Chapitre 8 :
Ecrit par Maya my'a
(...)
Heureusement que j'avais pu convaincre Monique, sinon ce pervers nous aurait déposés chez sa sœur, ou je serai resté à la maison avec lui. Et là, il aurait une fois encore, abusé de moi. Il faisait semblant de me traiter comme sa fille devant sa famille. Hors, à l'abri des regards, mon cul lui salivait sa bouche de merde.
-Le jour où il osera encore me toucher, il regrettera d'avoir désiré ma mère comme épouse. C'est sera la désobéissance totale, qu'il paye mes cours ou pas.
Je laissai David comme prévu. Je ne voulais absolument pas rentrer à la maison. Alors sa sœur se chargea d'appeler Monique, afin de les prévenir que je resterai aussi pour ces deux jours, David étant très capricieux.
J'appréciais son initiative. Ici, j'étais libre ; je pouvais sortir. Sa conception de la vie était différente.
Trois heures plus tard...
Je fis une surprise à Maye en allant chez elle. Elle était assise à la terrasse, avec des mèches.
-Coucou !
-Ah ! (regardant sa montre). Tu viens d'où ?
-Chez ma tante !
-Toi ! Que fais-tu ?
-J'essaie me faire des tresses.
-Toute seule ? Viens que je te les fasse.
- Ah oui ? Tu sais le faire ?
-En fait, pas vraiment, mais pour toi, je vais le faire. On commence ?
- Oui ! Entre ! Je vais prendre des peignes et de la crème pour cheveux.
- D'accord !
Je patientais pour retour de Maye, partie à peine 3 minutes. Dernière elle, Guelph arriva. En me saluant, il me fit un bisou sur la joue.
Intensément, nos regards s'accrochèrent. Je ressentais un effet que je n'aie pu expliquer. Au même moment, tente Sidonie et son mari arrivèrent.
-Bonjour tonton ! Bonjour tante !
-Bonjour ma fille !
Tante Sidonie me salua tout en admirant mes tresses, alors que son mari marqua un arrêt en me dévisageant. Le sourire qui ornait mon visage s'écrasa immédiatement. Je me dégageais sans faire de bruit pensant que c'était sûrement dû au fait de ma présence trop proche de la porte. Il entra, finalement dans la maison.
Maye revint avec tout l'arsenal de coiffure et nous nous installions sur la terrasse arrière de la maison. Pendant que je lui fis des tresses, nous en profitions aussi pour faire réellement connaissance. Elle me motivait à aller de l'avant.
Elle me montrait sa sympathie ; ça s'accrochait entre nous. J'avais, dès l'instant, confiance en elle. Ainsi, j'en profitai pour lui demander un service délicat : lui confier les copies des documents appartenant à George.
-Ces documents sont d'une extrême importance. Tu acceptes de me les garder ici ?
-Si je ne trouve aucun risque en les ayant parmi mes documents.
-Ne t'inquiète pas ! Rien ne te portera préjudice. Et, puis ce n'est rien d'important.
-Alors pourquoi dois-je cacher cette enveloppe ?
-Crois-moi ! Tu ne cours aucun danger ! Vraiment ! La rassurais-je en serrant sa main.
Elle acceptait sans me questionner d'avantage. Elle me confirmait sa bonne personnalité. J'avais confiance en elle. Elle n'était pas curieuse, et ça m'enchantait.
Ces documents étaient très importants. Je ne savais que faire, ainsi, pour l'instant, je patientais simplement pour arriver à mes fins.