CHAPITRE 50: VIE DE FAMILLE
Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE 50: VIE DE FAMILLE
**LINDA NDOMBI**
Moi: (Dans les bras de Benjamin) Tu travailles bien.
Benjamin : (Me tenant par la taille) D'accord cheffe. Mais la vérité est que j'ai aussi envie de faire le travail buissonnier.
Moi: (Souriant) Qui a fait le travail buissonnier ?
Benjamin : Tes enfants et toi.
Moi: Rectification, nous sommes en vacances. Des vacances bien méritées pour nous reposer du travail abattu.
Benjamin : C'est moi qui ne fais rien dans ma société non? Vous avez raison.
Moi: "Qui se sent morveux se mouche" dit on.
Benjamin : (Me pinçant le nez) Petite insolente.
Moi: (Riant) C'est la vérité qui blesse.
Benjamin : Tu as la chance d'être aussi belle Lin, c'est ce qui te sauve dans le cas contraire je t'aurais déjà fessé pour t'apprendre le respect.
Moi: Je ne serai pas contre une petite fessée.
Benjamin : (Me regardant un sourire en coin) Arrière de moi femme, vous n'allez pas réussir à me détourner de mes objectifs.
J'ai éclaté de rire. Tout de suite les grands mots.
Moi: (Me reprenant) Je ne sais pas à quoi tu penses hein, mais moi je te parle de fessée corrective.
Benjamin : C'est ça.
Moi: Dans tous les cas, vas-y, il ne faut pas que tu sois en retard. J'espère que tout se passera bien pour toi aujourd'hui.
Benjamin : Merci. Je reviendrai ici autour de midi pour faire ma pause.
Moi: Pourquoi ne pars-tu pas au restaurant ?
Benjamin : (Me rapprochant un peu plus de lui) Aucun restaurant ne cuisine mieux que toi et mes yeux ont soif de belles choses.
Moi: (Souriante)Hum, quelles belles choses ?
Benjamin : (Me caressant la joue puis mes lèvres) Ton visage, tes petits yeux, ta bouche, tes courbes (À mon oreille) ta chatte dégoulinante de mouille.
Quand il dit ça, je sens mon sexe s'humidifier et ma gorge s'assécher. Il m'embrasse ensuite à pleine bouche pendant un moment avant d'y mettre un terme tout en restant prêt de mon visage, son regard était sombre de désirs.
Benjamin : (Posant ma main sur la bosse de son pantalon, murmurant) Regarde ce que tu me fais bébé ? J'ai besoin d'être apaisé.
Moi: (Souriante) On n'a pas le temps Béni, tu vas être en retard.
Benjamin : Je prends le risque.
Il ouvre la portière arrière de son véhicule et grimpe en m'entraînant à sa suite avant de faire monter les vitres teintées afin que nous ne soyons pas vu. Dès que c'est fait, il dégrafe sa ceinture et baisse son pantalon en même temps que son caleçon pour libérer son sexe bien durci. Il retire mon string avant de remonter ma robe sur mes hanches. Je m'asseois à califourchon sur lui et je m'empale sur sa verge. Nous soupirons tous les deux d'aises durant la pénétration avant qu'il ne me mette une claque sur ma fesse gauche qui me fait gémir. Il me les pétrit pendant un bon moment puis se saisit de mes hanches pour m'aider à les tourner pour suivre son rythme de va-et-vient à l'intérieur de mon orifice. Quelques minutes plus tard, je miaule son prénom en un gémissement étouffé pendant qu'il me serre avec force dans ses bras en grognant mon prénom.
Benjamin : (M'embrassant dans le cou) Bébé tu es une sorcière avoue-le.
Moi: (Ma tête posée sur son épaule) Comment ça ?
Benjamin : Oui. À chaque fois que je suis entre tes jambes je n'ai plus envie de me retirer. Et ce n'est pas normal d'avoir autant de plaisir dans les bras d'une femme, je suis sûr que tu es une ensorceleuse.
Moi: (Me redressant pour le regarder un sourire sur les lèvres) T'ai-je ensorcelé ?
Benjamin : (Soutenant mon regard avec le même sourire) Oui tu l'as fait, tu m'as ensorcelée et je n'arrive plus à me maîtriser.
