Chapitre 7

Ecrit par Syab




Nora.





Lorsque je me réveille, je remarque qu'il fait déjà jour.Je sors de sous le lit,la chambre est vide.Je regarde le lit,ce lit,il y a même du sang dessus.Je revis ce qui s'est passer hier et un haut le coeur me prend,j'ai juste le temps de courir vers les toilettes pour éjecter tout ce que j'ai pu manger la journée d'hier. A mon retour dans la chambre, je vois la dame qui m'a laver hier.





Moi: bonjour.





Elle court vers moi et me prends dans ses bras.Je ne comprends rien,pourquoi elle me prends dans ses bras.J'essaie de me dégager mais elle me maintient fermement.





Elle: je suis désolé, vraiment désolée ma petite.





Moi: Hummmmm,pourquoi vous faites ça ?






Elle: je ne t'ai pas reconnu en même temps, c'est quand je suis retourner dans ma chambre que je me suis rappeler.....






Elle pleure,même la morve sort de ses narines.





Moi: de quoi madame?





Elle: je m'appelle Bella,je suis la soeur de cette sorcière d'Aline ce qui fait que....





Moi: tata Bella? Tu es en vie? Oh mon Dieu ,mais cette sorcière a dit que....





Elle: t'inquiète pas  ma puce,je sais ce qu'elle a dit. Elle m'a même annoncé la mort de mes parents le même jour où j'ai eu a subir un viol collectif.Elle m'a vendu à cet homme il y a de cela quatre ans.Je sais aussi qu'elle n'est pas étrangère dans la mort de mes parents. Je sais que tu es la fille de ma patience,tu lui ressemble tellement. Oh la vie est vraiment vache,comment es tu arrivée ici?





Je me mis à lui raconter comment la tante Aline était venu nous prendre comme quoi elle veut aider maman à nous prenant avec elle,comment sa bonne tata Odette a pu quitter la maison avec Michelle suite à la mort de  leur fille.





Moi: je n'ai pas pu échapper à ça, mais Michelle si et ça me va pleinement.





Je lui raconte aussi le calvaire que j'ai vécu la nuit dernière avec le fils de cet homme.





Elle: je suis vraiment désolé ma puce, vraiment. Je maudis  cette femme qui m'a servit de soeur,elle mauvaise, tellement mais elle va le payer.





Moi: hummm tati mais ça fait mal et j'ai peur.





Elle: soit tranquille, ne les provoque pas, surtout pas ma puce.Ses hommes sont capable de tout ,je suis désolé de te le dire mais ne résiste pas à Fabrice quand il veut coucher avec toi.C'est moi qui m'occupe de la cuisine, je vais me procurer des somnifères, et le mettre dans les repas de Fabrice,ce qui te permettra de souffler un peu.





Moi: OK merci tatie.





Elle me laisse et sort de la chambre. Donc Aline est  vraiment la pire des ordures, comment un être humain peut être aussi mauvaise ?





Patience.





Nous sommes en route pour le bénin. Odette l'ange gardienne de mes filles nous a donner rendez-vous dans un endroit qu'elle dit être la maison de sa défunte mère, maison où est Michelle. Ma fille,mes filles seigneur protège les!!! Je ne sais pas quand on va y être mais ce qui est sûr j'ai hâte d'y être. Votre mari,quoi? Pardon prononcer son nom la est hummm mieux je ferme ma bouche.Il a confier prince à la gouvernante. La maison est entouré de garde du corps.





Il a demander à l'ONU de demander au ministère du tourisme de mettre des hommes sur Ibrahim, chacun de ses mouvements sont surveillés.Hummm comment il fait? moi je ne sais pas,mais le gars à le bras  long donc moi je regarde seulement.




Fabrice.




Vous me détestez ici je sais ,et c'est pas mon problème. Je suis ce que je suis,et soit on m'aime ou on me déteste.Et ben vu que vous me détestez aussi, on est réglo.Ce qui sait passer hier,vous pensez que j'ai été méchant avec votre protégée ? Non j'ai été trop tendre.D'habitude je les ligote avant de les prendre sauvagement, elles peuvent crier je m'en fou,je prends mon pieds et c'est tout.Mais comme vous êtes contre moi et que vous me détestez je vais encore plus la faire souffrir. Ce soir je vais l'attacher au lit et je prendrais tout mon temps pour la baiser.Je m'en fou de son  plaisir à elle.Je pense que quand j'en aurai fini avec elle,je vais organiser une partie de viol collectif et là vraiment vous allez bien me détester.








 
Le combat d'une mère...