CHAPITRE 5 : #CATHY_MEZUI
Ecrit par Chronique d'un univers onirique.
CHAPITRE 5 : #CATHY_MEZUI
********CATHY MEZUI********
La semaine s’étant écoulée, nous étions le samedi matin. Avec Etham nous avons convenu de nous voir chez lui en soirée. Il était 20H moins lorsque je suis arrivé chez Etham. Pierre m’accompagnait. Le gardien a ouvert le portail et nous nous sommes dirigés vers la porte d’entrée,
- Pierre : (en descendant de la voiture) je ne vais pas rester longtemps chérie. Juste un moment après j’y vais.
- [Moi, voix off] : ouf !! heureusement. Toute façon j’ai des choses à dire à Etham.
- Moi : ok chérie.
- Pierre : (me prenant dans ces bras) surtout tu n’oublies pas tout ce qu’on s’est dit. Parle avec ton ami, et dit lui ce qu’il en est réellement avec Stacy. Ok ? (M’embrassant)
- Moi : (un peu exaspère) oui Pierre, j’ai compris. Je vais en parler avec lui, après tout, je suis là pour ….
{ding-dong} Pierre pressant le bouton de la sonnette. La porte s’ouvre,
- Stacy : hey ! bonsoir. Entré. Installez-vous. (En tournant les talons)
- Moi : hey salut ma belle. Comment tu vas ?
- Pierre : (ébahi) Stacy !? que fais-tu ici ?
- Moi : Pierre ?? (J’étais surprise par la réaction de Pierre)
- Stacy : non t’inquiète ma belle. Bah que veux-tu que je fasse ici très chère ? je suis passé prendre des nouvelles de mon petit ami. (En prenant place au salon comme la reine des lieux)
- Pierre : ok. Désolé. Cela m’a … heu … juste étonné. Mais …
- Moi : bref. On a compris. Du coup il est où le chef des lieux ? (Prenant place sur le canapé)
- Stacy : ah oui ! Etham il est sorti prendre du vin. Il m’a demandé de vous dire, enfin de te dire qu’il ne tarde pas. Il ne m’a pas dit que Pierre venait aussi.
- Moi : oui je vois. J’ai demandé à Pierre de m’accompagner. Et il est parti il y’a combien de temps ?
- Stacy : heu, je crois 30 minutes, ou plus.
- Pierre : ok. Je vais l’appeler pour savoir où il en est. Excusez-moi mesdames. (Se levant pour s’en aller)
- Moi : ok chérie.
- Stacy : dis-lui de faire vite s’il te plait. Je dois y aller.
J’ai commencé à discuter avec Stacy, avant que Pierre revienne nous retrouver. Nous sommes restés à rigoler environ une bonne heure. Etham est rentré il était 22h.
{clik-clik} bruits de porte. Etham s’est dirigé vers nous,
- Etham : oh ! je crois je vais renvoyer mon gardien. Depuis quand on laisse entrer les fangs chez les honnêtes citoyens ? (Venant me faire la bise). Bonjour ma chérie. Comment tu vas ?
- Moi : (bise) ha, et les Nzébis alors ? c’est quand ils vont apprendre la galanterie ? bonjour le corps du désir. Je vais bien et toi ?
Il a salué Pierre et s’est dirigé dans la cuisine pour déballer ses achats. Stacy s’est rendue dans la cuisine également avant de venir me dire au revoir,
- Stacy : allé ! bisous ma belle. On se voit au boulot toute façon.
- Pierre : tu t’en vas ?
- Stacy : oui. Je dois y aller.
- Pierre : heu moi aussi je vais y aller. Je n’étais pas censé être là de toute façon. Et je dois y aller.
- Etham : tu t’en va aussi ?
- Pierre : oui man. Je dois y aller. J’étais juste venu déposer Cathy.
- Etham : bah tu pourrais profiter à déposer Stacy. Cela m’apaiserait. Je n’étais pas très rassuré de la savoir dans les taxis à cette heure-là. Cela ne te dérange pas Stacy ?
