Encore D'Autres!

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 38


*Encore D’Autres !


MAXIME 


Je viens de finir de parler à Jokéybed, je voulais que l’on passe assez de temps ensemble mais celle-ci disait avoir une migraine. Dommage je voulais que l’on passe la journée ensemble à parler des préparatifs de notre mariage. Ne pensez pas que je l’épouse juste pour son argent ou autre, non ! 


Je ressens un truc vraiment fort pour cette femme, son si beau visage et sa si belle peau. Oh et ce corps si bien mis. Je rêve chaque jour d’elle et moi ensemble, préparant notre avenir et ainsi que celui de nos enfants, son fils y compris. 


Et avec une telle femme, c’est sûr que j’aurais un avenir prometteur dans la politique. Et tous ceux qui m’ont honni s’en mordrons les doigts. 


Moi : (allant ouvrir) Neslie ? 


Elle : (avec une belle tenue)  salut Max 


Moi : mais que fais-tu ici ?


Elle : je peux rentrer ? 


Moi : (me mettant sur l’autre côté)  oui, je m’apprêtais à aller dormir


Elle : (se servant un verre de jack) ok 


Moi : (la regardant se mettre à l’aise) tu ne peux rester Neslie, dis-moi ce pour quoi tu es venue ? 


Elle : (me regardant) tu me chasse ? 


Moi : (la regardant)  je suis un futur marié et ma femme peut venir à tout moment 


Elle : (automatiquement)  futur femme 


Moi : qui serai dans peu la mienne 


Elle : bêtise ! 


Moi : (me rapprochant d’elle)  je peux comprendre que tu m’en veuilles vu comment tu l’as appris, avec ton mari qui devient de plus en plus nerveux vaut mieux que je me mette à l’écart. Mais ne traite plus ma femme de bêtise. 


Elle : (riant nerveusement)  c’est ton excuse ? La jalousie de mon mari ? 


Moi : (me levant)  oui, j’ai plus peur pour toi que moi


Elle : peur pour moi ? 


Moi : peur qu’il demande le divorce, tu l’aimes j’en suis sure 


Elle : (buvant)  le mal est déjà fait. 


Moi : écoute moi, je suis désolé Neslie. Mais je ne peux rester un éternel célibataire, la vie ou Dieu m’offre une chance de finir mes vieux jours avec une famille, je dois le faire. Ne vois pas cela comme un mal personnel. Je suis vieux et j’ai besoin d’une famille, d’un enfant. 


Elle : (répétant)  le mal est déjà fait 


Moi : je n’ai jamais voulu te faire mal, tu es marié donc tu m’oublieras  vite 


Elle : (buvant)  mon mari a demandé le divorce, il me quitte car selon lui je t’aime plus que tout jusqu’à le désobéir. Il retourne et quitte notre maison, pour s’installer dans une autre, raison pour laquelle il a voyagé, pour l’aménagement de celle-ci. 


Moi : (ahurit) oh Non ! Neslie je suis vraiment, vraiment désolé 


Elle : mais ce n’est pas cela le plus pire, il prendra ma fille. Il me trouve instable et dangereuse pour elle. (Buvant tout d’un trait)  Il me la prendra 


Moi : non, il ne peut te faire cela 


Elle : si,  il le fera, tu ne connais pas Valls


Moi : c’est injuste, tu peux te battre aussi 


Elle : j’ai envie mais à 5ans tu crois que c’est bon pour elle de me voir me battre avec son père. Elle sera traumatisée, non je ne veux pas de cela pour elle. Tant je veux la garder tant que je veux qu’elle soit stable sur tous les plans, kit à me sacrifier (voulant se servir un autre verre) 


Moi : (attrapant la bouteille pour l’empêcher de se resservir) on peut tout dire de toi mais tu es une  bonne mère 


Elle : (un sourire triste sur son visage) qui ne la verra jamais grandir, elle passera peut-être juste deux Week-end avec moi.


Moi : je suis désolé 


Elle : j’ai tout perdu, mon  mari, mon foyer, ma fille, mon honneur, mon prestige et maintenant toi, voilà ce que le pouvoir me donne 


Moi : je suis vraiment désolé Neslie 


Elle : (riant bizarrement)  je suis un échec 


Moi : (automatiquement)  ne dis pas çà 


Elle : (me fixant)  si 


Moi : non, tu es une femme forte, la plus forte que je n’ai jamais connue et à qui je ne pourrais rien refuser.


Elle : (se déshabillant) alors fais-moi l’amour cette nuit (avec un de ces regards)  avant que je ne parte 


Moi : (évitant de la regarder)  Neslie, je ne parle pas de cela 


Je ne voulais pas, même si toute nue elle avait toujours ce don-là de me faire dresser. 


