CHAPITRE 5
Ecrit par Smumu
Chapitre
5 :
** Liza
MERERDES **
Lorsque
le bruit de la sonnerie d’entrée retentit dans la maison, je lève mes yeux vers
l’horloge et il est dix-neuf heure pile.
C’est
donc avec un immense plaisir que je me dirige vers la porte d’entrée pour
accueillir mes invitées.
j’adore
que tout le monde soit toujours à l’heure de ce fait, lorsque j’ouvre la porte
tout le monde est là sur le seuil de la porte à croire qu’ils se sont donné le
mot pour tous arriver à l’heure et au même moment.
Enfin
presque tous car il faut toujours que cette imbécilité de Isabella se fasse
désiré alors même qu’elle sait que j’ai une sainte horreur des retards.
Moi (embrassant mon fils avec amour) : bonsoir mon chéri, je suis si heureuse
de te voir tu es tout beau
Oliver (souriant) : bonsoir maman, moi aussi je suis heureux de te voir comment
vas-tu maman ?
Moi (souriante) : chaque fois que je te vois chéri mon humeur s’améliore
Oliver : tu es magnifique maman
Moi : merci mon chéri. À ce que je vois ton épouse n’est pas encore là, toujours
à se faire désirer celle-là ! Elle ne changera donc jamais ?
Oliver (me regardant) : maman !
Moi (levant les yeux au plafond) : oh quoi ? Ne te fatigue pas mon
chéri tu me diras qu’elle avait du travail j’imagine, mais à ce que je sache
elle n’est pas la seule femme sur cette terre à travailler enfin bref où est ma
petite fille ?
Naevia (se précipitant vers moi en trébuchant presque) : je suis là mamie
Moi (soupirant) : ne t’a-t-on pas appris qu’on ne court pas dans une maison petite
fille ?
Comme toute impolie de son état elle ne s’excuse pas toutefois, elle lève les
yeux intimidés vers son père qui lui sourit avant de lui faire signe de
s’excuser.
Naevia (me regardant) : désolé mamie
Moi : bien je préfère mieux ça vient donc me faire un câlin !
Cet enfant a indéniablement pris toute les mauvaises manies de sa mère parce
que mon fils lui, il est un diamant !
Ornella (sarcastique) : bonsoir maman oh ne t’inquiète pas je vais bien je
suis si heureuse que tu m’accueilles avec tant d’amour tes accueils ont
toujours de quoi me rendre heureuse et au fait ma vie roule comme sur des
roulettes pour information au cas où cela t’intéresse !
Moi (fronçant le front) : pas la peine de jouer les intéressantes mon ange
et puis ce ne sont pas là des manières pour s’adresser à sa mère
Ornella : oh parce qu’il y’en a lorsque c’est toi la mère ?
Moi : ne soit pas désagréable !
Ornella : je voulais juste te signaler que tu avais d’autres enfants que
ton tendre et doux Oliver mais ça tu le sais déjà si je ne me trompe puisque tu
nous as portées en ton sein pendant huit mois et demi quoi que cela reste à
vérifier !
Moi : ne dépasse pas les bornes ma petite !
Ornella (me fixant) : elles sont où pour que je les escalade ?
Kimberley (soupirant) : bonsoir maman (me faisant la bise)
Moi (indifférente) : bonsoir Kim
Ornella : tu pourrais mettre un peu plus d’enthousiasme maman tu en es capable
j’en suis certaine !
Ornella
Meredes mon Dieu cet enfant allait me donner des rides en me précipitant dans
une tombe avant mon heure.
Elle
avait cette manie de toujours me provoquer et de constamment mettre un mot ou
elle ne le devait pas rendant de simples situations à des situations
particulièrement gênantes.
Il
faut toujours une brebis égaré dans un troupeau et dans le mien c’était ma
petite dernière heureusement pour moi que mes enfants n’ont pas tous son tempérament
n’empêche que je l’aime vraiment.
Moi (changeant de sujet) : les études ça va ma chérie ?
Ornella (souriante) : ça va maman, j’ai beaucoup de travail et j’adore lorsque
tu fais semblant de t’occuper de ma vie alors même que Oliver est dans les
parages !
Moi (la regardant) : ne raconte pas de sottises ma chérie tu sais bien que
je vous aime de la même manière !
Ornella : oh génial après cet aveu le macabo tolérera sûrement qu’on le mange
cru !
Arnold (me souriant) : bonsoir Liza
Moi (indifférente) : bonsoir Arnold comment vas-tu ?
Arnold :
bien et toi ?
Moi :
bien merci (me détournant de lui) et si on prenait l’apéro en attendant la
reine d’Angleterre ?
Kimberley (murmurant) : ça s’annonce bien.
