Chapitre 4 : L’anniversaire
Ecrit par Les stories d'une K-mer
**Gary NKOMO**
Depuis
maintenant trois jours que Anaïs me donne les maux de tête. (Levant les yeux).
Si c’est la mort qu’elle cherche elle va trouver ça. Comment tu peux être
malade et tu ne pars à l’hôpital sous prétexte que ça sent l’hôpital ? (Secouant
la tête) ça devait sentir quoi ? Le restaurant ? Oui tu ne supportes
pas l’odeur des hôpitaux, mais quand ton cas est critique tu y vas quand même
norr ? J’ai ruminé ça tout le reste de la journée en attendant
impatiemment que Vendredi arrive pour aller la voir, non pas avec joie, mais avec
les nerfs à fleur de peau. Ce n’est pas
à 24 ans qu’on viendra te dire quoi faire quand tu es malade, non. A 24 ans tu
t’assumes comme une grande fille de ton âge, pffff. C’est toi qui est malade,
c’est toi qui ne veux pas aller à l’hôpital.
En me réveillant
ce vendredi j’étais encore plus qu’énervé. Elle ne m’a pas rappelé depuis
Mercredi soir, et elle sait très bien que j’en ai horreur. Fais-moi un message
au moins, dit moi que tu es occupé, je comprendrais, mais ne me laisse pas en
plan comme un idiot. Pfff. A 16h je rangeais mes affaires, pour me rendre à
Reims. En sortant le matin j’ai mis mes vêtements dans le coffre, c’est à 1h45
de route.
Vincent
(entrant) : Salut Gary ! tu n’as pas oublié l’apéro de Florence
j’espère ? C’est ce soir
Moi (frappant
mon front) : Zut ! J’ai carrément zappé ça.
Vincent
(rigolant) : tu m’offriras un verre pour me remercier ! (S’en allant)
C’est au pub habituel si tu avais oublié
Moi(souriant) :
Merci Vincs
(Soufflant)
OUUlàààà, j’avais carrément oublié ça. Je suis obligé d’y assister, c’est la
coutume dans ma boîte, chaque fois qu’il y a une nouvelle recrue, on s’organise
un Apéro question de discuter, faire connaissance hors du cadre du boulot quoi.
Et Florence c’est Florence quoi (souriant). Elle est super sympa, je ne la
connais que depuis trois mois maintenant, et on va dire que le courant est
passé (rire) professionnellement parlant, et en plus nous sommes sur le même
projet actuellement.
Je suis
Ingénieur d’études, dans ma boîte. C’est une PME qui fait dans le conseil en Energie,
bâtiments, environnement. Nous sommes basés en Ile de France et à Lyon. J’ai
intégré la boîte il y a 3 ans (rire) La chance quoi. Après avoir poireauté à me
taper les boulots de technicien aux salaires minimes. Pour la petite histoire,
je suis arrivé en France Il y a 8 ans à peu près. Avant ça j’étais à Ngoa
ékélé, où j’étudiais maths infos, j’ai assuré en licence et je suis venu ici
pour un Master à Anger, sauf que je devais reprendre la licence ici. Bref
longue histoire. J’ai ensuite continué en Master, l’année d’après, et c’est
pendant mon stage de la deuxième année Master que j’ai rencontré Mya (rire).
Mya ! Le rêve de tous les garçons, du moins jeune garçon.
A l’époque je
me souviens je découvrais Paris, premières sorties dans les boites chic, le
genre des clips de stars là (rire). Vous imaginez une go vous draguer ?
Une go comme Mya ? C’est vrai que je suis pas mal, mais Mya ? C’est
le genre de fille que je me permettais de guetter à distance, je dis bien guetter
hein pas regarder. Elle s’est approchée de moi, a commencé à agiter son petit
derrière de fille métisse là (rire). Elle m’a bien allumé, puis m’a filé son
numéro. Les gars avec qui j’étaient me voyaient pour un dieu. Et moi aussi je
n’avais pas à faire le surpris, il fallait que mes galons upgrade (augmentent)
(rire).
