Chapitre 6

Ecrit par Sandy's Aby's

 Steve ( indiquant la place près de moi ) : Je peux ? 


Moi (excitée à l'idée qu'il prenne place à mes côtés) : Oh mais bien sûr est-ce la question où la réponse que tu poses ? 


À ce moment précis plus rien autour de moi n'a d’importance, même le bac, j’ai d’abord mis une pause dessus lol (lauthing out louder : rire aux éclats) Non je blague. 

Il est très beau ce Steve, j'aime son sourire. 

En plus il est tout frais dans sa tenue, je craque seule. 

Eh Barbie pourquoi m'as-tu abandonné ! 

Steve (posant sa main sur la mienne) : Medelva ? 


Moi ( revenant en moi) : Oh désolé [réalisant qu' il venait de m'appeler par mon prénom ] waouh, tu t'en souviens ! 


Steve (amusé) : Bien sûr ! 

Tu sais, j’ai cru que tu étais congolaise.  


Moi (Reprenant mes esprits) : Oh non ! 

Je suis Gabonaise cent pour cent, c'était juste pour attirer ton attention et ne pas me faire oublier. 

 

Steve (me fixant ) : Ok tu as réussi. [ après une pause ] Je tiens à m'excuser pour le comportement de ma petite sœur le samedi dernier ! 

Arisa est une fille un peu...Conservatrice… 


Moi (répliquant) : Tu veux dire très conservatrice ?!


Steve (amusé) : Tu es drôle Medelva. 


On riait encore quand sa majesté, la briseuse des rêves a fait son étrange apparition.

 Mon rire, laisant place à un visage fermé, je croix que Steve l'a remarqué car il tourne la tête en sa direction. 


Bonie (m’ignorant royalement) : Ya Steve on s'en va, maman vient d'appeler. 


Steve (toujours assit) : Ok je vous rejoins. 


Bonie ( toujours au même endroit) : Elle nous attend ! 


Steve se lève et se tourne vers moi. 

Steve (En face de moi ) : Bon ! 

Il faut que j'y ailles, ce fut un plaisir d’échanger avec toi. 

En guise de réponse, je lui fais un sourire forcé car sans vous mentir j'étais en train de bouillir de l'intérieur, cette fille m'énerve. 

Il prend ma main et met quelque chose avant de refermer mes doigts, il me fait un au revoir de la main en partant. 

 Bonie me fixe sauvagement avant de se décider à suivre son frère. 


 Je m'apprête à ouvrir ma main quand j'entends un cri venant dans ma direction.  


Barbara (courant vers moi en criant) : Arrrrrrg Moukagniiiii  


Moi (écarquillant les yeux pour l'inciter à arrêter) : Mais tu te croix même où Madame, regarde comment on nous regarde ! 


Barbara (exprimant sa joie) : J’ai tout vu oh ma co. Pardon laisse les gens !


Moi (ouvrant finalement ma main) : Attend d'abord je regarde ce qu’il m'a remis. 


Barbara s’empresse de s'assoir près de moi, elle m'arrache même le bout de papier et le déplie 

Barbara ( toute excité) : Ehhhh ! [Me tendant le bout de papier) Regarde. 


Sur le papier est marqué Steve ASSEKO suivi de son numéro de téléphone. 


Moi (excité) : Il m'a remis son numéro de téléphone waouh ! 


Barbara (m'appuyant l'épaule) : Ma co, il est dans toi, je te promets. 


Moi (Sceptique) : Je n'ai pas envie de commencé à l'écrire, sinon il pensera que j'avais trop besoin de son numéro. 


Barbara : Est-ce que ce n'est pas le cas ? 


Moi (me tournant vers elle) : Bien sûr mais quand même ! 


Barbara ( Posant sa main sur ma cuisse ) : Voici ce que tu feras, envoie lui un texto tout de suite pour lui dire : Merci j’ai reçu ton contact, tu as désormais le mien et point final.

 

Moi (Réfléchissant) : Tiens, c'est carrément ce que je vais faire. 


 

Un peu plus loin

Arisani Bonie.

Nous sommes dans la voiture de Maman, Roanne est là aussi.

On se met en route pour la maison. 

Moi, je suis furieuse, je croix que mon frère est en train de tomber amoureux de cette cartouche.

 Elle a l'art de me mettre hors de moi. 

