Chapitre 44 : l'ange de la mort.

Ecrit par Dele

Ma famille, ma perte.

Chapitre 44 : l'ange de la mort.

Jamal viendra me chercher tout à l’heure pour l’aéroport. C’est aujourd’hui nous voyageons.
Maman m’a aidée à trouver un cadeau pour chaque membre de la famille HAMZA. Elle n’a pas oubliée de faire un gros colis pour son fils qui est déjà là-bas depuis deux mois déjà. Ce dernier nous a annoncé il y a peu qu’il a réussi au contrôle de niveau. Grande a été notre joie. Tout ça grâce à Jamal. Je lui serais éternellement reconnaissante.

Maman m'a beaucoup conseillée sur comment me comporter là-bas. Je dois gagner le cœur de mon beau père en étant naturelle et vrai. Ma future belle-mère est déjà fan de moi. Elle et moi avions parlé il y a trois jours. Elle a hâte de faire ma connaissance. C’est ma coépouse (grand-mère de Jamal) que je n'ai pas encore eu la chance d'avoir au téléphone.
Jamal était venu parler avec ma mère comme il me l'avait promis mais il refuse de me dire de quoi ils ont parlé. Maman aussi ne m'a rien dit par rapport à leur tête à tête.

Annah m'aide à faire sortir la dernière valise au salon. Je porte mes chaussures quand elle reviens m’informer qu'il est là. Je sors le rejoindre au salon où il est entrain de discuter avec maman. Cette dernière nous donne sa bénédiction pour le voyage et nous prenons départ pour l’aéroport.

Jamal : tu es belle chérie.

Moi : (lui faisant un smack) tu n'es pas en reste non plus mon roi.

Nous discutons gaiement jusqu’à l’aéroport. Nous montons dans le jet et retrouvons Ivana déjà installé.

Ivana : bonsoir.

Jamal et moi : bonsoir.

Jamal me prend la main et nous allons nous asseoir en continuant notre discussion.

Depuis le jour où j'ai vu son vrai visage, c’est la première fois qu'on se rencontre. Ça fait mal que quelqu’un que tu avais déjà considéré comme un membre de ta famille, comme une sœur devienne comme un inconnu pour toi dans des circonstances pareilles. J'aurai tellement aimé qu'elle m’ait dite la vérité avant que je ne la découvre moi-même.

Le voyage est long mais avec mon chéri à mes côtés je n'ai pas vu les heures passés. Nous n'avions échangés aucun mot à part le bonsoir Ivana et moi jusqu’à ce que le jet atterrisse.

Le cortège de la famille HAMZA nous attendais à notre descente.

Jamal : (s'adressant à Ivana) l'une des voitures va te déposer chez toi. Je t'appelle après pour la rencontre.

Ivana : d'accord. Dit-elle avant de s'engouffrer dans la voiture.

Nous montons dans notre limousine et direction la demeure des HAMZA. J'avoue que j'ai hyper peur. Plus on s'approche, plus mon anxiété augmente.

Jamal : Miracle calme toi tout va bien se passer. Ils ne vont quand même pas te manger. On entend ton cœur battre à des kilomètres. Quand je te vois débattre pour un projet au boulot ou face à un client, je peine à croire que tu es aussi pereuse.

Moi : ce cas précis est différent.

Jamal : mon pénis aussi est un cas différent ?

Moi : (riant) oh que oui ! Très différents même. Mais c'est où le rapport ?

Jamal : prrrrrrrr. Tu sais que tôt ou tard on le fera non ?

Moi : oui.

Jamal : une fois à la maison donc ? Je n'arrive plus à me retenir je te jure Miracle.

Moi : ne profite pas toi aussi. Dis-je en riant.

Il continue de me taquiner jusqu’à ce qu’on franchi la demeure de la famille HAMZA.
Moi qui disait souvent que la résidence de Jamal à Cotonou est grande, celle-ci est un château. La bâtisse est vraiment impressionnante. Des domestiques sont sortir nous accueillir. Nous rentrons dans un vaste salon bien décoré avec soin et goût. Il y a des portraits de la famille HAMZA accroché au mur.
Jamal m'installe dans le salon et appelle un des domestiques.

