Chapitre 39: PRENDRE AUX MOTS

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 39: PRENDRE AUX MOTS.


**ETHAN NDZAMBA**


Je rentre comme une fusée dans ma maison et me dirige tout droit vers la cuisine, précisément le frigo. Je tire une bouteille d'eau fraîche et je l'engloutis rapidement, je tire une deuxième et elle subit le même sort que la première. J'espérais éteindre la chaleur que je ressens actuellement dans mon corps et faire redescendre la pression. Quand ce fut un peu le cas, j'ai posé mes deux mains sur le frigo pour prendre appui dessus. Seulement dès que je ferme les yeux, je revis la scène dans mon esprit et mon érection répare pour un autre tour.


Moi: Seigneur !


J'ai repris une bouteille dans le frigo et je me la suis renversé sur la tête jusqu'à la vider mais cela ne me fait absolument rien. J'ai pris un récipient vide que j'ai mis dans l'évier et j'ai allumé de l'eau dessus, j'ai tiré le bac à glaçons et je l'ai renversé à l'intérieur du récipient. J'ai rapidement enlevé le bouton de bon pantalon et j'ai baissé la braguette. J'ai attrapé le récipient, tiré sur mon pantalon et mon calcif et j'y ai versé de l'eau glacée contenant même encore des glaçons à l'intérieur.


Moi: (sursautant) Merde!. 


C'était tellement froid que mon commandant s'est calmé direct et a même rétréci. Toute l'excitation que je ressentais est retombée d'un coup. J'ai déposé le récipient dans l'évier et je suis venu m'accouder contre l'îlot central de ma cuisine. La scène de ce soir est revenue dans mon esprit mais mon commandant ne s'est plus levé, j'ai alors laissé mon esprit y retourner comme il voulait.


Je suis descendu du véhicule et j'ai pris la bouteille à l'arrière avant de traverser et la rejoindre. Le gars de la station nous a dit que nous avons eu de la chance. Il ne reste que 2 bouteilles et il faudra attendre au moins une semaine pour que le gaz arrive. J'ai payé et j'ai récupéré la monnaie avant de soulever la bouteille et marché à la suite de Myrna. Elle s'était déjà engagée sur la route quand nous avons vu une voiture rouler à vive allure et foncer sur elle. J'ai lâché la bouteille de gaz et je l'ai attrapée par l'arrière de sa robe pour la ramener vers moi. Je l'ai tiré avec tellement de force qu'elle a failli se retrouver par terre en reculant. Mais avec mon autre main, je l'ai récupéré et ramené vers ma poitrine avant de la maintenir fermement. La voiture est passée en flèche sans daigner s'arrêter. 


Myrna a levé sa tête vers moi et j'ai baissé la mienne vers elle, nos visages étaient à quelques centimètres de distance et nos regards se sont accrochés. Ma main a glissé et est venue se poser sur une de ses fesses et mon commandant s'est à nouveau fermement dressé dans mon pantalon.


Myrna : (sentant mon érection sur son bas ventre, gémissant presque) KLEN.


Sans que je ne puisse contrôler quoique ce soit, ma main sur sa fesse a exercé une pression sur cette dernière en la malaxant.


Myrna : (poussant un léger gémissement qui l'a fait entrouvrir légèrement la bouche) Ahn.


Je m'apprêtais à l'embrasser quand nous avons écouté derrière nous.


Le pompiste: Votre femme va bien ?


Cela a freiné l'élan dans lequel on se trouvait et nous a rappelé par la même occasion que nous étions debout en pleine route. Nous nous sommes rapidement détachés l'un de l'autre.


Moi: (répondant au pompiste tout en fixant Myrna dans les yeux) Oui. Dieu merci, elle n'a rien eu.

