Chapitre 5: la journée équitation
Ecrit par Bidzime
Chapitre 5 : La journée équitation
*Eden Ekomie
Azra me secouant : maman !
Moi encore profondément endormie : hum
Azra me secouant encore plus : maman !
Moi, clignant plusieurs fois des yeux :
hum ?
Azra : tu dors encore ? Mais c’est le matin
Moi, me retournant pour la regarder : c’est vrai ça ?
Azra : oui maman
Je la regarde et me rends compte qu’elle est super
bien habillé comme si elle devait sortir
Moi : pourquoi tu es habillé de la sorte ? Tu
pars te balader ?
Azra enthousiaste : oui maman. Je sors avec
papi et mamie
Moi, me redressant : ah ouais ? Et vous
allez ou ?
Maman devant la porte : on part d’abord à l’église
après on ira un peu faire un tour chez tantine Berthe, tu veux venir ?
Moi : non c’est bon, je suis fatiguée maman. Je
vais profiter un peu à me reposer
Maman me regardant : comme tu es la, profite donc
à nettoyer le poisson que j’ai trempé dans l’eau
Eh les parents…quelqu’un vient de te dire qu’il est épuisé
mais toi tu trouves encore un moyen de lui donner du boulot. Et je connais ma mère.
Quand elle te donne une corvée ce n’est jamais petit
Moi, poussant un soupir discret déjà fatiguée par la
corvée qui m’attend : ok maman…
Maman regardant la petite : on y va ?
Azra : oui mamie.
Au revoir maman dit-elle en me faisant un bisou avant de quitter mon lit
et retrouver sa grand-mère
Maman ferme la porte de ma chambre me laissant ainsi
seule. Je m’installe confortablement dans mon lit tout en les entendant sortir
de la maison et démarrer la voiture me laissant ainsi seule. Je continue encore
de glander. Aujourd’hui c’est dimanche il n’y a pas grand-chose à faire. Ah
si…le poisson. Je prends un grand souffle avant de quitter mon lit pour me
diriger vers la cuisine. Plus j’avance et plus ce que je pensais déjà se
confirme. Il s’agit d’écailler une grosse cuvette remplie de gros poissons. Rien
qu’en voyant le sceau, cela me donne envie de m’évanouir .Je pousse un soupir
avant de prendre le couteau le plus tranchant et me mettre à la tâche. Vivement
que je trouve mon boulot et que je m’en aille d’ici je me dis déjà fatiguée
alors que je ne suis qu’au premier poisson.
Une heure plus tard, tous les poissons sont bien nettoyés
et découpés. Je mets les morceaux dans un bon récipient avant de le ranger dans
le réfrigérateur. Je nettoie la cuisine et profite de nettoyer la maison par la
même occasion avant de retourner dans ma chambre ou je me prends une bonne et
longue douche, m’habiller confortablement avant de retourner dans mes draps en
poussant un soupir d’aise. Je finis même par me rendormir pour me réveiller
deux heures plus tard et pour me rendre compte que je suis toujours seule dans
la maison. Les parents ne sont toujours pas rentrés et je commence à m’ennuyer
quand même.
Tiens, je vais appeler Divine pour lui demander où est
ce qu’elle est. A ce moment je me
rappelle que depuis le matin je n’ai pas touché mon téléphone de la matinée
alors j’en profite à consulter mes notifications jusqu’à ce que je reçoive un
message d’olivier
Olivier : coucou
Moi : salut
Olivier : ça va ?
Moi : oui et toi ?
Olivier : comment se passe le weekend ?
Moi : rien de particulier et toi
Olivier : je m’apprête à me rendre au cap, c’est
dimanche et il y a un bon soleil autant en profiter
Moi :…ok…
Olivier : ça vous dit de venir avec moi ? La
petite et toi ?
Moi : Azra est sorti avec ses grands-parents
depuis tout à l’heure et je pense qu’ils ne rentreront pas maintenant
Olivier : donc tu es seule ?
Moi : oui
Olivier : tu dois surement t’ennuyer
Moi : j’avoue…
Olivier : et si tu venais alors me
retrouver ?
Moi : vraiment ?
Olivier : oui
Moi : ok je serais ravie de venir
Olivier : d’accord, je suis déjà en chemin pour
venir te prendre
Moi : ok je serais prête en moins de deux.