Jamal : où son mes parents ?

M. HAMZA Akil : je suis là. Dit-il en descendants les escaliers.

Je me lève et reste debout jusqu’à ce qu'il arrive à notre niveau. Il prend son fils dans les bras et me sert la main.

Jamal : papa je te présente Miracle ma compagne. Miracle voici mon père.

Moi : bonsoir Papa.

M. HAMZA : hummm !  bonsoir. Dit-il en me regardant des orteils jusqu'à la tête et vice versa.

Ah ça ! Quel accueil ! Même pas soit la bienvenue. Dis-je intérieurement.

Jamal : où sont passés maman et grand-mère ?

M. HAMZA : elles sont partir aux funérailles de Monsieur Anderson. Elles ne vont plus tarder.

Jamal : ah OK. Nous allons monté nous changer. À tout à l’heure. Dit-il en me prenant la main.

M. HAMZA : je voudrais te voir dans mon bureau.

Jamal : d'accord. Laisse-moi aller installer Miracle.

M. HAMZA : à tout à l’heure. Dit-il en prenant la direction de la sortie.

Nous prenons les escaliers qui mènent à l’étage. Je contemple chaque décor de chaque coin de cette maison et j'en suis vraiment émerveillé.

Jamal : ça va chérie ? Demande t-il en me faisant un câlin une fois dans notre chambre.

Moi : oui. Je suis juste fatigué. Dis-je en m'affalant sur le lit.

Jamal : (se déshabillant) allons prendre un bain. Tu seras plus détendu.

Moi : vas-y d'abord. On ne va pas sortir tôt si je te rejoins alors que ton père te demande.

Jamal : d'accord madame.

Il va se rafraîchir et part rejoindre son père. Moi je rentre dans la salle de bain en priant pour que tout se passe bien.

                                   
                **** Jamal HAMZA ****

Je parts rejoindre mon père dans son bureau comme il me l’a demandé. Nous parlons d'affaires et de certains problèmes familiaux pendant une heure et demi environ.

Moi : bon je vais aller retrouver Miracle. Elle va se sentir seule. On se reparle plus tard.

Papa : Jamal tu es sûr que c’est avec cette fille que tu veux te mettre en couple ?

Moi : on est déjà en couple papa et je voudrais que tu sois courtois envers elle quand vous allez vous retrouver tout à l’heure. Tu as toujours respecté mes choix et je voudrais que tu fasses pareil pour ceci.

Papa : tu ne trouves pas que c'est trop tôt de l’avoir amener avec toi ? Tu sais comment fonctionne ce pays et le respect que les gens témoigne à notre rang social. Les paparazzis t'on déjà sûrement repérés à ta descente à l'aéroport et ils se poserons sûrement des questions sur celle qui t'accompagne. Que leurs diras-tu ? Ils vont vouloir creusé dans sa vie et qu’est-ce qu'ils découvriront ? Ce passé lourd qu’elle a ? Jamal ne détruit pas tout ce que j'ai pris toute ma vie à construire. Quand les paparazzis vont s’intéresser à la vie de cette fille, les commentaires ne vont pas me plaire. Je ne veux pas que l'image de ma famille soit entaché. Si c'est par pitié que tu es avec elle à cause de son passé alors….

Moi : (l'interrompant) je ne suis pas avec elle par pitié papa. Elle s'appelle Miracle et non cette fille. Elle est mon choix Père. Depuis que j'ai commencé ma relation avec elle j'ai commencé à avoir une certaine stabilité et sagesse dont je ne me croyais pas capable. Cette fille m'apporte la paix et la joie dont j'ai besoin au quotidien. Oui ça ne sera pas facile je le sais mais on va y arriver elle et moi et je compte sur toi pour être de mon côté. Notre côté. Elle et sa mère n’ont pas désiré ce qu'elles ont vécu. Elles ont été les victimes du machiavélisme de toute une famille.

