Chapitre 5

Ecrit par Nessa.Belmonde

Chapitre 5


Comme prévu j’ai eu mon augmentation, j’ai donnée à mes parents pour agrandir la parcelle , acheté des choses qui manque à la maison et rajouté dans nos économies, ils veulent me faire parti en Europe ou en Amérique mais je ne suis pas très enchanté par l’idée , je ne connais personne la bas et ni le pays hormis les langues je préfère que l’un d’eux ou tout les deux partent et ils me laissent ici ensuite peut-être que je pourrais les rejoindre.


Aujourd’hui il fait très beau , j’aime beaucoup cette journée et sa fait du bien car pendant un ans je n’arrivais pas à voir une belle journée .


J’essaie de prendre sur moi , de ne pas en vouloir au monde entier car ce n’est la faute de personne d’autre que de mon agresseur, je ne peut me pourrir la vie à moi même car sa m’étouffe mais je ne peut pas oublié .


Yvette : tient ! Keya qui sourit


Moi : maman Yvette arête je sourit tout le temps


Yvette : non ! Sa fait un bon moment que je ne te voyait plus affiché de sincère jolie sourire Keya


Moi : ..


Yvette : ce qui veut dire tu va mieux


Moi : pas vraiment mais j’essaye de sortir du gouffre


Yvette : assieds-toi


Nous nous sommes installés sur la terrasse du jardin


Yvette : dis moi tout !


Moi : Maman Yvette .. Dis-je en plaignant


Yvette : quelqu’un ta fait du mal ?


Moi : ..


J’ai baise les yeux


Yvette : quelqu’un ta fait du mal .. c’est une peine de coeur ?


Moi : pas du tout .. je .. je me suis fais violé


Yvette : Nzambe n’a bomoyi !!! ( Seigneur ) . Mama pourquoi tu ne m’a rien dit ?! Disait elle en touchant mon visage . Pourquoi tu as gardé sa pour toi hein mama ? Qui ta fait ça ?


Moi : je ne sais pas ..


Je ne voulais juste pas lui dire qui c’était car sa me pesait d’en parlé


Moi : maman Yvette je ne veut juste pas allée plus loin car sa me pèse d’en parlé


Yvette : d’accord, je ne te force pas , quand tu sera prête à en parlé d’avantage je serais là , j’ai bien attendu un ans que tu me parle de ça donc j’attendrai tout le temps qu’il faudra


Nous avons changé de discussion de parlions de la vie , pluie et du beau temps avant de ce quitté , avant de rejoindre ma chambre je voulais allée dans la cuisine quand j’ai entendu deux voix d’hommes, j’ai directement reconnu celle de Bruce


Bruce : Tu par quand à Londres ?!


.. : Je ne sais pas encore .. je ne suis pas pressé tu sais


Bruce : ah ..


.. : Bon c’est pas tout mais je vais aller me couché


Bruce : Bonne nuit Bakari


Je l’est entendu sortir de la cuisine au même moment j’ai foncé dans le couloir qui mène à ma chambre .


L’un des fils de madame est là , je ne connaît que Bruce parmi ses trois fils .


Le lendemain,


Comme d’habitude mama Yvette me trouve à la cuisine dès la première heure


Yvette : tu as déjà préparé le petit déjeuner ?


Moi : c’est sur la table maman


Yvette : c’est bien ma fille . J’ai eu une idée hier , je vais me rendre au Nord Kivu pour un moment tu veut venir avec moi ?!


Moi : c’est à dire que .. je n’ai pas les moyens pour ..


Yvette : Me coupant . C’est moi qui t’invite, et on va la bas pour l’un des garçons il a besoin de moi un peut


Moi : ..


Yvette : en plus j’ai besoin de ton aide , ici ils se débrouillerons avec Prudence et les autres


Moi : d’accord


Yvette : on par dans deux jours , le temps que tu préviennes tes parents et que tu fasse ta valise


Moi : d’accord ..


Yvette : tu verra tu sera bien là bas


Le cour de la journée c’est passé tranquillement , je me suis rendu le soir chez mes parents pour leurs prévenir de mon départ , ils n’étaient pas contre si je partais pour le travail et de plus avec maman Yvette, j’ai dormir chez eux et le tôt le matin j’ai pris la route pour chez mes employeurs.