J’ai beaucoup
hésité avant de l’appeler. Je n’étais que stagiaire, et la gratification me
suffisait à peine pour couvrir le loyer, le transport, et les charges. Bien que
je vécusse en périphérique. Mais le cœur du lion norr, j’ai appelé. Ce que la fille là m’a montré hum. Elle
finance, tout simplement pour que tu couches avec elle. Elle te donne le confort
que tu veux. C’est l’argent ? elle en a. Mais tu dois marcher selon ses
désirs. Madame dit monte tu exécutes, si non basta. Elle le dit, et elle le
sait « belle, riche, elle n’a pas besoin d’homme » rire. La pauvreté
et la jeunesse m’ont fait faire les choses (secouant la tête). Tout ça a duré
Un an et demi. Dès que j’ai eu mon premier CDI, et que je me suis un peu stabilisé,
j’ai arrêté d’être « sa pute » (rire) dans la paix hein. Ce n’est pas
la qualité de fille avec qui tu fais les problèmes, encore moins à Paris, c’est
son territoire.
Nous sommes restés
en contact. On s’écrivait que de temps à autre, puis elle a perdu sa mère, je
l’ai soutenu comme je pouvais, on a gardé de bonnes relations (rire). Mais
(sourire) ce n’est pas le genre avec qui on se présente devant ses parents
(rire). A 29 ans aujourd’hui je ressens le besoin de me poser. Et j’ai fait mon
deuil de cette vie, et surtout de mon aventure avec Mya, elle a peut-être été
un bon coup, mais (rire)….
J’ai filé au
pub pour l’apéro de Florence. Moi qui voulais partir de Paris tôt pour éviter
les bouchons c’est raté ! Je suis finalement arrivé à Reims autour de
minuit (soufflant). Sachant que Anaïs est malade je ne veux pas la réveiller,
aussi qu’elle m’a énervé, j’ai fait un message à Astrid qui m’a passé l’adresse
de chez elle. J’ai posé ma voiture au Parking (souriant), ce qui est bien avec
les cités d’étudiant c’est que tu trouves toujours de la place, et c’est
gratuit (rire). J’ai laissé mes affaires dans le coffre et je suis monté.
Moi (passant
la tête) : Hello, c’est moi !
Pouf (bruit
du Party Popper)
Moi
(sursautant) :
Tous :
Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Gary, joyeux anniversaire
Pouf (Bruit
du champagne)
Comment vous
dire ? (Rire). A l’instant où j’ai posé mes yeux sur Anaïs qui avait le gâteau
toute ma colère s’est dissipée (rire). Elle était sublime dans sa robe
(sourire). 8 mois que je sors avec cette go, j’ai l’impression de la découvrir
ce soir, je ne voyais qu’elle dans la pièce, or il y avait visiblement d’autres
personnes, mais pour le moment mes yeux ne sont que sur elle (rire) , elle est
différente ce soir (sourire charmeur). J’ai soufflé sur le gâteau qu’elle est
allé déposer sur la table au centre. J’ai posé mon manteau derrière la porte en
la fermant.
: Joyeux
anniversaire Gary !
Moi (me
retournant brusquement) :
Je rêve ou
alors c’est Mya ? Mais qu’est ce qu’elle fait là ?
Rémi (me
faisant subitement une accolade) : HBD bro !
Moi :
Merci chef (rire), Tu étais dans leur coup hein
Adrien
(bondissant sur moi) : oh !!!! le Nkomo, ça fait quoi de frôler les 30
piges ?
Moi
(rigolant) : 29 gars, ça ne me vieilli pas.
Mya (me
fixant): C’est donc toi l’anniversereux (hautaine) ah beu didonc
Astrid
(surprise) : vous vous connaissez ?
Moi (gêné) :
Paris est petit
J’ai vite
fait de rejoindre Anaïs qui attendais visiblement que je finisse avec les
autres.
Moi (lui
passant les mains autour des hanches) : C’était donc ça la maladie ?