- Stacy : non. Moins de dépenses. Parfais.
- Etham : et toi man ? ça te dérange ?
- Pierre : non bro. En plus Nzeng est sur ma route. Pas de soucis.
- Moi : qui t’a dit qu’elle vit en Nzeng ?
- Pierre : heu, je sais plus. Je crois c’est toi, ou pas ?
- Stacy : non c’est moi. Tu te rappelles le jour où je suis venu à ton bureau.
- Pierre : ah oui. Voilà. Bref ce n’est pas tout mais nous, nous y allons. (Me faisant un bisou)
Pierre et Stacy sont partis. Après avoir fermé la porte, Etham s’est dirigé vers la cuisine,
- Etham : tu prends les verres à vin s’il te plait chérie. Et tu me retrouves dans la cuisine.
- Moi : (apportant les verres) toi et les vins rouges. Tu abuses tu sais.
- Etham : ha ha !! tiens ça, goute moi celui-ci. C’est un grand cru. (Me passant un verre de vin). Tu viens on va s’installer au salon.
- Moi : vas-y. je te suis.
Après s’être installé,
- Etham : alors madame MEZUI, comment tu vas ?
- Moi : mademoiselle.
- Etham : ha laisse ça. Alors tu voulais me parler d’un projet. C’est quoi comme projet ?
- Moi : non rien de très important, je vais t’en parler. Mais avant si on parlait de Stacy et toi ?
- Etham : comment ça de Stacy et moi ?
- Moi : bah oui quoi. Toi. Stacy. En gros vous. Comment ça évolue entre vous, tu vois un peu où je veux en venir.
- Etham : bah bien !
Flottement.
- Moi : c’est tout ? juste bien ?
- Etham : mais qu’est-ce que tu veux que je te dise ? c’est ….. Ça se passe bien.
- Moi : non mais soit un peu explicite Etham. Comment votre relation évolue, c’est cela je veux dire. Qu’est-ce que tu penses d’elle ou encore que veux-tu faire avec elle ?
- Etham : ouahou ! tu es certaine de vouloir aborder le sujet ? on n’aura pas le temps d’en parler je crois. (Rire)
- Moi : ah parle. Face de rat. (Rire)
- Etham : chauve-souris. Bah avec Stacy franchement ça se passe bien. On s’entend bien. Et elle comprend mon sens de l’humour.
- Moi : ah je vois, elle est aussi bête que toi alors. (Rire)
- Etham : non mais sérieusement. Je te dis vrai. Elle est jolie. C’est une femme tranquille, polie, et battante. Tu réalises qu’elle a sa famille à charge et elle arrive quand même à tenir le coup. Elle, je la veux dans ma vie.
- Moi : ah bon ?
- Etham : tu ne savais pas ? je te dis la vérité. Elle est vraiment fantastique comme femme. C’est quelqu’un qui sait ce qu’elle veut. Elle a la tête sur les épaules et se bat continuellement pour le bien de sa famille. Je te dis, elle, je dois la présenter à maman.
- Moi : tu penses vraiment le faire ? tu ne crois pas que c’est hâtif ? je veux dire ça fait juste 3 ou 4 semaines vous vous connaissez.
- Etham : mais à quoi ça sert en vrai. Je veux dire, que cela fasse juste 2 jours ou 6 ans ou quelque mois. Si nous sommes destinés à être ensemble, quelle importance. Ecoute je n’ai jamais ressenti cela pour une femme. Tiens même Cloé (petite amie du lycée) je ne l’ai pas apprécié comme ça. Je sais que je l’aime Cathy.
Je n’étais pas prête pour entendre cela. Il avait l’air tellement sincère et tellement passionné,
- Moi : attends mon chéri. Tu ne crois pas que tu te précipites là ? ok tu as raison. Mais ne crois-tu pas que tu devrais prendre ton temps. Aller petit à petit, et bien analyser le personnage avant de la présenter à Maman. Tu ne crois pas ?
