Chapitre 39: Poison

Ecrit par ngakomal

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« Une semaine plus tard »

~~~ Dame SIEGUE~~~

Une semaine trois jours que je m’occupe du chef guerrier. Je ne savais pas qu’il me fallait une telle ingéniosité pour venir a bout de dame Elimbi. Je compose avec Tano son servant attitré, le médecin du palais et la petite Goura (une autre servante). Il est assez difficile de traité un malade en cachette mais j’y arrive peu à peu. Il me suffisait juste de trouvé mes marques et certains alliés.

 Il n’a pas été difficile de convaincre Tano de ne plus donner la potion faite maison que conseil le médecin et dame Elimbi. En fait j’ai fait en sorte qu’il pense que l’idée vient de lui. A la place, il lui compose un médicament à base de cet algue qu’il est partie chercher et au moment de la cuisson, Goura augmente mes autres ingrédients en pensant qu’ils viennent du médecin du palais. Le chef vas de mieux en mieux il n’est plus livide et reprend un peut de chair sur les os.

Le mal qui le ronge persiste. Je ne l’ai pas encore trouvé. Mes premières testes n’ont rien donné. J’en ai encore prélevé aujourd’hui pour une analyse plus poussée. J’espère de meilleurs résultats. Je suis lessivée. Je prends un bain puis fait un nettoyage aux crabes avant de m’écrouler sur mon lit. Soigné ce guerrier me pompe toute mon énergie. Je perçois combien il est fort et pourquoi sa majesté veux de lui à ses côtés dans cette guerre.

-          Femmes ! femme !... ma reine où es tu ?

-          Je suis là. Repondis-je plutôt dans un murmure je ne me savais pas si fatiguée.

Je l’entends qui fouille partout dans la maison et tel que je le connais, il n’arrivera ici qu’en dernière position. Tckoup (bruit de la porte qui s’ouvre). J’inhale son odeur et il m’apaise.

-          Hey…  tu es là ? fit-il en s’approchant du lit.

Je n’avais plus la force de bouger ou de parler à haute voix. Il s’est couché près de moi et m’as prise dans ses bras.

-          Tu ne devrais pas être là. Aujourd’hui c’est le tour de dame Essono. Je n’ai vraiment pas envie de me coltiner son verbiallage (bavardage). En plus je n’en ai vraiment pas l’énergie.

-          Qu’est ce que tu peux être grincheuse quand tu t’y mets. Je passais juste pour savoir comment tu vas.

-          Ton patient me bouffe tout mon énergie. Il puise tellement en moi qu’à chaque fois je manque m’écrouler lorsque je rentre.

-          Je suis désolée ma petite femme. Tu sais très bien que si cella n’allait pas de la vie de Njanè je ne te demanderais pas tant. J’ai vraiment besoin de lui.

-          Je sais…. Il va de mieux en mieux. Je lui donne maximum un mois pour commencer à se mouvoir. Continuais-je. Répondant ainsi à la question muette que gardais sur moi son regard.

-          Un mois c’est trop long ….

-          Le délai serais moindre si je savais de quoi il souffre où par quoi il est empoisonné.

-          Penses-tu que mes soupçons étaient fondés ?

-          Oui mon roi.

Il se leva et pris le chemin de sorti de mes appartements. Je me sentais si lasse que je fermais les yeux pour laisser glisser vers ce repos réparateur. Mon corps en avait vraiment besoin.

-          Tu es sérieuse que tu vas dormir ainsi ?

-          Sango… s’il te plait ne me fatigue pas. Part rejoindre ta femme et laisse moi dormir. Repondis-je les yeux clos.

-          Prends au moins un bain avant de te couché.

-          Ecoute, là où je suis, je ne peux même pas bouger un orteil pour ne pas dire me lever. Si tu ne consens pas à me laver, sort et je me laverais lorsque j’aurais retrouvé un peux de force.

-          Comme tu veux.

