Chapitre 5

Ecrit par Atchorock

Gloire-kafui APEDOH 

Ça fait deux jours que maman est inconsciente, elle est branchée à plusieurs machines qui sûrement la maintiennent en vie. Quand papa est arrivé le lendemain de son hospitalisation, il a demandé à ce qu'elle soit transférée d'urgence en Israël pour un meilleur suivi mais les médecins affirment que son État n'est pas assez stable pour effectuer le voyage. Mon cœur est au bout de ma langue. J'ai tellement peur qu'on vienne m'annoncer qu'elle s'en est allée. Depuis avant hier je ne suis rentrée à la maison qu'une seule fois, c'était lorsque papa était arrivée.

Étienne  n'a pas quitté non plus l'hôpital. Il suit mes faits et gestes et rend compte à son patron. Parlant de lui, il m'envoie des messages à interval réguliers pour prendre de mes nouvelles. Vous vous doutez bien qu'il Ce soit passé quelque chose entre nous au Caire mais je préfère ne plus y penser. C'est un homme marié et il n' y a aucun avenir pour nous. J'avais déjà envoyé ma lettre de démission par mail surtout que c'était juste un stage. J'en trouverai un autre mais c'est devenu impossible de continuer à travailler dans un même cadre que lui. Pourtant dans ces moments difficiles il est tellement présent, chaque matin j'ai droit à un petit déjeuner qui m'est livré un déjeuner à midi et un dîner le soir. Je fait un effort pour honorer ces plats hors de prix mais l'appétit n'y est pas. son homme de main veille au grain, il se charge d'aller prendre des médicaments qu'ils n'ont pas dans leur pharmacie ici à l'extérieur. Papa est parti depuis ce matin et je ne l'ai plus revu. Quand je l'ai appelé il a rejeté l'appel par un message me signifiant qu'il me rappellerait plus tard. Je suppose qu'il etait avec le chef de l'état. Il lui voue une telle loyauté au point de négliger sa famille. Même dans la maladie de maman il trouve un moyen d'être disponible pour lui. Je me sens tellement coupable, comment es ce que je n'ai pas remarqué cette pâleur? Comment?

Elle était tellement habitué à être seule, son mari n'étant jamais là et nous ses enfants qui partions tous à nos  18ans. Maman s'il te plaît ne t'en va pas maintenant. Réveille toi j'ai tellement mais tellement de chose à partager avec toi je n'ai pas vraiment d'amie c'est toi mon tout. Tu devrais laver mes enfants non? C'est ce qu'on s'était dit. Maman s'il te plaît bat toi s'il te plaît....


mon frère  aîné Brain rentre ce soir au moins je ne serai plus seul à son chevet.  Les médecins entrent dans sa chambre et me demande de leur laisser de l'espace pour l'osculter. Ce que je fait, je sors de la pièce et fait des cent pas dans le couloir.

Quelques minutes plus tard ils sortent.

Moi: alors? Comment elle va?

Medecin: elle est stable nous la gardons endormi pourquelle puisse se reposer et l'oxygène pour lui faciliter la respiration mais ces constantes sont plus ou moins bonnes.

Moi: on va pouvoir l'evacuer??

Médecin: oui mais de préférence avec un avion médicalisé.

Moi: d'accord je vais voir ça avec papa, enfin s'il decccroche à mon appel me suis je dit tout bas. Merci docteur, je retourne à son chevet. A peine ai je fini ma phrase que je sens son parfum sans même me  retourner je sais qu'il est là. Mon cœur fait un bon dans mon estomac et ma poitrine se sert parceque malgré tout ce qu'il me fait ressentir, il n'ai pas à moi et ne le sera jamais. Toutes ces années je n'ai pas pu ressentir ce truc pour aucun des hommes avec lesquels j'ai pu essayer une relation. Pourquoi il fallu que ce soit lui? Ma mère serait tellement deçu de moi. Je me retourne pour le voir, il porte une. Chemise blanche enfoncée dans un  pantalon bleu nuit, le tout sur une paire Italienne. Il est tellement beau le gar. Il me regarde et son regard est perçant.