 Tout ce que j'évite c’est que mon frère souffre encore une foi.


Daisy Obone, son ex, était une fille frivole, pauvre mais aussi arriviste, menteuse comme pas possible, j’espère juste qu'elle a changé entre temps. 

Ya Steve était très amoureux d'elle, il l'a présenté à son Meilleur pote et même la famille la connaissait. 

Maman ne l'aimait pas trop. Mais nous on l'avait embrassé dès le debut. 

Elle me donnait des cadeaux : Sacs, chaussures, etc... 

Mais quand ya Steve nous a appris qu'ils ne sont plus ensemble et pour cause qu'elle l'a trompé avec Poupon, son meilleur ami à Port-Gentil et pas qu'une fois !

Il était vraiment touché, atteins au troisième degré.

Poupon a voulu se racheter mais yaya lui a juste dit qu'il lui pardonnait sauf que rien ne sera plus comme avant. 

Qu'est-ce que Yaya n'a pas fait pour elle? 

Argent, cadeaux, attentions etc... Mais malgré cela. 

Elle a abusé de lui. 

Il a fait une dépression qui l'a conduit à l'hôpital. 

Mon pauvre frère à cause d'une cartouche, car c'est de là ou j'ai eu l'inspiration de l'appeler pour la première fois la cartouche car son premier rôle c'est de tuer. 

Donc, quand je vois cette Medelva, elle a des allures bizarres et je ne voudrais pas qu'elle fasse souffrir mon frère à nouveau. 

Une larme coule sur ma joue. 

Ya Steve pose sa main sur mes épaules. 


Ya Steve :  Tu pleures quoi chérie ? 


Moi (le visage abattu) : je t'expliquerai à la maison. 


Bip bip (le téléphone portable de Ya Steve vient de sonner, il a reçu un message) il enlève son bras de mes épaules et il se met à lire son message le sourire aux lèvres. 

J'imagine que c'est Medelva. 


Dix minutes se sont écoulées, maman gare dans la concession, le gardien se charge de refermer le portail.  

On descend tous de la voiture.

Roanne est venue passer la journée. 


La voiture de papa est garée dans le parking, ce qui signifie qu'il est à la maison. 

Dans la maison, chacun rentre dans sa chambre pour se changer.

 Roanne me suis pour pas rester seule au salon. 

J’ouvre la porte de ma chambre et j'entre suivi de  Roanne. 

Je pose mon sac sur l'unique canapé de ma chambre, je m’assoie sur le lit et me déchausse pendant que ya Roanne regarde mes produits de beauté. 

Ya Roanne : Humm ma petite tu as de la nouveauté ici ! 

Moi (tournant la tête dans sa direction) : Oh yaya à l'heure-là, on ne dort pas. 

Ya Roanne (revenant prendre place) : C’est sûr en plus tu n’es pas aux bêtises. 

Garnier ce n'est pas une petite marque. En tout cas. 

                                        ***

Marche banane pk8

Medelva 

Barbara et moi sommes assise dehors sur des tabourets. 

Les parents font la sieste. 

Elle me fait quelques tresses pour demain.

 Nous allons, d'ici là, commencer avec les groupes de travail les examens blancs arrivent. 


Moi (m'adressant à Barbara) : Barbie j'ai une proposition à te faire, comme les examens blancs approchent, je voudrais qu'on commence à former un groupe pour bosser de temps en temps.


Barbara : Oui c'est mieux et on va choisir ceux qui pourrons être avec nous. 


Moi : On prendra quelques-uns de ta classe et d'autre de la mienne en tout cas ceux qui voudrons.

Pour les matières que nous avons en commun. 


Barbara : En tout cas je suis partante. [Changeant de sujet] Steve t'a répondu ? 


Moi (Ramassant mon téléphone avant d'y jeter un œil) : Bien sûr  ! lol. 


Barbara (Abandonnant la tresse qu'elle faisait) : Montre, il dit quoi ? 


Moi : Tchouoo Barbie, toi on t'a mise au monde à venez voir (quartier de Libreville) hein ? 


Barbara : Chauffe Mède ! 


Moi (rigolant) : Chauffe toi-même lol. 


Barbara (me prenant le téléphone des mains) : Donne-moi comme tu prends ton temps.

[ lisant à voix haute ] Ok je viens de l'enregistrer t'inquiète, dit moi as-tu whats app ou Facebook ? 


