CHAPITRE 5: LE MARIAGE
Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE 5: Le mariage.
**DANIEL TSAMBA **
Nous étions en train de faire nos bagages car deux jours plus tard nous rentrions au Gabon, nous devrions nous marier dans 2 semaines. Depuis la dernière fois que nous avions décidé de reprendre, 2 ans étaient déjà passés comme une blague. J'avais soutenu mon master 2 l'année dernière et depuis je bossais dans une boîte de la place où le salaire était plutôt bon. En fait, je le faisais pour passer le temps ici et attendre que ma future femme termine aussi ses études. En parlant d'elle, elle avait tenu sa promesse, elle avait gardé ses jambes bien fermées et m'avait donné des temps de fellation dignes de ce nom, l'élève avait surpassé le maître de très loin (rire) .
Après notre réconciliation, notre relation avait pris une autre dimension. Nous avions rencontré nos parents réciproques, d'abord par vidéo et l'an dernier quand nous étions descendus faire le cococo (présentation officielle) au pays avec les parents. Je lui avais fait ma demande avant ça et c'était la première fois que je la voyais pleurer, elle pleurait de joie m'avait-elle dit tellement elle était heureuse.
Ce jour, je me rappelle que j'avais parlé avec G, Brenda et Olivia qui étaient dans la confidence. Je leur avais dit que j'avais l'intention de lui faire ma demande et que j'avais besoin d'eux pour lui faire une surprise. Il était question pour ses amies de l'emmener dans un parc pour soi-disant passer du temps et parler entre filles. De là-bas, moi je serais venu avec mes gens pour la surprendre. Les filles avaient fait leur part et l'avaient emmenée. Au bout d'un moment, elles avaient remarqué que des gens marchaient et venaient s'arrêter comme des statues devant elles. Le temps de comprendre ce qui était en train de se passer, quelqu'un, quelque part dans la foule, avait mis la chanson de Bruno Mars "Marry You" et ceux qui étaient devant elles s'étaient mis à faire une chorégraphie sur cette chanson. Et à chaque fois, que la partie de la chanson où il dit " I think I wanna marry you" ( je pense que je veux t'épouser), ils pointaient tous leurs doigts vers elle. J'étais apparu en plein milieu de la chanson et j'avais exécuté le reste de la chorégraphie avec l'équipe que j'avais engagé pour danser sur cette musique pour elle. À la fin, j'avais glissé et j'étais venu me mettre à genoux devant elle avec le cœur battant. G était venu me donner un bouquet de fleurs et une bague. Je l'avais alors regardée dans les yeux et lui avais posé la question de savoir si elle voulait m'épouser après un petit discours ? Les gens s'étaient attroupés autour de nous et regardaient la scène. Elle était restée là à me regarder avec une main à la bouche avant de bouger la tête de haut en bas en signe d'acceptation tant sa voix était nouée par l'émotion. À la minute où elle avait ouvert la bouche, elle s'était mise à pleurer et m'avait traitée de fou.