J’écris avant de poser mon téléphone sur mon chevet et m’habiller rapidement
d’une jolie robe d’été avec mes sandales.
Dieu merci j’avais fait mes vanilles la veille avant
de dormir. Donc je les détache simplement avant de laisser mes cheveux à l’air
libre me faisant ainsi une belle crinière. C’est à ce moment qu’olivier m’appelle
me signifiant qu’il est enfin là. Je prends ma sacoche et je sors simplement de
la maison après avoir bien fermé les portes et fenêtres.
Moi, montant dans sa voiture : rebonjour. Je lui
dis simplement
Olivier démarrant déjà sa voiture : bonjour, on y
va ?
Moi : oui je suis prête
Olivier prend alors la route et nous nous dirigeons
pour le cap dans une très bonne ambiance. On papote et rigolons beaucoup sur le
chemin jusqu’à ce qu’il gare devant un complexe. Quand il me parlait du cap, je
pensais qu’on allait se balader au bord de l’eau comme d’habitude mais ce qu’il ne m’avait pas dit c’est qu’il m’emmenait
dans un complexe hôtelier avec des écuries contenant des chevaux tellement
magnifiques.
Pendant que nous sommes en train de descendre de sa
voiture, je le vois se pencher derrière pour prendre son appareil photo. Je le
regarde simplement et fait un faible sourire
Olivier descendant aussi l’air de rien :
quoi ?
Moi : non rien, je vois que tu es toujours aussi
collé de ton appareil
Olivier : c’est exact, rien n’y personne ne
pourra m’en détourner. Me dit-il en rigolant. On y va ?
Olivier a
commencé à me faire un peu la visite guidée du coin avant que nous ne nous
trouvions dans les écuries et que je vois toutes ces bêtes émerveillée.
Automatiquement je me dirige vers l’un des chevaux qui était calmement dans son
box et avait mis sa tête hors du box en entendant nos voix.
Moi, me mettant à lui caresser la tête : coucou
toi…tu es tellement magnifique… je lui dis en continuant à lui caresser
gentiment
Olivier : je te présente Hermès
Moi, le regardant surprise : tu le connais ?
Olivier : oui…c’est mon cheval
Moi un peu surprise : c’est vrai que tu m’avais
dit que tu aimais aussi bien l’équitation mais tu ne m’avais jamais dit que tu
avais un cheval
Moi : oh…je l’ai eu il y a moins d’un an
Moi regardant le cheval de nouveau : il est beau…
Olivier me regardant : …ça te dit de faire un
tour à cheval ?
Moi, regardant ma robe : j’aurais bien voulu mais
je ne suis pas habillé pour l’occasion
Olivier me regardant : oh ce n’est pas un problème
ça, je peux te trouver un pantalon, une chemise et des chaussures appropries.
Cela risque d’être grand sur toi mais c’est mieux que rien
Moi : d’accord merci
Des longues minutes plus tard, me voilà changé pour être
vêtu d’une chemise trop grande, des bottes qui me flottent et je ne vous parle même
pas du pantalon. Olivier se rapproche de moi et m’aide à retrousser les manches
de la chemise trop longue pour moi
Moi : ils appartiennent à qui ces vêtements ?
Olivier : ce sont les miens. Me dit-il calmement
Moi, le regardant :…
Olivier : quand je ne suis pas en train de faire
ma première passion, c’est-à-dire la photographie, il peut m’arriver de venir
ici sur un coup de tête pour faire quelques heures à dos de cheval alors je
mets toujours une tenue sur place au cas où
Moi : mais je ne comprends pas comment se fait-il
que tu as un cheval dans un complexe qui ne t’appartient pas
Olivier ; oh le propriétaire c’était un client à
moi que j’apprécie bien pour ne pas dire beaucoup. C’est moi qui me suis chargé
de rénover et construire plusieurs de ses maisons ici et même à l’étranger.
Tout ce que tu vois dans ce complexe, vient de mon travail. C’est moi qui ai
tout élaboré.