Elle : (s’approchant avec une démarche sensuelle) je suis toujours la même Max, j’en ai tellement rêvé de toi et de (le caressant) Maxiou, je t’en supplie j’ai déjà tout perdu, alors faisons-le au moins une dernière fois et ensuite on se dira au revoir, (à mon oreille)  car on sera toujours lié par cette folle envie que l’on ressent (une voix pleine de désir)  toujours l’un pour l’autre 


Moi : mais Jokey…..


Elle : (me coupant en m’embrassant) ce qu’elle ne sait pas (enlevant mon haut)  ne lui  fera jamais du mal 


Puis je la soulevai et l’emmena dans ma chambre, je la jetai sur le lit et elle me déshabilla puis  elle se mit à me travailler très sérieusement le membre, tout en se faisant plaisir elle aussi avec ses doigts. J’adorais faire l’amour avec elle, on pouvait essayer assez de nouveaux trucs et jamais elle ne dira « je suis fatiguée »,  et son sexe était vraiment un paradis pour moi. 


C’était censé être une seule partie de jambes en l’air mais moi et Neslie seule dans une chambre ça ne peut qu’être plus que deux parties de jambes en l’air. Je me rappelais que l’on s’endormit l’un sous l’autre. J’avais ainsi eu mon enterrement de vie d’homme célibataire ou de veuf. 


En me réveillant dans la nuit pour la prendre, j’ai vu qu’elle n’était pas là, drôle de manière de me dire au revoir, je voulus refermer les yeux et j’eus un mauvais pressentiment lorsque je vis ces affaires encore au sol. Je sortis et alla vers ou je cachais la carte mémoire, cette chambre-là. 


Puis je découvrais ce que je ne dus jamais découvrir, elle dans cette chambre voulant ouvrir le coffre-fort et il s’en est suivi ce que vous savez tous, Neslie saignait dans ma main après que je l’ai poussé du haut du balcon, elle respirait encore mais parlait avec difficultés. Je pleurais car j’avais mal, je lui avais fait mal, je la serrais et la touchais, elle saignait mais respirait. 


Garde : (craint)  veuillez sortir M.  (Comme une menace) mais sachez que malgré tout nous avons les yeux sur vous 


Moi : (ayant peur)  mais je vais ou ? 


Garde : (avec un mauvais regard)  vous êtes libre, personne ne porte plainte et l’homme soutien que c’était juste une bagarre qui a mal tourner, mais sachez que nous vous surveillerons car votre nom est assez ici ces temps-ci, (comme une évidence)  la prochaine fois sera la bonne. 


Moi : (automatiquement)  et la femme ? 


Garde : (me dépassant)  tchrrrrr


Je sortis en me demandant comment allait Neslie, puis je vis Valls arrêter là. 


Moi : (m’expliquant)  je ne voulais pas lui faire mal, je le jure, sache que ce n’était pas mon intention 


Lui : (me regardant avec des yeux rouges) c’est juste parce qu’elle me la fait promette que je ne porte pas plainte. (Avec rage)  Mais un jour, oui un jour tu paieras Maxime 


Moi : elle va bien ? 


Lui : (me fixant) pardon ? 


Moi : (répétant) je suis désolé je veux juste savoir si elle va mieux 


Lui : (baissant la tête)  c’était l’une de ces dernières volontés 


Moi : (hurlant)  NON ! 


Lui : (partant)  garde tes condoléances pour toi 


Puis il partit. 


Je me rappelais de Neslie et la revoyais me souriant, me parlant, riant. De cette première fois ou je l’avais vu et me demandait si elle était réelle, de la manière dont nous avons commencé à nous envoyer en l’air. De la manière dont elle n’avait peur de rien ni personne. Je tombai à même le sol en regardant mes mains tachetées de son sang et me maudissant. Mes larmes coulaient telle une fontaine, je pleurais, non pas Neslie. 


Garde : (me tapant) M. ici n’est pas un cimetière, sortez  du  poste de police vous êtes libre 


Je continuais à pleurer 


Garde : (hurlant) J’AI DIT DEHORS 


Je me levais et sorti en pleurant et me demandant ce qui c’était passé. Par ma faute Neslie était morte, et sa fille ? Sa si belle fille qu’elle aimait plus que tout. Non, je devais m’asseoir et penser à tout, à elle me disant : 


« Elle : (souriant et me caressant)  tu m’aimes trop Max, qui m’aimes plus entre  toi et Maxiou (le caressant) ? Dis-moi ? (toujours le même sourire) »


Mon cœur allait lâcher. Je frappais un bon coup de poing sur le goudron ce qui eut le don de me blesser mais rien, ne faisait plus mal que ce que je venais t’entendre, ma belle, ma raffinée, ma précieuse, mon démon à moi et à toute la bande morte ? Non !