(Sourire charmeur)
Anaïs
(croisant ses mains derrière mon cou) : Joyeux anniversaire bébé
On s’est fait
un smack avant que je ne coupe mon gâteau. Je ne m’y attendais pas du tout,
j’avais carrément oublié que c’était mon anniversaire.
Astrid :
un petit discours avant de manger ?
Moi (bégayant) :
euh, je ne sais pas trop, je suis un peu pris au dépourvu là
Adrien :
oh !! les grands mots (rire général), toi INGENIEUR à PARIS parler va te
dépasser ?
Rémi (plié de
rire) : respecte sa testostérone hein
C’est parti
en fou rire général. J’ai fini par prendre la parole, bien que les discours ne
soient pas trop mon truc.
Moi (me raclant
la gorge) : Alors, merci déjà à vous pour le geste, j’apprécie vraiment
(souriant). Bon, bon, que dire (rire), je suis vieux c’est mon anniversaire, je
suis vieux (rire). Plus sérieusement, je suis touché par l’attention, je vous
dis merci et particulièrement à (attrapant Anaïs par la hanche) toi (lui
faisant un bisou sur le front). Je n’ai
pas un long discours à faire (rire), les grands ne parlent pas beaucoup (rire
général).
Anaïs s’est détachée
de moi pour aider Astrid à remplir les plats. Mya ne me quittait pas du regard,
à un point où Anaïs l’a remarqué, elle n’est pas du genre à faire des problèmes,
mais je sais que j’aurais un interrogatoire bien serré (rire) peut-être pas tout
de suite mais ça viendra. Après le gâteau, nous sommes allés en boîte, disons
une discothèque (rire). Je n’ai pas voulu me défaire de ma go (rire), déjà
parce qu’elle m’a manqué, et aussi et surtout parce que je ne voulais pas
donner d’occasion à Mya de se rapprocher.
Mais bon, c’était seulement un vœu. Etant donné qu’aussitôt Anaïs,
Astrid e Adrien ont rejoint le podium, Mya est venu près de moi, trop près même
à mon goût.
Moi (me
reculant) : wow wow, tu fais quoi ?
Mya : je
m’assois c’est tout (se touchant les cheveux) depuis quand tu me fuis toi
Moi(gêné) :
Ma copine est à deux pas Mya
Mya (s’en
foutant) : et alors ? ça ne te gênait pas autrefois à ce que se sache
Moi
(m’ajustant) ; c’est cela Mya, c’est cela, c’est (appuyant sur le mot)
AUTREFOIS
Mya (s’asseyant
convenablement) : Du calme Gary, je te taquine
Moi (rire
nerveux) : avec toi on ne sait jamais, je préfère être clair, si je ne
l’ai pas été jusqu’ici (Ton Ferme) J’aime cette fille (regardant Anaïs), et
(souriant) je chérie trop la relation que j’ai avec elle, c’est quelque chose
de (cherchant le mot), hum, comment te dire, c’est spécial et magique en même
temps. (Pause) Elle ne se sait pas pour ton passage dans ma vie, ou oui peut
être J’ai une fois mentionné avoir eu un plan cul comme ça en passant. Mais
elle ignore ton identité et qu’on a gardé contact. Donc
Mya (m’interrompant) :
Donc c’est cela ? Je suis juste un plan cul ?
Moi
(étonné) : euhh ?
Mya
(choquée) : je m’attendais à ce que tu me dises quelque chose du genre une
bonne amie, ou alors je ne sais pas.
Moi
(surpris) : tu l’as dit toi-même l’autrefois Mya. Et euh. Pour Anaïs tu
seras une connaissance, rien de plus.
Mya (jouant
la fille dure) : Bref ! Laissons tomber. (Silence). Et non je ne vais
pas m’interposer entre ta geek et toi (fixant Anaïs) tu es tombé bien bas là
Moi :
Pardon ?
Mya :
pffff (se levant) je vais aller m’amuser, c’est bien pour ça que nous sommes venus
ici norr ?