Moi: (Rapprochant mon visage du sien) C'est une très bonne chose alors.
Nous nous sommes embrassés avant de nous arrêter quelques minutes plus tard.
Moi: C'est bon, il faut que tu y ailles sinon tu risques vraiment d'être en retard.
Benjamin : Ce n'est pas faux.
Moi: Tu as des mouchoirs dans ton véhicule ?
Benjamin : Oui dans le coffre.
Je me suis levée et je suis quittée sur lui pour prendre les mouchoirs. Nous nous sommes essuyés mais nous n'étions pas très propre et les effluves de sexes flottaient dans l'habitacle et sur nous.
Moi: Laisse moi aller dans ma voiture, j'ai un spray rafraîchissant et des lingettes parfumées.
Benjamin : Ok, vas y.
J'ai baissé ma robe et je suis descendue pour aller prendre ce dont j'avais parlé en plus d'un gel désinfectant pour les mains avant de revenir. Je nous ai nettoyés correctement avant de pomper le spray dans le véhicule. Il s'est ensuite rhabillé en prenant mon slip qu'il a mis dans la poche de sa veste.
Moi: (Écarquillant les yeux) Qu'est-ce que tu fais ?
Benjamin : (Souriant) Je l'emporte avec moi. J'aime ton odeur et je vais l'humer tout au long de la journée pour l'avoir constamment près de moi.
Moi: Tu es un vrai malade.
Benjamin : (Souriant et m'embrassant au cou) Je sais et tu aimes ma maladie ma petite chatte.
Moi: Hum.
Benjamin : Je mens?
Moi: Du tout.
Nous nous sommes à nouveau embrassés.
Moi: (Ouvrant la portière) Ça suffit. Vas te mettre au volant et tu t'en vas.
Benjamin : (Riant) Tu me chasses de ma propre maison ?
Moi: (Descendant du véhicule) Oui, il le faut sinon tu ne partiras pas.
Benjamin : (Descendant et montant à l'avant) Hum. Ce n'est que partie remise. Que fais-tu de tes affaires ?
Moi: Garde les, j'en ai d'autres dans mes affaires et je les remplacerai dans la voiture.
Benjamin : Donne-les moi, je vais les ranger à l'avant.
Je me suis exécutée et il l'a fait.
Benjamin : Rapproche toi, je veux un dernier baiser pour la route.
Moi: Non, vas y.
Benjamin : Lin stp, le baiser de la concentration sinon je ne serai pas productif aujourd'hui.
Moi: (Souriante) Hum.
Je me suis rapprochée et lui ai donné un baiser furtif mais il a attrapé ma tête pour l'approfondir et a eu du mal à me laisser partir.
Moi: (Souriant) Béni lâche moi, tu dois partir au boulot, lâche moi.
Benjamin : (Me lâchant de mauvaise grâce) Hum. J'y vais mais je te répète, je viendrai faire ma pause ici pour bien manger.
Moi: D'accord. Vas-y.
Il a fini par démarrer et s'en aller en me laissant en train de sourire comme une idiote. J'ai fini par rentrer dans la maison et rejoindre les enfants qui étaient assis sur le fauteuil.
Daphnée : Papa est parti?
Moi: Oui chérie, il a dit qu'il reviendra à midi.
Eux: (En chœur) Pourquoi ?
Moi: Pour venir manger.
Raphaël : Hum, papa est trop gourmand.
Nous avons éclaté de rire. L'enfant là c'est un cas.
Moi: Aujourd'hui je vais arranger la cuisine et la salle à manger, vous venez avec moi?
Eux: Oui, on veut aussi arranger.
Moi: D'accord. J'arrive, je récupère quelque chose en haut.
Eux : D'accord.