Quand nous l'avions annoncée aux parents, c'était une autre paire de manches. Entre ses parents qui disaient que leur enfant était encore trop jeune pour s'attacher dans un mariage et les miens qui disaient qu'ils ne la connaissaient pas assez pour aller la doter, ça n'avait pas été facile. J'avais dû batailler pour que ces fiançailles se fassent malgré les refus au point où j'avais dû payer 1 million 400 milles, rien que pour ça, en espèces hein, la dot de quelqu'un. Mes parents avaient craqué, mais je savais ce que je voulais et j'avais les moyens de ma politique, parce que si je ne comptais que sur mes parents, ça n'aurait pas eu lieu. La liste de la dot, mieux je n'en parlais pas de ce qui avait été inscrit, le montant en espèces 5 millions, mes parents avaient refusé de cotiser car pour eux c'était du vol, je n'avais pas paniqué, j'avais dit que j'avais les moyens de ma politique. Cette femme je la voulais et je l'allais l'avoir. j'avais donc payé moi-même tout ce qui avait été demandé. Les gens avaient été étonnés de voir que j'avais autant d'argent pour pouvoir le faire. Où avais-je eu cet argent ? Là était la question qui avait fait débat dans toute ma famille, et j'avais eu droit aux suppositions les plus abracadabrantes concernant mes avoirs. Entre secte, franc-maçonnerie, fausse monnaie, sodomie, vol, j'avais entendu des choses. Mais, je ne m'étais pas arrêté dessus. Mon argent, je savais où et comment je l'avais eu donc je ne paniquais pas. Je n'avais même pas peur de dépenser de l'argent pour l'épouser, même s'ils avaient demandé 100 millions, je me serais débrouillé pour les avoir et je l'aurais épousée car cette fille, c'était le meilleur des investissements que je pouvais faire de toute ma vie. D'ailleurs, tout ce que j'avais c'était grâce à elle, donc…
Voyant qu'ils ne pouvaient pas me tenir à cause de l'argent, c'était maintenant qu'ils ne la connaissaient pas bien et qu'ils voulaient l'étudier d'abord. Étudier qui ? Pourquoi ? C'est ma femme et c'était avec moi qu'elle allait vivre, si elle était bien ou non c'était moi que ça regardait puisque c'était moi qui allait vivre avec elle. Puis il y avait eu le fait que je sois trop jeune, que je n'aie que 23 ans, je ne pouvais donc pas prendre un tel engagement et tout le tralala. A un moment donné, j'avais dû taper du poing sur la table et parler avec le boss pour qu'il calme les bêtises de ma mère, ses filles et leurs parents, chose qui avait été faite n'en déplaisaient à certains.
Il y avait aussi eu mes potes, à l'exception de G, qui avaient tenté de me décourager, mais pour eux c'était une petite affaire qui avait été vite réglée. On avait eu beaucoup de pressions, mais on avait su gérer. Plus que 2 semaines, et elle serait entièrement mienne…
J'étais dans l'une des pièces de la mairie du 4e arrondissement avec G comme garçon d'honneur en attendant que l'on me fasse signe. Le mariage coutumier avait eu lieu il y avait 2 jours. Ces gens avaient tout fait pour nous décourager, n'eût été le fait que j'aimais leur fille, j'aurais renoncé. Au 5 millions initiaux, ils avaient rajouté 3 sans compter les barrages interminables qui nous avaient bouffé près de 700000. Heureusement pour moi, mon père avait décidé de financer mon mariage, du moins l'espèce demandée , ce qui faisait que j'avais de quoi payer tous leurs caprices. Durant toute la cérémonie j'étais tendu. La pression n'était redescendue que lorsque je l'avais vue apparaître entourée de ses hôtesses. Elle était belle ma femme ce qui faisait que j'avais cédé à toutes leurs demandes sans discuter, tant je voulais qu'elle soit mienne au grand damne de ma famille. La cérémonie, mise à part leur chichi, était réussie et le plus important Rayonne Kassa était désormais mienne devant nos familles, il ne manquait que plus que cela se fasse devant la loi et cela se ferait dans les minutes qui allaient suivre.
On m'avait donné le top et j'avais fait mon entrée dans la salle, peu de temps après ce fut son tour, elle était juste magnifique au bras de son père, j'étais fière d'elle, de moi et de notre relation. Ensuite ce fut le maire qui avait fait son entrée et la cérémonie avait pu commencer …
-Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, veuillez vous lever pour accueillir Monsieur et Madame TSAMBA. Disait le MC à notre entrée dans la salle de réception sous les applaudissements des gens. Nous avions fait une entrée mouvementée (rire) il fallait dire que ma femme et moi nous étions de grands danseurs. Les hôtesses, demoiselles et garçons d'honneur étaient derrière (rire) . Nous avions fait le show avant d'aller à nos places pour suivre les directives du MC. Il y avait eu la séance des cadeaux et photos avec les mariés, les discours des uns et les autres dont G qui m'avait fait couler une larme quand il avait parlé, le repas, les prestations surprises , un diaporama de nous, le gâteau et l'ouverture de bal par la danse du couple où nous avions dansé d'abord un slow avant d'enchaîner avec un rythme endiablé. Nous avions eu de l'argent tellement nous étions bons et puis les autres nous avaient rejoint sur la piste. C'était à 4h du matin que nous avions quitté la fête complètement épuisés . Nous nous étions lavés et avions dormi. À notre réveil, nous nous étions lavés, avions pris un petit déjeuner copieux puis nous avions pris la route de l'aéroport direction Istanbul en Turquie. Nous avions atterri dans une belle suite qui avait une vue à couper le souffle, la salle avait été joliment décorée pour l'occasion.