Avant de sortir, il prit la peine de bien me positionner dans le lit, de me poser un baisé sur les lèvres et de me recouvrir. Le lendemain matin, je me suis levée aux aurores requinquée. J’ai fait un brin de toilette et je suis sotie vaqué à mes occupations. Il y avait tant à faire. Je devais faire le repas, organiser les servants pour mieux répondre au besoin de conseillé et des vassaux représentant des clans dans tout le royaume. Et comme à son habitude le roi m’y conviera même si je ne voudrais pas y aller. Il passe son temps à dire que je suis sa muse. C’est vrai que lorsque je le sens perdre patience, j’interviens en pensée où alors je crée des situations de confusion qui détourne le débat.

Après plus de deux heures dans les cuisines, je ressorts et comble de malchance je croise dame Essono dans le couloir menant à la grande sale. Je relève la tête dans une posture fière et prie tous les Dieux pour qu’elle passe juste en me glissant un « bonjour ». C’était sans compter sa capacité de nuisance. Elle s’arrêta devant moi et garda sur moi un regard sévère que je trouvais plus tôt comique.

-          Bonjour. Lançais-je en espérant passer.

-          Qu’est ce qui est bon en ce jour ? hein dis-moi.

-           Je ne sais pas de quoi tu parles j….

-          Ne fait pas semblant. M’interrompit-elle. Pourquoi à chaque fois que c’est mon tour de lit. Il faut que mon mari rentre avec ton odeur sur le corps ? pourquoi ? nous sommes deux.. et c’est moi qui porte toute la responsabilité dans ce foyer car c’est à moi que revient la vraie progéniture. Le tient est banni et il faudrait des siècles à notre mari pour le lui pardonner.  Qu’est ce qui arrive à notre mari ? je sais bien qu’il ne te préfère pas a moi. Qui préfèrerais un ventre vide ! mais je te préviens… c’est ma semaine laisse moi vivre mon temps en paix quand c’est le tient je ne suis même pas dans le palais je vais loin. Alors essaie de faire pareil ! bon Dieu.

Qu’est ce que je disais. Elle continua sur cette lancée une bonne dizaine de minutes avant de me traverser comme une furie. Enfin. C’est toujours ainsi et c’est à chaque fois, je la regarde faire. Ceci lui fait pousser des ailes et le fait que je reste imperturbable l’énerve au plus haut point. Bref. Je continu mon chemin ainsi que mes activité su jours. J’avais constaté malgré moi que les domestiques et les gardes du palais aimaient lorsque je m’occupais d’eux. Peut-être parce que je prends soin de m’enquérir de chacun et de sa famille ?

Je ne pu me libérer que dans la soirée et suis allé dans ma chambre vérifier les résultats de l’analyse. Non ! Pas ça. Comment pourrait-il ne pas aspirer toute mon énergie. Ce poison est presque indétectable et tue comme pas permis. Un poisson du peuple banni de la mer noir. Ils ne font commerce avec personne, reste dans leur monde et n’acceptent que l’autorité de Sango. Ce poison y est cultivé pour les mises à mort et très contrôlé par leur chef sous la demande du roi Ce n’est pas un peuple très tolérant. Il faut dire que tous les scélérats et bannis de tous les peuples s’y retrouvent dans le but de mener un semblants de vie.  

Je pense connaitre l’antidote. Je les devine plus qu’autre choses. Je ne les ai appris nulle part. J’ai les réponses et c’est tout. Je sors et trouve quatre sujets. Que je commissionne dans les  quatre coins du globe. A la recherche de la même plante. La seule différence réside dans sa constitution biologique. Dans de l’eau douce elle développe des propriétés qu’elle n’a pas dans de l’eau salée, chaude ou froide et vice versa.

-          Lorsque vous arriverez, le médecin du palais a dis que vous devriez attendre d’être tous connecté avant de les arracher au même moment.

-          Comment ça ma reine. ? demanda l’un des quatre.

-          Quand vous aurez la main sur la plante, patientez de vous ressentir simultanément. Ce sera comme si vous vous retrouviez tous au même endroit sans y être. Quand vous serez dans cet état, arrachez la plante de son entre et répondez « pour guérir le guerrier ». Vous comprenez ?

-          Oui ma reine. Répondirent-ils

