Chapitre 9

Ecrit par Nessa.Belmonde

Chapitre 9


Montant dans la voiture j’ai senti le regard de Ken sur moi, ce regard remplis de colère qu’il a souvent quand t-il pose les yeux sur moi .


Ken : qui est-ce ?!


Moi : une vielle ami


Ken : comment la tu connu !?


Moi : Ken ! Je l’ai regardé l’ai incrédule . Je peut avoir une vie sans forcément que tu y soit dedans ?! Même mon passé tu veut le contrôler e ?!


Ken : tu la connu pendant ta période où tu fessait la salope ?! Dit-il sans gêne . Te pavaner dans tout les boites de nuit de la ville tout en étant mineur ?! Dancer sur le pool dance en maillot de bain, n’est ce pas ?!


Je suis outrée , je ne sais quoi dire , je ne sais pas c’est quoi qui me choque le plus dans tout ce qu’il vient de dire , le fait qu’il m’est insulté de salope , qu’il connaissait mon passé , le passé que j’essaye de cache et oublié, à la lettre , je ne comprends pas , je suis perdu .


Moi : tu viens de m’insulter !?


A l’arrêt du moteur , nous nous sommes tout les deux fixe un moment avant de sortir chacun son tour de la voiture.


J’ai voulu aider Dan avec les sacs mais il m’a dit qu’il n’avait pas besoins d’aide, je pouvais monté tranquillement chez moi , chez moi .. j’ai voulu lui griffé le visage quand t-il a dit ses mots , ce n’est pas chez moi !


Après que Dan est déposé les sacs dans l’appartement, je suis parti rangé ce que j’avais acheté , essayant de penser à autres choses, j’ai décidé de passer un appel à Leila tout en rangeant mes vêtements dans le dressing, peut être par ennuie .


Moi : alors raconte moi , qu’est-ce qu’il c’est passé dans ta vie depuis


Leila : rien de spécial, juste que maintenant je jongle entre Dubaï et Montréal, je me suis trouver un sugar daddy exceptionnel ! L’agent tombe à flops ! Je ne manque de rien !


Moi : ah .. c’est super . Dise je toute gêne


Leila : il faut que un soir ou même tout un week-end on se fasse quelque chose comme avant !


Moi : Leila je ne peut plus me permettre de faire ce genre de chose je suis mariée maintenant


Leila : et alors !? Tu n’a que vingt ans ma chérie profite de ta vie ! Ne devient pas cette femme au foyer banal que ton mari veut que tu soit . D’ailleurs où la tu rencontre ?!


Moi : ah longue histoire Leila, je te raconterais peut être un jour


Leila : comme tu veut , les boites, bars ne te manque pas ?!


Moi : tu sais, Leila, je ne suis pas très fier de moi pendant cette période , c’était une période de ma vie où j’étais perdu , je fessait ce genre de chose pour comblé à un vide mais en rentrant chez moi aux aurores je n’étais pas forcément satisfait de ce que je fessais


Leila : tu parle comme si tu fesait de la prostitution !


Moi : j’ai couché avec des hommes pour leurs soutiré de l’argent tu appelle sa comment toi ?!


Leila : Perles tu la fait deux fois ce n’est pas comme si tu en avait fait un métier !


Moi : mais je n’en suis pas forcément fier


J’avais un verre d’eau près de moi , mon téléphone était en haut parleur , posé sur table au milieu de la pièce . Ken est rentré dans le dressing et a plongé mon téléphone dans le verre d’eau


Moi : Ken !!!!!! Criai-je


Ken : qu’est-ce que je t’ai dis ?!


Moi : ..


Ken : voilà pourquoi je t’ai dis pas d’amis parce que tout ton entourage c’est que des putes ! Tu pense que j’ai besoins d’entendre sous mon toit que ma femme fessait la pute


C’est la deuxième fois de la journée qu’il m’insulte


Ken : je ne veut plus jamais te voir avec cette fille , ou même une autre comme elle es ce bien compris ?!


Moi : ..


Ken : les comportements de pute pas chez moi !


Moi : dans ce cas là laisse moi partir faire la pute !


Bim ! Je ne l’ai pas vu venir celle là , il vient de me giflé .


