Chapitre 53: qu'as-tu fais ?
Ecrit par afi92
" Si la vertu ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit à rendre malheureux." Citation de Aristote
Au même moment dans le bureau de Monsieur KOUESSAN à l’ONG Rosée’A
Mr KOUESSAN
En ce moment ou je vous parle ce petit imbécile serait déjà entrain d’agoniser. Il croyait vraiment qu’il peut me menacer moi Romaric KOUESSAN, le digne fils de son père. Il emportera mon secret avec lui dans la tombe. Rosine est tout ce pourquoi j’ai consacré ma vie. ( levant mon verre au ciel) paix à ton âme mon cher fils ( rire à haute voix). ( Téléphone se mettant à sonner )
Moi : ( souriant à la vue du numéros ) oui ma fille comment tu vas ?
Elle : ( pleurant ) papa cest Bernard il, il,.. ( la coupant )
Moi : il a quoi bernard ? arrête de pleurer stp et dit moi, c’est quoi le problème?
Elle : il ne sent pas bien du tout le docteur vient d’arriver mais il n’arrive pas à poser de diagnostic on est en route pour la clinque comme ça.
Moi : ( béguaillant presque ) mais comment ça il est malade ? vous êtes à quelle clinique ?
Elle : ( pleurant, elle m’énerve à chialer comme ça ) papa je ne sais pas ( pleures ) on est à la clinique la colombe. ( pleures) papa j’ai peur ooh , faut pas que bernard va me laisser seule dans cette vie , je ferai comment avec les enfants s'il nous laisse ? eh seigneur ai pitié de moi je t’en prie.
Moi : ( les femmes avec leur histoire de pleures et seigneur, c'est le seigneur qui a demandé à bernard de poser les questions bêtes ? ) ne parle pas comme ça rien ne lui arrivera il est entre de bonnes mains. Je vous rejoins tout de suite. A toute à l’heure,tiens bon tout ira bien. Clik
Ah la satisfaction n'a jamais été aussi grande, voilà un problème de moins qui vient d’etre éliminé. J’ai trop donné pour que ce petit ingrat vienne tout foutre en l'air à cause d’un vagin. Des fois même je me demande si c’est mon fils. Comment un homme un vrai peut remettre tout ce qu’il a prit sa vie à construire à cause d’une paire de seins ? Alors qu’il peut en avoir des centaines voir des miliers même s'il le voulait. Avec l’argent on peut tout et avoir toutes les femmes qu’on veut mais ce petit morveux est tombé comme un imbécile sans cervelle.
Je le déteste, bref faut que je file à l’hôpital jouer mon plus grand rôle de père dévasté par la mort de son fils.
Quelques heures plus tard dans les locaux de la clinique colombe
Mr Romaric KOUESSAN
Je descends de ma voiture, me dirige vers l'entrée de la clinique et décompose de plus en plus mon visage au fur et à mesure que je me rapproche de l’entrée.
Moi : bonjour mademoiselle, svp dans quel chambre je peux voir mon fils on vient de l’emmener ici en urgence il se nomme Bernard, Bernard KOUESSAN.
Elle : un instant Mr je... ( moi la coupant)
Moi : vous êtes folle ou vous faites exprès? mon fils est entre la vie et la mort et vous me demandez d’attendre ? ça va bien dans votre tête ? je veux voir le responsable de cette clinique tout de suite avant que je ne décide de la faire fermer pour toujours. (sentant une voix m’interpeller par derrière , je me retourne et tombe sur la femme de Bernard celle là je ne l’aime pas du tout)
Elle : snif, snif papa je suis ici, on l'a ramené en salle d’urgence actuellement le docteur qui est en sa charge ne m'a encore rien dit. ( pleures) papa j’ai peur.
Moi : ça fait combien de temps ils sont rentré( ces imbéciles ont intérêt à ne pas le sauver ) calme toi, tout ira bien ils vont bien s’occuper de lui , soit forte et courageuse pour les enfants.
Elle: ( pleures) ah papa les enfants ooh , les enfants je vais leur dit quoi et comment? eh seigneur sauve mon mari.