-           Bien ! allez dans  ces contrées. Dis-je en leur distribuant un dessin de mon chef qui représentait l’environnement exact dans le quel se trouvait la fleur. Il ne fallait pas qu’ils se trompent. Je vous attends au plus tard dans une semaine. Prenez le soin de ne dire à personne où vous allez et surtout cachez vous de tous et de tous ceux que vous rencontrerez sur votre chemin.

Je leur ai demandé de prendre la route dans l’immédiat et suis partis vers la grande salle la réunion avait déjà commencé. Je me suis dirigé vers le trône et après une légère révérence au roi qui repondit par un hautement de tête, je pris place à sa droite tandis que la coépouse était à la gauche. Son regard sur moi était pareil. Je ne fais pas m’en formaliser ce n’est pas demain la veille que ça changera.

-          « Hey … ça vas » ? l’entendis-je dans mes pensées. Il me pressa la main discrètement comme ma réponse tardait à venir. « tu as l’air vraiment pâle. Je ne veux pas te rendre malade. Si ça deviens dangereux laisse tomber et je trouverais une autre solution »

-          « laisse ! je touche au but. Je vais bien ».

-          « ok ».

Ce fut tout et il continua à résoudre les problèmes du royaume. Pour moi, j’avais besoin de repos. Beaucoup de repos. Dès que la réunion fut terminée, je me dirigeais vers ma chambre puis mon lit. Ça fait du  bien !!! Je me suis vrillé les écailles dorsales qui me prodiguais un quelconque massage. Dame Elimbi devrait se passer de moi. Il se fait tard et je suis vannée.

-          Même ce soir ?

-          Quoi ce soir Sango ?

-          Tu vas te coucher sans te doucher ?

-          ….

Je  me vrille les écailles pour me détendre les muscles. Il s’approche et se met à me faire un massage des Dieux. Juste pour dire combien c’est bon.

-          Hummmm

-          Ça te plait ?

-          Tu le sais bien… j’adore quand tu prends soin de moi. Humm… je ne veux juste pas que ta femme me casse les oreilles quand tu iras dans son lit avec mon odeur sur toi.

-          Je prendrais le bain avec toi.

-          Seulement le bain ?

-          Tout ce que tu veux.

-          Humm j’aime quand tu parles comme ça…

Il est allé dans le coin douche et m’as préparé un bain. Il est venu me porter. Après avoir enlevé les vêtements sur nous deux il me fit m’allongé dans le bain et pris soin de me laver parcelle après parcelle. Lorsqu’il passa les mains entre mes cuisses, je laissais sortir un gémissement sourd. C’est toujours l’effet qu’il me fessait après toutes ces années. Il savait que j’aimais ça… et il aimait me donner du plaisir. Alors s’y attelant, il prit le temps de m’effeuiller, d’abord les grandes lèvres puis les petites. Je sentis ses doigts prendre possession de mon entre. L’index  s’activait tandis que du pouce, il exerçait une pression sur mon bouton de rose. La sensation était inouïe. J’en voulais plus. Infiniment plus.

-          Penche-toi en arrière et laisse-moi te donner du plaisir.

-          Je te veux en moi…. C’est si bon…. Ne t’arrête pas.

-          Tu sais que je ne peux pas. Le sceau me l’interdit.

Je m’allongeais donc pour qu’il me fasse du bien de ses doigts. C’est en ces moments que je détestais les lois et règles du royaume du fait de partage des hommes par leurs femmes. Je sentis subitement trois doigts en moi et il me possédait vraiment avec force. Le plaisir était au rendez-vous. Je criais presque et me déchainais sur ses doigts. Je ne sais d’où me venais cette énergie.  Il rapprocha son visage du mien et je pouvais lire le désir dans ses yeux. J’entendis « oui ! Tu y es presque…. Vas-y ! Jouis pour moi. Fait moi voir le plaisir dans tes yeux… fais-moi voyager à travers tes sens ». Je sentis la sensation habituelle partir de ma plante des pieds, stagner dans mon bas ventre, remonter le long de ma colonne vertébrale avant d’exploser dans ma tête.

Repus et lasse, il me porta et me borda dans mon lit. Je fermai les yeux avant de lui dire en pensée « pense au moins à te laver avant de la rejoindre. Ma patience est mise à rude épreuve ».  Je me relaxe et me dis qu’il aurait au moins pu me donner un peu de son énergie avant de m’endormir.