Moi : c’est moi ! Mon passé ! Je l’ai fait ! C’est moi ! Eh oui je suis une pute ! Sa te fait mal que tu te soit marié avec une pute ! Criai je


De la il a commencé à pleuvoir des coups , je pleurais , je criais , rien , rien il était décidé à me tuer . Il m’étranglait et serré fort , la respiration ne passait plus .


Moi : Ken .. Mettant mes mains sur les siennes


Il c’est décidé de me lâcher , à même le sol , je pleurai, je pleurai , encore et encore , je n’avais même la force de levé , j’étais comme pétrifier , j’avais mal partout , je ne sais pas combien de temps je suis rester comme ça au sol à pleuré et ni comment j’ai trouvé la force de me levé et me mette au lit .


Lendemain


Mon réveil ce fut très très difficile, j’avais mal partout , j’ai pris trente minutes à changé de position allongée contre celle assis , j’ai jeté un coup d’œil au miroir, j’avais le lever inférieur gonflé et blessé , deux yeux à faire peur , ayant la peau noir claire et fragile , j’avais des marque sur mon coup .

J’ai essayé de me levé tranquillement sans trop forcer sur mes muscles . Je me suis rendu dans la salle de bain pour mieux voir mon corps et c’est une catastrophe, sur mon avant-bras j’ai un gros bleu violacé.

Je me suis mise à pleuré en voyant mon état. Ken comment tu peut être aussi méchant et lâche a ce point , je ne comprend pas , sont coeur est mauvais ! Je le hais pour me faire autant de mal ! Il me détruit à petit feu chaque jours , qu’est ce que qu’il veut faire de moi !? Il veut me tuer c’est sa ?!


J’ai pris de l’aspirine, j’ai masser mon corps avec du vixe en pommade pour atténuer la douleur , et je suis reparti me coucher , je ne voulais pas me réveiller. Je n’ai remarqué sa présence depuis hier soir , il n’a pas dormir ici et tant mieux.


Je me suis réveillé dans la soirée , j’ai dormis toute la journée , j’ai su qu’il fessait nuit car la pièce était plongé dans le noir ainsi que le couloir , j’ai laissé la porte de la chambre ouvert. Je me suis levé tranquillement, la douleur c’est estompé un peut .


J'ai lutté contre moi, j'ai crié, j'ai souffert, esseulé dans la nuit de mon âme blessée, et, ma vie en lambeaux je sors de mon enfer, car j'ai trouvé l'enfer au fond de ma pensée.


J’ai rêvé de ma mère , ma mère , et cela fait bien longtemps que je n’avais pas rêvé d’elle . Elle me disait , Ne reste pas là à pleurer devant ma tombe je n'y suis pas, je n'y dors pas... Je suis le vent qui souffle dans les arbres, je suis le scintillement du diamant sur la neige , je suis la lumière du soleil sur le grain mûr, je suis la douce pluie d'automne... Quand tu t'éveilles dans le calme du matin , je suis l'envol de ces oiseaux silencieux Qui tournoient dans le ciel... Alors ne reste pas là à te lamenter devant ma tombe, je n'y suis pas, je ne suis pas morte ! Pourquoi serais-je hors de ta vie simplement Parce que je suis hors de ta vue ? La mort tu sais, ce n'est rien du tout. Je suis juste passé de l'autre côté.


Donnez-moi un rêve où vivre parce que la réalité est entrain de me tuer. Peut être que j’ai fait ce rêve car depuis peut je songe à allé la voir et pleuré sur sa tombe, lui dire à quel point elle me manque , que tout mes sens crie son nom de désarroi.


On aime sa mère presque sans le savoir, sans le sentir, car cela est naturel comme de vivre , et on ne s'aperçoit de toute la profondeur des racines de cet amour qu'au moment de la séparation dernière. Aucune autre affection n'est comparable à celle-là, car toutes les autres sont de rencontre, et celle-là est de naissance ,toutes les autres nous sont apportées plus tard par les hasards de l'existence, et celle-là vit depuis notre premier jour dans notre sang même.