Papa : j’ai fait mes propres enquêtes et je suis au courant de ce qu’elle ont vécu mais leurs passés ne viendra pas détruire mon présent ni mon future Jamal. Tu peux encore changer d’avis tu sais ? Tu as déjà fait beaucoup pour cette fille et sa famille. Tu as inscrit son frère à HARVARD. Seulement pour ça elle doit être reconnaissante à vie pour

Moi : ça suffit papa. Tu es libre de la considérer comme ta future belle-fille ou pas mais sache que mon choix est fait et je te prie de la respecter.

Je me lève et sors de son bureau tout remonté. Je n’arrive pas à croire que mon père se soucis plus de son image que de mon bonheur. Je m'en fous des paparazzis et autre. Le plus important c’est mon bonheur. Ma paix intérieure.

Ma mère : le seul et unique mari que Dieu m'a donné est là oh ! Dit-elle en franchissant le seuil du salon.

Je vais à sa rencontre et la prend dans mes bras.

Moi : l'amour de ma vie. Comment vas-tu pour moi ? Dis-je en lui baisant le front.

Grand-mère : l'amour de ta vie hein et moi je suis qui donc ?

Je lâche ma mère et vais carrément porter ma première femme jusqu’à son fauteuil. Ces deux femmes se chamaillent à chaque fois en ce qui me concerne. Elle sont juste adorables.

Moi : (lui faisant un gros câlin) c'est toi qui détient mon cœur tu sais non ?

Grand-mère : hum c’est ça, flatte moi bien. Ta Mirabelle ou Mi Mi, euh comment elle s'appelle déjà ?

Moi : Miracle elle s'appelle.

Grand-mère : voilà. Miracle a déjà pris ma place et tu es là a me flatter. D'ailleurs elle est où pour que je lui fasse comprendre que c'est moi ta première femme. Faut pas qu'elle pense que tu es tout a elle.

Ma mère : oohhh les amoureux excusez-moi où est ma belle-fille ?

Moi : (me levant en prenant soin de faire un gros bisous à ma première dame) je viens je vais aller la chercher.

Ma mère : d'accord. J'irai me changer en attendant.

Grand-mère : j'espère qu'elle est jolie en vrai. Façon les photos mentes aujourd’hui. Ahhhh !

Moi : ne t'inquiète pas. Elle est belle comme sur les photos.

Je monte en chambre et retrouve Miracle endormie. Son jolie petit visage d'ange la rend encore plus belle endormie. Je peux passé ma journée à la regarde dormir. Je ne peux même pas dire ce que j'aime en particulier chez elle ou pourquoi je l’aime. Je n'arrive pas à me l'expliquer. J'aime tout en elle.
Comme à chaque fois c'est avec des bisous que je la réveille.

Miracle : (s’étirant) tu es revenu ?

Moi : (lui faisant un smack) oui chérie. Tu t'es un peu reposé ?

Miracle : oui. (Dit-elle en me fixant de ses petits yeux marrons qui fait batte mon cœur) Je t’aime chéri. Dit-elle en se blottissant contre moi.

Moi : moi plus mon petit cœur. Maman et grand-mère sont de retour. Elles veulent te voir.

Miracle : ok. Laisse-moi me débarbouiller et on y va.

Elle rentre dans la salle de bain et sort une dizaine de minutes plus tard. Je me demande souvent ce qu'elle fait dedans  et elle prend autant de temps à chaque fois. Hum les femmes.

Nous descendons dans l'un des petits salon et je demande au major d'homme d'aller le notifier à mes deux dames.

Elles ne prennent pas trop de temps avant de nous rejoindre.

Ma mère : (venant vers nous) mais qui voilà ? Dit-elle à l'endroit de Miracle le sourire au lèvre.

Miracle se lève et répond à son sourire.

Ma mère : (ouvrant les bras une fois à sa hauteur) vient dans mes bras ma fille.

Miracle ne se fait pas prier et va se blottir dans ses bras mais après quelques secondes ma mère tique et se détache d'elle en la tenant par les épaules tout en la fixant droit dans les yeux. Les expressions sur son visage change au fil des secondes. Elle la repousse brusquement et s'éloigne d'elle.