Moi : (l'enlaçant par la taille) bonne arrivée en Turquie madame Tsamba.
Rayonne : (Se retournant pour me faire face) à vous aussi monsieur TSAMBA.
Nous nous étions embrassés avec avidité, on sentait le désir nous envahir. Je l'avais soulevée et elle avait noué ses jambes autour de ma taille. Je l'avais portée jusqu'au lit sur lequel reposaient plusieurs pétales de roses rouges et de beaux origamis en forme de cygnes blancs. Je m'étais mis à la déshabiller, elle en avait fait autant. Je nous avais ensuite conduit à la douche pour un bain. J'avais entrepris de la laver moi-même. C'était la première fois que je la voyais complètement nue et mes yeux aimaient ce qu'ils voyaient . Tout mon être était tendu mais je me retenais, c'était sa première fois, il fallait que ce soit quelque chose de spécial.
Après le bain, je nous avais essuyés et je l'avais ensuite portée jusqu'au lit où je l'avais posée délicatement, on aurait dit qu'elle était faite de porcelaine et que j'avais peur de la casser. Je m'étais mis à l'embrasser sur la bouche avant de descendre sur le long de son corps, remarquant au passage ses zones érogènes, pour m'arrêter dans son antre pour un cunnilingus bien prononcé. J'avais happé, sucé, léché, aspiré , j'alternais langue et doigts et elle n'était que gémissement dans mes bras jusqu'au moment où elle s'était crispé puis avait été prise par de légers soubresauts, signe qu'elle avait un orgasme. Alors qu'elle essayait de se remettre, j'étais remonté vers son visage pour l'embrasser à pleine bouche, j'avais écarté ses jambes et je m'étais placé à l'entrée de son vagin.
Moi : regarde-moi s'il te plaît. (chose qu'elle a faite) Je te promets d'aller doucement.
Elle m'avait embrassé pour m'encourager. J'avais tellement rêvé de ce moment que je n'arrivais pas à croire qu'il était en train de se réaliser. Après quelques résistances, son hymen avait craqué pour laisser le passage à mon biscuit dans son lait (sourire). Son visage s'était déformé par la douleur et les larmes avaient coulé de ses yeux, mon dos aussi avait senti la déchirure. Je n'avais fait aucun mouvement pour laisser le temps à son corps de s'habituer à mon membre. Elle était tellement serrée et chaude que même là je sentais déjà la pression. Je m'étais ensuite mis à bouger lentement puis petit à petit, j'avais augmenté le rythme. Ce qui au départ était des gémissements de douleur, étaient devenus ceux du plaisir. J'avais essayé tant bien que mal de faire durer le moment malgré l'étroitesse de sa cave. Au bout d'un moment, ne pouvant plus me retenir, je m'étais lâché et j'avais joui en grognant son prénom. Apparemment nous avions atteint l'extase ensemble puisqu' elle-même aussi avait son orgasme et hurlait mon nom. Nous étions repus. J'avais attendu quelques instants avant de sortir d'elle et je m'étais mis sur le côté. Je l'avais attirée à moi pour l'embrasser et la prendre dans mes bras ensuite nous étions allés sous la douche pour nous rincer. De retour à la chambre, nous avions constaté que le drap était taché, elle l'avait changé et nous nous étions couchés, moi sur le dos et elle sur ma poitrine.
Moi: merci pour ce cadeau bébé.
Rayonne : (levant la tête vers mon visage) quel cadeau ?
Moi: ta virginité.
Rayonne : C'est tout à fait normal, tu es mon mari. Merci plutôt à toi d'avoir rendu cette expérience agréable.
Elle s'était mise à sourire et m'avait embrassée.
Moi : tu n'as pas eu trop mal j'espère.