Elle a
rejoint les autres sur la piste, je suis resté là à admirer ma go comme un
idiot (rire). Aussi parce que je ne sais pas danser (rire), je préfère
regarder. Vers 5h40 On regagnait les
maisons, je suis allé déposer Rémi et Adrien à la gare, Mya est rentréE avec
Astrid. Anais et moi avons rejoint le chez elle, un T1 qu’elle occupe dans une
cité.
Moi (coupant
le contact) : Merci bébé (la fixant) Merci pour tout
Anaïs
(heureuse) : ce n’est rien
J’ai capturé
ses lèvres en l’embrassant un bon coup avant qu’on ne regagne sa chambre.
J’étais crevé et visiblement elle aussi. Je suis allé me débarbouiller le temps
qu’elle range quelque truc, on s’est endormi vers 6h30 l’un dans les bras de
l’autre (soupirant d’aise) ça fait du bien tout ça.
Cette fille
est spéciale, et je l’ai rencontré au bon moment. Elle fait partir des rares
filles de 24 ans qui savent ce qu’elles veulent. Ses actes sont réfléchis, bien
trop parfois (rire), et j’aime ça. Elle sait exactement quand faire quoi. Anaïs
c’est le genre de fille qui au réveil organise sa journée et s’en tient à son
programme. Ecole, boulot comme maison elle assure. Avec elle j’ai des
discussions, on ne parle pas seulement d’amour, ou de relation non, on a des
discussions de culture générale, et j’apprécie le fait qu’elle ait des points
de vue, et surtout n’hésite pas à demander quand elle ne connait pas. (Souriant).
Ce qui me rend encore plus fou d’elle, c’est qu’elle me donne ma place, avec
elle JE SUIS l’HOMME, sans effort, c’est naturel (rire). Je pourrais passer des
heures et des heures à vous dire tout ce que j’aime chez cette fille
(souriant).
Le matin,
enfin quand on s’est réveillé vers 14heures, j’ai eu droit au petit déjeuné au
lit (rire).
Anaïs (me donnant
le plateau) : Pas de taches sur mon lit stp
Moi
(souriant) ; à vos ordres chef (rire) Si c’est comme ça, il faut tomber malade
chaque week-end stp
Anaïs :
C’est ça même, uniquement parce que c’est ton anniversaire hein
Moi (me
prenant la grosse tête) : C’est ce que tu as dit l’autre fois (souriant)
Anaïs
(rire) : la fois-là tu étais malade
Moi
(dégustant) : c’est ce que je dis, il y a toujours une raison pour que tu
me mettes bien
Anaïs (me
fusillant du regard) : Ah bon hein
Moi (ne la
calculant pas) : Merde c’est mal bon (rire)
Anaïs (allant
aux toilettes) : tsssuiippp
Moi (la
taquinant) : je mange c’est toi qui chie ?
Anaïs (depuis
les toilettes) : Nkomo respecte moi hein
J’ai éclaté
de rire, (toussant) je me suis même étouffé. Elle a une façon de prononcer mon
nom cette fille (rire). J’ai fini de
manger, j’ai de suite nettoyer mon plat en le rangeant, en sortant des toilettes,
elle a fait un tour dans la pièce et m’a rejoint sur le lit avec un paquet
Moi (le
prenant) : c’est quoi ?
Anais (me
regardant) : à toi de découvrir
A
l’intérieur, des manchettes pour chemises, assorties avec un nœud papillon, les
deux retouchés au pagne. C’était tellement beau (sourire), je lui ai fait un énorme
bisou, suivi d’un câlin (rire).
On s’est
embrassé à nouveau c’était tendre, doux. D’un mouvement de la main jai posé le
paquet sur le meuble qui lui sert de table de chevet. En revenant, ma main a
fait un tour sur sa poitrine dont les tétons se présentaient gentiment à moi
dans le débardeur qu’elle avait. Je les ai pressés, en accompagnant d’un
mouvement circulaire sur les tétons avec mon pouce. Le son de nos respirations
et les battements de nos cœurs m’ont laisser croire que je pouvais continuer.
