accord. Dis-je en me levant du lit.
Miracle : mais tu vas où ?
Moi : si tu veux que je te fasse jouir ce ne sera plus avec mon doigt ni ma langue.
Elle glisse son regard sur mon corps jusqu’à mon pubis et vois mon mini moi fièrement dressé. Elle referme ses cuisses en avalant difficilement sa salive.
Moi : (me dirigeant dans la salle de bain) c'est comme tu veux.
Je finis de me brosser et me débarrasse de mon pyjama. Je rentre sous le jette d'eau quand je sens une main sur mon dos. Je me retourne et croise le regard de Miracle.
Moi : Mira….
Ma phrase meurt entre mes lèvres parce qu’elle viens de prendre en otage ces dernières. Le baiser est doux et avide à la fois.
Moi : (perdant pied) je ne pourrai pas me retenir Mira. Si tu n'es pas prête sors s'il te plaît. Dis-je entre ses lèvres.
Elle reprend possession de mes lèvres et attrape mon troisième pieds avec sa main droite. Je grogne presque de plaisir en sentant sa paume chaude sur mon bazouzou. Tout en m'embrassant, elle fait des vas et viens avec sa main. Tout doucement elle décolle ses lèvres des miennes. Elle s’accroupir et prend mon bazouzou dans sa bouche. Sa bouche chaude sur ma bite me fait grogner de plaisir.
Moi : oh my goodness ! je t'adore.
Je vois qu'elle ne sait pas comment si prendre réellement alors je la guide. Au fur et à mesure elle se détend et me donne du plaisir avec sa langue et ses mains. Je me sens venir et me retire de sa bouche. Avec sa main elle m'aide a jouir pour mon plus grand plaisir. Je l'adore cette femme. Sans l'avoir pénétré, elle m'a plus-que satisfaite.
Je la relève et la décolle du sol de sorte que son intimité soit au même niveau que mon visage et commence ma fouille avec ma langue. Elle n'est plus que gémissement jusqu’à ce qu'elle jouisse.
Moi : (la serrant fort dans mes bras) je t’aime.
Miracle : je t'aime aussi Jamal.
Elle reste blottir dans mes bras jusqu’à ce que nos rythmes cardiaque devienne normal.
Miracle : je veux être la seule. Je te veux pour moi seule. Je ne supporterais plus une autre scène comme ce que
Moi : (lui faisant une bise sur les lèvres en la faisant taire) ça n'arrivera plus. Je suis désolé.
Miracle : d'accord.
Moi : c'est quoi cette manière de jouir en me donnant kôkôta ?
Miracle : (éclatant de rire) sérieux j’ai fait ça ?
Moi : évite aussi de tirer sur mes oreilles les prochaines fois. Je ne veux pas avoir les oreilles d'elfes.
Elle se plie carrément de rire. C’est en se taquinant qu’on prend notre bain matinale. Mais sérieusement jouissance où mes oreilles vont souffrir et à la fin c'est kôkôta j'aurai dessus là, je ne suis pas dedans.
Miracle : je vais porter quoi maintenant ? Tu as déchiré ma robe d’hier.
Moi : ta sœur t'a envoyé une tenue de rechange. J'appelle Laure pour qu'elle t’amène ça.
Miracle : c'est qui Laure ?
Moi : ma gouvernante. Je vais te la présenter tout à l’heure.
J’effectue l'appelle et continue de m'habiller. Je finis quand Laure cogne à la porte. Je lui demande d'entrer.
Laure : (déposant un sac sur la table basse) bonjour Monsieur, bonjour Mademoiselle.
Moi : c’est madame, Laure.
Laure : (s’adressant à Miracle) désolée Madame.
Moi : tu vas souvent la voir ici alors fait preuve envers elle du même respect que tu me témoignes.
Laure : c’est compris Monsieur.
Elle sort et m'informe que le petit déjeuner est prêt. Nous descendons quelques minutes plus tard et prenons le petit déjeuner ensemble puis nous prenons départ pour chez elle.
C'est la première fois que je me sens aussi bien à l’aise en compagnie d’une femme après l'avoir vue nue. Je ne sais pas ce que cette fille a de si spécial mais une chose est sûre je la veux dans ma vie et cela pour toujours. Maintenant qu'on est officiellement en couple, on va y aller pas à pas et se connaître d'avantage. D'ici là j'espère que mon père va l'accepter. J'espère aussi être capable de garder ma braquette fermée. Je n’ai jamais eu de relation sérieuse c’est la première. J'espère être à la hauteur.
#nikê #chro
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Bon début de week-end à tous ????????????????