Ma mère : c'est elle ta Miracle ? La Miracle avec laquelle tu es en couple ?

Moi : oui. Il y a un problème ? Pourquoi tu l’as repoussé comme ça.

Ma mère : Jamal tu ne peux pas rester en couple avec cette fille. Dit-elle avec le ton le plus sérieux.

Moi : (confue et perdu) qu’est-ce que tu dis maman ? Dit moi ce qui se passe. Qu'est-ce que tu lui reproches ? Tu es celle qui me mettais la pression pour que je l'amène te rencontrer.

Ma mère : met fin à votre relation et qu’elle quitte ma maison dans les minutes qui suivent.

Moi : (me levant) pardon ?

Elle tourne les talons et quitte le salon le pas pressé. Ma grand-mère qui était debout devant la porte et qui suivait la scène depuis le début s'avance tout doucement vers nous. Je vais prendre Miracle dans mes bras qui tremblote presque.

Grand-mère : (prenant Miracle dans ses bras) soit la bienvenue ma fille.

Miracle se contente d'hocher la tête. Je la connais et je sais que si elle va devoir parler elle va fondre en larme. Ce que je ne voudrais pas.

Moi : mémé je peux savoir ce que maman a ?

Grand-mère : ramène la dans la chambre où dans le jardin pour qu'elle se détend et reviens me voir après.

J’obéis en entraînant Miracle dans le jardin. Dès que je la prend dans mes bras ses larmes commencent a coulé. Je me sens tellement mal pour elle. Sa mère m'a toujours accueilli avec respect et amour à chaque fois que je vais chez eux et à mon tour de l’introduire chez moi voici ce à quoi elle se confronte. D'abord l’accueil froid de mon père et ce comportement brusque de ma mère.

Moi : shut pleure plus ça va aller.

Miracle : (reniflant) snif snif qu'est-ce qui vient de se passé ? Elle était tellement contente de me voir et une fois dans ses bras je ne sais pas ce qui s’est passé pour qu’elle me repousse comme ça. Je n'ai pas une odeur corporelle ni

Moi : shut, tu es parfaite chérie. Tu n'as aucun défaut ni quoi que ce soit.

Miracle : tu m’expliques alors ce qui s’est passé tout à l’heure ? C'est ton père qui était contre notre relation voilà que ta mère demande carrément que je quitte sa maison sur le champs. Snif snif (renifle t-elle) qu’est-ce que je fais ?

Moi : tu ne fais rien. On va monter en chambre, tu vas essayer de te calmer et j'irai discuter avec ma grand-mère puis je te reviens d’accord ?

Miracle : ok. Mais ne dure pas trop. Je ne connais personne ici et si en ton absence ta mère me mettait à la porte je ne saurais où aller.

Moi : ça n'arrivera pas de mon vivant. On a franchi le seuil de cette maison ensemble, nous la franchiront ensemble mains dans la mains pour ressortir.

Je lui baise le front et l’accompagne dans la chambre. J’essaie de la calmer un temps soit peu puis je descend rejoindre ma grand-mère dans sa chambre.

Je me pose des questions sur l'attitude de ma mère et je ne trouve qu'une seule explication à ça. Elle a sûrement eu des visions sur Miracle.

Ma mère et ma grand-mère vienne d'une longue lignée de voyant. C’est un don qui est transmis à tout les premiers né féminin de leurs familles. Ma grand-mère est fille aîné de même que ma mère. Étant l’aîné de ma mère, si j’étais une femme, j'allais avoir ce même don.

Chaque femme qui a ce don chez eux à une manière propre à elle d’avoir des révélations. Ma mère elle, c'est quand elle a de contact corporelle avec quelqu’un qu'elle a ses visions. Même quand elle t'éffleure légèrement, elle voit tout en toi comme un livre ouvert. Ma grand-mère elle autre n’a pas besoin d'avoir de contact corporelle avec quelqu’un avant d’avoir des visions sur elle. Il faut Juste qu'elle fixe la personne et le tout est joué. C'est indépendamment de leurs volontés.

