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Ecrit par Lari93

Lyaah KONATE

Aussi, il y a ses idiotes que j’ai longtemps considérer comme des amies, en train de me cherche dans la ville juste pour passer l’information à Charles.

Alors qu’aucune d’entre elles n’étaient la quand je souffrais.

Tout ceux-là je vais leur régler leur compte.

On verra bien qui rira à la fin.

Lyaah KONATE est de retour.

 

Charles-Emmanuel

 

Je sors du mon bureau suivi d’Anderson.

Une fois en bas, je suis agréablement surpris de voir le général et son épouse/

Andrews n’était toujours pas là.

Je me précipite vers eux.

Moi : Bonjour Monsieur et bienvenu chez moi.

Mr Tanoh : Avez-vous des nouvelles de ma fille ? (Dit il le visage serré et les yeux plein de colère)

Moi : Monsieur ……

Mme Tanoh : Bonjour mon fils (En me prenant dans ses bras. Cette femme est la douceur incarnée à l’opposé de son époux), je sais que ce n’est pas aussi facile pour toi. Quand nous avons appris la nouvelle, nous avons décider de vous rejoindre (En regardant son époux). N’es pas benoit ?

Mr Tanoh : Oui.

Moi : Merci Maman. Mettez-vous à votre aise. Avez-vous besoin de rafraichissement ? Quelques choses de particulier ?

Mme Tanoh : Ta mère nous déjà bien reçu ne t’inquiète pas.

Moi : Ok maman.

Elle reprend place à côté de ma mère.

Le général est debout à bonne distance de ses fils et de nous.

Il tourne en rond sur lui-même.

Je sens qu’il a juste envie de me buter à chaque fois qu’il pose son regard sur moi.

Il est 20 h est depuis 09 heures du matin Annabelle a disparu.

Jason qui était en communication, nous rejoint dans le séjour.

Jason : j’étais en communication avec le procureur, il va nous obtenir demain au plus tard un mandat pour fouiller toutes les propriétés de l’ex ministre.

Il faut dire que c’est un peu délicat vu son statut.

Mon père : Je vais appeler la présidence, ça ira plus vite. Je n’ai pas envie de perdre aussi mon fils dans cette histoire. (En joignant l’acte à la parole et fixant du regard le général)

Merde Papa !! Me suis-je dis dans le cœur. Il n’avait pas ajouté ça.

Mon téléphone, et c’est Bertrand.

Moi : Allo

Bertrand : Monsieur je vous envoie une adresse rejoignez moi, je vous explique une fois sur place. C’est une piste.

Moi : Ok j’arrive.

M’adressant aux frères d’Annabelle, je vais rejoindre Bertrand à une adresse je n’ai pas plus d’information que ça.

Jason : Je viens avec toi Charles.

Anderson : Moi aussi.

Moi : Ok

Brice en regardant son téléphone et prenant la parole.

Brice : Il y a Andrews qui m’a écrit me demandant de venir avec Toi Jason et Emile à une adresse. Une résidence à la riviera 3, les palmiers. J’hésite à y aller après son coup foireux du matin.

Mr Tanoh : Ne parle pas de ton frère ainsi (Gronde t’il).

Je regarde l’adresse que m’a envoyé Bertrand, il s’agit aussi d’une résidence à la riviera 3, les palmiers.

Moi : Les Gas ils s’agit du même endroit, Je crois.

Jason : Quoi ?

Moi : L’adresse que j’ai reçue est la même que celle communiqué par Andrews à Brice.

Emile : Alors plus de temps à perdre, on y va tous.

Nous nous sommes tous précipité vers le parking.

Je pars avec Anderson qui a pris le volant de mon 4x4.

Nous sommes suivis par Brice, Jason et Emile.

Qu’a-t-il à cette fameuse adresse ?

 

Pendant ce temps

 

Annabelle TANOH

 

Moi : S’il vous plait, j’en ai encore envie. Je vous en prie.

Ravisseur 1 : Mais tu es soulante à la fin, chaque heure tu dois uriner.