Je me levai et voulu partir à l’hôpital, mais je ne savais même pas ou elle avait été admisse, en plus j’étais venu avec les policiers donc je n’avais aucun véhicule pour me déplacer. A ce moment-là une voiture s’arrêta à mon niveau et un homme descendit. 


Lui : bonsoir M. 


Moi :……


Lui : ok désolé je suis un ami de Mme Valls, paix à son âme 


Moi : (m’énervant) ne dites pas cela


Lui : (s’excusant)  je suis désolé, je croyais que vous le saviez 


Moi : que voulez-vous ? 


Lui : (se raclant la gorge)  je suis un détective et elle m’avait dit d’effectuer des recherches pour elle sur une certaine Ghanéenne


Moi : (voyant ou il voulait en venir)  c’est fini tout cela, elle pensait trouver quelque chose afin de m’en dissuader de l’épouser 


Lui : (acquiesçant)  je lui avais dit cela et apparemment elle n’avait pas tort de vouloir que l’on continue 


Moi : (le regardant)  comment ? 


Lui : (me montrant des photos)  cette fois nous ne nous sommes pas limiter à sa famille proche, nous sommes allés bien plus loin et nous avons sur par un vieil ivrogne, qui est selon ce que l’on veut nous faire croire l’oncle de Mme Nelson que cette femme n’à commencer à exister que quatre ans seulement. C’est comme si avant il n’y avait jamais de Jokeybed Nelson, voici la raison pour laquelle, elle n’a ni photos d’enfance, ni vidéos. J’aurais volontiers emmené ce vieil ivrogne baladé mais la fois dernière étant lucide, il nous avait dit la connaitre comme sa nièce Jokeybed Dominic, mais il affirme le contraire aujourd’hui sous l’effet de l’alcool, (me regardant)  pourtant la vérité sort assez de la bouche des ivrognes. 


Moi : (ahurit)  que dites-vous ? 


Lui : (m’avertissant)  faites attention à cette femme, peut-être que cette femme a été envoyer pour vous faire du mal. Je vous le dit à vous car étant détective j’ai toujours su que toutes les recherches que Mme Valls voulait était en rapport avec vous et n’étant plus il est de mon devoir de respecter l’une de ces dernière volontés qui est votre protection, en vous avertissant. 


Jokeybed, n’existait pas avant 5ans. C’est bizarre mais qui est-elle, et qu’est-elle venue vers ici alors ? Non il doit avoir une explication à cela, mais moi et elle nous aurons d’abord une vraie discussion. Ou bien c’est ce que Neslie a appris et elle voulait me prendre la clé. Non je deviens fou à penser à tout ceci. J’ai demandé au détective de me ramener chez moi. Cette nuit personne n’y même Jokey ne doit embêter mon esprit, je dois pleurer Neslie comme il se doit. Ma raffinée. 


J’entrais chez moi aux environs de minuit, et toute la maison me rappelait Neslie, lorsque j’entrais dans le salon, je revoyais le premier jour où elle avait fait son entrée ici avec sa belle robe blanche sexy et décoltée, ces escaliers que je prenais me rappelait comment avec séduction elle s’amusait à prendre les marches lorsqu’elle savait que je l’observais. Et ce couloir qui mène aux différentes chambres, comment parfois je courrais derrière elle, afin que l’on fasse l’amour, ça l’amusait de me faire courir derrière elle. Je revoyais tout ceci et entendait ces fous rires et ces gémissements puis je me mis à couler des larmes, deux femmes de ma vie sont mortes et toute ont une histoire avec cette maison, d’abord l’innocente de Jamila et ensuite la raffinée de Neslie. 


Je préfère aller me coucher dans la chambre qu’elle occupait ici lorsqu’elle venait pendant que Jamila vivait. Et aussi une bonne fois pour toute je vais détruire cette carte mémoire. 


J’ouvris donc la porte…..


JAMILA  


Je rentrais à la maison toute triste et découragée. J’avais par mon entêtement fait tuer une femme, comment sa fille pour qui elle était prête à tout surmontera cela ? 


Neslie Valls, cette femme de caractère que je craignais tant avant, cette femme était morte. On parlerait d’elle au passé, mais par ma faute. Qu’est-ce que je suis devenue ? Andy à raison de dire qu’il ne me reconnait pas. J’aurais du arrêter tout ceci lorsque Max l’a su. Mais j’ai laissé continuer, et maintenant je suis comme eux je suis semblable à eux, nous ne sommes en rien diffèrent, en rien. 


Je pleurais, je pleurais Neslie, sa perte. Tout cela à cause de moi, c’est moi qui devais aller chercher la carte mais je l’ai envoyé elle en oubliant que Maxime est un assassin. 