François: (voix grave) comment elle va?

Moi: ses constantes son bonnes on pourra l'evacuer sauf que je n'arrive pas à joindre papa.

François: t'inquiète pas pour ça, je gère en attendant qu'il se dégage. 

François: (regard perçant) toi même comment tu vas? On m'a dit que tu touchais à peine à tes repas.

Moi: (sourir triste) pourtant je fais l'effort de manger.

Françoi:( me regardant de haut en bas) on ne dirait pas tu as maigri

Moi: humm

Françoi: s'il te plaît il ne faut pas en vouloir à ton papa il est l'un des plus anciens ministres, et le chef de l'Etat se repose énormément sur lui.  Je m'occupe de l'évacuation de maman et je lui rendrai compte. 

Moi: François, ( le regardant droit dans les yeux) merci beaucoup merci. Il se contente juste de me sourir en me caressant les mains ce qui eu le dont de me faire frissonner. Il l'a remarqué et m'a lancé un de ses regards que lui et moi seul comprenons. Il s'éloigne de moi en répondant au téléphone. Quelques heures plutard je me retrouve à bord de l'avion médicalisé avec maman. Elle est endormie, elle a l'air si paisible. j'espère qu'en Israël ils pourront lui attribuer les meilleurs soins et qu'elle pourrait guérir ils nous ont parlé d'une thérapie ciblé qui fait moins de dégâts que la chimio, j'espère qu'elle y sera éligible. Il est vraiment inimaginable pour moi de perdre ma mère comme ça.  Brain m'envoie un message m'informant que papa et lui on pu avoir un billet pour demain et qu'il nous rejoindrons demain en Israël vers la tomber de la nuit. Dès que nous atterrissons les choses sont allés tellement vite elle a subi une panoplie d'examens je courais partout dans l'hôpital pour les paperasses.

La mauvaise nouvelle est tombée le soir, elle ne pourra pas bénéficier de la thérapie ciblée, elle n'est pas éligible. Il nous reste la chimio. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps parceque je savais qu'elle ne voulait pas la chimio c'est la raison pourlaquelle elle a gardé le silence sur sa maladie. 

J'étais allongé dans le fauteuil lit ajustable à côté d'elle presque endormie quand je l'ai entendu m'appeler faiblement.

Maman: kafui

Moi: presque en larme maman je suis là.

Maman

Maman: où somme nous?

Moi: nous sommes à Tel aviv-Nafo clinique neve tchedek apparemment c'est l'une des meilleures. Il prendront bien soins de toi maman: pas de  chimio, svp je veux rester lucide et pouvoir adorer mon Dieu les quelques jours qui me reste. Ramenez moi chez moi je veux mourir chez moi, dit- elle avec le peu d'énergie qu'il lui reste.

Moi: maman ne me fait pas ça, laisse les te soigner laisse les essayer, elle remu

 Vigoureusement la tête. Et me fait signe d'approcher.

Je me met à genoux et pose ma tête sur sa poitrine.

Maman: ma fille même si je subit la chimio, je vais y rester et ce sera après de nombreuses souffrances. Je préfère continuer avec mes médicaments. Et passer le peu de temps qu'il me reste avec vous. Je veux mourir avec les cheveux sur la tête. Dit elle en essayant de rire ce qui declanche une kinte de toux où elle fini par cracher du sang je me précipite et appelle les médecins qui lui injecte des produit dans le sérum qui arrête la toux mais finissent par l'endormir.

C'est tellement douloureux de la voir comme ça si faible et pâle. Comme elle s'est endormie j'en profite pour me dégourdir les jambes.  Je sors dans le vaste jardin et l'air frais naturel autres que celui conditionné du bâtiment me fait un grand bien. Le climat ici me rappelle un peu celui au Caire. Je part m'asseoir sur un reposeoir et m'évade vers les souvenirs que j'aurais voulu enfuir au plus profond de mon être. Et de ne plus m'en souvenir.

Flash back

François:( me collant contre la porte de sa chambre) qu'es ce que tu faisais avec ce jeune homme? Et c'est quoi cette façon de vous habillez en exibant les parties de votre corps. Il me vouvoi et me tutoi en même temps. Il doit savoir ce qu'il veut à la fin.