J’étais dans le cuisine entrain de chercher des menus à faire pour le déjeuner et le dîner quand Bruce est rentré dans celle-ci


Bruce : Salut


Moi : Salut . Dis-je doucement


Bruce : tu as arrêté de fuir ?


Moi : Je ne fuis pas Bruce . Fronçant les sourcils


Bruce : La nuit dernière on t’a entendu mon frère et moi


Moi : ah .. Dis-je gêné


Bruce : pourquoi tu as autant peur de nous ?


Moi : je n’ai pas peur de vous .. je ..


Les mots sont rester sur ma langue car madame Sylvie est rentré dans la cuisine à cette instant


Sylvie : ah Keya ! Ou était tu ce matin ?


Moi : j’ai dormir chez mes parents madame ..


Sylvie : ah d’accord .. s’il te plaît apprend aux autres filles à faire correctement un petit déjeuner avant que tu parte à Kivu avec Yvette


Moi : d’accord madame


Bruce : tu part à Kivu ?


Sylvie : en quoi cela te regarde Bruce ?


Bruce : je lui posait juste la question


Sylvie : la vie des employés ne te regarde pas ! Va t’occuper de ta petite amie qui t’attend au salon ! S’adressant à moi . Tu peut aller leurs servir à boire s’il te plaît ?!


Bruce : C’est bon je m’en occupe .. j’étais venu pour sa de base. Dit-il en ouvrant le frigo


J’étais triste .. Bruce à quelqu’un dans sa vie .. je sais que moi avec le fils de la patronne c’est impossible, je ne suis pas non plus amoureuse de lui mais .. par moment je m’imagine dans ses bras, lui me serrant fort , sentant sont odeur parfumé et ses muscles autour de moi . Oui je me suis déjà imaginé comme ça quelques fois mais c’est une image que je chasse vite dans ma tête car pour lui je ne dois que être là simple bonne avec qui il est courtois . Voilà une bonne raison d’effacé une once de possibilité.


Le soir après avoir tout ranger à mon habitude je suis parti préparer ma valise et j’ai décidé le lendemain d’aller voir Cindy , vu que mes employeurs mon laissé une journée de libre avant de partir .


Cindy : tu revient vite j’espère


Moi : oui Cindy , je ne par pas m’installer là bas


Cindy : dans tout les cas on va s’appelé


Moi : mais bien sûr


Cindy : ooh tu va tellement me manquer


Moi : Cindy arrête je par que pour un petit moment


Cindy : mais s’est jamais séparée sa fait tout bizarre pour moi


Moi : oui c’est vrais que mes parents et toi je ne vous ai jamais quitté


Cindy : tu voit !


Moi : mais il faut un début à tout et puis maman Yvette va très bien prendre soins de moi ne t’inquiète pas


Cindy : mais vous partez chez qui la bas ?


Moi : je ne sais même pas .. mais il semble que mes employeurs on une villa la bas mais qu’est-ce que on va faire la bas exactement je ne sais pas


Cindy : profite a te reposé


Moi : je n’ai pas rien faire


Cindy : c’est sa ton problème


Moi : bah écoute je suis payer pour travailler pas pour rien faire


Cindy : oui mais même quand tu ne travail pas tu travaille quand même


Moi : orh Cindy . Dis-je en me levant


Je lui ai laissé un billet de cinquante dollars pour l’aidé avec sa grand-mère, elle a refusé mais j’ai insisté avant de partir .


Le lendemain nous avons quitté très tôt avec maman Yvette . Arriver à l’aéroport c’était la première fois que je rentre dedans c’est tellement immense .. et toutes ses personnes qui court à gauche et à droite, les micro sonore etc .. y a tellement de bruit et de monde , des personnes qui se prennent dans les bras , des personnes qui pleurent , des enfants courant ou pleurant , c’est un mélange de sensation .

Maman Yvette voyant que je suis intimidé par tout ceci elle m’a pris ma main en me dirigeant partout où elle partait . Quand nous avons emprunté le couloir pour rentre dans l’avion je commençais à être stressé, j’ai lu beaucoup d’histoire sur des crash aérienne et même un de plus grand crash aérien au Congo qui a traumatisé tout le monde celui de zigida, quand ma mère me racontait cette histoire j’en avait la chair de poule , pas grand monde à été épargné .

Dans l’avions j’ai eu peur dès qu’il a décollé . Maman Yvette me tenait la main et me disait de ne pas avoir peur .