Rayonne : Bien sûr que si, c'était horrible au début, surtout quand tu m'as pénétrée, j'ai cru mourir mais heureusement c'est vite passé et un plaisir presque aussi violent que la douleur m'a envahi.
Je l'avais serrée dans mes bras et peu de temps après nous nous étions endormis.
J'avais été réveillé par une sensation agréable au niveau de mon engin. Le temps que je reprenne mes esprits, je m'étais rendu compte que c'était Ray qui me taillait une pipe magistrale. Quand j'avais grogné, elle avait levé la tête vers moi pour me sourire malicieusement et accélérer le mouvement de ses doigts et sa langue sur ma verge.
Moi : merde !
Lorsque j'étais bien tendu, elle s'était relevée et était venue s'empaler sur mon membre. Elle avait fait une grimace.
Moi: ( inquiet) tu as eu mal ?
Rayonne : un peu, mais c'est passé.
Elle s'était mise à me chevaucher à un rythme qu'elle-même maîtrisait, j'étais dépassé. Elle avait pris les rênes comme si elle le faisait depuis longtemps. À plusieurs reprises, j'avais failli jouir, mais je m'étais retenu . L'enfant là était en train de me baiser sauvagement le premier jour ? Je ne pouvais pas laisser une telle chose arriver. C'était alors que je m'étais rappelé que je devais refaire son éducation pour m'avoir à deux reprises traité de "sans intérêts". Je l'avais alors renversée pour me retrouver au-dessus d'elle avec un sourire malicieux, et comme si elle avait compris ce qui allait se passer, elle avait eu un sourire espiègle en me regardant dans les yeux l'air de dire que tu ne m'auras pas. C'était alors un défi silencieux qui venait d'être lancé...
C'était complètement épuisés et repus que nous nous étions laissés choir sur le sol en sueur. Nous venions de passer 3h non-stop à faire l'amour et pour cause ? Personne ne voulait rien lâcher. Nous avions inauguré toute cette chambre, aucun coin et recoin ne nous avait échappé. Cette pièce était sans dessus-dessous. J'avais découvert que Ray était très bavarde durant les rapports. Elle passait très rapidement de l'anglais au français, à l'espagnol, au isango (langue locale). Elle chantait, récitait un verset biblique, priait et louait de façon alternée. Le plus drôle c'était la façon dont elle mixait le tout, tu pouvais entendre un truc comme "Seigneur Jésus, si je dois mourir aujourd'hui c'est à cause du goût, yes baby fuck me hard, si si amor, et l'homme et la femme deviennent une seule chair, oui bébé cogne Aqui,tâte na ba mama (les papa et les mamans), bébé je t'aime, i love you, j'ai dis ma ke ronde you (je t'aime) (rire). C'était à la fois drôle et excitant.
Aussi cette fille n'avait pas d'os, la façon dont elle se positionnait, une personne normale ne pouvait le faire. La souplesse et l'endurance de cette fille n'étaient pas simple. Elle savait y faire, j'avais gagné le gros lot.
Rayonne: ( respiration saccadée) bébé ?
Moi: ( reprenant mon souffle) oui ma puce.
Rayonne : tu as refait mon éducation aujourd'hui.
Moi: ( riant) ah bon ?
Rayonne : Oui, je n'ai plus de force, je crois que je vais être malade. Plus jamais je ne te manquerai de respect j'ai appris la leçon.
Moi: (me plaçant au-dessus d'elle en riant) je veux encore un peu Ray.
Elle avait écarquillé les yeux et m'avait repoussé en me disant qu'elle était l'enfant des gens et que ce n'était pas à cause de mes millions qu'elle allait mourir. Je m'étais mis à rire de plus belle. Je la taquinais juste, moi-même j'étais crevé au point où c'était à même le sol que nous avions dormi. Le lendemain et les 2 jours qui avaient suivi Ray était malade, nous étions donc resté à la chambre. Ce n'était que le quatrième jour que nous étions sortis visiter la ville et nous faire plein de beaux souvenirs. Nous avions passé 15 jours dans cette magnifique ville et nous étions rentrés à Londres où nous avions finalement emménagé ensemble pour mon plus grand bonheur