Chapitre 4

Ecrit par Rayassane

Ce matin après ma douche, j'ai opté pour l'une des tenues que m'avait achetées mon oncle. Une Robe jaune munie d'un ceinturon bleu. Je me suis attaché les cheveux en queue de cheval. C'est avec le cœur tremblant que je sois sorti de la chambre. Car je me souviens de tous ce qui s'est passé hier avec mon oncle, je me sens super gêné, je sais au fond de moi que ce n'ait pas normal, mais à qui je peux le demander. Maman est toujours entre deux mondes. Parlant d'elle c'est aujourd'hui qu'elle part.... je cours vers sa chambre espérant qu'elle ne soit pas encore partie 


Moi : toc ! toc ! toc ! maman tu es là (je n'entends rien a par de petits bruits) je peux rentrer ?


J'entre sans qu'elle m'y autorise... Elle est affalée par terre une bouteille de liqueur entre les mains en train de chialé. À force d'être avec mon oncle j'ai oublié que ma mère est devenue une bouteille de liqueur ambulante pfff 


Moi : tu es encore par terre or tu m'avais dit que tu t'en allais aujourd'hui. 


Maman : je... je hic ! Pas... parti hic ! (En pleurant)


Moi : merde tu en pestes... depuis que tu es rentré hier tu ne t'es pas lavée ? Ou plutôt, tu t'es lavé dans la boisson, car ça ne m'étonnerait pas...


Maman : comment ?? Comment ose-tu me parler ainsi hic ! (Cherchant à se lever elle tomba) je suis ta mère petite insolente 


Moi : n'importe quoi.


Elle lança la bouteille droite devant moi, j'esquivai à temps. Mon oncle rentra au même moment.


Luc : Oh ! Oh ! c'est quoi tous ce vacarme ? qu'est-ce qui se passe ici ?


Maman : cette petite peste, hic !! tu as vu comment elle m'a parler Luc... donne-lui une tape pour moi s'il te plaît 


Je me mis à rire aux éclats


Moi : Quoi ? Pourquoi lui ? tu en es trop incapable c'est ça.


Luc : Yvana tu m'arrêtes ça tous de suite et rentre dans ta chambre


Moi : quoi ?


Luc : laisse-moi m'occupe de ta mère. Ils passeront la chercher tous à l'heure, je te rejoins dans ta chambre plus tard.


Je laisse les vêtements de ma mère que j'avais en main, je les jette au sol et sort de la chambre. Assise derrière la porte je me mets à pleurer, je ne sais pas ce qui m'a pris de parler à ma mère ainsi, jamais de ma vie je n'ai haussé le ton sur elle. Pourquoi maintenant ? De plus, elle va s'en aller me laissant avec mon oncle me faire toutes ces choses dont j'ignore le sens. Est-ce normal ou pas ? Pourquoi mes parents ont-ils décidé de divorcer ? Ils sont trop égoïstes ! ils ont seulement pensé à eu et non à moi je les déteste


Luc : lève-toi, il faut maintenant prendre ta douche, je viens d'avoir l'hôpital au téléphone ils passeront te prendre dans 15 min 


Maman : Luc s'il te plaît je ne veux pas partie... Luc s'il te plaît tu as vu comment Yvana est devenu. S'il te plaît Luc, laisse-moi restée. Je suis sa mère 


Luc : pour faire quoi ? comment vas-tu t'en occuper ? pas dans cette situation


Maman : tu penses pouvoir t'occuper d'un enfant maintenant, tu n'as jamais voulu d'enfants toi


Luc : Je viens donc d'en avoir une, écoute tu n'as pas été une si bonne mère ces derniers temps.


Maman : tu ne me prendras pas ma fille Luc 


Luc : ce n'est pas mon but de prendre ta fille et tu le sais bien, mais tu as plutôt besoin d'aller te faire soigner... je vais m'occuper d'elle comme la prunelle de mes yeux.