Nous avons quitté Kinshasa à huit heures et à treize heure nous avirons enfin devant le portail de la domaine des Bobomblé , puis on avançait à l’intérieur avec la voiture et je voyais que leurs maisons à Kinshasa n’est rien comparé à celle là , elle est juste magnifique !! Très grande, elle pose une très grande verdure, la maison est très vaste et toute blanche ainsi que moderne .

Quand nous sommes sorti de la voiture un monsieur est venu prendre nos valises


Yvette : Boni Francis cava ?! ( Bonjour Francis , cava ?! )


Francis : Bien madame ebongo bino kuna ( Je vais bien madame , et vous tous aussi ? )


Yvette : On va bien merci . Je te présente Keya , une jeune fille très gentille qui nous a rejoins il y’a maintenant deux ans , je l’ai ramené avec moi pour qu’elle puisse m’aidé ici


Francis : bonjour ma fille


Moi : Bonjour ..


Yvette : ou est Bakary ?!


Francis : il vient à peine de sortir


Yvette : ah cet enfant . Bon nous on va se reposé un peut le trajet a été long . Installe les valises de Keya dans sa chambre ainsi que les mienne .


Il est rentré à l’intérieur avec nos valises et nous , nous l’avons suivie avec des pas lent , c’est vrais que je suis fatigué . Quand nous sommes rentré dans la maison nous avons pénétré dans un grand couloir tout blanc avec des carreaux blanc .


Yvette : je suis fatigué ma chéri je te ferais la visite de la maison plus tard


Francis est revenue au même moment


Yvette : Francis tu peut lui montré sa chambre s’il te plaît ?!


Francis : oui madame .


Maman Yvette ma dis de le suivre et je l’ai suivie jusqu’à ma chambre , il a ouvert la porte de cette dernière avant de partir , je lui dis merci doucement avant de pénétrer dans la chambre . Au premier à bord , un grand lit au milieu de la chambre , j’ai pu apercevoir la porte de la salle de bain entre ouvert . Ouf ! Me suis je dis intérieurement, j’ai ma propre salle de bain !

J’étais tellement fatigué, je me suis seulement déchausser et me suis mise directement sur le lit et rejoint très vite les bras de Morphée.


Je ne sais combien d’heures ou de minutes j’ai dormis mais à mon réveil la nuit commençait à tombé. J’espère que sa n’a pas gêné maman Yvette du fait que je m’en dorme aussi long temps , ce n’est pas dans mes habitudes mais j’étais tellement fatigué.

C’est deux petit coup frappé à ma porte qui m’a redressé du lit .


Moi : oui ?


.. : Madame Yvette vous attend dans la cuisine


Moi : d’accord j’arrive tout de suite


J’ai vite courus dans la salle de bain me débarbouiller le visage, ouvert ma valise en furie et je me suis vite changé . En sortant de la chambre je ne savais pas où ce trouver la cuisine , j’ouvrais des porte , je passais dans des couloirs mais je ne trouvais pas la cuisine


.. : qu’est-ce que vous faites la ?! Dit cette voix derrière moi


Moi : heu .. je .. je chercher la cuisine . Dis-je en me retournant


.. : Suivez moi


Je l’ai suive pas à pas jusqu’à dans la cuisine . Cette grande cuisine équipée américaine toute blanche , ils aime le blanc chez les Bobomblé .


.. : elle est là madame


Yvette : ah te voila ! Bien dormis ?!


Moi : oui .. oui ..


Yvette : je ne voulais pas te réveiller tu devait être fatiguer mais là vu que la nuit commence à tombé il faut préparé quelque chose pour Baraki car il ne mange pas après vingt heures celui là !


Moi : d’accord ..


Yvette : il ne va pas tarder à rentré . Je vais arrangé les chambre . Cuisine lui quelque chose ..


Moi : comme quoi ?!


Yvette : des pattes à la bolognaise il aime beaucoup ça


Moi : d’accord..


Je me suis mise tranquillement aux fourneaux à pensé à Bruce avec sa petite amie , moi qui m’était jurée de ne pas y repensé , sa me fais un petit pincement au coeur .


Trente minutes après j’ai mit la table et je me suis éclipsé avant que le patron me voit . J’ai pu comprendre qu’il a pris sont dîner avec maman Yvette, j’ai mangé tranquillement de mon côté dans la cuisine avant de rangé celle-ci et regagné naturellement ma chambre .

Il était une fois Ke...