~~~ Estelle Pokam~~~

Je ne suis plus bonne à rien. Je rêve que de lui, ne pense qu’à lui, je le respire partout et n’importe où. Je l’ai définitivement dans la peau. Je suis particulièrement sur un nuage, sur une autre planète. L’autre jour, j’ai fait bruler le repas (rire). Bruler c’est peu dire. C’était carbonisé. Petit pa m’as sortie :

-          Et qu’est ce qu’on fait maintenant. Je te préviens Est moi je ne mange pas du pain !

Tandis que son frère posait sur moi un regard réfléchis. Vous savez le genre qui a l’air de dire « ma chérie qu’est ce qui te prends ? Tu as l’air suspect » avant de hausser les épaules. Au boulot ce n’est plus possible. Je ne sais pas s’il fait exprès de me torturer ainsi mais il y arrive. Putain ! Qu’il y arrive. Quand j’entre dans ce bureau, ce qu’on y a fait me reviens en plein  visage. L’excitation prend possession de mon corps. Des milliers de papillons se déversent dans mon bas ventre et je mouille direct. Le pire c’est lorsque je le vois …. Il me subjugue. Je reste des fois la bouche ouverte jusqu’à ce qu’il vienne la fermer par un baisé aussi léger qu’une hirondelle. La frustration qu’il en découle… je ne le souhaite à personne. Je ne comprends pas ces réactions. Seigneur ! Les choses de mon corps.

Ce matin est un nouveau jour. J’espère que je tiendrais mieux. J’entre dans le bureau et met en place le rituel matinal. Dépoussiérer, établir le programme de la journée d’après son agenda, récupérer les rapports des services et ma petite touche personnelle, lui faire un petit plateau de croissant et café. Puis, je vais m’assoir à mon poste.

Mes collègues ne manquent pas de jaser même si je suis persuadé qu’ils ne se doutent de rien. En presence des tiers, il est si froid que je me demande si les petites attentions qu’il me montre ne sont que rêve.

-          Estelle ?

-          Oui ?  Ah ! Cassandre c’est toi ? mais viens… qu’est ce que tu fais penché comme si tu guettais quelqu’un.

-          Je ne guette personne… le boss est déjà là ? chuchota t-elle.

-          Non pas encore. Mais il ne va pas tarder. Un problème ?

-          Plutôt deux oui. Fit-elle s’avançant dans la pièce avec plus assurance. Je voudrais que tu me repasse mon rapport.

-          Pourquoi faire ?

-          Tu n’as pas le niveau nécessaire pour me poser ce genre de question. Aussi bien hiérarchique que scolaire. Ce n’est pas moi qui te l’ai remis hier ?

-          Si. Mais il faudrait que j’aie une explication si Monsieur arrive là présentement et me pose des questions.

-          Je sais. Mais le problème ce n’est pas que je ne veuille pas t’expliquer c’est juste que tu ne comprendrais pas…

-          Laisse-moi le soin d’en juger. Il est vrai que je ne peux te donner d’ordre mais je te demanderais de revoir l’organigramme de la société à la réception.