Moi, regardant encore plus autour de moi :…c’est
beau…
Olivier : merci…me dit-il en me regardant avec un
sourire. Pour Hermès, Je lui ai simplement demandé s’il pouvait me vendre un
cheval et il a accepté. Bien sûr, je lui verse une petite somme pour
l’entretien d’Hermès et tout ce qui le concerne
Moi : Hermès…pourquoi tu l’as choisi ? Ton
choix s’est direct porté sur lui ou bien
Olivier : on va dire que oui…lorsque je l’ai vu,
j’ai compris que c’est lui que je voulais
Moi :…
Olivier : ok, on y va. Tu es prête pour ton
premier cours d’équitation ?
Moi lui souriant : oui mais je te préviens
déjà que je suis nulle
Olivier, commençant à marcher : ne t’en fais pas,
tout s’apprend. Me dit-il simplement
Nous retournons vers les box des chevaux ou l’un des
hommes avait déjà fait sortir le cheval
Olivier prenant la bride des mains du palefrenier:
merci Jérôme. Il lui dit avec le sourire avant de tirer le cheval vers ce qui
semble un très vaste enclos. Suis-moi Eden
Je le suis simplement au sein de l’enclos qu’il
referme derrière moi.
Olivier : bien nous allons commencer. Savais tu
que les animaux pouvaient ressentir certains de nos émotions ? Quand tu es
par exemple trop stressée ou anxieuse, il peut le ressentir et ce n’est pas
souvent recommandé
Moi : ok
Olivier, se rapprochant de moi : ok je vais
t’aider à monter
Il me soulève facilement et m’aide à monter sur le dos
d’Hermès. Les premières secondes je suis impressionnée et je me mets à sourire
Olivier me regardant avec le sourire : c’est bon,
tu es bien installée la haut ?
Moi : oui
Olivier : ok, nous allons commencer à faire
quelques pas avec lui. N’oublie pas d’attraper la bride, c’est important
Moi : oui
Olivier donne le top à hermès qui se met d’abord à
marcher lentement avant de commencer à trottiner. Inutile de vous dire que j’ai
passé le premier meilleur moment depuis mon retour de la France. J’ai passé
toute la journée et même l’après-midi à m’amuser comme une petite fille.
Olivier m’a tellement fait passer une belle journée que je n’ai même pas vu les
heures passées. La vérité c’est que jetais tellement à l’aise que je ne voulais
même plus m’arrêter. Mais hermès commençait à se fatiguer alors il fallait qu’il
se repose.
Oliver m’aide à descendre du cheval avant de tirer
gentiment hermès du cheval directement à l’abreuvoir avant de le débarrasser de
sa bride et sa selle. C’est à ce moment que Jérôme, le palefrenier de tout à l’heure
revient et prend le relais
Olivier à Jérôme : merci Jérôme. Je vais devoir
m’en aller. A la prochaine et prend bien soin d’hermès
Jérôme : comme toujours monsieur, comptez sur moi
et à la prochaine
Olivier me regardant : on s’en va ?
Moi : d’accord mais il faut que je me change. Je
lui dis en regardant les vêtements que je portais
Olivier : c’est vrai, j’avais complètement
oublié. Va alors te changer, après on ira manger
Moi : ok. Je lui dis avant de tourner les talons
pour les vestiaires
Lorsqu’il a parlé de manger, j’ai senti mon estomac se
serrer et c’est à ce moment que je me rends compte que je n’avais pas mangé
depuis le matin et maintenant je meurs de faim mais tellement. Je me change
vite et court retrouver olivier patiemment qui m’attendait à l’entrée. Nous
nous dirigeons vers sa voiture et prenons la route pour la ville ou nous nous arrêtons
à un bon restaurant.
On rentre dans le dit restaurant, commandons nos
boissons et nourritures avant de nous mettre à parler de tout et de rien
Moi : merci pour cette magnifique journée…c’est
la meilleure que j’ai eu a passé depuis que je suis arrivé…merci
Olivier : tu n’as pas à me remercier pour ça…tu
as apprécié cette séance de galop tu dis ?
Moi : oui
Olivier : dans ce cas tu es partante pour y
retourner de temps en temps avec moi ? Maintenant que tu es là, je pourrais
bien t’apprendre puisque ça à l’air de te plaire
Moi : oui, j’accepte merci
Oliver ; ok…
Il y a un petit silence
Olivier : dis…
Moi, le regardant :…
Olivier : maintenant que tu es rentré…que comptes
tu faire ?