Non je ne pouvais plus, même me regarder dans un miroir me répugne, je dois sortir, je dois aller dehors. 


Garde : (avec respect)  j’appelle le chauffeur Madame 


Moi : (autoritaire)  non, je vais voir M.Assi  et je ne veux pas qu’un chauffeur m’accompagne, ni même que quelqu’un me dérange. A demain 


Je sortis et pris un taxi, je descendis devant cette maison et j’y entrais. La porte n’avais pas été fermé, à cause du passage de la police, j’entrais et rabattait. Je marchais et partit vers le salon et je repensais à me première venue ici, fraichement marié, à comment ma vie était devenue un cauchemar ici et à l’arrivée de Neslie ici. La première fois où j’ai eu le courage de lui dire que je ne supportais pas l’odeur du cigare. 


Tout dans cette maison me rappelait cet assassin, moi avant et aussi Neslie, la servante et mon adorable petite sœur. Que de souvenirs de morts dans cette maison et tout cela à cause d’une seule personne. 


Oui, je sais je suis folle ou dingue selon vous, mais oui j’ai menti à mes gardes afin de sortir seule mais je suis vraiment chez Maxime, je vais faire ce que j’aurais dû moi-même faire depuis longtemps, je vais chercher cette carte dans ce coffre. J’entrais et rabattais la porte, j’y passerais certainement la nuit, vu que M.Valls était arrivé et avait perdu sa femme je suis sure que Maxime durera dans cette prison et avec cette carte que je trouverai tout à l’heure il y crèvera. 


Je commençais à penser à plusieurs chiffres, j’essayais assez de combinaisons, rien ne passait, je m’assis toute désespérée en commençant à réfléchir, peut être le jour de ma mort. J’essayais mais rien, celui de Marysa mais pareil. Puis j’essayais la toute dernière qui me vient en tête je savais que c’était aussi impossible mais j’essayais quand même la date de notre mariage et bingo le coffre c’est ouvert. J’étais ahuri, Maxime se rappelait de la date de notre mariage jusqu’à en faire un code secret ? Non c’est surement des chiffres qu’il a choisi au hasard comme cela, je voulus prendre la clé lorsque la porte s’ouvrit….


Lui : (entrant tout surpris)  Jokeybed ? 


Moi : (ahurie qu’il soit dehors)  Maxime 


Lui : (fermant la porte)  que fais-tu ici ? (voyant le coffre ouvert)  Et comment as-tu eu mon code ? 


Moi : (réfléchissant à un mensonge que je pourrais sortir) je suis venue…..


Lui : (semblant réfléchir)  non ! Pas çà (passant une main sur son visage) 


Moi : (je m’approchais de lui) au fait Maxime…


Lui : (me fixant)  tu es Jamila, toi seule peut connaitre ce code. C’est la date de notre mariage. Tu n’es donc pas morte ? (ouvrant plus ces yeux) 


Moi : (voyant que tout était découvert)  je suis revenue d’entre les morts pour toi


Puis sans réfléchir, je lui donnais un bon coup de poing. Il recula et me regardait avec surprise. Je lui donnais un autre coup en disant « ça c’est pour Marysa », un autre qui le fit tomber « pour Kevin ». Un troisième dans son ventre « pour la servante et mon bébé » et le dernier je voulus le chuter mais il bloqua mon pied. 


Lui : tu es revenue pourquoi te venger (me saisissant les bras) 


Moi : (le tapant assez fort avec mon pied) à ton avis ?  Pauvre con et celui-là c’est pour Neslie 


Lorsque je prononçais ce prénom, il devient nerveux et me tira par les cheveux, j’avais mal mais me refusait d’hurler, il me jeta sur le lit, et me donna une de ces gifles qui fit que ma tête alla en arrière. Il voulut m’en donner une autre mais je saisis son bras et profite de l’instant où il était sur moi pour le taper fortement entre ces jambes il hurla et tomba sur le cote. Je me levais rapidement pris la carte et me mis à courir, courir, pour sortir de cette maison, au moment où j’ouvris la porte je sentis un coup violent sur ma tête. Puis me tête tournait et je ne voyais plus rien. 


MAXIME 


Je le faisais descendre de la voiture, elle avait perdu connaissance mais vivait. Bon Dieu qu’elle était lourde mais pas assez pour moi. Je la mis dans cet endroit isolé en prenant une photo d’elle et l’envoyant à son cher Andy. Car je suis sûre qu’ils s’envoyaient en l’air ces deux-là, Neslie ne mentait sur rien concernant cette femme j’en suis sure. 