En disparaissant, les morts emportent un peu de nous-mêmes. Chaque deuil nous tue. Nous en avons tous fait l'expérience. Il y a une joie, une fraîcheur qui s'estompe au fur et à mesure que les deuils s'accumulent... Nous mourons chaque fois un peu plus en perdant ceux qui nous entourent.


Ma grand-mère m’a dit un jour. Ne pleure jamais pour quelqu’un dans ta vie, parce que pour qui tu pleure ne méritent pas tes larmes et ceux qui les méritent, ne te laisseraient jamais pleurer. C’est tellement profond et réel .


Je suis resté au lit à fixe le plafond, sans savoir que faire . Ma famille me manque , j’aimerais bien passé un appeler à ma grand-mère lui parler, juste entendre les sons de sa voix pour que je puisse me sentir moins seul , mais je n’ai plus de téléphone.


Le lendemain


Le réveil de ce matin était moins dur que celui d’hier , pas de Ken en vu depuis qu’il m’a tabassée, personne pour pollué mon air , j’ai fait un effort sur moi , je me suis levé fait ma toilette, j’ai enlevé mes extensions, ayant déjà de très longues cheveux de base , je les ai juste lissé pour que sa me facilite la vie à faire des chignons très simple sans pour autant me soucié de leur texture . J’ai fait un masque et un gommage sur tout mon corps essayant d’enlever les traces que j’ai sur le corps . Sa me fait du bien de prendre soins de moi et me permets de penser à autre chose .


Je me suis fait à manger , mais je n’arrivais pas avalé, mon coup me fessais encore mal, je me suis forcé un peut juste pour avoir un peut de force .

Je me suis tranquillement installé au salon et continuer à lire le livre que j’avais commencer beaucoup plus tôt , j’ai passé tout ma matinée à bouquiner .


J’étais tranquillement entrain de lire quand j’ai entendu sonner , je suis perplexe sur le coup car je sais que ce n’est pas Ken, il a ses clé , peut être que c’est sa famille ?! Une famille dont je n’ai jamais entendu parler et vu .

Je me suis dirigé d’un pas hésitants à la porte , en regardant dans le juda , j’ai vu que c’était Dan avec un bouquet de fleur .


Moi : Bonjour Dan . Ouvrant la porte


Dan : Bonjour madame HUNNAM comment allez vous !? Il fuyait mon regard ce que je peut comprendre, les trace sur mon coup sont toujours aussi présent


Moi : je vais bien merci . Rentrez. Ouvrant grand la porte


Dan : je suis venu vous déposé ceci de la par de monsieur HUNNAM. Il tenait le gros bouquet de rose rouge


Moi : posé la sur la table s’il vous plaît .


Dan : d’accord


Dan est un jeune homme d’une vingtaine d’années je pense , il est grand de taille , brun , la peau matte .


Moi : Dan je peut vous posez une question ?!


Dan : oui bien sûr dites moi ?!


Moi : quel âge as votre patron


Il m’a regardé d’un air étonnée


Dan : monsieur à trente-deux ans madame


Moi : combien de temps vous travaillez pour lui !?


Dan : cela fait quatre ans maintenant


Moi : as t-il était bon en vers vous ?!


Dan : tout le temps c’est un homme d’une extrême générosités remplis de gentillesse et de bonté


Je ne pense pas qu’on parle lui et moi de la même personne


Moi : vous dites sa parce que c’est votre patron ?!


Dan : je n’ai qu’une parole et quand quelque chose ne me plaît pas ou me dérange , je le dis . Votre mari est une bonne personne


Moi : mais alors dans ce cas là pourquoi vous n’arrivez pas me regarder dans les yeux ?!


Il m’a soutenu mon regard .


Moi : pensez-vous qu’on parle de la même personne ?!


Dan : absolument !


Moi : vous êtes tous pareils ! Lance je


Dan : La parole de l’homme n’est bien que le masque qui cache sa véritable personnalité


Moi : qu’est-ce que cela veut dire ?!


Dan : je pense que vous n’êtes pas assez mature pour comprendre certaines choses . Sur ceux bonne journée à vous madame HUNNAM


Il est parti sans que je puisse ajouter quelque chose .

Mariée au petit frèr...