Chapitre 38: l'astrale

Ecrit par ngakomal

"je suis vraiment désolée pour le retard des suite... un très gros souci avec mon ordi et aussi le retours n'est pas facile" une longue suite pour me faire pardonner. commentez et kiffez. 

~~~Raoul Soh~~~

-          Non mais tu te moque de moi ? dit ma mère en entrant avec fracas dans ma chambre.

-          Wêêeeh ma’a c’est quoi encore ? dis-je la voix enrouée et ensommeillée en me retournant sur le dos

-          Tu demandes quoi encore ?  SOH tu me demande quoi encore ? de nous deux qui a accouché qui ?

-          …..

-          Depuis trois jours que je te demande ce qui ne va pas et aujourd’hui tu ouvres tes dents pour me demander quoi encore ?

-          ….

-          Je dis hein ? on t’a di que j’ai un enfant à perdre ?on t’a di que je n’ai pas assez souffert dans ma vie pour que tu en rajoute ? j’ai trop eu du mal à vous avoir ta sœur et toi pour que je me sais qu’elle raison tu me foutes le bordel dans le cerveau. Mais je te le dis c’est fini.  C’EST FINI. Criat-elle. (Elle se dirigeât d’un mouvement preste de la fenêtre dont elle ouvrit les rideaux en grand. Les rayons du soleil entrèrent de plein fouet. Je dû fermer les yeux à plusieurs reprise pour m’y adapter). Lève-toi dejà même et vas te laver. Dit-elle me fixant de ce regard réprobateur que je n’aimais pas. Ne fais même pas je me répète. Trois jours que l’enfant maigrit sous mes yeux. Tu demandes on te regarde comme le Vampire. Je ne sais pas ce que Reine est venue ici faire ou dire …  humm et comme tu ne veux pas parler mais seulement mourir on verra. J’irais le lui demander ce qu’elle a fait à mon enfant.

-          Noooon … maman. M’écriais-je en me sortant du lit pour me placer en face d’elle. s’il te plait ne fait pas ça ?

-          Parce que qui va m’arrêter ?  qui peut même ?

-          Personne maman

-          Soh tu connais ma folie ? Je suis calme encore. Tu sais que je ne parle pas beaucoup. Je…

-          Maman s’il te plait ne gâche pas tout. je t’en prie…

-          Tu vas parler ?

-          Oui ma’a

-          Ok je t’attends à table. Tu as dix minutes. Et si je ne te vois pas…

-          Maman je viens…

-          Humm !!!

Elle sort de ma chambre comme elle est venue. Puis de ma dépendance. Ma mère est douce et calme mais quand elle se fâche même mon père fuit. Elle a entièrement raison. Depuis cette conversation que nous avons eue, je semble faire une descente aux enfers. Je vais dans ma douche, après avoir brossé les dents (ce que j’ai pas fais depuis 3 jours)je prends une douche et sort. Je me souviens encore comme hier de cette aprem là… entre son viol et son rejet de mon amour. Mon cœur fait mal au point où je sens ma poitrine se comprimer. Des fois, je manque d’air et suffoque littéralement. Je n’ai plus goût à rien ! Quand je pense que je l’ai haït de tout mon âme pour cet enfant qu’elle avait fait à un autre. Je n’arrive pas toujours à y croire. Et à cet instant, la honte m’envahit. Je me sens minable. Vous savez ce sentiment de honte mélangé à cette rancœur indescriptible.

-          Viens t’assoir fils. Dis mon père dès qu’il me vit au pas de l’entrée de la cuisine.

Nous mangions toujours en cuisine sur cette petite table. Ma mère trouvait que c’était plus conviviale que la large table de la salle à mangé. Même le soir papa préférait prendre soit un plateau au salon, soit venir ici. Je tire mon corps et prend place à gauche  comme il me le demande. Ma sœur en face de moi.

-          Ça va tu es guéri ? (je hoche la tête en signe de réponse positive). C’est bien alors. La maison est bizarre quand je ne peux pas te déranger.

-          Je t’aime aussi lyse.

-          Je sais !

-          Tiens ! mange ! et je ne veux rien voir dans ton plat. Mange tout ça.

-          Bien maman…

-          Humm !

Je plonge ma tête dans le plat et mange sans vraiment le savourer. Je n’exécute que l’ordre de maman. Je ne me souviens plus avoir faim. Je mange en silence malgré les tentatives de mon père de détendre l’atmosphère. Je finis et m’adosse sur le dossier de la chaise ailleurs. Qu’est ce qu’elle est forte ma Reine. Ma petite Reine. Malgré tout elle garde le sourire. Si elle ne t’en parle pas tu ne le saurais jamais. Sa joie de vivre et l’espérance ne l’on pas quitté. Je dirais même qu’elle a augmenté. Est-ce à cause de lui ?

-          Viens Raoul nous devons parler. Dit mon père avec un sourire engageant.

-          C’est bien ! parle lui bien et qu’il comprenne que je n’ai pas d’enfant à enterrer.

-          Mariette !

-          Ne me Mariette pas  Richard! et fait le lui bien comprendre, s’il ne parle pas ? je sais où avoir les réponses.

Mon père soupire et nous prenons la direction de son bureau.