Trente bonnes minutes plus tard, nous étions tous en train de parler moi plus
avec Oliver et les autres entre eux lorsque la petite insolente décida de faire
son apparition telle cendrillon ayant oublié son carrosse
Isabella (entrant dans la pièce) : bonsoir tout le monde, désolé pour mon
retard j’ai dû faire face à de terribles bouchons.
Cette
mélodie chantante qu’était sa voix avait le don de prodigieusement m’agacer dès
lors qu’elle l’ouvrait sa bouche ; elle était beaucoup plus mignonne
lorsqu’ elle la fermait.
Quand
je pense que mon fils trouve séduisant cette voix acide qui vous donne
l’impression qu’elle est en train de chanter de manière trainante au lieu de
parler normalement par Satan que ne ferons-nous pas pour nos enfants ?
Moi (ton sec) : si tu étais parti du bureau plus tôt tu serais surement arrivé
à l’heure ! De ce fait, épargne nous tes excuses toute faites !
(regardant autour de moi) vu que notre reine du Saba est arrivé nous pouvons à
présent passer à table le diner est prêt.
Elle
ne pipa mot se retournant vers son mari qui vint vers elle et l’embrassa sur
les lèvres avant de s’excuser à voix basse de mon humeur puis elle fit la bise
à tout le monde sans toutefois m’approcher bien entendu
Naevia
(courant vers elle) : maman ! Maman !
Moi (hurlant
presque) : combien de fois vais-je te dire que des enfants bien élevés ne
courent pas dans une maison !
Naevia
(dans les bras de sa mère) : désolé mamie
Moi :
ne refait pas les mêmes bêtises sous prétexte que tu pourras servir des désolés
tout réchauffé la prochaine fois ce sont tes oreilles qui en pâtirons afin que
tu puisses au moins savoir te tenir !
Isabella :
avec tout le respect que je vous dois Liza vous vous adressez à ma fille sur un
autre ton c’est un enfant et pour que les choses soient claires ne vous avisez
jamais de poser la main sur mon enfant !
Moi
(la regardant dans les yeux) : sinon quoi ?
Isabella
(soutenant mon regard) : je perdrai toute patiente et ce ne sera pas beau
à voir car je sais aussi mordre et croyez moi quand cella se produit ça fait
mal !
Moi :
pas étonnant que cette petite soit aussi mal élevé avec une mère pareil
Isabella :
alors là vous dépassez…
Oliver :
et si on passait à table ?
Ornella :
tu devrais prendre le coté de ta femme au lieu de toujours laisser maman lui
faire sentir qu’elle ne peut pas la supporté !
Oliver :
je t’adore sœurette mais mêle toi de tes affaires
Ornella :
un moment arrivera ou tu devras choisir ton clan ta femme et ta fille ou ta mère
Oliver :
Ornella !
Ornella
(à Isa) : n’attache aucune importance ce serait une autre femme qu’elle se
comporterait pareil pour elle, il n’existe aucune créature digne de son
bien aimé fiston !
Moi :
ne te mêle pas de cela Ornella j’ai le droit de reprocher ma petite fille ma
maison mes règles (regardant Isabella) et si pour l’apprendre à les respecter
je dois utiliser autre chose que des mots je le ferai !
Isabella :
essayez donc et vous me découvrirez Liza !
Pendant
quelques secondes cette effronté et moi nous affrontâmes du regard à croire
qu’elle avait mangé du lion durant la journée c’était bien la première fois
qu’elle osait me tenir tête ce qui m’énerva d’avantage fut le fait qu’elle le
faisait devant tout le monde d’autant plus que je dus renoncer pour me conduire
en bonne hôte.
Elle
ne perdait vraiment rien pour attendre elle allait regretter cet affront. Oser
me manquer de respect dans ma propre maison non mais vous avez vu ça ou ?
Après
ce léger moment gênant, tout le monde me suivi dans la salle à manger ou bien évidement
j’avais mis les petits plats dans les grands comme à chaque fois que je reçois.
J’aime
le luxe et la classe ce qui veux dire qu’il n’est absolument pas question que
tout ne soit pas parfait.
Claire
ma dame à tout faire s’étant occupé de tout comme à son habitude j’ai juste eu
à mettre ma touche finale et à valider le reste.
Mes
employées me connaissent j’aime quand tout est carré et surtout j’adore avoir
le contrôle sur tout dans toute les circonstances et quand ce n’est pas le cas
ça me rend presque malade. Il n’y a rien de pire pour moi que de me sentir
déstabilisé, perdre le contrôle ah non très peu pour moi.