Je la regardais et ne comprenait rien, oh oui ce ghanéen, quel idiot ! C’était son stupide amant marié, et c’est surement lui qui l’a aidé. Donc tout était planifier, les rencontres, les sorties, même son sourire. Je me suis bien fait avoir Neslie avait raison, Neslie avait vraiment raison, cette femme était venue pour me détruire, et elle avait réussi mais moi aussi j’allais la détruire. Je partis prendre le pétrole que j’avais toujours en réserve dans ma voiture ainsi que le briquet que j’aimais prendre pour allumer mes cigarettes.  Lorsque j’aurais fini de régler son cas, j’irais prendre cette carte, que j’ai remis dans le coffre-fort, lorsque je l’ai assommé avec le bout de l’arme et lui est administrer une substance qui la fera revenir à elle dans quelques minutes. Je détruirai cette carte. 


Je vais maintenant attendre qu’elle se réveille, elle allait aujourd’hui assister à un truc vraiment grave, ça lui apprendra de m’avoir pris Neslie. 


ANDY 


Apres avoir quitté la plage perplexe à cause de Jamila, je devais aller chez Franck, mais je suis direct aller chez moi car Julie m’appelait en larmes, elle disait avoir mal. Je suis donc allé avec des médicaments et effectivement elle faisait de la fièvre, je lui donnais les médocs et lui prépara un petit plat puis elle s’endormit vu qu’elle faisait encore un peu de fièvre je voulus rester pour voir. 


Elle vivait seule chez moi, après nous avoir avouée être implique dans la mort de ces deux innocents et aussi sa relation avec Maxime, son père à décider de ne plus la côtoyer et faudrait plus qu’elle considère qu’elle avait un père, lui avait-il dit.  Et moi j’ai préférer aller vivre chez Franck qui est en congés de noces actuellement. Je me suis donc assoupi dans le canapé attendant que toute sa fièvre tombe pour rentrer. 


Elle : (mettant une couverture sur moi) je ne voulais pas te réveiller désolé 


Moi : (me levant)  oh je dormais, bon tu vas mieux ? 


Elle : oui merci 


Moi : ok je vais partir donc 


Elle : (petite voix)  il est déjà minuit, il se fait trop tard


Moi : (ne la regardant pas) je peux partir 


Elle : (continuant)  c‘est moi qui doit partir c’est ta maison 


Moi : (la regardant) écoute Julie, tu restes ici (me levant)  moi je pars


Elle : (voix tremblante)  tu ne supporte plus d’être dans la même pièce que moi parce que je t’ai trompé, crois-moi quand moi et toi c’est devenue sérieux Maxime l’a su et m’a violer, mais  je n’ai pas continué avec lui 


Moi : (la regardant) Julie tu crois vraiment que c’est ce qui me fait le plus mal, si tu m’as trompé avant de t’accuser je dois faire une chose, me remettre en question car je t’ai vraiment négligé. Mais ce qui me fait mal ce sont  meurtres auxquels tu es liée et aussi la manière dont tu as réussi à t’en remettre sans soucis. C’est comme si je ne te connaissais pas vraiment 


Elle : (voix tremblante toujours)  je ne devais pas t’en parler ils avaient promis de faire mal, et le jour de ton agression c’était un avertissement 


Moi : (haussant un peu le ton)  bon sang Julie une pauvre assistante est morte par ta faute 


Elle : (petite voix)  je verse toujours de l’argent à sa mère 


Moi : (la fixant) et tu crois que l’argent remplace la vie ? 


Elle : (baissant la tête)  je suis désolé que veux-tu que je dise d’autres ? 


Moi : (enlevant mon regard sur elle)  et moi je te dis ok 


Elle : (attrapant mon bras)  Andy s’il te plait pardonne moi, même ne m’épouse plus mais pardonne moi. Mon père m’a rejeté et je suis sure qu’il a  demandé à tous les membres de ma famille d’en faire pareil, vu que personne n’est venue me voir, il a même juré la dernière fois que je l’ai appelé pour le supplier que j’aurais dû mourir à la place de cette pauvre fille et que jamais il n’accepterais qu’un homme si bon comme toi, (coulant des larmes)  s’unisse à une criminel comme moi. (S’agenouillant)  J’implore juste toi ton pardon maintenant, je t’en prie. (Pleurant) 


Puis elle pleura, je partis vers elle pour la faire lever 


Moi : (la faisant lever)  je peux te pardonner Julie,  mais il faut que toute la vérité sorte 


Elle : (remuant la tête)  ils te tueront Andy 


Moi : (relax)  personne ne me fera rien mais 


Puis je reçus un message :  


Moi : (faisant signe à Julie)  désolé (je regardais et je vis la photo de Jamila couché dans un endroit bizarre, on aurait dit une inconsciente) Jamila ! (pris de peur) 


Elle : (ne comprenant pas)  comment ? 