Moi : ( vraiment cette bonne femme commence par me taper sur le système , si elle savait que son imbécile de mari va perdre la vie à cause d’une femme elle ne serait pas là à crier comme un animal ) ne parle pas comme ça Dieu ne le permettra pas croit moi il va s’en sortir et on rentrera tous à la maison , tout sera comme avant, tout ceci ne sera qu’un mauvais souvenir. (la prenant dans mes bras)
Elle : ( se détachant de mes bras à la vue d’un docteur sortant d’une salle) papa c’est le docteur qui est en charge de Bernard. ( on se précipite sur lui)
Moi : monsieur comment va son état ? dites moi comment est son état ( ah imbécile parle vite tu n’as pas intérêt à l’avoir sauvé si non c'est toi-même qui passera à la caisse)
Elle : ( rancherissant) oui docteur comment va mon mari ? svp dites le nous, je ne pourrais plus attendre je veux le voir.
Le docteur : ( essayant de nous calmer son visage me satisfait déjà assez) et vous êtes ? ( s’addressant à moi)
Moi : je suis son père et je vous ordonne de me dire ou se trouve mon fils
Le docteur : calmez vous monsieur ( baissant la tête ) je suis vraiment désolé
mais. ( la femme de Bernard le coupant)
Elle : mais quoi docteur ? ( parlez bon sang)
Le docteur : mais nous l’avons perdu , ( baissant la tête ) je suis vraiment désolé, monsieur bernard KOUESSAN est mort suite à une intoxication alimentaire tous les symptômes laissent croire qu’il a été empoisonné nous devons donc alerter la police.
Moi : ( m’écroulant sur un banc juste à côté ) non pas mon fils seigneur que t’ais je fais ? ( me levant et frappant ma tete contre le mur ) non non ce n’est pas à moi que ça doit arriver, dites moi que non. Que ça ne peut être à moi qu’un truc pareil arrive.
Docteur sauvez le je vous en prie je suis sûre qu’il y'a encore quelques chose à faire pour mon gamin. Je vous donnerai tout ce que j’ai croyez moi, absolument tout. La fortune que j'ai amassé est pour mon fils, il est mon seul fils, à quoi va me servir cette fortune si il n’est pas là ( pleure ) je vous donne ma fortune mais sauvez le pour moi ooh, heyi ! heyi ! elle me la prit ( me retournant vers la femme de Bernard se tordillant par terre comme une malade mentale les infirmières essayant de la calmer )
Moi : espèce de sorcière qu’as-tu fais à mon enfant ?
Elle : ( étonné par ma réaction me regardant les yeux remplit de larmes et la bouche completement ouverte ) mais papa comment vous pouvez dire un truc pareil ?
Moi : vielle sorcière tu as tué mon fils pour pouvoir t’emparer de son argent ( me dirigeant vers elle pour lui donner une raclée) appelez la police elle a tué mon fils. Cette misérable femme à tué mon fils à cause de son argent où est la police nom de dieu.
Le docteur : ils seront là d’une minute à l’autre monsieur mais calmez vous , calmez vous.
Moi : ne me demande pas de me calmer bande d’incompétents je vais vous traîner tous en justice soyez en sûr. Et je veux voir le corps de mon fils tout de suite que cette femme ne s’approche pas de mon fils.
Elle : eh seigneur le malheur , seigneur le malheur vient de s’abattre sur ma tête eh seigneur le malheur. Eh ! eh ! eh ! seigneur je dis le malheur vient de s’abattre sur ma tête àoh. Heyi ! hum, hum papa pour quelle raison j’aurai tué mon propore mari ? le père de mes enfants ? ( levant les yeux et les mains au ciel ) eh seigneur je dis le malheur. Bernard qu'as tu fais? Ben je t'ordonne de revenir. Tu m'entends ? Heyi le malheur
Au même moment la police se pointe à notre niveau
Moi : c’est elle, amenée là c’est elle ( me remettant à pleurer plus fort) moi KOUESSAN on ne peut s’en prendre à moi et à ma famille et s’en sortir. Il t'a sorti de la pauvreté et aujourd'hui tu le tue pour récupérer tout ces biens et aller nourrir ta famille d’affamés je te maudis, je maudis ta famille vous n’aurai rien absolument rien.
La police : madame gardez le silence , vous pourriez vous expliquez une fois au poste.
Ils la ménottent et la font sortir de ma vue avec ses cries qui me parviennent jusqu’ici. Elle n'a eu que ce qu’elle méritait quand elle mangeait l'argent du diable elle savait pas qu’il avait un seigneur bande d’hypocrites et d'affamés.