Le pompiste : Heureusement que vous avez été là et que vous avez réagi à temps, sinon on aurait parlé d'autre chose. Je ne comprends pas comment les gens roulent comme des fous comme ça. Je ne sais pas s'ils se prennent pour des pilotes de formule 1 ou c'est comment, il n'y a que Dieu qui sait. Ma sœur il faut vraiment dire merci à Dieu pour ton mari là oh, tu sens qu'il tient à toi, regarde comment il a balancé la bouteille de gaz pour te sauver toi. Ce n'est pas tout le monde qui peut bien réagir comme ça face à une situation aussi périlleuse. 


Nous sommes incapables de dire quoique ce soit et continuant à nous fixer dans les yeux.


Le pompiste : (Venant me donner la bouteille qui apparemment avait roulé loin de nous) Prenez monsieur.

Moi: (Détournant mon regard de Myrna pour le poser sur lui) Merci.

Le pompiste : De rien. Mon frère tu as raison de bander devant ta femme, ça aurait pu être la dernière fois. Quand vous rentrez là, fais lui même d'abord bien l'amour parce qu'elle a failli mourir.


J'ai baissé les yeux et j'ai constaté que ma virilité était bien présente et visible. Myrna la regardait avec les yeux dont la lueur était pleine de sentiments contradictoires. 


Le pompiste : Rentrez chez vous et vous pourrez vous mettre à l'aise, ne vous sautez pas dessus ici à la route. 

Moi: (sortant de ma torpeur) D'accord. Et merci. 


Au risque qu'il ne rajoute autre chose, j'ai pris la bouteille d'une main et j'ai saisi la main de Myrna de l'autre et je nous ai fait traverser la route pour aller à la voiture. Une fois devant elle, j'ai lâché la main de Myrna et je suis allé mettre la bouteille à l'arrière. En refermant, je me suis appuyé dessus pour essayer de reprendre mes esprits et faire descendre mon érection qui était toujours présente.


Moi: (Dans ma tête) Seigneur aide moi, aide moi, je t'en supplie. 


J'ai fait quelques exercices de respiration et la pression est légèrement descendue. Je suis quitté derrière et j'ai voulu aller monter de mon côté mais je me suis rendu compte qu'elle n'était pas encore montée alors j'ai dû passer de son côté pour lui ouvrir la portière. Ce faisant, nos corps se sont légèrement touchés et mon commandant a réagi. Nous avons simultanément orienté nos regards vers lui avant de nous fixer à nouveau dans les yeux. Je l'ai vu déglutir et resserrer ses jambes, signe que comme moi, ça n'allait pas dans son entre-jambe. J'avais envie de lui sauter dessus et lui faire l'amour là tout de suite mais je me suis fait violence.


Moi: (Voix lointaine) Stp Myr, monte dans le véhicule.


Elle l'a fait. J'ai fermé la portière et je suis allé monter de l'autre côté. À peine j'ai fermé la portière sur moi que j'ai senti que l'atmosphère dans la voiture était tendue. Une forte odeur de cyprine m'indiquant qu'elle était bien mouillée et prête à me recevoir est venue me titiller les narines, faisant ainsi gonfler mon érection. J'étais tendu à en avoir mal et une forte envie de lui faire l'amour s'est saisie de mon corps. Je me suis passé la main sur le visage et des images de nous, faisant l'amour dans une voiture, sont venues s'imposer dans mon esprit. J'ai appuyé sur le bouton à côté pour faire monter les vitres, elles sont fumées et j'ai activé l'air conditionné. J'ai soulevé ma main qui était toute tremblante pour la poser sur sa cuisse. J'ai vu sa poitrine se gonfler et ses tétons se dresser davantage. Elle a légèrement écarté ses jambes. Je lui ai caressé la cuisse en faisant monter sa robe lentement jusqu'à ce que ma paume soit en contact direct avec sa cuisse. Elle bougeait et gémissait sur son siège. Je l'ai saisi par les hanches et j'y ai exercé une petite pression avant de la soulever de son siège pour la déposer sur moi, elle s'est arrangée pour se retrouver à califourchon. J'ai pincé ses tétons avec mes dents à travers sa robe et j'ai inséré mes mains sous sa robe en lui caressant les cuisses. Je suis remonté jusqu'au niveau de ses fesses que j'ai pétries pendant un moment avant de ramener une de mes mains sur son pubis, j'ai frotté un doigt sur son clitoris et je m'apprêtais à l'insérer dans son intimité quand j'ai entendu.