- Etham : comment ça bien analyser le personnage ? qu’est-ce que tu sais ? vas-y, dis-le-moi !
- Moi : non non. Y’a rien. Je disais cela juste comme ça. Je veux dire, essaie d’apprendre encore d’elle. Tu sais le temps révèle aussi la véritable nature des gens. Aussi, qui sait ? y’en a surement d’autres qui sont intéressé et qui sont surement meilleure que Stacy ?
- Etham : pas faux. Mais j’ai cette certitude-là que c’est elle. Hum ? qui ça d’autres sont intéressé ?
- Moi : bah d’autres. (Je caressais mes cheveux)
- Etham : MEZUI ? ne m’agace pas. Parle. Tu parles de qui ?
- Moi : bah ….
Je voulais lui dire. Je m’en mordais les lèvres. Je voulais plus garder ce sentiment pour moi. J’aurais tellement aimé lui dire que je l’aime à cet instant,
- [Voix off Cathy] : qu’est-ce que je suis en train de faire ? c’est mon ami putain. Suis la meuf de son pote et il a l’air d’aimer cette profiteuse. Rhoo comme ça m’énerve. Il est tellement beau,
- Moi : ah non, t’inquiète je rigole. Je voulais juste te taquiner.
- Etham : (regard suspect) arrête, tu mens. Dis-moi.
- Moi : c’est vrai. Je ne te mens pas.
Nous avons continué à discuter, de tout et de rien. Du présent comme du futur, de nos moments passés au lycée. Il se faisait tard je devais entrer. J’ai appelé Pierre pour qu’il vienne me chercher, mais aucune réponse. Il était minuit. Etham a appelé Pierre, encore et encore, jusqu’à ce qu’il daigne répondre,
- Etham : oui allo man. Niveau ?
- Pierre : ha je me suis endormi man. Vous êtes en route ?
- Etham : non. Je ne peux pas djo. J’ai un peu consommé d’alcool donc je ne peux pas prendre le volant.
- Pierre : ha ok je vois. Mais elle ne peut pas prendre de taxi ?
- Etham : non djo. Je n’ai pas confiance. Je te propose qu’elle passe la nuit ici et demain je la dépose à la maison. Ok ?
- Pierre : ok man. A demain. Bonne nuit.
- Etham : mais tu es où man ? y’a du bruit autour de toi.
- Pierre : non djo, c’est mon climatiseur qui fait du bruit. Cet appareil m’irrite.
- Etham : ah djo, courage. Bonne nuit djo.
Etham m’a donné un pyjama et je me suis installé dans une des chambres à l’étage. Après avoir pris ma douche j’étais allongé sur le lit, je ne cessais de penser à Etham,
- [Voix off Cathy] : j’aurais dû lui dire. Mais quelle conne. Putain. Quand je pense qu’il est juste à côté. Tout seul, et moi suis là, toute seule.
Je n’arrêtais pas de penser, de me torturer. Assez. Je me suis levé. J’ai regardé dans les placards. Il y’avait des chemises d’homme, j’ai enfilé une. Sans soutien, sans string. Juste la chemise. J’ai fermé juste les deux derniers boutons de la chemise. Je me suis rendu sexy devant le miroir
- [Voix off Cathy] : cette fois-ci je vais le faire. Je peux y arriver, je peux y arriver.
Puis j’ai pris la direction de la chambre de Etham, la porte était juste un peu ouverte. La pièce était un peu sombre, juste la lampe de chevet allumée. J’étais confiante, plus rien ne pouvait m’arrêter. J’imaginais déjà la scène, entrant dans la pièce et lui se jetant sur moi, pour me faire l’amour. Je me suis approché de la chambre, au moment de poussé la porte, j’ai écouté Etham parler,
- Etham : […] garde nous. Oh Père Eternel garde nous pendant toute cette nuit. Je remets encore entre tes mains ma relation avec Stacy. Que ta volonté soit faite dans ma vie Père Eternel. Beni et protège ma famille […]. Mes amis, leur couple. Mon amie Cathy et son fiancé Pierre, protège leur couple Père Eternel. Mon ami Ndao, David et Yasmine. Lave-nous encore de nos transgressions. Amen.