Dans le même élan, je lui ai caresser la cuisse, qui n’était que peu
recouverte, son short me donnait accès facile à son inimité où j’ai glissé ma
main. Elle s’est ajustée pour me faciliter la tâche, je l’ai poussé légèrement,
l’obligeant ainsi à se coucher sur le dos, et moi au-dessus d’elle. Mon troisième pied n’a pas ardé à réagir, il
s’est fièrement dressé, butant ainsi sa cuisse
Anaïs
(gardant nos lèvres collées) : wow !
Moi
(souriant) : Ce n’est rien
La chaleur de
nos corps montait de plus en plus. Elle s’est débarrassée de son débardeur, et
moi de mon short, en dessous duquel mon bermuda. Toujours en l’abrassant, je
lui caressais l’entre jambe avec douceur, elle se laissait faire en me guidant
de ses hanches. Je n’ai pas tardé à me frayer un chemin jusqu’à l’entrée de mon
bonheur, où j’ai présenté l’index, question de vérifier le terrain, tout en
gardant mon pouce sur son clitoris
Anaïs
(haletant) : Arrête Bébé (dégageant ma main) arrête (triste) Désolée
Je me suis
redressé sans rien dire. Ce n’est pas la première fois que ça arrive
(soufflant) ah oui je ne vous l’ai pas dit, Anaïs est vierge, oui vierge
(sourire). Je suis en sevrage depuis longtemps, très longtemps même. Elle ne se sent pas prête, je ne vais pas la
forcer, mais (soufflant) ça devient dure, très dure même. C’est l’une des
raisons qui m’a fait écrire à Mya, mais (pause) je l‘amie trop pour la tromper.
**Unice**
Moi (au
téléphone) : comment ça tu n’as pas pu la voir Nolan ?
Nolan :
Elle n’est pas là, ekiéé
Moi (en
colère) : Tsuiippp, c’est ce qu’elle t’a dit ou bien tu es parti chez
elle ?
Nolan
(soufflant) : Nice ? Elle n’est pas là je te dis. Ça ne sert à rien
de crier, de toutes les façons elle va revenir
Moi :
Quand ? Moi j’ai besoin de sous, Nolan. Je ne roule pas sur l’or moi.
Nolan ;
tu n’es déjà pas sure qu’elle va mordre à l’hameçon, encore mois que ton plan B
va marcher. Pourquoi tu t’acharne ? Tu n’as pas d’autres pistes ?
Parce que là si tu comptes uniquement sur les deux options de Mya (rire
nerveux) laisse moi te dire c’est presque raté hein
Moi :
sauf si tu joues bien la première carte. Nolan vraiment je compte sur
toi !
Nolan :
je ne te promets rien mais, ok.
Moi :
Ok , Clic.
Pfff. C’est
ça, tu ne me promets rien alors que c’est pour nous deux que je fais ça. Certes
moi beaucoup plus, mais chacun à sa part dedans. J’ai fait les 100 dans la
maison, à réfléchir comment j’allais m’y prendre. (Prenant place sur le lit).
Mya et moi ne sommes plus très proches, on e l’as jamais été d’ailleurs. Je traînais avec elle seulement pour ses sous, et aussi parce qu’elle me donnait les clients sans le savoir. Marcher avec elle c’était comme distribuer ma carte aux potentiels clients. Les milieux qu’elle fréquente m’étaient favorable. Mais depuis le clash, pff, plus rien. Si seulement Nolan avait été un peu futé c’est qu’on en serait pas là. Lui aussi mangeait grâce à elle. Donc là, c’est chaud de son coté et du mien. Si notre plan marche Madame l’héritière n’aura que ses yeux pour pleurer, tsuiip. Avec tous les problèmes que j’ai là, elle me croyait vraiment capable de me taper son mec ? Nolan ? Un pauvre parasite comme moi ? C’est mal me connaitre. Qu’elle se tienne bien, par ce qui va suivre ! hum ! (Tapant du pied) ça a intérêt à marcher.