<<Qu'est-ce que tu fais Lilian ?>>

Moi: (répétant comme hypnotisé) Qu'est-ce que tu fais Lilian ? Qu'est-ce que tu fais ?


L'information est arrivée à mon cerveau et je me suis figé.


Moi: Seigneur Jésus..


Cette expression a comme réveillé Myrna qui, tout comme moi, ne savait pas ce qu'elle faisait. Quand elle a réalisé qu'elle était assise sur moi avec tout le bas de son corps dénudé et offert. Elle a écarquillé les yeux avant de me mettre une gifle sur la joue.


Myrna : Que m'as tu fait?

Moi: Je suis désolé, je ne sais pas ce qui s'est passé, je te jure que je ne sais pas.


Elle est quittée sur moi et est retournée à sa place. 


Myrna : Je veux rentrer à la maison.

Moi: D'accord.


J'ai démarré les mains tremblantes et nous sommes partis de là pour chez elle. Quand j'ai coupé le contact devant leur maison et je l'ai regardé, une autre excitation m'a prise. Elle a tourné la tête vers moi et elle était dans le même état que moi. Quelque chose ne tournait visiblement pas rond dans cette affaire. Nos têtes ont commencé à se rapprocher pour nous embrasser mais la porte s'est ouverte sur les enfants qui sont venus cogner sur la voiture, nous empêchant ainsi de le faire. Je suis rapidement descendu du véhicule, j'ai pris la bouteille et je suis rentré dans la maison avec.


Maman Jeanne : Vous avez pu avoir ?

Moi: Oui.


Je suis allé dans leur petite cuisine et je l'ai connectée à la mini gazinière qui était là-bas. Je suis revenu au salon.


Moi: Maman, je vais rentrer, j'ai une urgence.

Maman Jeanne : D'accord mon fils et merci pour tout. Mimi est où ?

Ethan : Elle est dehors.

Maman Jeanne : Mais elle fait quoi là-bas ?


Je n'ai pas répondu, j'ai tiré les enfants à moi pour un câlin et je leur ai dit que j'allais les revoir le lendemain. Il fallait que je parte rapidement de là avant que mon excitation ne monte d'un cran et que le commandant ne se lève. Seulement au moment où je sortais, Myrna rentrait et nos corps se sont touchés à l'entrée. Ce point de contact a encore créé un trouble dans nos corps. Je suis sorti précipitamment pour aller monter dans la voiture et démarrer afin de rentrer chez moi.


Je me passe la main sur le visage. Comment est-ce possible ? Baissant mon regard vers mon commandant.


Moi: Je pensais que tu ne fonctionnais plus et que j'étais devenu impuissant. Tu es maintenant guéri ?

<<Tu n'as jamais été impuissant Lilian.>>

Moi: (surpris) Comment ça je n'ai jamais été impuissant ? Que s'est-il donc passé durant ses 11 dernières années? Pourquoi ne réagissait-il plus ?


Flash

Myrna : Oui. Quand tu gagneras ton bac à la fin de cette année, tu me laisseras toute seule ici et tu partiras en France. 

Moi : Que Dieu me punisse si jamais je te quitte Myr. Je partirai oui mais je ne te quitterai pas, tu es ma femme, la future mère de mes enfants et ma partenaire de destinée. Tu me rejoindras après ton bac l'année prochaine et nous nous marierons aux yeux des hommes quand tu auras tes 18 ans. 

Myrna : (se retournant pour me regarder dans les yeux)Tu me le promets ?

Moi : (soutenant son regard) Je t'en fais le serment. 


Après ce flash, un verset biblique est monté dans mon cœur et c'était celui de Galates 6:7 "Ne vous trompez pas à ce sujet: Dieu ne permet pas qu’on se moque de lui. Chacun récolte ce qu’il a semé."