Moi ( reprenant mon téléphone des mains de Barbara ) : Donne je vais lui répondre. [ manipulant ] si,si, j’ai whats app sauf Facebook. 


                                          ***

Une semaine plutard 

Chez Medelva  

Il est sept heure et quart, je sors à peine de la douche, je me prépare pour l’église. 

Une semaine sans nouvelle de mon Steve, je n'ai pas voulu l’écrire en premier pour pas qu'il pense que je suis trop fan de lui. 

Bref, mieux je pense à autre chose.

 Tient en y pensant je devrais appeler Barbie. 

Je prends mon téléphone et compose le numéro de ma sirène à moi. 

Après plusieurs tentatives je constate qu' elle a un autre appel, humm Barbie !! 

En tout cas moi je m'habille. 

                                           ***     


Des heures plus tard après le culte. 


Barbie et moi sortons de la salle ou s'est déroulé le culte. 

On cause de tout et rien quand je sens une main sur mon épaule, je me retourne et fait face à une Bonie furieuse. 

Barbie et moi nous regardons. 


Bonie (croisant ses bras) : Peut-on avoir une petite discussion ? 


Moi (Levant un sourcil) : Ok ! Bonjour d'abord, et dans toute chose il serait préférable d'ajouter un petit s'il te plait car ça fait plus crédible. 

Mais bon, je comprends qu'on n'a pas tous reçu la même éducation, bref. 

 Pour la discussion Je n’ai aucun souci avec ça ! Mais je souhaite que mon amie y soit. 

Histoire d'avoir un témoin par mesure de précaution. 


Bonie (sans le moindre sourire) : Désolé bonjour. Pas de soucis. 


Bonie nous devance, Barbara et moi, nous lançons un regard interrogateur avant de la suivre hors de l'église. 


Bonie s’arrête dans le petit parking derrière un voiture garée, prend place sur le demi-mur  et nous invite à faire de même.

 Mais on préfère rester debout. 


Bonie (joignant ses mains) : Je vais être directe, je ne sais pas ce que tu cherches avec mon frère, mais s'il te plait éloigne toi de lui sinon….. 


Moi (imposante, les mains aux hanches) : sinon quoi ? 


Bonie (tentant de répliquer) : Je… 


Moi (l'interrompant) : Trêve de bavardage Mademoiselle ASSEKO ! 


Bonie eu un geste de recule je croix qu' elle est surprise que je l'appelle par son nom de famille. 


Elle (croisant les bras) : Je vois que C’est plus que ce que j'imaginais ! 


Moi (calmement) : Je vais te dire une chose petite, je n'ai d'ordre à recevoir de personne, surtout pas de toi. 

Saches que le trafic d'influence ne fonctionne pas sur moi, peu importe qui tu es.

 Tu as même la grâce que je daigne t'écouter, je ne sais pas pour qui tu te prends. 

M'as-tu déjà vu venir draguer ton frère ? 

 Qui es-tu pour me dicter ce que je dois faire ? En plus tu oses venir m'interpeler, et de quelle manière ? Je te signale que je suis ta grande sœur de beaucoup ce n'est pas parce que ta personne extérieure fait plus grande. 


Bonie (qui ne s'y attendait pas du tout) : Désolé En tout cas ! sur ce je vous laisse et vous remercie de m'avoir quand même écouté.

 Même si au final ça n'a rien donné. 


Barbara (qui depuis là observait sans rien dire) : Excusez-moi d'interrompre mais Arisa, j'aimerai comprendre une chose.

 Tu te comportes comme ça avec Jonathan aussi ? 

  

Bonie (fonçant les sourcils) : Ce sont mes frères bon sang ! 


Barbara : Jusqu’à preuve du contraire tu n’es pas leur femme !


Bonie (perdant patience) : Je croix qu'il faut que je m’en aille. 

Elle se retourne et s’en va. Les larmes prête à couler. 


Barbie et moi on se regarde avant d’éclater de rire. 


Moi : En fait elle a une divergence incontrôlable et pas possible ! 


Barbie (perplexe) : Mède ? Qu’est-ce que ça veut encore dire ? 


Moi (tirant Barbara par le bras) : Allons dabord, je cherche Steve, je t’explique ; c’est juste pour dire qu’a l’intérieure d’elle il y’a un combat entre sa conscience et sa raison, un conflit sévère qui entraine une rupture d’échanges chez les deux parties en plus, ce combat est incontrôlable et pas du tout possible looool.