-          Ta mère s’inquiète. Entame t-il me regardant droit dans les yeux. Alors parle-moi. Car je me dis que c’est quelque chose que tu ne peux dire à ta mère.

-          ….(silence).

-          Tu as eu des rapports non protégés et a attrapé le sida ? la syphilis ? ou une autre MST

-          Quoi ? non ! bien sur que non. M’exclamais-je sidéré.

-          Alors tu l’as seulement enceinté ?

-          Non papa… pourquoi tu pense ça ?

-          Parce que tu ne parles pas. Je suis Ton père et je te soutiendrais quelque soit le problème. Ta mère et moi ne supportons pas de te voir transformé en loque humaine. Tu ne vas plus aux cours d’après ce qu’elle m’a dis. C’est une certaine Sorelle qui vient ici chaque soir avec des photocopies. Tu te comporte comme tu étais seul au monde alors que nous sommes là pour toi.

Mon cœur se serre. Je sens une larme descendre sur ma joue. Une seule. J’ai tellement honte que je n’arrive pas.

-          Bon sang ! Raoul tu vas me dire ce qui ne va pas ? je n’en ai pas pour toute la journée. Comprend que je n’ai pas épousé ma femme pour que tu la maltraite par ton attitude.

Il me fixe et je fais pareil. Ses yeux ne reflètent qu’inquiétude et interrogations.

-          J’y suis ! dis t-il.  Tu lui as dit …..

-          Dit quoi et à qui ? demandais-je perdu

-          Tu as di à Reine que tu l’aimais ?

J’ouvre les yeux remplis de surprise et secoue la tête en signe d’assentiment. Si mon père connaissait mes sentiments pour Reine. A quoi bon lui demander le pourquoi, le comment et le quand. Le silence s’éternise et mon père range des cartes de visites sur sa table de travail qui nous sépare.

-          Qu’est ce qu’elle a répondu ? dit-il après une profonde inspiration

-          ….

-          Tu as besoin d’en parler... tu ne pourras tourner la page que si tu en parle. Je remercie le ciel pour t’avoir donné le courage de le lui dire. J’avais peur que tu ne te donne des chances dans la vie avec cet amour secret.

-          …..

-          Bon ! dit-il en se levant. Comme tu ne veux pas en parler, j’irais dire à ta mère d’aller chez eux le lui demander.

-          Elle a dit qu’elle m’aimait comme un frère. Pour elle, je ne suis que le grand frère qu’elle n’a jamais eu. Ce qui me fait mal papa c’est qu’elle a été violée et en est tombé enceinte. Sa tante l’as tellement battue pour une brouille qu’elle a fait un mois à l’hôpital et a perdue l’enfant. Et moi comme un con j’ai jugé et condamné. Maman m’a pourtant prévenue. Quand je me rappelle de ce que j’ai pu pensée d’elle….

-          Qu’est ce qui s’est  passé.

Là je me suis mis à table. J’ai raconté ma peine, la scène, sa douleur quand elle m’en parlait, ma honte, mes regrets et même de cet adrian. A la fin de mon récit, mon père à tout simplement contourné la table pour me prendre dans ses bras.

-          Ce n’est aucunement de ta faute. Cela pouvait arrivée a tout le monde. Je comprends que tu sois frustré car tu n’as pas pu la protéger. Cela ne fait pas de toi un coupable. Tout le quartier sait ce que cette bonne femme fait subir à cette petite. Nous ne pouvons nous en mêler car…. Bref ce n’est pas le sujet. Tout ce que je veux te faire comprendre c’est qu’en soit, aimé c’est merveilleux. Ce sentiment pardonne tout en trouvant des raisons au plus abominable des actes. ta mère et moi savions et sentiments pour elle, nous pensions que tu nous en parlerais afin que puissions te faire voir combien tu la surprotégeais comme lyse. Combien tu cherchais à la contrôler.

-          Oui je l’aime…

-          Je sais mais….. comme une sœur.  C’est si profond que toi-même tu le confonds à de l’amour charnel.

-          Je ne pense pas. Fis-je en m’écartant de ses bras.

-          Si ! je voudrais savoir si tu bande direct quand tu la vois, est-ce que son sourire te fait voyager ? Est-ce que lorsqu’elle est assise près de toi tu ne penses qu’à lui faire l’amour ?

-          Papa !! bien sur que non je ne suis pas un obsédé

-           lui as-tu dejà volé un seul baisé ? Un seul. Continua-t-il comme s’il ne m’avait pas entendu. Est-ce que tu ne pense qu’à elle ? au point où la beauté des autres t’indiffère. Est-ce la nuit tu n’arrive pas à dormir tellement tu ne rêve que d’elle ? réfléchit y fils…  prends le temps d’analyser tes sentiments.

-          ….

-          Bon ! je m’en vais. Je dirais à ta mère les grandes lignes. Et  arrange-toi de ne plus contrarier ma femme. Dit-il mis sérieux

Il est sortit et je me suis laissé tomber dans mon siège. Comment pouvait-il dire que ce je ressentais n’était pas de l’amour. Comment cette douleur en mon cœur n’était pas le ressentis de la déception ? Mieux je repars dans ma chambre

