.... Gloire Alfred Mbolo.... 

Elle a pris mon bras et nous a guidé jusque devant une limousine noire qui nous attendait. Le chauffeur bien en uniforme, m'a souhaité la bienvenue avant de nous ouvrir en nous invitant à y entrer. 

J'avoue que je suis agréablement surpris qu'elle ai pris autant d'égards. Surtout quand je penses à la manière dont je lui ai parlé hier soir au téléphone. 

Dans la voiture qui roule assez lentement, Hope me sert un verre de chambre qu'elle me tend pendant qu'elle même se sert du jus de fruit. 

Moi : d'abord tu me kidnappe et ensuite du cherche à me saouler ? 

Hope : l'alcool et moi on ne s'entend pas très bien donc je préfère l'éviter. 

Je repense tout de suite à ses cures de desintoxication et je comprends qu'elle se bat toujours contre ses démons.

Moi : comment tu en es arrivé là Hope ? 

Hope : je te raconterai une autre fois pour l'instant, je veux que nous buvons à nous. 

Moi(levant un sourcil) : à nous ? 

Hope(me souriant) : oui À Princesse Divine et Gloire Alfred Mbolo ! 

Moi (amusé) : à princesse Divine et Gloire Alfred Mbolo. 

Une quarantaine de minutes plus tard, le chauffeur s'est garé avant de venir nous ouvrir. Nous étions devant the four saison, l'une des hôtels super chic et très sympa de Manhattan. J'ai eu à y séjourné plus jeune. 

Un monsieur nous attendait à la réception. C'est dans la suite présidentielle qu'on nous a emmener. Au milieu de la suite, une magnifique table pour deux, bien dressé. On dirai bien que j'ai été conduit à un dîner romantique. Je me sens comme une femme qu'on courtise et bizarrement, ça ne me dérange pas. Je suis même très flatté. 

Lui : monsieur, madame je serai votre serveur jusqu'à la fin du repas. Veuillez vous asseoir. 

On a pris place l'un en face de l'autre et je n'ai pu m'empêcher de la dévisager. Elle semble si sûr d'elle et surtout calme. Comme si en l'espace de quelques semaines, la Hope qu'elle m'avait habitué à voir avait disparu. 

Comment on en ai arrivé là ? À ce que Hope Divine Ngakosso-Onda fasse tout pour me plaire ? Car je dois l'avouer, cette approche ne me laisse pas de marbre. C'est complètement dingue et surtout mignon. 

Le serveur est venu avec les entrées avant d'aller se mettre dans un coin de la pièce attendant le moindre signe venant de nous. 

Hope : bonne appétit ! 

Moi : merci. On aurai pu manger chez moi ! À Anna's! 

Hope : je sais, Cherley a essayé sans succès de nous trouver une table là bas. Alors je me suis dit et pourquoi pas aller dans un endroit où on serait que tous les deux. De plus, ça éviterai que demain on se retrouve à la une des magazine people! Donc voilà ! 

Moi : oui, sans doute avec en couverture : QUI EST LE MAGNIFIQUE MONSIEUR QUI ACCOMPAGNAIT PRINCESS AU ANN'S ! (RIRE) je devrais être en train de travailler. 

Hope : mais tu es là et en train charmante compagnie ! 

Moi : qu'est ce que tu avais de si important à me dire ? 

Hope : et si on finissait de manger monsieur ? 

Le repas terminé, Hope à demander au serveur de nous laisser et s'est dirigé vers le lit magestueusement dressé. Elle a pris une télécommande et de la musique en fond sonore m'est parvenu. Une musique douce et très joyeuse. 

Hope : je sais que j'ai été méchante avec toi et je peux l'expliquer. (me regardant) j'étais une enfant à l'âme blessé, j'allais trop mal pour pouvoir regarder autre chose que mon ombre courbé, souffrant de tous les maux de la terre. Je me fesais du mal pour avoir un semblant d'existence. Car je ne paraissait vivre que quand je souffrais. Et ton approche était tellement brusque que je t'ai pris en enemies. Tu voulais que j'arrête d'être la seule chose qui me protègeais de "l'autre" et ça, je ne le pouvais pas. Je ne sais pas depuis quand cette envie de passer du temps avec toi à débuter, mais je sais que c'est en affrontant la peur qu'on devient plus fort. 