Moi: (posant mes deux mains sur ma tête)Eh!


Je venais de réaliser que j'avais moi-même dit que j'allais être puni si jamais je la laissais et c'est ce qui s'est passé. J'avais dit que je partirais mais sans m'éloigner d'elle. C'est donc pour ça qu'elle a hanté mon esprit tout ce temps.


Moi: Donc j'ai été pris à mes propres mots ?

<<Aucune des paroles que tu as prononcé de ta bouche n'a été laissé pour compte, aucune.>>


Série de flash.



Edgar : J'étais en chemin quand le Seigneur m'a dit que je devais rencontrer son serviteur, le pasteur Ethan et sa femme. Il m'a dit que je vous reconnaîtrai en ce que vous ne serez qu'à deux et isolés de tous. 

Moi : (choqué) Monsieur, vous faites une erreur. Je ne suis pas pasteur et elle n'est pas ma femme non plus donc

Edgar : (m'interrompant) Récemment vous avez fait un rêve dans lequel vous étiez en train de vous marier à une jeune fille, je me trompe?

Moi : (silence)

Edgar : La jeune fille en question, vous n'avez pas pu voir son visage. Le Seigneur me dit que c'est une chantre, votre partenaire de destinée. Il me dit que c'est elle qui avait prié avec vous le jour de votre conversion. Cette fille est votre femme et le rêve que vous avez fait c'était votre mariage. Vous êtes mariés aux yeux de Dieu sur le plan spirituel. Si ce n'est pas la jeune femme à côté de vous alors non, mais s'il s'agit bien d'elle, alors oui. Elle est belle et bien votre femme. Vous êtes pasteur et elle chantre. Le Seigneur vous utilisera puissamment tous les deux pour son œuvre. Voici ce qu'il m'a chargé de vous dire. 


Moi : (Après un moment, la fixant dans les yeux) Alors tu y crois ?

Myrna : (soutenant mon regard) J'y crois.

Moi : (la fixant intensément) Si ce que ce monsieur a dit est vrai et que je suis réellement pasteur, cela signifie que tu es véritablement ma …. Femme.

Myrna : (après un moment à nous regarder dans les yeux, petite voix) Oui. 


J'étais ravi de constater que ma petite mise en scène avec Edgar, un homme que je connaissais et que j'avais expliqué mon petit scénario la veille au soir avait fonctionné et qu'elle y avait cru. Je m'étais mis à sourire grandement et elle l'avait aussi fait.


Moi : (posant une de mes mains sur sa taille pour la rapprocher de moi) Je suis tellement heureux, j'ai souhaité secrètement que tu puisses un jour être ma femme, je priais même pour ça.

Myrna : (dans mes bras, intimidée) Je le voulais aussi. Je suis également heureuse.


Je l'avais ensuite embrassé sur la bouche pendant un moment avant de m'arrêter et de lui faire des petits bisous dans le cou.


Moi : ( Lui sussurant à son oreille) Je suis l'homme le plus heureux de la terre ma ISHA 



Moi : (la regardant avec un sourire sur les lèvres) Oui, puisque tu es ma femme, donc tu es Madame NDZAMBA. C'est joli n'est-ce pas ? Myrna Précieuse NDZAMBA, et ça sonne très bien.



Moi: (élevant la voix) Notre père et notre Dieu nous bénissons ta grandeur Toi qui du haut des cieux voit et assiste à tous ce que les hommes font sur la terre. Nous voici devant toi ma femme et moi car nous voulons te présenter cet acte que nous nous apprêtons à faire. Sanctifie et purifie le afin qu'il soit marqué de ton sceau. C'est toi qui m'a donné cette femme que tu as spécialement conçu pour moi, je te promets de l'aimer et de ne jamais la tromper. Merci pour ta présence au milieu de nous et que toute la gloire te revienne à Toi et à Toi seul. J'ai ainsi prié au nom de Jésus, Amen.

Myrna : Amen.