Moi : (cherchant mes clés) je dois te laisser Julie, 


Elle : (regardant mon écran) mais c’est Mme Nelson, qu’a-t-elle ? 


Puis un autre message vient. 


« Tu veux la revoir alors retrouve nous ici toi seul sans personne. Je t’envoie l’adresse. Maxime. »


Moi : (ayant pris mes clés)  je dois y aller 


Elle : (voulant comprendre)  mais  qui y’a-t-il ?  


Moi : (d’un pas pressé)  Maxime Bely, la retient pour otage 


Lorsque je reçus un autre message, je sortis c’était l’adresse. 


JULIE


Lorsqu’il partit sans réfléchir, je le suivais aussi avec ma voiture. Je m’en foutais des conditions de détention à domicile, je devais protéger Andy, si Maxime tient cette femme inconsciente c’est surement de ma faute car j’ai informé l’autre qu’Andy et cette femme s’envoyait en l’air. 


Andy roulait rapidement mais je réussi quand même à le suivre, normal il est plus de minuit et la circulation n’est pas dense. Il se gara dans un endroit isolé et j’attendais qu’il descende pour en faire de même.


Mais je mis aussi mon téléphone sur enregistreur, sait-on jamais  et je le mis dans ma poche. 


JAMILA 


J’ouvrais les yeux petit à petit et je voyais Maxime avec  une arme braqué sur moi. 


Lui : (avec l’arme sur moi) tu te réveilles enfin 


Moi : (voyant que l’endroit était isolé)  ou m’as-tu emmené ? 


Lui : (me fixant)  dans un  endroit assez facile pour te tuer. 


Je sentis du pétrole et un briquet dans son autre main. 


Lui : (acquiesçant) oui j’ai versé du pétrole et fais aussi y mette le feu sous peu 


Moi : (soutenant son regard)  tu veux me tuer, fais le pourquoi attendre ? 


Lui : pour te demander pourquoi ?  (Criant) Tu m’as tout pris. Tu aurais pu vivre ta vie tranquillement là-bas mais tu es revenue et m’a pris mon prestige, mon argent, ma gloire, tout, car je suis sure que tu y es pour quelque chose 


Moi : (sereinement)  en effet, j’y suis pour quelque chose


Lui : (me regardant dépassé)  je vois tu t’ai préparé pour moi 


Moi : (regard dur) je le devais à ma sœur que tu as assassinée 


Lui : (haussant le ton)  tu crois que c’était un plaisir pour moi ? (criant)  Tu m’as pris celle qui m’aimait tel que j’étais, tu m’as pris (fermant les yeux)  Neslie 


Moi : (criant aussi) et toi tu m’as pris ma sœur, Neslie est un amour pour toi et tu en trouveras une autre certainement mais et ma sœur quoi me la rendra ? Par ton pouvoir tu as assassiné assez de personnes innocentes et je devais me venger. (Respirant un grand coup et reprenant en le fixant)  Tout ce sport que j’ai fait, tout ce régime, tout le travail que j’ai fait sur moi extérieurement et intérieurement (criant)  c’était avec ton sale nom d’assassin en tête car un jour j’espérais te voir tomber 


Lui : (me regardant)  et tu as réussi je n’ai plus rien 


Moi : (soutenant son regard) sans cette carte rien n’est réussi 


Lui : (s’emportant)  tu aurais pu la prendre toi-même pourquoi envoyer (fermant les yeux) Neslie 


Moi : (baissant ma tête)  parce que je croyais que tu l’aimais assez et aussi elle savait ou étais la carte. (Relevant ma tête et le fixant)  J’ai oublié qu’un assassin reste un assassin 


Lui : (se justifiant en criant et faisant non de la tête)  je ne l’ai pas tué elle est tombée du balcon 


Moi : (automatiquement) par la faute de qui ? 


Lui : (le regard peins de haine)  tu m’as pris une vie 


Moi : (automatiquement)  et tu veux prendre la mienne 


Lui : (remuant la tête)  tu n’as pas pris ma vie, mais celle d’une personne (fermant les yeux)  que j’aimais plus que tout alors (me fixant)  j’en ferais de même 


Moi : (le menaçant)  ne touche pas à mon fils ni ma belle sœur 


Lui : (riant bizarrement)  ils sont trop loin, ca prendrait trop de temps et tes stupides gardes nous retrouveraient alors j’ai fais comme beaucoup auraient fait (souriant)  j’ai choisi Jésus au lieu de la bible 


Moi : (pensant à Andy, et je le fixais ave  un de ces regards)  ne pense même pas à lui


Andy : (voix lointaine)  ou est tu ? Je suis là Bely Maxime


Lui : (criant)  monte 


Moi : (craint plus fort)  non Andy part 


Andy : (arrivant) Jamila ! (me regardant) 


Lui : (nous regardant)  oh donc il savait le con ? (souriant) je m’en doutais bien que oui. 