Je les regardais par la serrure de la porte mes larmes aux yeux. La douleur m'entaillait le cœur. Si elle veut tellement restée avec moi pourquoi elle ne cherche pas à devenir comme avant. Mes parents ont vraiment tout gâché.


Plus tard


Deux hommes et une Femme en blanc sont venus récupérer ma mère. Elle n'a pas eu de Regard pour moi elle a juste dit à son frère de prendre soin de moi et ils sont partis. Assise à la cuisine mon oncle et moi, on s'est mis à faire notre petit-déjeuner 


Luc : pourquoi as-tu parlé de la sorte à ta mère ? (Me jetant des coups d'œil)


Moi : parce qu'elle le méritait... tu ne vois pas tout ça à cause de mon père, elle fait comme si je n'existais pas


Luc : qu'est-ce que tu en sais (en tartinant son pain)


Moi : je suis un enfant, un enfant, ça ressent ce genre de choses et toi tu en sais quoi ? Tu n'as même pas d'enfants donc tu ne sais pas comment un parent doit se comporter avec son enfant


Luc : Yvana baisse d'un ton Moi : je suis désolé (dis-je soudainement sachant que c'est la seule personne qui me reste) je n'ai plus faim (je cours me réfugier dans ma chambre.


À peine 30 min mon oncle me rejoins dans Ma Chambre


Luc : Yvana ! Princesse ! Je sais que tu m'entends je suis désolé pour tout ce qui est en train de t'arriver... c'est vrai ce que tu dis j'ai pas d'enfant et je ne sais pas comment m'en occupé, mais j'ai été un enfant, quand je me mets à ta place je te comprends et je me dis que peut-être j'aurais faire pire si une telle situation m'était arrivée... toi tu as été très forte tu t'en es occupé toute seul durant 6 Mois aucune fillette de ton âge n'aurait eu le cran de le faire.


Ses mots me touchent, je retrouve enfin mon oncle que j'aime tant il sait me parler il sait également m'écouter... je me relève et m'assois près de lui 


Moi : qu'est-ce que je ferais maintenant, j'ai que toi seul comme famille, je me rends bien compte que tu va-t'en aller également. 


Luc : non non (voyant mon Regard insistant il se triture les doigts) bon je ne sais pas, mais pas pour le moment.


Moi : je savais


Luc : Mais attend il faut que tu finisses ton Année scolaire bien sûr ensuite on ira ensemble chez moi


Moi : Et ??


Luc : l'avenir nous le dira... attend tu as besoin de te détendre (quoi encore ?) 


Il passa dans mon dos et se met à me masser ensuite il passa ses mains sous ma robe, il me déshabilla m'embrassa sur les lèvres, j'ai ressenti des papillons dans mon ventre je ne sais plus combien de Temps tout-ceci à durer, mais je me suis retrouvé nu sous mon oncle Luc : tu es prête à me recevoir.


Moi : à quoi ?? (Et il m'a pénétrée).


Mon cri a été étouffé par sa bouche et sa langue, je ne pensais pas que ça ferait aussi mal mes larmes ce son mit à couler... je ne pouvais plus faire un geste avec mon pied, la douleur déchira mes entrailles, mais peu à peu, au fur et à mesure qu'il faisait des va-et-vient la douleur a cessé et j'ai commencé à ressentir du plaisir, jusqu'à sentir des millions de fourmis sur mon corps il allait vite par moment quand je criais il ralentissait, ainsi de suite jusqu'à ce qu'il fasse sorti son lait et le versa sur mon ventre.


Moi : beurk c'est quoi ça Tonton ? Ton lait ?


Luc : c'est du sperme ! on appelle ça le sperme tiens goûte 


Moi : Non non merci je pense que je vais m'en passer aujourd'hui


Il me roula un super patin et se coucha près de moi. Je me suis sentie endolorie de partout, mais bêtement heureuse.

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