J’ai tourné les talons, et pris la direction de ma chambre. Je me sentais coupable, c’est définitivement un homme bien. C’est ainsi j’ai pris la décision de ne jamais en parler avec lui. S’il veut Stacy, alors je ferais en sorte qu’ils soient heureux quitte à souffrir.
********STACY POWET********
Pierre devait me déposer chez moi. Nous étions dans la voiture en route pour nzeng,
- Pierre : ton petit ami ?
- Moi : pardon ?
- Pierre : tu as dit, ton petit ami. En parlant de Etham. Tout à l’heure quand nous sommes arrivés.
- Moi : et alors ?
- Pierre : non. Donc c’est officiel alors entre vous ? et nous alors ?
- Moi : comment ça nous ? je t’ai dit que nous deux c’est fini.
- Pierre : tu as couché avec lui ?
- Moi : encore une fois, cela ne te regarde pas.
Silence ….
Il a ensuite posé sa main sur ma cuisse, je l’ai aussitôt repoussé. Il a recommencé, il a légèrement soulevé ma jupe. Il me caressait, encore et encore jusqu’à arriver à mon entre jambe. Puis il a retiré sa main.
Silence.
Nous étions au niveau du lycée d’Etat. J’avais comme une sensation d’inachevée. J’ai repris sa main, et je l’ai remis entre mes cuisses. Peu avant le lycée Léon Mba,
- Moi : gars la voiture.
- Pierre : quoi ? pourquoi ?
- Moi : tais-toi et gars la voiture.
J’ai baissé son pantalon et son sous-vêtement. Je l’ai caressé avant de lui faire une gâterie,
- Moi : (m’essuyant la bouche) je veux faire ça sur la plage. Viens.
J’ai retiré mon soutien et je suis sorti du véhicule.
- Pierre : quoi ? attend. Non. On va nous voir.
- Moi : arrête de faire ton bébé, et sois un homme. (Me déboutonnant tout doucement)
Nous nous sommes retirés dans un coin calme de la plage et nous l’avons fait. En pleine air. C’était intense, plaisant, c’était jouissif. Nous étions allongés côte à côte, regardant les étoiles,
- Pierre : à quoi tu joues Stacy ?
- Moi : comment ça à quoi je joue ?
- Pierre : tu me repousses, tu reviens. Apparemment tu sors avec mon ami, et tu acceptes tout de même de coucher avec moi.
- Moi : bah tu n’avais qu’à refuser. Mais tu ne l’as pas fait. Tais-toi et regarde les étoiles.
Il a tiré son pantalon pour attraper son téléphone,
- Pierre : oups. Cathy m’a appelé plusieurs fois. C’est vrai je dois aller la prendre chez ton petit ami.
- Moi : ah ah très drôle.
- Pierre : bref. Je dois aller la prendre. On ferait mieux d’y aller.
- Moi : ah donc comme ça Mrs court vers sa madame ? si tu y vas toi et moi tu oublies. Et définitivement. Et suis sérieuse.
- Pierre : fff. Ne fais pas ça Stacy.
Son téléphone a sonné. Je l’ai aussitôt arraché et déposé sur le sable. Je l’ai embrassé. Son téléphone ne cessait de sonner, encore et encore. Il a fini par regarder,
- Pierre : attend. C’est Etham. Je dois répondre.
Il a décroché. Je n’arrêtais pas de lui faires des bisous partout. Je suis descendu tout doucement vers son pénis, lui faire une gâterie, toute la durée de son appel. Il a raccroché,
- Pierre : et si on allait chez moi pour continuer notre partie ?
- Moi : hey ? comment ça ? et ta femme ?
- Pierre : Cathy passe la nuit chez Etham. La maison est à nous bébé.