Mais franchement elle croyait m'influencer? 

Les choses des enfants comme ça !


Barbie (qui n’en revient pas) : Moukagni, on t’a accouché où ? 


Moi : kr kr kr sur la lune Barbie. 

On riait toujours et on ne s’est pas rendu compte que Steve aprochait. 

Barbie qui l’a vu avant moi me fait signe du regard. 


J’éssaie de déchiffrer mais rien. Je comprends avec un peu de retard que quelqu'un arrive. 


Barbara (coupa court ) : Salut Steve. 


Steve : Salut Barbara. Salut Medelva. 


Moi (me regardant dans sa direction en boudant) : Salut !


Steve ( remarquant mon comportement ): tu es fâché contre moi ? 


Moi (montrant mon visage ) : Quand tu regardes mon visage, ça ne se voit pas ? 


Steve : Désolé,  je sais que c’est parceque je ne t’ai écrit de la semaine. 


Moi (croisant les bras) : Oh mon Dieu il est même conscient de ça, et c’est quoi ton alibi ?

 

Steve (amusé ) : Medelva tu es une fille spéciale ! je t’apprécie bien et sois... 


Barbara (qui se sentait de trop) : Je ferai mieux de vous laisser discuter. 

Steve (s’adressant à elle) : Tu peux rester !  

  

 Off  

Je ne sais comment l’expliquer mais à chaque fois qu’il est près de moi je perds mes moyens eh Steve tu m’as fait quoi ?  

  

au même moment Alban se pointe. 


Alban : Salut jespere que je ne vous dérange pas. 


Moi : Non du tout Respo. 


Alban (s'adressant à moi) : tu peux m’appeler Alban t’inquiète.

[Revenant à  Steve en désignant Barbie de la main] ça tombe bien je te présente ma future. (Future femme)


Steve : Oh ok félicitation, c’est officiel alors ?


Alban : Oui à notre niveau. 

On s’observe encore et comme elles passent le bac cette année on ne va pas brusquer. 


Barbara : Oui oui. 


Medelva : Ah oui on l’aura ce Bac. Et je suis contente pour vous. 


Barbie : Merci Mède. 


Steve ( surpris) : Mède ? 


Alban : Man, c’est pour les intimes. 


Steve : ça ira alors !


Barbara : Tu peux aussi en faire partie si tu veux. 


Steve (me tournant vers Medelva) : Pour commencer, redonne-moi ton numéro, en fait je ne t’ai pas écrit car j’ai oublié mon téléphone au lycée le lundi. 

Je n'ai pu m’acheter un autre téléphone faute de temps mais je n’ai plus ton numéro. 


Barbara (regardant Medelva comme pour dire tu vois pourquoi) : Ah ça ! 


Moi (faisant fi) : Donne ton téléphone je l’enregistre. 


Steve sort de sa poche son téléphone et me le tend.

 Je le prends et compose mon numéro et l’enregistre. 


Alban (s’adressant à nous tous) : Ça vous dit d’aller manger quelque part à mes frais ? 


Barbara et moi en chœur : Oui oui. 


Steve : On rentre d’abord se changer ? Ou on y va maintenant ? 


Bonie (qui arrive à peine) : Yaya ! 


Off 

Humm toujours entrain d'interrompre !


Steve : Oui Bonie !  


Bonie : Maman demande si tu viens avec nous elle vient d’arriver. 


Steve : Ok une minute s’il te plaît. 


Barbara (faisant fi de Bonnie) : Pas une bonne idée Steve. On va directement. 


Steve : Ok !Je vais informer ma maman.

Je vous attend à la sortie. 

  

Bonie ne sachant pas de quoi on parle se contente de nous observer. 

Dès que son frère la rejoind les deux se dirigent vers la sortie. 

 

Bonie 

Je les observent, il y'a quelque chose qui se trame. Une sortie ! Humm.


Moi (à ya Steve) : Vous sortez ? 


Ya Steve : Oui oui, Alban nous invite. 


Moi  (essayant d'allonger le pas pour le rattraper) : et tu iras ? 


Lui : Yes,  je vais juste informer maman. 


On arrive enfin à la voiture, j’ouvre la portière et je m’installe à la cabine près de maman. 

Ya Jonathan était assis derrière avec sa psp.