Ravisseur 2 : Tu lui as donner à manger et à boire, voilà le résultat.

Moi : Je suis enceinte. S’il vous plait, je ne peux plus me retenir.

L’homme cagoulé viens et enlève les chaines à mes pieds m’aide à me lever et m’accompagne une fois de plus jusqu’au toilette.

Encore une fois, sur tout le trajet, j’essaye de voir si je reconnais un visage familier, mais hélas ils sont tous encagoulés.

Une fois terminé, il me ramène à ma cellule.

Moi : Jusqu’à quand allez-vous me garder ici ? je suis à terme et mon bébé peut arriver à n’importe quel moment ?

Ravisseur 1 : (En riant) Vous n’avez même pas encore fait 24h ici que sa chiale déjà. Prié Dieu parce que vous respirez encore.

Vous avez le temps de faire des prières de repentance. Car bientôt vous irais avec fœtus votre rejoindre le créateur (dit-il après m’avoir lié les pieds).

Mon boss sera bientôt là alors soit patience belle dame (En sortant de la pièce).

Ses paroles m’ont mis un froid dans le dos, ils n’ont pas l’intention de demandé une rançon, leur boss veut ma peau.

J’espère que Charles et les garçons me trouverons à temps.

 

Les Inconnus (Le Boss)

 

Ravisseur 1 : Le boss est arrivé les Gas.

Eux : Bonsoir Boss.

Boss : Bonsoir à tous vous avez fait un excellent boulot. Vous avez fait honneur à votre réputation. Nous allons terminer rapidement cette mission avant qu’ils ne remontent jusqu’à nous.  D’ici là chacun de vous pourra prendre ses papiers, son argent et quitter le pays. Voici la moitié de votre butin 125 millions de Fcfa, le reste vous sera viré sur les RIB enregistré sur vos nouvelles identités, une fois l’opération terminé.

Eux : Ok Boss

Boss : Qu’avez-vous fait de ses affaires ?

Ravisseur 1 : Nous les avons jetés loin d’ici (En regardant le Ravisseur 2)

Boss : Bien Bertrand ne va pas hésiter à pister son téléphone.

Conduis-moi à sa cellule, nous avons des choses à nous dire.

Ravisseur 1 : Ok Boss.

Une fois la porte ouverte, le Boss constate qu’elle a les yeux mi ouvert, mi fermé la lumière l’empêche de bien voir.

Le Boss : Comme c’est plaisant de te savoir à ma portée, la petite danseuse.

Elle ne dit rien, ses yeux parlent pour elle.

Car, ils sont grandement ouverts ainsi que sa bouche. Elle pose une main sur son cœur et l’autre sur son ventre.

Le Boss : (En riant) Tu as perdu ta langue ? Mais tu vas finir par me parler, car moi j’ai beaucoup à te dire. Ma chérie.

Le boss referme la porte et prends un siège, le pose en face d’Annabelle qui ne dit toujours rien, puis s’assoie.

La nuit risque d’être longue.

 

Riviera 3, Hôtel résidence les palmiers. (21h)

 

Nous garons à quelques mètres de la résidence.

J’ai reconnu le véhicule qu’utilise ma sécurité.

Je rejoins Bertrand avec les autres.

Moi : Bertrand qu’a-t-il ?

Bertrand : Apres vérification je peux vous certifier que Mlle Konaté et Mr Aka sont belle est bien sur le territoire. Ils sont rentrés avec l’aide du ministre qui à veiller à effacer leurs traces de tous les registres.

C’est la raison pour laquelle, nous n’avions rien pu voir dans nos précédentes recherches.

Ils utilisent des numéros privés pour communiquer.

Ils étaient ensemble il y a peu, mais nous perdu la trace de madame Konaté (Elle a dû fermer son téléphone). Mon hacker continue de creuser

Nous avons pu facilement pister Mr AKA. Il est dans cette résidence. Il doit surement savoir où elle se trouve, ainsi que madame.

Apres vous avoir écris, je m’apprêtais à lui mettre la main dessus et vous attendre pour l’interroger ensemble, lorsque j’ai vu votre beau-frère entrer dans l’hôtel et demander sa chambre.