J’ai
trois enfants que j’aime énormément ceci dit pour mon fils j’ai une légère préférence
ce qui est tout à fait normal car il est mon fils ainé, mon unique garçon et ma
copie conforme oui j’aime mon fils et alors ? Pour lui, je veux le meilleur et c’est tout à
fait normal ce qui veux dire que si je dis que cette Isabella n’est pas celle
faite pour mon fils c’est que c’est vrai il mérite mieux !
Nous
étions tous à table et au menu j’avais prévu une salade de fruits de mer en
entrée, du risotto, du ndolé et des fritures de plantain en plat et pour le désert
j’avais fait faire une tarte aux fraises du fait que c’était le dessert favori
de Oliver.
Mon
fils était assis à ma droite comme à notre habitude tandis que les autres eux
était assis sur le reste de la table à leur place habituelle quoi que même s’ils
changeaient de place cela m’importait peu du moment que mon fils était à mes
coté.
Moi (regardant mon fils) : alors mon chéri ça
se passe bien au travail.
Oliver (me fixant) : oui maman en ce moment, je suis sur un projet qui me
demande beaucoup de temps
Moi : tu es le meilleur. Pense à venir voir ta mère le plus souvent possible elle
se fait vieille
Oliver
(prenant ma main pour déposer un baisé) : je viendrais plus souvent ma
petite maman et tu n’es pas vieille bien au contraire tu es bien conservé
Ornella :
c’est bien connu que la vipère à plus de vie qu’un chat !
Kim
(pouffant) :…
Isabella
(souriant) :…
Arnold
(regardant Ornella) :…
Oliver :
Orné !
Moi :
laisse là elle est en manque d’affection tu devrais te trouver un petit ami mon
ange car à ton âge être amer te garantit un AVC avant tes trente ans
Ornella :
oh ne t’inquiète pas pour moi j’ai un homme dans ma vie et contrairement à
certaine je ne les choisis pas au berceau mais ça ce sont les goûts et les
couleurs !
Moi :
qu’elle malpolie !
Ornella :
peut-être que si tu avais fait mon éducation je le serai moins mais au
lieu de cela c’est Kim qui l’a fait parce que tu étais trop occupé à rendre la
vie impossible à mon père !
Moi :
tu la ferme maintenant Ornella n’abuse pas de ma patiente
Ornella :
colle-moi un scotch sur la bouche si tu en as marre de m’écouter dire la vérité
Moi
(me détournant vers Isabella) : comment trouve tu le repas Isabella ?
Isabella :
très bon Liza merci
Moi :
si bon que tu ne manges que de la salade ? dit moi tu essayes toujours de
perdre tes kilos de grossesse ?
Isabella
(souriante) :…
Moi (regardant
Naevia) : mademoiselle les couverts n’ont pas été inventé pour les chiens
on ne mange pas avec les doigts regarde comme tu en as mis partout, si ta mère
passait plus de temps à s’occuper de toi qu’à travailler tu aurais de meilleures
manières
Kim :
Orné alors ce cursus ?
Ornella
: du travail à revendre en plus, j’ai des examens qui approchent à grand pas
Kim
: t’inquiète ma chérie ça va le faire accroche toi c’est bientôt la fin.
Ornella : ça c’est clair je n’ai pas fait tous ces efforts pour baisser les
bras maintenant
Moi (regardant Ornella) : tu as bien raison ça t’évitera de te chercher un
homme riche car tu te seras faites toi-même de ce côté-là mais bon après s’il est
riche il n’y’a rien de mal à cela tant qu’il te traite avec respect sinon il
aura à faire à moi au moins de ce côté-là ta sœur ne m’a pas déçu !
Kim (agacé) : eh ben merci pour la remarque maman tu as vraiment le don de gâcher
l’ambiance
Ornella :
je me demande même pourquoi on continue à faire ces simagrées de diner en
famille c’est bien mieux chez papa
Moi (regardant Kim) : mais je t’en prie Kim. Tu as passé toute ta vie à faire
des choix discutables c’est bien que je te reconnaisse au moins cette chose de
positive tu ne trouves pas ? Et puis C’est bien la seule que tu aies
réussi dans ta vie. Bref et toi Isabella pourquoi tu es aussi pale tu devrais
plus te nourrir car là, tu as une tête à faire peur un mort.
Oliver (soupirant) : maman Isabella va très bien arrête de l’embêter, elle doit
juste être un peu fatigué
Ornella
(murmurant) : enfin il a une langue pour défendre sa femme je commençais à
désespérer
Moi (à Oliver) : tu es à présent son porte-parole ? Isabella a une langue
que je sache.
Isabelle (souriante) : je vais très bien Liza merci te t’en inquiété
Moi (pouffant) : oh non je ne m’en inquiète pas, du tout c’est juste que tu
pourrais faire peur à une personne dans le noir, faudrait pas que mon fils en
se retournant sur le lit conjugal la nuit ait la frayeur da sa vie.