 Je baisse la vitre et ya Steve  pose ses mains sur le cadrant de la vitre. 


Lui :  A ma, Bonsoir ! 


Elle : han han Bonsoir mon fils, tu ne viens pas avec nous ? 


Lui : Non man, je vais manger avec des amis je rentre ensuite.


Elle : Doucement hein, ici C’est pas Port-Gentil il faut faire attention. 


Ya Jonathan : Yaya, embarque moi aussi !! 


Moi (me retournant pour le regarder) : et Moi, tu me laisses seule ? 


Lui (s'adressant à Bonie) : On est né le même jour ? 


Maman (perdant patience) : vous décidez quoi ? Moi je dois aller m'occuper de mon mari, il y a aussi Roanne à  recuperer devant.  

Me a ke yang * (Je pars).


Ya Jonathan (malgré lui) : Bon, on rentre maman. 


Ya Steve (se retirant) de la vitre : Ok maman t'inquiète.  

Doucement, on se voit tout à l'heure.


 Maman démarre met le clignotant et nous voilà partie. 


 Steve. 

Je suis là au bord de la voie, j’attends Alban et les filles. 

Ils me rejoignent très vite. 


Alban (s'adressant à moi) : La vieille est partie ? 

Moi : Oui 

Barbara : On y va alors ! 

Medelva : Mais, Alban tu as finalement garé où ? 

Moi : ah c'est vrai que tu es véhiculé aujourd'hui. 


On suit Alban jusqu'au véhicule, il déverrouille et on s'installe à l'intérieur et il démarre, direction owendo. 

Personnellement, je ne maitrise pas owendo.

 J'y suis allé deux ou trois fois avec maman acheter de la sardine fumée au Pont Nomba (quartier de la commune d'owendo) mais seul, non.


Quelques minutes plus tard on est assis dans un restaurant, la forêt noire au carrefour SNI (quartier d'owendo) chacun a commandé et pendant qu'on attend nos plats on discute de tout et de rien.

J'apprends que medelva et Barbara sont en classe de terminale D et A1 au lycée Paul Emane Eyeghe. Qu'elle ont chacunes 21 ans.  

On s'est vraiment marré, je me rend compte que Mède est vraiment très comique. 


Quelques heures après, on a embarqué pour rentrer. 

Alban (démarrant la voiture) :  on va dabord déposer les dames ensuite je te dépose et je vais garer le véhicule. 


Moi : Pas de soucis, je roule. 


Barbara (à Alban) : tu vas garer où ? 


Alban : À l'aéroport chérie, mon chef récupère ça ce soir comme il rentre de Paris.

 

Barbara : Ok  


Steve : Mède ! 


Medelva (revenant à la réalité) : Euh oui. 


Steve : Tu es silencieuse ! 


Medelva : Désolé j'étais loin dans mes pensées. 


Steve : Et tu pensais à quoi si ce n'est pas très indiscret ? 


Barbara (subitement pour changer de sujet) : Euh je croix que mon portable vibre.  

Elle se met à fouiller dans la poche, son sac à main, elle se palpe. Medelva qui a compris le manège s'y met aussi. 


Medelva (montrant à Barbara du doigt) : Regarde c'est là, près de ton pied. 


Barbara (ramassant le téléphone) : Ouh là là fausse alerte !  


Alban : je m'apprêtais à faire demi-tour en tout cas. 


Barbara : Désolée. 


On reste silencieux, Barbie m'appuie sur la cuisse, me fait un clin d'œil, puis Alban actionne les clignotants après une bonne distance et gare sur le côté. 

Il eteind le moteur avant de lancer un … 


Alban : Barbara descend, je t'accompagne, ensuite[s'adressant à Steve] on va déposer Mède. 


Medelva : Mais je ne suis pas loin d'ici. 


Alban (ouvrant la portière) : Je préfère te laisser devant chez toi c'est mieux, je suis responsable vois-tu ? 

attendez-nous ici [s'adressant à moi] verrouille les portières jusqu’à ce que je revienne. 


Moi : pas de soucis. 


Medelva 

Barbie me fait deux bises, descend de la voiture et nous fait un aurevoir de la main. 

Je réponds également, Steve aussi. 

Mon cerveau tourne à cent à l'heure rien qu'en repensant à ce qu'Alban vient de dire. 《Attendez moi ici j'arrive》.

Medelva