Brice : Emile tu savais que Andrews était avec ce type ?

Emile : Non pas du tout. Mais je sais que Andrews a une bonne explication.

Bertrand : Ils sont encore à l’intérieur.

Jason : Andrews est donc avec Daniel à l’intérieur ? incroyable ?

Bertrand : Oui.

Moi : Depuis combien de temps ?

Bertrand : 10 minutes maximum.

Brice : On n’y va.

Bertrand et ses Gas passe devant, car ils sont armés.

On ne sait jamais ce qu’on peut trouver à l’intérieur.

Une fois devant la porte, Bertrand utilise le double de la clé électronique que lui a remis le réceptionniste pour l’ouvrir et entrer.

Nous le suivons, et nous constatons les regards surpris de Daniel et Andrews braqué sur nous.

Daniel : Tu n’as pas pu t’empêcher d’appeler la cavalerie (dit-il en riant). Vous croyez quoi ? En plus, vous débarquez ici avec un bataillon armé. Mais vous êtes si désespérez que ça ?

Andrews : Daniel arrête s’il te plait ton sarcasme et dit où se trouve ma sœur.

Daniel : Aucune idée, tu as pris le soin de regarder partout. Il n’y a rien ici. Et jusqu’à présent, je n’ai commis aucun délit vous autorisant à faire tout ceci.

Jason : Tu vas vite faire de nous dire ceux pourquoi nous sommes là, car depuis la dernière fois j’ai regretté de ne t’avoir pas donné tous les coups que tu méritais.

Daniel : Je n’ai rien avoir avec l’enlèvement de votre sœur ok (Dit-il en criant). J’ai aimé Annabelle et je lui ferais aucun mal, la dernière fois je voulais juste la débarrasser de son enfant (En me regardant).

Je fonce vers lui quand Anderson me retient. Je vais le buter, je jure.

Anderson : Ne rentre pas dans son jeu frère.

Brice : Que sais-tu ?

Daniel : Qu’as-tu à offrir toi ? Rien du tout.  Alors foutez moi la paix.

Emile : Tu veux quoi Daniel ? Quand je pense qu’on t’a considéré comme un frère.

Daniel : Un frère que vous avez lâché à la première occasion. Ne me fait pas rire.

Andrews : Tu voulais qu’on oblige Annabelle à t’aimer ? Tu trouves cela normal ? tu as perdu un boulon ou quoi Daniel ? Depuis quand l’amour est forcé ?

Jason : (En regardant son téléphone) les Gas Michael et l’inspecteur viennent de recevoir le mandat du procureur, l’appel de ton père a accéléré les choses.

Ils vont commencer à fouiller toutes les propriétés du ministre.

Daniel : Bien foutez moi le camp, je n’ai rien pour vous.

A moins que, Oui a moins que monsieur le milliardaire accepte mon offre.

Moi : Quel offre ?

Daniel : Rassure-toi je ne veux plus d’Annabelle. On va faire un marché. Et en contrepartie je te donne les informations dont tu as besoin.

Jason : Pourquoi veux-tu marchander maintenant ? Tu as peur qu’on finisse par remonter jusqu’à toi ?

Daniel : Humm, le ministre a certes financé sans le savoir au départ l’opération, mais vous ne trouverez rien chez lui.  Sa petite chérie de fille à veiller à ne pas trop y impliquer sa famille. Elle avait juste besoin du cash de papa et de ses contacts.

Alors fouillé ses propriétés ne nous aidera en rien.

Donc soyez-vous marchandez avec moi, ou soit vous continuez à chercher dans le vide Annabelle.

Qui sait peut-être vous trouverez Annabelle déjà morte, car elle ne compte surtout pas l’épargner.

A vous de voir.

Jason : Tu es sais des choses toi.

Emile : Et pourquoi doit-on te croire ?

Daniel : Je ne sais pas et c’est votre problème. TIC TAC TIC TAC le temps passe.