- Moi : (souriante) si on se dépêche peut-être que cette fois-ci je te laisserais entrer par l’autre porte. (Je l’ai embrassé)
Nous avons rapidement enfilé le nécessaire en termes de vêtements, couru vers la voiture. Nous sommes arrivés chez lui, je me suis dirigé vers la chambre principale, je voulais le faire là-bas. Nous l’avons fait toute la nuit. Il était déjà 5h, nous avons arrêté notre affaire et il m’a déposé chez moi avant l’arrivée de sa femme….
*******ETHAM DALLO********
Franchement ma relation avec Stacy se passait bien. Plusieurs semaines s’étant écoulés, j’étais toujours amoureux de cette femme encore plus que le 1er jour. Nous étions officiellement en couple, et en cela elle passait énormément de séjours chez moi. Au point où je songeais à la demander de venir s’installer avec moi, mais également la présenter à Maman.
Un dimanche en sortant du culte,
- Ma Maman : tu fais comment ? tu es pressé ? le pasteur voulait te voir.
- Moi : ah je suis quand même pressé maman. On ne peut pas remettre ça ? je dois passer chez Yasmine.
- Ma Maman : ha-ha Yasmine comprendra. Vient papa, on ne fait pas attendre un homme de l’Eternel.
- Moi : (Capricieux) très bien. Allons-y !!
Nous nous sommes dirigés dans l’église, le pasteur parlait avec une autre maman de l’église,
- Ma Maman : Gloire à Dieu papa !
- Le PASTEUR : Gloire à l’Eternel maman, comment allez-vous ?
L’autre maman de l’église s’étant éclipsé,
- Ma Maman : le voilà pasteur, Etham. Bien ! Je vais me retirer, nous avons une réunion des mamans.
- Le PASTEUR : ok maman. Que l’Eternel vous guide.
- Ma Maman : Amen !
Maman s’est éclipsée à son tour,
- Le PASTEUR : bonjour Etham. Comment tu vas ?
- Moi : je vais bien papa, merci. Et vous ?
- Le PASTEUR : moi je vais bien également. Mais appel moi FRERE, nous sommes tous frère. Après tout nous avons qu’un seul PERE, le Tout-Puissant.
- Moi : ok d’accord. C’est compris…. Frère. (Sourire)
- Le PASTEUR : oui, j’avais besoin de te voir. Tu sais mon fils, l’Eternel parle tantôt d’une manière et tantôt d’une autre. Cela fait 3 fois déjà que j’ai la même pensée te concernant.
- Moi : me concernant ? quand n’est-il ??
- Le PASTEUR : oui te concernant. Dans la pensée je voyais une femme à tes cotés. Elle portait un enfant en elle. Vous vous tenez la main et à ton autre main tu tenais un couteau. Il était rempli de colère, et ….
- Moi : (coupant la parole au PASTEUR) remplir de colère ? pourquoi étais-je rempli de colère ?
- Le PASTEUR : non frère, ce n’était pas toi. Mais le couteau.
- Moi : (intrigué) le couteau ??
- Le PASTEUR : oui le couteau mon fils. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais je pouvais ressentir cette colère-là. Et ce sentiment voulait te consumer mais la femme à tes cotés te retenais tellement fort dans l’autre main qu’elle a réussi à te remplir de fruits de l’Esprit. En gros c’était ce combat-là qui se passait dans la pensée que j’ai eue.
- [Moi voix off : l’homme-là me raconte quoi comme ça ?]
- Le PASTEUR : as-tu fais une nouvelle rencontre récemment ?
- Moi : (choqué) oui. J’ai rencontré une jeune femme récemment et nous commençons une relation. On verra où cela va aboutir.
- Le PASTEUR : ok … je vois mon enfant. Pour le moment demeure dans la prière mon fils. Demandons à l’Eternel de nous éclairer sur ces choses-là. Nous restons en contact, d’accord ?
- Moi : ok papa. Enfin je veux dire : d’accord frère.
Le PASTEUR est parti pour parler avec d’autres fidèles de l’église. Je suis allé voir Maman et Maman Mireille pour dire au revoir avant de m’en aller pour me rendre chez Yasmine.
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