~~~ Béthanie  Blairon~~~

Je n’ai pas des nouvelles de Mike depuis une semaine. Ma part de fiancée là je ne comprends pas. Mais qu’à cela ne tienne, du moment qu’il me donne de quoi me mettre à l’aise je ne me plains pas.  Nous somme actuellement ma copine Miranda et moi entrain de faire du shopping  dans le centre ville (AKWA). A dépensé les sous de cette cruche de Reine. En réalité, la dernière fois, il a tellement apprécié le repas qu’en plus des 500 000 frs que je lui avais demandé, il avait laissé 200 000frs pour reine. Il était fou d’avoir pensée qu’elle verrait la couleur de cet argent.

-          Alors que vas-tu faire de Drew après ton mariage. Demande Miranda de la cabine d’essayage

-          Comment ça ?

-          Je veux dire quand est ce que tu compte rompre avec Drew ? avant ou après ton mariage.

-          Qu’est ce que Drew a à  voir avec mon mariage. C’est bizarre de les mettre dans la même phrase.

-          Donc tu veux me dire que ton vagabondage ne va pas prendre fin avec ton mariage ?

-          Que le mariage interdit quoi ?

-          Non ! Béthanie tu n’es pas sérieuse ! s’écria t-elle en tirant les rideaux de séparation pour me faire face sein à l’air.

-          Un peu de pudeur quand même

-          Tchuip que tu n’as pas déjà vue quoi ? mais sérieusement tu ne peux pas continuer ta relation avec lui

-          Je dis hein pourquoi tu insiste ? tu voudrais que je te le laisse ?

-          Non ! c’est juste pas bien de continuer de donner espoir à Drew sachant qu’il t’aime comme fou. tu lui a dis que tu te marie ?

-          Que qui est bête ? tu m’as bien régarde ? si après le mariage il ne m’appelle plus, bien ! mais s’il m’appelle je ne vais pas me gênée.

-          Sérieusement ?

-          Oui pourquoi me séparer de mes banques tous simplement parce que je me mari. Tu pense que s’il a une maitresse où une copine actuellement il me demandera la permission de la gardé où non ? s’il te plait la vie c’est une place et je compte bien vivre la mienne. Tant que Drew, Idriss et Math continueront de m’appeler, je ne me torturerais pas pour me faire plaisir. Vu qu’en tant que homme d’affaire, il sera tout le temps en déplacement.

-          Mais maths est marié Béthanie. Scanda-t-elle en sortant de la cabine pour se mettre devant le miroir. La question ne se pose même pas. Tu ne devrais pas continuer cette relation.

-          Peut-être… je vais y réfléchir… mais si tu savais le coup qu’il est dans un lit. Tu ne me dirais pas de rompre. Je me demande si mon futur mari sera à la hauteur…..

-          Il le sera…. Quand tu le vois, tu salive toi-même et mouille sans qu’on ne te touche. Je sens que c’est le genre à te faire grimper aux rideaux… à jouir à en t’arracher les cheveux. Ta vie est trop bien !

-          Je sais … raison tout le monde m’envie. Même toi.

-          Oui … des fois tu as trop de chance.  Je prends celle là (changeant de sujet) elle ira parfaitement pour ce soir.