Moi: je ne vois pas ce qu'il y a de mal avec ma tenu et même si elle a un truc ma tenue. Je ne vous dois aucune explication. Vous n'êtes rien pour moi.

Françoi: ( se collant à moi) es tu sur de ce que tu avance, kaka?

Il est le seul à m'appeler de cette manière et sa voix rauque. Mon Dieu Ma petite culotte était déjà trempée. Mon Dieu c'est un homme marié me rapelle ma conscience, le temps pour moi de me dégager, trop tard il avait déjà Unis nos deux lèvres. Ce baiser mon Dieu, il n'a pas tardé à me presser les seins, mes fesse mes hanches.

François: j'ai tellement rêver de les toucher toutes ses rondeurs, elles sont tellement douces.

Ques ce que tu m'a fait kaka?

Moi: (dans un élan de lucidité) nous ne devrions pas!  vous êtes marié.

François: on s'est retenue toute cette semaine si on pouvait vraiment éviter ça(nous montrant tous les  deux collés contre la porte,) nous n'en serions pas là. Laisse moi vénérer ce corps qui est un véritable appel au péché et qui  ne demande qu'à être aimer. Laisse moi t'aimer juste le temps de cette soirée. 

Moi: juste le temps de cette soirée.

A partir de là les choses sont allées tellement vite. Je me suis retrouvée nue allongée sur ce King size sa tête entre mes jambes me donnant un plaisir auquel je suis novice jusqu'à ce jour. Quand mon regard tombe sur son membre dressé fièrement lorsqu'il revient m'embrasser, après que j'ai connu mon tout premier orgasme, je prends peur.

Moi: tu comptes insérer ça en moi?

François:( perdu mais toujours autant excité) je ne comprend pas.

Moi: il est hors de question que tu me pénétre avec ça.

Finalement il rit et tombe sur le côté.

François: je sais qu'il est imposant mais il n'est l que pour te faire du bien. Pourquoi tu agi comme une vierge

Moi: ...

Il se relève et commence à sucer le bout de mes seins tour à tour tout en carressant mes hanches. "J'aime tellement tes hanches" dit il a mon oreille me faisant frissonner. Il passe un doigt entre mes grosses lèvres et totille mon bouton rose ce qui m'arrache un petit cris il continu à le malaxer je ne suis que soupir et gémissements surtout qu'il n'a pas lâché mes tétons, un autre orgasme était sur le point de me surprendre lorsque je l'ai senti d'un seul coup me déchirer et trouver un chemin en moi, ce moment d'extase ce retrouve mélanger à une douleur aigu m'arrachant quelques larmes involontaires.

François: pourquoi moi? Pourquoi ne m'avoir rien dit? Mais putain qui donne sa virginité à un homme marié? Il était toujours au fond de moi et me regardait avec tellement d'amour et de passion que j'aurais juré qu'il était amoureux de moi.

François: pourquoi tu me fais ça? Qu'es ce que je dois faire de toi après cette nuit kaka?

Moi: ( ouvrant enfin ma bouche m'habituant ) à sa présence en moi. Rien j'ai voulu que ce soit toi et tu ne me dois rien François. Rien du tout.

Il se met à bouger doucement et lentement en moi. 

François: tu es tellement chaude et  serrée je crains ne pas pouvoir me retenir mais excuse moi bébé je te donnerai du plaisir toute cette nuit mais pour l'instant je ne pourrais pas me retenir plus longtemps il parle en accélérant la cadence me donnant du plaisir par la même occasion et ne tarde pas se déverser en moi. 

François: (me prenant dans ses bras en m'enmenant à la douche), je suis désolé bébé. Si j'avais su je serais allé plus tendrement, je n'aurais jamais imaginé que tu sois encore pure. Qu'es ce que je vais fair de tout ce que je ressens en ce moment pour toi? Dis moi il me parle en me regardant droit dans les yeux et ce que j'y lit me fait peur. Je ne veux pas être une briseuse de ménage.

Ni noir ni blanc