Andy : (comme un ordre)  relâche là 


Lui : (comme une évidence) mais bien sûr que je vais la relâcher, (souriant)  mais toi tu vas mourir à sa place 


Moi : (me levant) part Andy 


Lui : (pointant l’arme sur Andy)  s’il bouge je le tue 


Moi : (criant)  mais c’est entre toi et moi 


Lui : (automatiquement)  tu m’as pris Neslie non ? 


Andy : (me regardant dépassé par ce que l’autre vient de dire, il doit être dans les 3h et l’information n’est pas encore officielle je pense)  pars Jamila 


Moi : (craint)  jamais 


Lui : (pointant toujours l’arme sur Andy)  ok tu assisteras donc à la mort de ton amour Jamila ou Jokeybed peu importe (haussant les épaules) 


Il prit le briquet et sourit,  avec l’arme dans sa main gauche, je voulais le taper mais un  faux pas et il aurait tiré sur Andy donc je me maitrisais en réfléchissant à un plan. Il me regardait et souriait. 


Elle : (arrivant)  max ne fais pas de bêtise je t’en supplie


Lui : (la voyant)  oh qui je vois l’une de mes maitresses adorés. Tu savais que c’était Jamila ? Hum, Tu as eu raison car ton idiot de mec le savait, elle est venue se venger de nous, tu sais pourquoi ? Attends je t’explique. 


Puis Maxime commença à tout raconter, je dis bien tout. De son ascension au pouvoir, en passant par notre vie de couple, les humiliations qu’il me donnait avec Neslie et elle et d’autres même, ces coups bas, ces manigances pendant la campagne, les morts inutiles mais utiles pour lui et sa bande, tout depuis le début  jusqu’à aujourd’hui. 


Lui : (souriant)  maintenant que nous savons tout nous tous, (prêt à tirer sur Andy)  dites-lui au revoir 


Je tremblais en le suppliant du regard, il tira et j’hurlais en voyant Julie venir se mettre devant Andy 


Moi : (criant)  Julie !!!!


Lui : (dépassé)  mais que fais-t-elle ? Ok la prochaine balle est pour vous cher Andy 


Moi : (je pris le caillou qui était à terre et je le tapai avec, Il tomba et le briquet sur lequel il avait mis son doigt tomba  aussi) 


Andy : (craint)  non Jamila ! 


Moi : Julie (allant vers elle et la touchant) 


 Elle : (saignant)  tu es donc Jamila 


Andy : (voyant que le feu commençait à se propager)  il faut que l’on descende, le feu commence à se propager 


On descendit tant bien que mal avec une Julie qui souffrait et arrivez au salon on entendit : 


Lui : (pointant l’arme sur nous, en hurlant et saignant à cause du coup que je lui avais donné à la tête) VOUS N’IREZ NULLE PART !!!


Moi : (voyant la fumée)  mais tu es fou elle est blessée,


Lui : (descendant les marches avec toujours l’arme sur Andy) elle n’avait qu’à ne pas venir (haussant les épaules) 


Andy : (me faisant signe de bien tenir Julie qui commençait à respirer bizarrement)  c’est de moi que tu as besoin laisse les partir (s’avançant devant lui) 


Moi : (parlant à Andy) mais tu es fou ? 


Andy : (me regardant à peine)  je t’en prie sauve Julie, partez (comme un ordre) 


Lui : (avançant aussi) on va se battre M.Assi (souriant)  et le vainqueur sortira 


Moi : (voyant que le  feu devenait dense et la fumée aussi)  avec ce feu qui se propage 


Lui : (riant)  oui le perdant mourra 


Puis il enleva les balles de l’arme et la  jeta  par la fenêtre et alla vers Andy en lui donnant un coup de poing, je criais pour qu’il arrête. Andy, aussi ne se laissai pas faire il sera son coup et le poussa, Maxime lui donna un autre coup de poing qui le fit saigner. Je voulais l’aider mais l’arme était dehors et Julie qui étais agrippé sur moi, saignait et souffrait. Le feu se propageait et la fumée devenait insupportable mais ces deux la continuait de se battre. 


Andy : (craint)  va-t’en Jamila 


Moi :  (automatiquement) je ne peux te laisser 


Andy : (autoritaire)   j‘ai dit de t’en aller sauve cette fille au moins je t’en prie 


Je regardais Julie qui agonisait et la pris puis je sortie avec elle en pleurant. Je ne voulais pas qu’Andy reste là. 