-          Oui prend soin de mettre tes boucles d’or et que ton collier ne charge pas trop ton cou. Ne laisse pas ton tissage tomber sur le dos mais relève le en une sorte de chignon pour ressortir ton visage. Tu seras superbe.

-          Oui maman ! fit-elle

Nous éclatons de rire avant de continuer nos courses. Apres avoir fais les boutiques, nous avons fait un tour au Glacier pour nous rafraichir et comme d’habitudes nous avons eu droit à des regards envieux des femmes et gourmands des hommes. Enfin je pense surtout moi. Miranda n’est là que pour le décor.

-          Bonsoir mesdames, je peux vous tenir compagnie ? fit un parfait inconnu en tirant une chaise libre d’une autre table et y posa ses fesses.

-          Pourquoi demander si vous prenez dejà vos aises ? dis-je courroucée

-          Par politesse voyons !  puis-je vous offrir une autre coupe de glace ?

-          Non merci… nous n’acceptons pas des cadeaux d’inconnus.

-          Moi j’en veux… murmura Miranda. Une lâcheuse !

-          Il ne manquerait plus que vous me disiez que c’est votre mère qui vous l’interdit. Dit-il moqueur en levant la main pour appeler le serveur. Deux coupes de glaces s’il vous plait.

-          Trois ! rectifiais-je  à haute voix.

Il sembla m’ignorer et se tourna complètement vers Miranda. J’avais horreur de ces moments où je n’étais pas le centre de l’attention.

-          Alors belle dame. Comment on vous appelle ?

-          Miranda De Vivo. Minauda t-elle

-           Eric Kounda… enchanté de vous connaitre. (échangeant une poigné de main) et votre ami qui se laisse poussé des ailes.

Elle pouffe de rire et me regarde de biais … est ce que je les gère? Cet Homme sera à moi comme tous les autres.

-          Demandez-le-lui. Dit Miranda après s’être raclé la gorge.

Ils se sont échangé leur numéro et le monsieur a filé prétextant une réunion importante. Comme si on pouvait le croire ! Nous nous somme séparés et je suis rentré chez moi en taxi.  Cela se passait toujours ainsi. Dans toutes les rencontres, c’est elle Miranda que les hommes miroitaient. Ce fut le cas de Drew et même d’Idris mais bon… ils sont         tous avec moi actuellement. Je ne sais exactement comment ça marche. Cette nuit, dans mon désir d’avoir cet Idris, je rêverais d’être chez lui fessant l’amour en lui intimant l’ordre de m’aimer. Ce mon corps sortira un truck gluant qui prendra possession de lui. Et lorsqu’il appellera Miranda c’est moi qu’il demandera. Ma copine est une chic fille avec les bonnes manières, fille de riche  aussi  d’un père Italien et d’une mère Camerounaise. Très très belle.

J’avais remarqué … lorsque j’arrivais chez ces messieurs pour la première fois, c’était comme du déjà vue. Comme si se rêve était réel. Mais bon …

J’entre et me dirige vers la cuisine avec mon pot de glace que je mets au frais. Oui j’en ai pris à emporter. La vilaine est afféré à tourné je ne sais quoi… que je l’en merde un peu.

-          Depuis le matin ? le repas n’est pas près pour que nous autre nous mangeons quoi ? où même aujourd’hui tu es allé faire ta pute. Une fille misérable… appart faire la putain qui s’intéressera à toi ? hein dis-moi qui ? on dirait même que le monsieur de la dernière fois est tombé sur la tête.

-          ….

-          Tu ne réponds pas ? c’est  ça ferme ta bouche si tu ne veux pas que maman t’envoie à l’hôpital encore une fois.  Elle ne cherche qu’un moyen de te foutre définitivement à la rue. Ainsi, tu ferras ta prostitution au calme. Mais  je t’en prie cette fois ci n’oublie pas les préservatifs. Grossesse et pute ne font pas bon ménage.

-          …. (continuant son travail comme si je n’existais pas)

-          Hey !! je te parle.  Tu n’es pas devenu sourde en plus de tous tes défauts j’espère Fis-je n’en posant ma main sur son épaule.

Elle fit brusquement volt face et me saisit pas mon tissage brésilien, les mains pleines d’eau sale. Elle me retourna et me coinça brusquement contre le plan de travail de la cuisine, en me maintenant les bras dans le dos de son autre main. Je ne pu m’empêcher de crier de douleur. Bonjour les bleus sur le corps.