Moi: Ô Seigneur, Myrna tu es tellement belle et bonne que j'ai l'impression que je vais exploser de plaisir. Tu m'appartiens est-ce que tu comprends.

Myrna : (Entre deux gémissements) Oui. 

Moi: (répétant) Tu m'appartiens. 


Myrna : Bébé ?

Moi: Hun

Myrna : Tu me feras des enfants plus tard ?

Moi: Bien-sûr que je te ferai des enfants (touchant et caressant son ventre) Ce ventre portera nos nombreux petits tu m'en feras au moins cinq. 

Myrna: Pourquoi cinq?

Moi: Parce que ton père avait dit l'autre fois lors de sa prédication à l'église que le chiffre 5 était le chiffre de la grâce. Alors Je veux cinq enfants de toi ,des jumeaux et des triplés. 

Myrna : (écarquillant les yeux) Hein? Qui va porter ça ?

Moi: (lui faisant des bisous avant de la chatouiller) C'est toi. Tu porteras mes triplés dans ce joli petit ventre qui deviendra plus énorme qu'un ballon de basket.


Après ça, un autre passage biblique est venu dans mon esprit.


Proverbes 18 : 20-21.Chacun goûtera à satiété les fruits de ses paroles et se rassasiera de ce que ses lèvres ont produit. La mort et la vie sont au pouvoir de la langue : qui aime se répandre en paroles mangera les fruits qu’elles auront produites.


Je me suis assis par terre et me suis mis à pleurer. 


Moi: (Pleurant) Mon Dieu, qu'est-ce que j'ai fait ?

<<Tu t'es approché de Mon enfant sur laquelle Mon huile coulait et tu as voulu t'amuser avec elle. J'avais dit "ne touchez pas à Mes oints". Mais tu l'as fait et as prophétisé sur sa vie, par conséquent sur la tienne. Si tu n'es pas mort Lilian, et ce quand tes amis et toi avez eu le dessein de lui faire du mal, c'est parce qu'elles ont prié pour toi.>>


Et là j'ai eu un autre flash de maman Patience qui priait pour moi dans sa maison , puis un autre de Myrna à genoux au pied d'un lit, sa Bible ouverte, un papier avec mon nom dessus, elle priait pour moi et le faisait en pleurant. Un autre où elle était à l'école avec ses amis et leur demandait de prier et de jeûner pour moi. Un autre où elle était à l'église , C'était la nuit du 31 décembre au premier janvier de l'année où tout cela avait commencé. Elle tenait une enveloppe à la main écrite "Offrande sacrificielle". Elle avait dit à Dieu que c'était toutes ses économies de l'année écoulée qu'elle avait mises dans cette enveloppe, elle allait la lui donner en échange de ma vie, que je sois retiré des ténèbres pour être emmené à la lumière. Ensuite je l'avais revue ce premier jour où on reprenait les cours. Elle descendait de la voiture de sa mère pendant que je descendais de la mienne. On s'était regardé le temps d'un instant et elle m'avait adressé un sourire.


Myrna : (Me souriant, dans sa tête) Je t'en supplie Seigneur, entend ma prière et mes offrandes, change le.


Je me suis allongé par terre et j'ai continué à pleurer à chaudes larmes pendant près d'une heure de temps avant de m'arrêter.


<<Tu n'as jamais été impuissant mais tu as prié en disant que tu ne la tromperais jamais. Je ne t'ai pas laissé le faire et je ne te laisserai jamais le faire. Ton sexe ne fonctionnera qu'avec elle. Seulement, tu ne la toucheras plus jusqu'à ce que tu l'aies épousé. Si tu essaies, tu en subiras les conséquences>>

Moi: Comment vais-je faire pour ne pas la toucher si quand je la vois, je perds le contrôle ?


"Je vous dis donc ceci : menez votre vie dans la dépendance du Saint-Esprit, et vous n’obéirez pas aux désirs qui animent l’homme livré à lui-même."

Galates 5:16 BDS…





LE JOUR OÙ MA VIE BA...