Elle s'est levée du lit. J'ai commencé à regarder son corps dans cette magnifique robe blanche ouverte par une grande fente avec des fil dorés. Elle ne porte presque pas de maquillage, ni de bijoux. A t'on idée d'être aussi belle?

Hope : je ne te demande pas la lune, ni le soleil et les étoiles. Je te demande juste d'être plus ouvert me concernant, de m'accorder au moins ton amitié pour que je puisse te montrer la vraie Moi. Pas cette copie que j'ai été durant la decenie passée mais moi Hope, la petite fille joyeuse et enjoué que j'avais laissé dans l'oublie. La Hope que pendant deux années tu as essayé en vain de découvrir. 

Moi :.... 

Hope : regarde moi avec les mêmes yeux qu'avant et tu comprendra que j'en vaut (baissant les yeux) que j'en valait le coup. Et que tu n'as pas perdu ton temps, car toutes tes marques d'affection, tes paroles, sont restés là (touchant son cœur) je t'écoutais Gloire et je te regardais. C'est juste que j'avais mis un voile tellement grand et épais entre moi et le bonheur que ta voix et ton image me paraissait trop loin de ma portée pour t'accorder l'attention que tu espérais tant. Et je suis désolé de ne pas avoir su te l'accorder. Je te remercie d'être toi et de m'avoir aidé malgré toute l'animosité que tu as à mon égard. 

Wahoo ! C'est le seul mot qui me vient à l'esprit. Je n'aurai jamais cru Hope capable de faire ça. De me regarder dans les yeux et de me parler de la sorte. 

Mais rien ne sort de ma bouche. J'ai envie de plus, j'ai envie qu'elle aille encore plus loin dans ses retrenchements. J'ai envie qu'elle me montre encore plus de cette Hope qu'à l'instant je suis content de rencontrer. 

Elle est allée dans la salle de bain puis en ai ressorti avec un violon dans les mains. 

Hope (me regardant) : tu devrais t'asseoir. 

Ce que j'ai fais en gardant les yeux rivés sur elle. 

Elle a changé le rythme de la musique et s'est mise en position. 

Dès les première tonations, j'ai reconnu "L'avé maria" de Schubert. Hope a fermé les yeux et c'est comme si elle était transporté dans un autre univers par cette musique. 

J'ai l'impression que par là, elle me transmet toute sa peine, toute ses faibles et surtout tout son amour. Je serai aveugle si je ne m'avouai pas que c'est là pour moi, une des plus belles preuves d'amour qui soit. 

Je suis tellement hypnotisé par son aura et surtout par sa musique et la beauté qui en dégage qu'une larmes coule tout doucement le long de ma joue. Je m'empresse de l'effacer et ne peux m'empêcher de sourire jusqu'à ce qu'elle ai fini de jouer. 

Elle dépose son instrument sur le lit et me regarde comme attendant que je dises quelque chose. 

Poussée par ce qu'il y'a de plus pure, et de plus beau dans l'univers, je la rejoins à grandes enjambées et la prend dans mes bras. Je la serre de toute mes forces essayant par là de recoller tout les morceaux cassés de son cœur. 

Je sens juste ma chemise se mouillé et ne dit rien. Je la garde ainsi dans mes bras pendant ce qui me semble une éternité. Et quand j'arrive enfin à la lâcher, je prends sa bouche sans plus attendre. 

J'ai juste envie d'assouvir se désir immense de la protéger, de la faire mienne et de rester à ses côtés jusqu'à ma mort. Je sais c'est irréel mais tout est tellement irréel dans ma vie. 

.... Hope Divine Ngakosso-Onda.... 

Son baiser est rempli de tellement de passion que mes jambes me lâchent. Il me retient par la seule force de ses mains tout autour de moi. J'ai l'impression de voir les étoiles tellement ces sensations que je ressens sont nouvelles . Ça n'a jamais été le cas avec Jo, jamais. 

Les yeux fermés ne voulant perdre aucune miette de cet instant fabuleux, je veux crier quand je sens ma robe tomber à mes pieds et sa main passée de la courbe de mes fesses à ma taille. 

Je le sens s'éloigner de moi mais je ne veux pas ouvrir les yeux. Si j'ouvre les yeux, ce rêve si doux risque de prendre fin et je ne veux pas que ça s'arrête. 

Gloire (voix suave) : regarde moi Hope. 