-          Je sais mais ça ne compte pas. Ce vieux des ressources humaines n’a plus toute sa tête.

-          S’il te plait cassandre abrège j’ai trop à faire. Si tu repondais à ma question, tu aurais regagné ton  bureau depuis fort longtemps.

Elle reste là et me fixe. Je prends un stylo et un stick note et attends. Tous dans la société savons ce qu’elle veut. Elle croit être la plus belle de la société parce que tout ce qui porte pantalon lui courre après. Qu’ils soient mariés ou non. Le seul a ne pas posé les yeux sur elle c’est mon Bou (boo) et elle enrage. Du haut de son mètre soixante cinq, taille fine et hanche voluptueuse, elle avait peut être raison. Elle s’habillait toujours avec style et class. Nombreuses étaient celles qui l’enviait.

-          Bien. J’ai fait une erreur sur certaines conclusions…

-          Lesquelles ?

-          La capacité d’autofinancement d’un client et le niveau de risque que nous pouvons prendre.

Je note et lui apporte le document.  Elle le prend et au moment de franchir la porte, elle se retourne

-          A-t-il une copine, une femme ?

-          Pardon ?

-          Le boss… as-tu déjà eu a lui passé une copine, où est ce que des femmes viennent pour le voir ?

-          Tu es sérieuse ?

-          Ben oui…. il m’intéresse.

-          Je te rappelle qu’il a un téléphone personnel …..

-          N’empêche … je le veux et je l’aurais. Déclara t-elle sortant de sa démarche chaloupe au quel aucun homme ne résiste

Dix minutes plustard, le sujet de notre conversation poussait la porte vitrée de mon espace.

-          Bonjour Elle. Lança t-il la main sur le poignet de sa porte

-          Bonjour Bou. Il marquât un temps d’arrêt.

-          Boo ?

-          B.O.U. épelais-je.

Il effectua un sourire, secoua la tête genre dépassé avant d’entrer. Le temps qu’il se mette à l’aise, je prends un bloc note et me glisse dans le bureau. Il est si beau. Les coudes posés sur la table, la tête entre les mains, il me semble si préoccupé. Qu’est ce qui peut bien le mettre dans cet état. Je me suis avancé vers lui et ai contourné la table. Bizarre, je ne m’étais jamais avancé aussi près de lui sens qu’il ne lève la tête vers moi.  Je le tiens par les épaules et bouge tendrement.

-          Hey..Bou...

Silence

-          Tu m’inquiète… Biboum ! monsieur ! appelais-je un peu plus fort en le secouant plus vigoureusement.

-          Quoi ? repondit-il d’une voix qui parcouru de mon corps de chair de poule et hérissa mes poils.

Elle était profonde et très incisive cette voix et me semblais ne pas être la sienne. Je la ressentais encore dans mon cœur. Pour m’en assurer, je pris mon courage à deux mains et l’appelais de nouveau.

-          Patiente femme ! quand j’en aurais fini il sera à toi.

C’était quoi ça ? C’était qui ? Qu’est ce qui se passait. Etait-il bipolaire ? Souffrait-il de dédoublement de la personnalité ? Je …. J’avais lu ça quelque part et on disait que parfois les effets allais jusqu’au changement de voix. Je ne sais d’où me venais le courage… je me suis dis que l’on ne choisit pas de qui l’on tombe amoureux. Sans laisser le temps a mon cerveau et ma raison de me retenir, j’ai poussé ses mains et ai pris sa tête en coupe entre mes mains

-          Bou qu’est ce qui ne va pas ?

Seigneur ! Quand nos regards se sont croisés, je me suis glacé le sang. La profondeur, la froideur, la couleur orangé bleu à la place du blanc. L’or argenté qui s’étirait des deux extrémités et le noir qui était plus tôt d’un blanc pur.

" hello! les chrolichoux.... que ferriez vous à sa place?"
Par les Eléments