Chapitre 9: Première première fois!

« Merde. » Je jure tout bas, presse le pas en faisant claque mes  bottes noires Manolo blahnick tout en resserrant mon manteau belge sur moi par ce mois hivernal de janvier, je ne peux pas être en retard. Cet entretien est la raison même pour laquelle je travaille aussi dur, je ne peux pas me permettre d’arrive en retard. La circulation à Bruxelles est juste impossible me gare à été un cauchemar. J’ai dû veillé sur ma soeur qui récupère tout doucement d’un pneumonie ma mère est a Foumban en train de s’occupe de ma grand-mère dont le visa pour venir ici traine.

Je soupire et secoue la tête, je ne sais pas ce qui prends autant de temps au Cameroun pour finalisé les papiers de grand-mère parce qu’une fois qu’elle sera ici maman pourras soufflé et être plus calme. Et la tranquillité de ma famille plus particulièrement de ma mère c’est ce pour quoi je vis, encaisse et continue d’avance.

J’en suis là, complètement dans mes pensées dans le hall de l’immeuble qui abrite les bureaux temporaire d’investissement de mon futur   client quand j’entre en collision avec un torse puissant et un liquide brûlant. Je suis sur le point de présenter de plate excuses mais je suis stoppe net dans mon élan par une voix calme mais coupante « vous êtes aveugle ou quoi? » 

« Je suis vraiment… » Mais comme la première fois je suis interrompue.

« MERDE. Comme si j’avais besoin de ça ce matin. » Il parle bas tout époussetant son manteau mais pas assez bas pour ne pas attiré l’attention du gardien sur nous et moi je perds complètement patience.

Ce geste m’amène aussi à jette un coup d’oeil sur le mien il est en piteux état « Et moi vous croyez j’avais besoin de ça? et dois-je vous rappelez que pour ce genre de chose il faut être deux. » 

« Ecoutez. » Il continue à ne pas me regarder et à fixer son manteau et moi le mien.

« Non vous êtes con. » A l’instant où je débite cette affirmation je me rends que je suis peut-être allez loin alors je relève la tête pour croise les yeux les plus beau que j’ai jamais vu. Il sont d’une nuance de gris que j’ai jamais vu paillette d’or absolument magnifique. Je suis tellement fascinée par eux que je n’ai pas de vu d’ensemble de son visage jusqu’a ce qu’il parle.

« Con? » Dans sa bouche ce mot sonne comme une énorme grossièreté. « Vous venez vraiment de me traité de con? » il semble  surpris ce qui m’amène à le dévisager.

Je suis comme paralysé, il est indien avec des cheveux noir de jais avec un visage angulaire, les pommettes hautes, les lèvres parfaites. Mon regard doit parcourir le reste mais seulement je croise son regard moqueur du genre ‘’ le spectacle vous plait?’’. Et la colère m’envahit, oui de la colère parce que c’est le genre d’homme qui sait qu’il est beau et qui n’hésite pas à se servir de son charme pour obtenir ce qu’il veut des gens.

« Oui c’est ce que j’ai dit vous êtes con, con de penser que je suis la seule responsable quand celui qui portait une tasse de café brulante tout en étant discret c’est vous. Con de penser que quiconque en dehors de vous bien sûr peut s’attendre à ça au matin surtout quand elle ont un RDV d’une importance capital. Con de ne pas me laisser parlé et de croire que votre belle gueule excuse tout. OUI VOUS ETES CON. » Ok j’exagère mais il l’as bien cherche et qu’est qu’il a à sourire comme ça.

« Mme… »

A mon tour de lui coupé la parole. « Mme rien du tout, excusez moi mais j’ai une journée chargée. » Et je le plante là.

Je pousse un ouf de soulagement, j’ai encore cinq minute devant moi, c’est peu mais je peux faire avec. La secrétaire une jeune femme blonde refaite de partout me regarde comme si j’étais sur le point de lui volé la vedette à un concours de beauté d’une importance capital mais je n’en ai cure. J’ai cru comprendre qu’elle était là en contrat intérimaire voyons déjà si je signe un contrat avec eux et si elle réussi à obtenir autre chose qu’un CDI à ce moment là seulement je  ne la traiterai plus comme quantité négligeable. Aujourd’hui je dois me concentre pour obtenir ce travail de consulting.

Le bouche à oreille, voilà la vrai raison de ma présence ici ou comme dirait ma mère le destin. Je suis là sur la recommandation d’une amie Soumaya Al-Hayat. On s’est rencontré à l’université où je faisais un master en management et en économie il y’a deux ans. Je participais à une fêté multi-culturel, je représentais le Cameroun et elle son côté somalien nous avons sympathise et je l’ai trouvé chouette. Mais on a jamais vraiment eu l’occasion d’être amie jusqu’a récemment quand grâce aux réseaux sociaux nous avons repris contact et de fil en aiguille me voilà pas assez prépare à passer l’entretien pour le job de toute une vie grâce à elle.

« Ils sont dans la salle de conférence de gauche. »

« Sont? » Je suis certaine d’avoir RDV avec Mr Al-Fayat c’est ‘’ils?’’ Elle m’ignore complètement et retourne à son bureau ne me laissant pas d’autres choix que d’entre. Je toque légèrement, pousse la porte et resté figé face à la personne qui me fait face.

Ps: Ouf chapitre enfin terminé, Je peux Recommencé à profiter de mon week-end. N'oubliez pas de lève le nez de vos écrans pour parler, rire ou encore pleurer avec ceux qui sont autour de vous, je vous promet vous sentirez revivre et inspire. Salam les gens.