Moi : Que veux-tu ? Je suis prêt à marchander avec toi, si c’est le prix à payer.

Daniel : Bien, ma licence je l’ai déjà perdu, et peu m’importe, j’ai décidé de partir pour de bon. Mais c’est toi qui me retiens encore ici.

Moi : Quoi ? qu’ais je fais ?

Daniel : l’hôpital de mon père ! C’est le fruit de son travail et l’héritage de mes frères. Dans ta vengeance contre moi, tu es en train de détruire ma famille.

Je suis revenu dans l’intention de me venger mais lorsque lyaah m’a expliqué le plan, je n’ai pas voulu y participer.

Arrête juste de t’acharner contre l’hôpital de mon père et je te dirais tout.

Moi : Tu as ma parole.

Daniel : Je n’ai rien à foutre avec ta parole, appel tes chiens de gardes et demande leur d’arrêter.

Moi : Anderson, appel Christophe s’il te plait (il lance l’appel).

Apres plusieurs secondes, il décroche.

Moi : Allo Christophe c’est Charles-Emmanuel !

Christophe : On dit quoi Bro (Il est sur haut-parleur) ?

Moi : Je veux que tu stop tout concernant la clinique.

Christophe : En es-tu sure frère ?

Moi : Oui, et merci de m’avoir épaulé sur ce dossier comme celui de la cimenterie tu te souviens ? Et désolé de t’avoir dérangé.

Christophe : Ah ok oui oui, Non pas de soucis, je te dois assez frère. Demain j’appelais mes amis des impôts, considère que c’est fait.

Moi : Merci frère et bonne nuit (En raccrochant).

Je sais qu’il a bien compris mes propos.

Andrews :  Tu as eu ce que tu voulais maintenant ? parle vite.

Daniel : Comme je vous l’ai dit c’est un plan de lyaah et elle compte tuer Annabelle pour se venger de toi et te voir souffrir (En me regardant). Elle s’en fiche de finir en prison.

Elle est devenue obsédé.

Moi : Ou est-elle ? (Dis-je en criant)

Daniel : Un entrepôt à 10 kilomètres de l’hypermarché ou Annabelle était ce matin.

Moi : C’est tout ce que tu sais ?

Daniel : Oui, et débrouillez-vous.

Moi : Idiot, sache que je n’ai rien stoppé concernant l’hôpital. La cimenterie était juste un code. Bertrand que tes hommes l’emmènent à la police.

Daniel : (En criant) Salopard, menteur, tu vas me le payer (en essayant de me brutaliser, mais il est très vite neutralisé par mes gardes). Et vous n’avez pas le droit de m’envoyer là-bas.

Tu n’as rien contre moi pour m’envoyer chez les flics.

Jason : Oh que si, Tu es le complice de lyaah. Tu savais pour l’enlèvement de ma sœur avant même que cela ne se produise et tu n’as rien dit. J’ai enregistré le deal que tu as fait tout à l’heure. Tu expliqueras tout ceci devant un tribunal.

Moi : Tu pensais vraiment que j’aillait vraiment te faire une fleur ?

Daniel : J’espère que tu ne trouveras que le cadavre d’Annabelle et ton future enfant chien.

Brice Lui donne une bonne droite, avant que mes hommes l’envoient hors de la pièce.

 

Bertrand :  Il y a 05 entrepôts dans les environs de l’hypermarché et je pense que celui à côté de cette broussaille (En analysant la carte sur sa tablette) est le plus isolé. En termes de planque c’est le meilleur endroit.

Andrews : (En s’adressant à Bertrand) Nous courrons contre la montre, tu es sûre de ton analyse ?

 Bertrand :   Oui je suis sure, les derniers signaux du téléphone de madame était au même endroit, mais j’ai préféré mettre la main sur ce type car j’étais persuadé qu’il savait quelque chose.

Jason : J’informe Michael et l’inspecteur, pour qu’ils ne rejoignent. Il faut qu’on maximise toutes nos chances.

Moi : Ok on n y va.

Tiens bon mon cœur jarrive.

Annabelle ou Trisha