Moi : déjà il faut que je cherche une école pour
la petite mais aussi me trouver un bon travail rapidement pour pouvoir quitter
la demeure familiale car tu sais…vivre chez les parents c’est bien du moment
que c’est gratuit et tout mais à partir d’un certain âge tu te rends compte que
ta santé mentale est vraiment mis à rudes épreuves…encore que avec les parents
que j’ai c’est encore plus difficile…ils sont assez difficiles
Olivier : ça je l’avais compris ce jour-là que je
t’avais raccompagné avec la petite
Moi surprise : ah bon ?
Olivier : oui…ça se voyait…
Moi : comment ça ?
Olivier me regardant : je l’ai compris lorsque j’ai
vu la manière dont tu t’es empressé de te justifier et expliquer comment tu
avais passé ta journée avec moi
Moi :…
Olivier me prenant la main doucement : c’est
vrai que je ne te juge pas et encore moins tes parents à qui je ne manquerai
jamais de respect mais il est plus qu’évident que tes parents ont encore une très
grande emprise sur toi…
Moi :…
Olivier : et j’ai l’impression qu’ils ne sont pas
encore au courant de ta situation avec Christopher, je me trompe ?
Je secoue simplement la tête de manière négative
Olivier : ok, tu as surement tes raisons de ne
pas encore le leur dire mais bon je comprends aussi que je n’étais pas le
bienvenu ce jour-là. Me dit-il avec un petit sourire
Moi gênée : je suis désolée
Olivier, me coupant : oh non ne t’excuse pas pour
ca…tes parents réunis sont des anges face à mon père…les parents difficiles
j’en connais un rayon. Me dit-il avec le sourire
Je ne lui réponds pas de suite et le regarde
simplement en y réfléchissant
Moi : dis-moi…comment tu as fait ? Je lui
demande juste curieuse
Olivier me regardant : comment j’ai fait quoi ?
Moi : pour supporter ton père pendant tout ce
temps ?
Olivier continuant de manger en poussant un petit rire
sarcastique : moi-même je me pose cette question tous les jours…
Moi:…est ce qu’il cherche toujours à vouloir contrôler
ta vie tous le temps ?
Olivier rigole sincèrement : il a essayé et il
essaye encore mais ça ne marche pas
Moi : comment ça ? Comment tu fais ?
Olivier : je ne le laisse pas faire tout
simplement. Il a toujours voulu me contrôler mais ce qu’il ne savait pas c’est
que j’étais déjà une tête brulée alors ce fut difficile pour lui de m’imposer
ses choix de vie mais bon, il finira par se lasser je me dis. Mais en attendant
je ne me plie pas face à lui et il ne peut rien.
Moi : au moins toi, je dis d’une petite voix
Olivier : pardon ?
Moi : non rien
Olivier : Eden tu sais, les gens ont sur toi le
pouvoir que toi-même tu veux bien leur donner, lorsque tu l’auras compris tu
verras que tu vivras mieux
Moi :…
Je ne sais pas quoi lui dire ou répondre. Je crois qu’il
a raison et ce qu’il dit à un rapport avec tout le monde. Christopher,
Dominique, mes parents…
Olivier changeant de sujet subitement: mais bon, si tu cherches un boulot…tu peux me donner ton
dossier je me chargerai de te mettre dans l’entreprise de mon père
Moi : c’est gentil olivier mais je vais devoir décliner.
Je cherche un boulot mais pas comme ça. Je veux un travail parce que je le mérite
et non pas parce que j’aurais été place par un de mes proches
Oliver : je te comprends mais ne rejette pas
totalement ma proposition, on ne sait jamais
Moi : ok
C’est à ce moment que le serveur arrive avec nos
commandes de bouffe
Moi : alléluia je vais pouvoir manger
Olivier rigole : tu avais beaucoup faim à ce
point ?
Moi : oui, depuis le matin je n’avais pas mangé
Olivier ; ok, bonne appétit.
Moi : merci à toi aussi. Je lui dis une dernière
fois avant de commencer à manger avec appétit
Olivier et moi on passe encore des heures à manger et
papoter avant qu’il ne se décide à me déposer à la maison.