Je suis sûr qu'elle a vu quelque chose chez Miracle, mais qu’est-ce qui est la chose qu'elle a vu d’aussi grave pour qu’elle se comporte de la sorte ? Ma mère est la femme la plus accueillante que je connaisse  comme la mère de Miracle.

Il faut que ma mémé me dise ce qu'elle autre a vu. Je suis sûr qu’elle aussi a eu des visions sur Miracle. La manière dont elle était en retrait en dit long.

Moi : (m'asseyant face à elle) mémé je suppose que maman a eu des révélations sur elle.

Mémé : oui et ta mère a raison de te demander de mettre fin à votre relation. C'est la meilleure des choses à faire mon fils.

Moi : mais que me dis-tu là ? Grand-mère je l’aime. J’aime cette fille. Je ne peux pas la quitter. Je suis désolé je ne peux pas.

Mémé : tu peux et tu dois mon fils. Nous ne voulons que ton bien.

Moi : dis-moi clairement de quoi il s’agit.

Ma mère : oubli juste cette fille avec son malheur et reste vraiment loin d’elle. Dit-elle en venant prendre place à côté de sa mère.

Moi : vous allez m'expliquer à la fin ce qui se passe ?

Ma mère : c’est une question de vie ou de mort Jamal. Je ne veux pas te perdre tu es mon seul garçon. Mon unique fils. Il y a plein de jeune fille belle, intelligente, de bonne famille que je peux te présenter et tu vas faire ton choix. Ramène moi une prostituée même je la préfèrerai à cette fille.

Moi : maman !

Ma mère : j'ai dit que je ne veux plus voir cette fille chez moi. Elle n'a qu’à remballer ses affaires en même temps. Elle ne passera pas la nuit ici.

Moi : tant que vous ne me dites pas clairement ce qu’il en ait, elle ne bougera pas de cette maison. Je ne suis plus un enfant. J'ai déjà trente ans. Trente putain d’année. Dites-moi ce que vous avez contre elle où je parts avec elle de cette maison et vous ne me reverrez plus jamais.

Mémé : ne sort pas de telle chose de ta bouche. Cette fille est une morte ambulante.

Moi : tu peux être plus claire ?

Ma mère : Miracle n’est plus vierge spirituellement. Son oncle l'a plusieurs fois couché spirituellement quand elle était plus jeune. Elle-même n'en est pas consciente. Il ont pris tout ce qu'elle a de bon pour faire des sacrifices. C'est parce qu'elle est sous la protection de Dieu qu’elle est toujours en vie. Tout homme qui la couchera dans la vie réel mourra c’est irrévocable. Dieu merci vous n’aviez pas franchi le pas. Sort la de ta vie je t’en supplie mon fils.

Moi : c'est quoi cette histoire ?

Mémé : elle ne pourra jamais avoir d'enfant et ses jours sont comptés sur terre. Elle est dans les ténèbres profondes. Je suis désolé mais tu dois écouté ta mère. Elle est comme l'ange de la mort pour tout homme qui va l'approcher intimement.

Je reçois cette révélation comme un coup de massue. Mon monde vient de s’écrouler. Ma Miracle à moi ? Non ce n’est pas possible. Je suis entrain de faire un cauchemar sûrement. Pincez-moi s'il vous plaît. Je veux me réveiller et avoir la certitude que c'est un mauvais rêve. Je n'arrive pas à le croire. Ce n'est pas vrai. Comment c’est possible ? Pas content de les avoirs fait souffrir, ils lui ont gâché la vie ? Oh mon Dieu ! Je sais que ma mère ni ma grand-mère ne me mentent pas. Elles n'ont jamais vue faux chez les gens. Mon Dieu pas ça. Elles ont déjà tellement souffert. Comment dire la vérité à Miracle ? A sa mère ? Cette dernière a déjà traversé tellement de choses. Seigneur ! Comment vais-je m'y prendre ?

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Bonne fête de la Saint Valentin à tous et bon début de week-end. ❤️ Sur vous mes amours. ????????????????

Ma famille, ma perte...