Je pousse la porte et vois le corps de Berand sur le lit mon cœur se serre pendant un laps de seconde. Je m’approche de plus prêt pour mieux voir de mes yeux. Comment il a pu faire une telle erreur se permettre de ma menacer moi son père après tout ce que je lui ai donné ingrat, fils ingrat.
Je m’abaisse et lui dépose un baiser sur le front et lui chuchotte un ‘’ tu l’as bien mérité espèce d’idiot’’ et m’écroule au sol en mettant ma tête sur son ventre ( mon cœur lui ne fait que danser ou je suis il est tellment content)
Au même moment dans le village de laouware
Nina
Je reste là à fixer un point invisible jusqu'à ce que mes yeux n’en puissent plus. Je me lève délicatement comme si mes pieds ne supportaient plus la lourdeur de mon corps.
Et c’était le cas je me suis senti faible d’un coups mais je tiens bon,sort de la pièce et regarde le grand baobab juste en face de ma chambre digne d’un film d’horreur nigerian, je soupire et sort le balaie de mon sac, enlève un foulard, noue mes cheveux avec et me met à donné des coups de balaie à ce truc que je ne sais encore quel nom donné j'aurrai mille fois préféré dormir dans une case.
Je balaie, repasse le balaie je ne sais plus combien de fois je suis entrain de passer ce foutu balaie et là je percute c’est pas le balaie c’est la couleur du sol je peux beau la passer toute la semine il sera toujours comme ça.
Je jette le balaie avec colère étale la natte et le sac de couchage que l'inconnu du centre venait de me déposer. Je n’ai qu’une envie,dormir!mes paupières s’alourdissent j’enlève mes chaussures et me couche en position fœtale...
Dans la soirée dans la maison de Bernard KOUESSAN
Mr kouessan : gère moi ce dossier et fait couler cette misérable femme pour ce qu’elle a fait à mon fils ( snif snif )
Le colonel : vraiment mon frère je ne sais quoi dire perdre son unique fils de façon si bête j’en ai la chair de poule. Compte sur moi elle ne verra plus le jour.
Toutes mes condoléances Romaric je ne peux comprendre ce par quoi tu passe actuellement s’il arrivait que je perdes mon fils comme ça j’en mourrai, un enfant c’est tout ce qu’on a.
Moi : ( il raconte quoi ? un enfant traître et déloyal trsss) oui mon cher ami tu ne peux comprendre vraiment ce par quoi je passe actuellement. C’est vrai on est des hommes de pouvoir mais un enfant est tout ce pour quoi on se bat, heyi ! heyi ! elle a prit mon fils. Bernard me le disait qu’il la trouvait bizarre ces temps ci heyi mon cher ami mon fils n’est plus.
Le colonel : ( me tapotant le dos) ne t’inquiète même pas mon ami je m’occupe personnelemnt du dossier avec la fiole de poison qu’on a trouvé dans sa garde robe aucun avocat dans ce pays ne pourra la defendre tant que je vivrai. Soit fort mon ami
Moi : merci mon cher ami ( essuyant mes larmes)
Le colonel : donc je te laisse pour le moment je repasserai chez toi à la maison. D’ici là soit fort surtout pour tes petits fils , la famille c'est sacrée personne ne touche à la famille. Ah les femmes
Moi : merci mon ami, merci pour tout ce que tu fais pour que l’âme de mon héritier... ( silence baisant la tête) soit en paix.
Il me tapote les épaules, le visage complètement triste. J’ai préféré ne pas lui dire que c’était moi le coupable, dans la vie moins les gens en savent sur toi plus c'est mieux. À ma sortie de l'hôpital je suis passé incognito déposer la fiole contenant le poison dans la garde robe de cete idiote. L’équipe qui a fait la fouille a fait du bon boulot.
Maintenant concentrons nous sur le plus important, Rosine c’est elle ce qu’il y de plus précieux à mes yeux. ( Mon téléphone se mettant à sonner.)
Moi : oui allô, pourquoi tu m’appelle ?
Lui : monsieur j'ai une information pour vous, comme vous m’aviez demandé de vous informez sur le moindre geste suspect de votre fils... ( le coupant)
Moi : oui ?
Lui : imaginez vous qu’il ma appelé ce matin qu’il voulait me remetre une clé USB que je devrais remettre à Rosine au cas ou quelque chose lui arriverait.
Moi : quoi ?...
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À très vite pour la suite, bisous..
Je n'ai aucun droit sur l'image.
Écrit et publié par MC