Nous sommes allés un peu loin de la maison et je la déposais à terre


Moi : (la touchant pour la ramener à elle)  tu as un téléphone ?  on va appeler


Elle : (parlant si faiblement)  Jamila, je suis si désolé 


Moi : (la regardant)  le plus important c’est ta vie 


Elle : (continuant)  reste avec Andy et aime le. Il n’a jamais cessé de t’aimer, il partait tous les jours au cimetière te pleurer, il ne m’a jamais aimé. A ta mort il a même payé des gangsters pour le tabasser tant il s’en voulait, (fermant les yeux) 


Moi : (la tapant) reste avec moi Julie 


Elle : (ouvrant les yeux)  j’ai fait assez de mal et surtout à toi. Je t’en demande pardon. Je t’honnissais mais c’était de la jalousie je te le promets, pardonne moi. 


Moi : (la regardant)  tu as pris soin de loin plus que je ne l’aurais fait. Et je te suis infiniment reconnaissante, (lui promettant)  je partirai et te le laisserais 


Elle : (attrapant fort mon bras)  tu n’iras, (parlant faiblement) nulle part votre amour est bien plus fort que tout le reste, (fermant les yeux) 


Moi : (la tapant) Julie reste avec moi 


Elle : (ouvrant les yeux en soupirant) dit à mon père de ne pas trop me pleurer, mais qu’il me pardonne, je reposerai mieux en paix (fermant encore les yeux en respirant difficilement)


Moi : (déchirant le bas de ma robe pour arrêter le saignement)  ne dis pas ça Julie (tremblant) 


Puis j’entendis des sirènes


 

Elle : (souriant en gardant les yeux fermés)  enfin ils sont là, depuis que je suis sortis c’est maintenant qu’ils viennent. Ces policiers d’Afrique, si je devais fuir, je serai allé loin en jetant ca (me montrant le bracelet) 


Moi : (la tapant voyant qu’elle commençait à ne plus bien parler et fermer les yeux)  reste Julie, tiens bon (apeurée et regardant les voiture de police qui arrivaient)  ils vont nous aider 


Elle : (me regardant et respirant fortement avec une larme au coin de l’œil) tu sais la fois dernière à l’Hôtel Ivoire dès qu’il t’a vue, (souriant) il a dit ton prénom. (Fermant les yeux et respirant bizarrement)  dit à Andy que vous avez ma bénédiction 


Moi : (voyant qu’elle devenait pâle)  non, (la tapant et maintenant mon habit sur sa plaie.) non 


Elle : (difficilement)  écoute j’ai mon téléphone dans ma poche, remets cela à la police j’ai mis l’enregistreur et j’ai tout enregistré. Tu verras. (Me regardant) tu auras vengé ta sœur et tous ces innocents aussi grâce à cela. (Fermant les yeux) 


Moi : non 


Elle : (comme une murmure)  je suis désolé Jamila (fermant les yeux et cassant son cou bizarrement comme si sa tête ne tenait plus) 


Moi : (la tapant)  non ne ferme pas les yeux, (la giflant)  Julie,  (la secouant) Julie, (avec des larmes)  non regarde-moi. (La secouant plus fort)  Pas ça ! (mettant mon oreille vers son cœur, la plaie n’était pas loin de là)  Julie (lui faisant un bouche à bouche), (pleurant en la serrant fort contre moi)  non Julie regarde-moi (la serrant). (Hurlant et pleurant)  JULIEEEEEE !!!!!


Les forces de l’ordre s’approchait de moi, je la tenais fermement en criant son nom. Ils réussissent tant bien  que mal  à m’en séparer puis un  toucha son coup et dit « elle est morte » je partis vers elle et la secoua. Qu’allais-je dire à Andy ? Andy. ? Il était là-bas. Je me levais et partis vers la maison qui était en feu, je marchais rapidement avec les policiers derrière moi qui m’appelais, mais je faisais la sourde oreille.  Puis une fois proche de la maison, elle explosa. NON ANDY !!!


L’agent : (m’attrapant par l’épaule)  madame n’y aller pas 


Moi : (le giflant) lâchez-moi (criant toute énervée) 


Non pas ça, pas Andy. Quelle est cette stupide vengeance que je suis venue faire. Des morts encore, et pas de vengeance, je suis finie. Andy non. Je devais rentrer dans cette maison et j’allais le faire. J’allais moi-même mourir, si j’ai pu causer d’autres pertes encore, autant en finir avec moi-même ma vie en même temps. 


Lui : (me saisissant le bras) non ! 


Moi : (me débattant en criant) j’ai dit de me lâcher 


Lui : (me serrant avec une voix autoritaire)  tu n’iras nulle part


Moi : (le regardant avec des larmes) tu vis, donc il est mort ?  (Puis je perdis connaissance) 

 

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VENGEANCE VS AMOUR