Moi :Non. 

Gloire : regarde moi Divine. 

Je les ouvres enfin. À la vue de son corps nu, j'ai la chair de poule. Es normal d'être aussi beau quand on est un homme ? 

Gloire (me souriant) : es normal d'être aussi belle quand on est une femme ? 

Moi : mais.... 

Gloire : shut! 

Il est venu se coller à moi. Sa chaleur corporelle m'a envahi toute entière. Il s'est remi à m'embrasser passionnément en visitant toute les parcelle de mon corps de ses doigrs. 

Gloire (plongeant sa main dans mes cheveux) : je veux te faire l'amour Hope. 

Moi :... 

Gloire (chuchotant) :j'ai besoin que tu me dises ce tu attend de moi. Divine, j'ai besoin que tu me donnes la permission de te faire mienne. 

Moi (tremblante) : oui ! 

Gloire se baisse, place ma jambe gauche au delà de son épaule et enfonce son visage entre le vide occasionné par cette position. Si ces baisers me faisaient déjà trembler, quand sa langue touche ma vulve, j'ai juste envie de m'arracher les cheveux. 

Je sens sa langue dansée le tango avec mon clitoris avant de passer à la salsa au niveau de mes petites lèvres. 

Je ne sais plus où donner de la tête ! J'ai envie qu'il arrête car je me sens perdu et j'ai envie qu'il n'arrête surtout pas car je me sens perdue. 

Es normal de ressentir autant de plaisir ? 

Quand dans un dernier pas de tango, il dépose ses lèvres sur mon clitoris et qu'il se met à l'aspirer et le relâcher dans un mouvement continu, une chaleur étrange nait dans mon ventre et fini par se rependre jusqu'à la plus insignifiante de mes cellules. 

Et comme un robinet laissé trop longtemps fermé, j'expulse ce liquide qui n'a jamais été identifier comme de la pisse sur son visage en criant comme une dingue tout en convulsant. 

Pendant trente seconde, je n'étais même plus dans mon corps. C'est en ouvrant les yeux essoufflé que je me trouve sur le lit, et que je ressens le bien être que procure une penis allant et venant dans son antre. 

Gloire m'embrasse en partageant avec moi, le goût salé de mon érection et je passe mes mains tout autour de son dos pour qu'il ne s'arrête jamais. 

Moi (dans un souffle) : je t'aime Gloire. 

(...) 

.... Gloire Alfred Mbolo.... 

À travers les rideaux épais, je peux déjà imaginer que le soleil est très haut dans le ciel. 

Je pars dans les toilettes sur la pointe des pieds pour ne pas la réveiller. 

Après avoir fait la miction, je m' assied sur le siège des toilettes et ouvre mon téléphone. J'ai des appels manqués de mon responsable chez Anna's qui m'attendais, de Elliott, de Chrishna et d'autres personnes pas très importantes. 

J'appelle mon employé et lui explique que j'ai eu un empêchement de dernière minute. J'appelle ensuite Elliott qui me demande de lui trouver des boutons de manchettes chez Yves Saint Laurent et puis je fais un message à Chrishna lui disant que je suis occupée car je me sens coupable vis à vis d'elle. 

Quand je sors de là, Hope est toujours endormi. Le drap ne protège que ses fesses, laissant son dos et ses jambes nus. C'est tellement beau ! 

Jamais je n'ai ressenti autant de plaisirs dans les bras d'une femme. J'ai eu l'impression de re-découvrir la sexualité. Des frissons me parcours en repensant à tout ce qu'on a fait dans la nuit et mon corps pas trop fatigué on dirai se réveille. 

Je remonte sur le lit en faisant attention et tire tout le drapeau. Je passes mes jambes de part et d'autre de son corps avant de la pénétré très lentement pour ne pas la réveillé. 

Je commence à bouger avec la même cadence et je l'entends gémir dans son sommeil. Je lèches le lobe de son oreille et m'étale de tout mon poids sur son dos avant de commencer à sérieusement la limer. 

Hope (dans les vapes) : ho Gloire c'est tellement bon ! 

Moi : tu es tellement belle ! 

Hope (pleurant de plaisir) : snif ne t'arrête surtout pas ! Hooo Gloire ! Hooo! 

(le lien de ce qu'a joué Hope : https://youtu.be/Jdy-tiwPD5o)