Je me suis levée et je suis montée, la vérité est que je n'ai rien à prendre à l'étage mais plutôt porter un autre sous-vêtements vu que Benjamin m'a laissée toute nu. Je l'ai fait et je suis redescendue en prenant mon téléphone avec moi pour le cas où il m'appellerait ou me ferait un message. Il n'a d'ailleurs pas tardé à le faire en m'envoyant une photo de lui assis dans son bureau lorsqu'il est arrivé avec en légende "Déjà sur les lieux, je vais compter les heures pour venir faire la pause". J'ai souri avant de lui répondre "Ok". Je suis redescendue retrouver les enfants en leur mettant des petits tabliers pour qu'ils n'aient pas à se salir les vêtements vu qu'ils étaient déjà tous propres. Oui nous sommes en vacances mais étant des lèves tôt, nous nous réveillons toujours à la même heure pour accompagner Béni dans le petit déjeuner. Aujourd'hui c'est mardi et j'étais au boulot hier matin pour donner des instructions à mes équipes. J'y suis allée avec les enfants que tout le monde connaît maintenant là-bas. Daphnée a joué à la cameraman et Darnell qui s'est assis sur mon bureau en faisant semblant de manipuler mes appareils s'est pris pour le patron en déclarant d'ailleurs qu'il sera le futur dirigeant de cette boîte. C'est avec un sourire sur les lèvres que je lui ai dit "D'accord". Mon petit Raphaël a joué les assistants plus que Rudy même qui n'arrêtait pas de sourire face à ses mimiques de petits garçons concentré qui prenait note de tout ce que je disais. Nous y avons passé trois bonnes heures avant de rentrer à la maison. Je n'ai rien dit à mon père, ni sur le contrat, ni sur les vacances. Je n'ai pas envie qu'il me gâche mes fêtes alors, je vais l'éviter jusqu'à nouvel ordre. Les parents de Benjamin sont retournés chez eux hier en après-midi et je crois que c'est également le cas pour ses beaux-parents.
En rentrant à la maison, j'ai établi un chronogramme de rangement de la maison, deux à trois pièces par jour. Je commence par la cuisine et je finirai par le grand salon qui est la plus grande pièce de la maison. Je suis allée avec Darnell en bas, la pièce du sous sol pour prendre des masques, gants et autres choses dont nous aurions besoin. J'ai fait des crêpes et des cocktails pour motiver les troupes avant de nous mettre au travail. Nous avons tous sorti des placards frigo et congélateur pour nettoyer et faire le trie avant de les ranger convenablement. Nous avons jeté tout ce qui était rouillé, fissuré, tordu, percé et d'aucune utilité. À la fin, la cuisine sentait très bon et avait l'air de sortir directement d'un magazine de décoration d'intérieur. Étant blanche pour les murs et noire pour les appareils, cela ressortait parfaitement. Nous nous sommes attaqués à la salle à manger et avons astiqué les chaises, les tables et les meubles de rangement et décoration qui y sont. Nous les avons également vidés et fait le tri. Plusieurs services de sets de table n'étaient plus en bon état, il ne restait plus que 2. Nous avons poursuivi notre périple dans les toilettes du bas et avons également rangé cette pièce avant de nous arrêter de notre travail du jour. J'ai fait une liste des choses à acheter après les différents rangements des pièces en question que nous irions acheter cet après midi avant de me mettre à faire le déjeuner. Daphnée a filmé les avants après de chaque pièce et fait des vidéos.
Benjamin est venu nous trouver à 13h alors que j'arrêtais les feux. Les enfants lui ont sauté dessus et il leur a fait des bisous avant de venir m'embrasser.
Benjamin : (Fronçant les sourcils) Il s'est passé quoi ici?
Daphnée : On a arrangé avec maman.
Darnell : C'est beau n'est-ce pas ?
Benjamin : Oui ça l'est. Ça change de beaucoup par rapport à avant.
Moi: (Souriante) N'est-ce-pas ? Et elle a l'air beaucoup plus spacieuse.
Benjamin : (L'air pensif) C'est vrai. (Changeant de sujet) J'ai faim.
Moi: (Le regardant un sourire sur les lèvres) La nourriture est prête.
Benjamin : D'accord et j'ai aussi faim.
Raphaël : Mais papa, maman a déjà dit que c'est prêt non, attends elle va te servir, tu aimes trop manger.
Nous avons éclaté de rire. Le pauvre Raphaël, il ne comprend rien de ce que dit son père. Il est trop jeune pour ça.
Moi: Tu as raison chéri, ton père aime trop manger.
Benjamin : (Sourire en coin) C'est de ta faute si j'ai autant faim. Qui t'a dit d'être bonne cuisinière ?