-          Nous ne sommes pas amie ni sœur et ce que je fais de ma vie ne te concerne en rien. Je laisse dejà que ta mère m’insulte me frappe et me maltraite. Toi, tu me parles déjà mal… humm il est hors de question qu’en plus toi aussi tu porte la mais sur moi. Je te le dis hors de question. Par ce que la prochaine fois onong (je jure) je vais te broyer ce que tu appelle os là avant que tu ne puisses le dire à ta mère, tu seras sur le même lit d’hôpital. On se comprend ?

-          ….

-          Béthanie on se comprend ?

-          Oui. Lâche-moi. Exigeais-je en secouant le corps.

Elle me lâcha et retourna a ses occupations et ne fessait plus aucun cas de moi. Que se passait-il dans cette maison ? Elle avait parlé avec un calme… une telle froideur que la peur ne m’avais pas quitté. En était t’elle capable ? J’étais là à la regarder en me massant le pogné lorsqu’un son s’est mis à se faire entendre.  On aurait dit un téléphone sur vibreur. Je fouille frénétiquement mon sac et constate que c’est pas le mien. Quel ne fut ma surprise de voir Reine sortir de son tablier un Iphone 7 et le porter à son oreille.

-          Allô ?

-         

-          Non… Ad je ne pourrais pas. Ma punition n’est pas finie.

-         

-          Je sais. Ce n’ai pas comme si je ne voulais pas te voir. Mais pour l’instant je ne peux pas.

-          ….

-          Je comprends…. Hummm Ad j’ai fait un rêve sur toi la nuit dernière et c’était trop bizarre.

-         

-           Hahhaha non. ce n’était pas érotique.

-         

-          Je t’en parlerais la semaine prochaine. Mais j’ai l’impression qu’un danger s’approche te toi.

-          ….

-          Ta curiosité attendra.

-         

-          Tu me manque aussi. Bisous

Elle remet le phone dans son tablier et se tourne vers moi. Nous nous jaugeons du regard.

-          J’espère pour toi que tu comprends. Que ceci reste entre nous.

Je lève la tête hautaine et  sort de là. Mais qu’est ce qui lui prend. Un Iphone7 je n’y crois pas. Son homme doit être plein aux as. En tous cas que grand bien lui fasse. Je jette mon sac sur mon lit et ferme ma porte. Après m’être  débarbouillés, je me prélasse dans mon lit pour rêvasser à mon aise. Je n’ai pesé la demande de rêve qu’une fraction de seconde. Que chacun gère ses problèmes. J’ai un exam à passé, un mariage à organiser et mes gars à gérer je n’ai que faire se son téléphone à la noix.

Je ne suis sortie de ma chambre que pour le diner en famille. Et tout s’est passé comme si chacun jouais son rôle. Michel dans son plat a mangé comme si sa mère et moi n’existions pas. Il ne parlait qu’à papa. Papa qui essayait d’intéresser tout le monde à un sujet politique Français. Maman qui n’en  démordait pas du fait que papa l’ai empêché de tuer Rêve dimanche matin.

La soirée est morose rien de bon à la télé. Je me couche et ferme les yeux. 5 minutes plus tard je suis dans un salon inconnu. Bien décoré, spacieux et entretenue. Je jette un coup d’œil sur le cadre et bien cet Eric Kounda entourés de personnes. Je suppose sa famille. Instinctivement, je me dirige vers la chambre principale, et ouvre. Il est endormi. Je le retourne sur le dos et me place sur lui et retire son membre. Il est d’une dimension non négligeable. J’en salive même.  J’approche ma bouche lentement de son chapeau rose. Et lorsque j’y pose ma lèvre, je sens deux mais m’agripper fortement et me repousser au loin. Perturbée, je lève les yeux et vois deux yeux me fixe intensément.

-          Je vous ai rencontré cet après midi. Qu’est ce que vous faites dans ma chambre et dans mon sommeil ?

-         

Cette situation je ne l’avais jamais eu. Tout se passait sans que les autres ne se réveillent. Je sentais mon pouvoir. Ma domination sur eux. Je leur donnais un plaisir… et atteignais un orgasme que je n’avais pas hors du rêve.

-          Ma chère je ne couche pas dans les ténèbres… si vous avez envie de moi, rencontrez moi en plein jour.  (Il eu un sourire mauvais) dégagez ! fichez le champ avant que je ne vous y oblige.

J’ai juste fermé les yeux et les ai ouverts. J’étais dans mon lit.

"une question que pensez vous de ce nouveau personnage? cette capacité de Béthanie, un don ou une malédiction? a vous claviers... "


Par les Eléments