Olivier garant la voiture : nous sommes arrivés
mademoiselle
Moi, le regardant : merci pour tout
Olivier : je t’en prie…n’oublie pas les séances
d’équitation
Moi : je ne pourrais jamais oublier, par contre
j’ai peur que tu finisses par te lasser de moi tellement je vais te déranger
maintenant avec ça tous les jours
Olivier : je ne me lasserai jamais de toi
Moi, intriguée :…
Olivier l’air de rattraper le coup : je veux dire
que je ne me lasserai jamais de t’apprendre l’équitation quoi
Moi avec un petit sourire gênée : ouais bien sur…
Nous restons encore un moment comme ça dans la
voiture. Je n’ai pas envie de rentrer pour aller retrouver les parents. Mais ma
fille est là-bas aussi…je finis par défaire ma ceinture
Moi, ouvrant la portière : bon ben merci encore
pour la magnifique journée. On se revoit quand ?
Olivier : quand tu veux
Moi : tous les jours ?
Olivier : si tu veux qu’on y aille tous les
jours, on ira
Moi, lui souriant : ok merci, tu rentres bien. Je
lui dis avant de descendre et fermer sa portière
Oliver, redémarrant la voiture : on
s’appelle ? Me demande-t-il en me regardant
Moi : d’accord, au revoir. Je lui dis une dernière
fois avant de le voir rouler sa voiture jusqu’à ce qu’il disparaisse de ma vue.
Je pousse un soupir et pousse le portillon avant de
marcher tranquillement vers la porte principale où je suis directe assailli des
questions dès que je referme la porte
Maman : tu reviens d’où ? Tu as vu l’heure ?
Je regarde la montre accroché au mur et je me rends compte
qu’il est déjà presque 22h. Olivier et moi nous avons vraiment passé beaucoup
de temps ensemble
Maman : quand on a quitté la maison tu as dit que
tu ne sortais pas non ? On revient c’est pour voir la maison vide. Tu
reviens d’où à cette heure ?
Moi : j’étais avec Divine maman. Je m’empresse de
lui dire.
Maman : Divine ?
Moi : oui
Maman : mais on s’est eu au téléphone tout à l’heure
et elle ne m’a pas dit que vous étiez ensemble
Moi : peut-être qu’elle a oublié de te le dire…
Maman me regardant fixement: Eden fais attention.
Tu es déjà une mère de famille. Tu n’es pas venu ici pour faire le désordre que
tu veux commencer à faire la. Libreville est petit. Tu te ballades à gauche à
droite ça rentre maintenant à 22h et si Christopher apprends ça depuis la
France ? Tu as quel problème ?
Moi, quittant la porte pour me diriger vers le
couloir ; bonne nuit maman. Je luis dis simplement en la passant.
Je me dirige d’abord dans la chambre de ma fille où je
la trouve simplement endormie dans ses couvertures toute propre. Elle a du bien
s’amuser vu la manière dont elle dort juste K.O. je lui fais un dernier bisou,
la regarde dormir avec un petit sourire avant de me diriger vers ma chambre. Je
me déshabille simplement, me parents une douche, mets mon pyjama avant de
rentrer aussi dans mon lit. C’est à ce moment que je reçois un message
d’olivier me signifiant qu’il est bien rentré et qu’il est déjà au lit. Nous
parlons encore un petit moment au téléphone avant de raccrocher.
Des instants plus tard, il m’envoi toutes les photos
que nous avons fait durant la journée avec hermès et on passe beaucoup de temps
à rire et commenter ses photos qui sont souvent très drôles
Moi, lui rappelant une dernière fois : tu
sais jetais sérieuse quand je te disais que je voulais y aller tous les jours
maintenant, je crois que tu m’as contaminé ta passion de l’équitation
Olivier : et j’étais sérieux quand je te disais
que je t’emmènerai tous les jours aussi
Moi : et ton boulot ?
Olivier : je verrais comment faire. En plus les
bureaux ferment à 15h donc on peut même y aller pour une heure il n’y a pas de problème
Moi : merci encore Olivier…bon je suis fatiguée,
passe une bonne nuit
Olivier : ne me remercie pas, n’oublie pas que je
serais toujours là pour toi. Merci et bonne soirée à toi aussi
Je lis son dernier message avant de poser mon téléphone
au chevet et m’endormir des minutes plus tard avec le cœur et le cerveau un peu
moins lourd…
Les amis ? des kifs et des commentaires pour
l’encouragement ;)