Moi: Hum.
Benjamin : D'ailleurs viens avec moi stp, j'ai quelque chose d'urgent à te confier.
Moi: (Souriante) C'est quoi?
Benjamin : (Sortant de la cuisine) Je te le dirai là haut, fais vite.
Il est parti et nous a laissés à la cuisine.
Moi: (Enlevant le tablier que j'avais mis pour faire la cuisine) J'arrive mes chéris.
Eux: D'accord.
J'ai accroché le tablier à l'endroit fait pour et j'ai suivi Benjamin à la chambre. À peine je franchissais la porte qu'il m'a tirée et plaquée contre elle. Il était complètement nu.
Benjamin : (M'embrassant sur le visage) Pourquoi tu as mis autant de temps pour me suivre?
Moi: (Souriante) Je n'ai pas duré j'ai juste ôté mon tablier.
Benjamin : Si tu as mis du temps alors que tu sais que je meurs de faim.
Moi: (Riant sous ses baisers) Hum, Béni, j'ai transpiré en faisant le ménage donc arrête avec tes baisers.
Benjamin : Tant pis.
Il a attrapé le bas de ma robe et l'a soulevé pour me l'ôter. Il a fait de même avec mon soutien gorge et mon slip avant de me soulever et m'entraîner dans la cabine de douche. Il a ouvert de l'eau au-dessus de nos têtes avant de reprendre à m'embrasser. Au bout d'un moment , il m'a à nouveau soulevé et m'a pénétré de sa queue bien tendue dont je n'arrive plus à me passer. J'aime tellement quand il me fait l'amour et encore plus la pénétration. Je ne m'en lasse pas. Vraiment je ne comprends pas pourquoi Jennifer ne m'avait pas bien dit que c'était aussi bon de faire l'amour avec un homme, elle m'a vraiment caché des choses cette fille. En tout cas je suis en train de me rattraper de toutes les occasions où je n'ai pas pu expérimenter cette chose. Est-ce que c'est même le sexe qui est aussi bon ou c'est même parce que c'est Benjamin, je ne le sais pas. Après je me dis que c'est forcément la deuxième option. D'abord, je n'ai jamais eu une attirance aussi forte pour un homme en dehors de lui. Il y avait bien eu Jason à la fac mais c'était un tout petit béguin qui n'avait pas fait très long feu et avait disparu à l'instant même où il s'était moqué de moi avec ses amis. Malgré tout ce qui s'est passé de mal avec Benjamin, cette attirance n'a pas pu disparaître. Normalement, je n'aurais pas dû être autant à l'aise en sa compagnie mais c'est ainsi. Il a su percer ma carapace et s'infiltrer dans toutes les parties de mon être. Ça fait à peine trois mois que je l'ai rencontré, que mon regard a rencontré le sien et que nos corps se sont touchés. La décharge que j'avais ressentie ce jour à son contact était sans aucun doute une graine jetée qui a fini par germer. Benjamin a pris le contrôle de ma tête, de mon cœur et maintenant de mon corps, il a tout pris. C'est véritablement une tornade dévastatrice qui en moins de temps qu'il n'en faut, a fait énormément de dégâts dans ma vie toute rangée, il a réussi à me faire sortir de ma coquille et me livrer complètement. Ensuite, il est le seul qui a réussi à se rapprocher de moi jusqu'à me toucher en brisant toutes les barrières qui étaient à l'intérieur de moi pour atteindre mon intimité à laquelle seule Jennifer avait accès jusqu'à présent. Enfin, lui seul sait me toucher comme il faut, j'ai l'impression d'être une marionnette entre ses mains. La combinaison de ces trois choses fait en sorte que je penche plus pour la deuxième option, c'est parce qu'il s'agit de Benjamin que le sexe est aussi bon, ça aurait été quelqu'un d'autre, ça n'aurait pas été pareil.
Il s'est retiré de moi et m'a déposé au sol avant de me retourner et de me pénétrer à nouveau.
Moi: (M'appuyant contre le mur pour me cambrer) Ô Béni, tu vas me rendre folle de plaisir.
Benjamin : (Me donnant une claque sur les fesses) C'est pour te déplaire ?
Moi: Non. J'aime ça, j'aime ce que tu me fais.