Ornella :
c’est ce qui est arrivé à papa lorsqu’il s’est rendu compte de qui tu étais
réellement ?
Moi
(la regardant énervé) :…
Le repas a continué dans une ambiance plutôt agréable à part certaines
personnes qui tiraient la tronche va savoir pourquoi et ma petite dernière qui
n’arrêtait de répandre son venin.
Enfin
bref que je sache il n’y’a rien de mal à dire ce que je pense.
Ce n’est
pas de ma faute si mon fils est allé chercher une femme qui ne le mérite pas, j’étais
bien obligé de l’accepter pour ne pas le perdre un jour viendra où je serai
débarrassé de cette Isabella et ce jour, il arrivera très prochainement de
cela, je suis certaine.
J’ai
laissé tomber à l’époque car je croyais qu’il se découragerait mais triste est
de constaté qu’il a fini par l’épouser au point de lui faire un enfant grrrr à
chaque fois que j’y pense cela me donne des migraines.
Et cette petite n’en parlons même pas toujours à faire des caprices pour un oui
ou pour un non, si elle vivait avec moi elle serait aussi droite qu’un I.
**Deux
heures après le diner**
Suite
au départ de la famille Claire et moi avons tout remis en ordre dans la maison
puis je l’ai libéré.
Je
ne préfère pas que claire dorme à la maison du fait que je tiens à mon intimité
et à ma vie privée et comme on dit lorsque les secrets se retrouvent étalé en
plein carrefour c’est que les femmes de ménage ont ouvert leur bouche je préfère
rester prudente et cela peu importe sa loyauté.
Après
son départ, je me suis servi un doigt de scotch avec quatre glaçons puis j’ai
mis YouTube sur la télé et lancé une playlist de musique douce.
J’aime
tout ce qu’il y’a de romantique et à cinquante-quatre ans je sais encore
profiter de la vie.
Profitant
de la bonne ambiance et du calme de la maison je me suis fait couler un bain en
attendant mon dernier invité.
Sriiiiiiiiiii
Moi
(souriante) : j’arrive
C’est
vêtu d’une robe en soie belge et de sandale à talon que je suis allé accueillir
mon dernier invité un verre à la main le tout de manière séduisante.
Lui
(me regardant avec appétit) : bonsoir ma douce
Moi (souriante) :
bonsoir mon lapin
Sans
un mot il me poussa à l’intérieur claquant la porte dans son dos avant de me
plaquer contre le mur le plus proche et de m’embrasser avec gourmandise
Moi :
je te sers quelques choses ?
Lui :
un whisky ma douce
Moi
(le regardant) : des glaçons ?
Lui
(soutenant mon regard) : surtout pas ! Cela détériore le goût
Lui
(prenant son verre en me regardant) : merci
Moi :
le bain est près et n’attend que nous
Lui :
tu sais vraiment ce dont j’ai besoin pour me détendre
Moi (regard
charmeuse) : suis moi
Sans
un mot, il me suit dans la chambre ou je lui tends son peignoir et quelques
temps après nous sommes dans la baignoire nos verres à la main.
Pendant
de longue minute nous avons parlé de tout et de rien rigolant aux bonnes
plaisanteries de l’autre puis, la température changeante de l’eau nous as poussé
à sortir ensuite, nous nous sommes séchés et avant de le rejoindre dans la
chambre j’ai pris l’huile de massage ainsi que les boules de massage dans mon
placards de la salle de bain et je l’ai rejoint dans la chambre ou il
m’attendait nu comme un verre.
Moi
(regard aguicheuse) : que dirais-tu d’un petit massage mon lapin ?
Lui :
je dirai que je suis un homme chanceux ma douce
Moi :
alors met toi sur le ventre et laisse toi faire
Il se
retourne sans aucune opposition et moi, je m’installe au-dessus de lui, lui
versant quelques gouttes d’huile essentielle j’entreprends mon massage en me
servant de boule de massage. Au début c’est un vrai massage mais ça a vite
tourné à la rigolade puis aux jeux sexuel me connaissent, il faut bien car
j’aime la chair fraiche après mon ex-mari il n’était plus possible pour moi
d’avoir des relations avec des hommes de mon âges car il leur manque l’esprit d’innovation
et surtout il se fatigue plus vite et moi j’aime quand le plaisir dure et spécialement
quand celui au-dessus de moi est résistant.
Moi
(m’allongeant sur le dos) : waouh
Lui :…
Moi
(passant la langue sur mes lèvres) : dommage que je doive te partager avec
elle ! Au fait que lui as-tu dis pour qu’elle te laisse sortir ?
Lui :
un document important au bureau
Moi
(souriante) : plus stupide que cette petite tu meurs (lui caressant la
joue) je t’aime mon amour…
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