Il a remonté ses mains le long de mon corps pour venir me pétrir les seins. Ah Seigneur, Benjamin connaît comment me toucher et me donner du plaisir. J'étais au bord de la jouissance et il l'a su.
Benjamin : (À mon oreille) Miaule pour moi ma chatte, j'ai envie d'entendre le son de ta voix.
Ça n'a pas tardé avant que je ne le fasse. Je me suis mise à miauler pendant qu'il s'enfonçait avec plus de profondeur dans mon sexe tout en me serrant contre lui. Il a joui au même moment. Il m'a maintenue dans la même position un bon moment avant de se retirer de moi et de me retourner. Il me tenait dans ses bras en me regardant un sourire sur les lèvres.
Moi: (Le fixant dans les yeux) Je t'aime Béni.
Il a élargi son sourire avant de me faire un bisou dans le cou puis un autre sur les lèvres. C'est la deuxième fois que je le lui dis, il n'a jamais répondu à cela mais bon je me dis que ce n'est pas grave, ce n'est pas forcé de le dire non plus alors je ne m'en formalise pas. Nous finissons par bien nous laver avant de sortir de là. Nous nous sommes essuyés et avons frotté la crème avant de nous vêtir. J'ai dû changer de vêtements, lui ne l'a fait qu'avec les sous-vêtements. Il a remis la tenue qu'il avait ce matin en laissant la veste de côté, il va l'enfiler au moment de son départ. Dès que nous étions prêts, nous sommes redescendus tous les deux pour aller retrouver les enfants. J'ai apprêté la table avec les garçons et nous avons mangé dans une ambiance bonne enfant. C'est avec Daphnée que j'ai débarrassée et fait la vaisselle. Nous sommes ensuite allés trouver les gars à la terrasse arrière. Benjamin m'a attiré à lui pour me faire asseoir sur ses jambes.
Moi: Tu voulais faire quoi dans ce trou?
Benjamin : Une piscine.
Moi: Et pourquoi elle n'est pas terminée ?
Benjamin : J'ai perdu la motivation.
Moi: Je parie qu'il s'agit de la même chose pour cette cabane ?
Benjamin : (Sans enthousiasme) Ouais.
Darnell : Depuis le temps qu'on lui dit de finir la construction de ces chantiers, nos requêtes demeurent infructueuses maman, alors que nous avons bien envie de jouer dans cette cabane qui sera très jolie une fois terminée.
Les deux autres : C'est vrai.
Moi: Pourquoi tu ne finis pas les travaux Béni.
Benjamin : Je te l'ai dit, j'ai perdu la motivation.
Moi: C'était quoi ta motivation ?
Benjamin : Je n'ai pas envie d'en parler. D'ailleurs, il faut que je retourne au boulot.
Il m'a fait me lever et est rentré dans la maison avant de sortir quelques minutes plus tard avec sa veste et ses clés de voiture à la main.
Benjamin : À ce soir.
Il est parti sans m'embrasser.
Moi: (Dans ma tête) Qu'est-ce qui lui arrive ?
Je n'ai pas eu de réponse. Les enfants m'ont rappelé qu'on avait des courses à faire pour finir avec le rangement des pièces que nous avons nettoyé aujourd'hui. Nous sommes partis pour faire nos achats et sommes revenus à la maison pour finaliser les choses. Le soir, Benjamin est rentré et il avait recouvré sa bonne humeur du matin et s'est même excusé d'être parti de la maison de façon aussi brusque.
Moi: J'avais l'impression que tu étais fâché. J'ai dit ou fait quelque chose qui t'a heurté ?
Benjamin : Non.
Moi: Qu'est- ce qui s'est passé ?
Benjamin : (Me tirant dans ses bras) Rien du tout, ne te prends pas la tête avec ça et vient plutôt m'embrasser.
Moi: Hum.
Benjamin : (Me faisant un bisou sur l'épaule) Allez bébé, n'y pense plus. Je me suis déjà excusé, je suis désolé. Je te promets de ne plus le refaire.
Moi: (Soupirant) D'accord.
J'ai décidé de zapper et passer à autres choses. J'ai passé mes mains autour de son cou et je me suis mise à l'embrasser…